lundi 14 novembre 2005

Paradoxe de banlieue

Pas grands commentaires sur les "évenements" en banlieue de ma part. A quoi bon ? Tout, ou presque, a été dit. Peut être une seule réaction de ma part : rien (mais rien, ni sois disant propos d'un ministre, ni situation ou detresse sociale) ne peut justifier et légitimité l'insurrection et la violence. Rien. L'expliquer, à la rigueur. L'excuser, jamais.

Mais sinon un commentaire amusé, mais aussi un peu géné, de ma part... Depuis hier, nous attendons les médias et les commentateurs mettre en avant l'interpellation d'un policier, qui a "pété" un peu les plombs. Et le mot "bavure" s'étend sur tous les murs... Bavure, quel beau mot, facile et qui, de se fait, aurait tendance à légitimer les voitures brulées et les boules de pétanque qui volent...

Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Mais ce que je vois, en tant que français moyen, c'est que ce pauvre policier est en train de décridibiliser la police et l'ordre public. C'est bête, pour moi les voyoux étaient ceux qui brulaient les voitures. Ils passaient déjà, en partie, pour victimes. Là, cela semble plus clair... C'est dommage...

Finalement, j'ai préféré me taire durant ces évenements. Et je pense que j'ai eu raison, j'aurais eu des mots pas forcément sympathique pour ceux qui s'amusent délibérément à mettre en place un état de terreur dans certains quartiers de France. Politiquement incorrect... OK, passons à la suite.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Bienvenue dans ma maison.

Ici, Le respect qui accompagne la critique et le débat est le bienvenu. Insulte ou attaque personnelle (sur moi ou autres) non. Et il est interdit de venir casser les couilles du taulier que je suis (et des autres commentateurs).

Anonymes, passe ton chemin.
Tu peux t'inscrire avec un compte Blogger ou en t'inscrivant à plein d'endroit... C'est bien de savoir avec qui on discute...