mercredi 29 février 2012

Fin du mois de février au bord du Rhone

Une après midi printanière. Le vent est tombé. Les bords du Rhône à Caderousse, gelés il y a quelques jours, sentaient bon le printemps...


Billet pas du tout politique...


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Ras les fronts de toutes ces agressions politiques et "militantes"...

Ce matin, les journaux en font leurs une. Le couple Montebourg Pulvar a été agressé par des militants FN. C'est déplorable, et insupportable. C'est une manière consternante et déplorable de la part de ces "militants", qui discréditent leurs combats, leurs convictions. Le sectarisme et la violence n'a jamais fait avancer aucune cause.
Et lorsqu'elle se traduit en violence vis à vis d'autrui, c'est hautement condamnable.

De la même manière, les pratiques de certains "militants" du Front de Gauche ou de l'Extrême Gauche sont hautement blâmables. Lorsqu'un Nicolas Dupont-Aignan se fait insulter et mettre dehors d'une manifestation par des militants du Front de Gauche. Lorsque des militants de cette gauche de la gauche font preuve de violence dans des manifestations pour s'opposer à des meetings d'adversaires politique, de droite ou d'extrême droite.
Cela ne fait pas la une des médias, les violences de la gauche de la gauche vis à vis du camp d'en face. Cela m'est autant insupportable.

Cette violence dans le militantisme m'est inacceptable. D'où qu'elles viennent. Et vis à vis de qui elles sont portées. Et de ce point de vue là, les Fronts sont très semblables dans cette manière de faire la politique du coup de poing. Cela n'apporte rien de bien positif à la politique...

mardi 28 février 2012

Le paradoxe de l'électeur de droite...

Je vis en pleins paradoxes. Je suis un passionné de politique. Je devrais être aux anges de la période actuelle, puisqu’il parait que les campagnes sont les meilleurs moments de la vie politique. Je suis un ancien jeune militant politique, et aujourd’hui élu local d’un petit village, avec une image de quelqu’un de droite.
Je devrais adorer cette période. Pourtant, j’ai un peu l’impression d’arriver à ma troisième heure derrière un bar où je vois la tireuse à bière tourner à l’infini. Je suis repu, et je me dis que je risque d’être malade dans pas longtemps. En tous cas, je sais que demain matin la tête fera mal, très mal.
Et pourtant, premier paradoxe du billet, j’ai encore envie d’un verre. Le collègue d’à coté paye sa tournée en plus, et il est impoli de refuser…

J’avais écrit y a pas longtemps que, quelque part, j’enviais ceux qui croient aujourd’hui fort en leur candidat. Même si aujourd’hui j’ai fait mon overdose des blogs et twitts politiques caricaturalement militant qui disent tous la même chose (la propagande de Solférino ou du Colonel Fabien qu’on copie colle, le billet quotidien sur Sarkozy pour répéter qu’il est à chier, les déclarations d’un tel ou d’un tel (droite ou gauche) qu’on lit 800 fois par heures, etc…), je les envie. De croire en quelqu’un, en quelque chose. Et d’avoir un objectif. C’est chouette. Je les envie autant que je fuis en ce moment ce type de billet ou ces Twitter.
Aujourd’hui des objectifs personnels, professionnels, j’en ai. Objectif politique, ou envie politique, aucune. Je n’ai pas envie que la gauche prenne le pouvoir au niveau national. Pas plus que je n’ai envie de continuer 5 ans avec Sarkozy et l’UMP officiel. Génial…

Pourtant, aujourd’hui en tant que potentiel électeur de droite, j’ai le choix. Nicolas Sarkozy évidemment. Mais après avoir critiqué son action pendant 5 ans, je ne peux pas me satisfaire aujourd’hui de son discours de candidat, que je trouve plutôt bon par ailleurs. Son bilan est mauvais, je ne suis pas convaincu par son équipe et ses soutiens. Non, en ce qui me concerne, aujourd’hui, je n’ai pas envie de voter Sarkozy au premier tour.

Marine le Pen fait parti aussi des possibilités. De la même manière que Mélenchon ou Poutoux font partis des possibilités de l’électeur de gauche (il est d’ailleurs amusant de voir la chasse aux électeurs FN que s’efforce de faire Mélenchon… c’est mignon). Mais non, le vote FN n’est pas quelque chose que j’envisage. Les idées évidemment, que je juge à coté de la plaque. Et je n’apprécie pas plus que ça le personnage de Marine Le Pen. Chanter du Dalida ou faire la bêbe en lisant le journal quand vient parler Mélenchon, ça fait le buzz. Mais ce n’est pas très brillant…

Nicolas Dupont-Aignan est une alternative. Je pense (et souhaite) qu’il soit candidat. Et j’ai de l’affection pour lui, et pour certains de ses soutiens, que j’apprécie sur ma blogosphère. Pourtant, il parait peu évident que je vote pour lui. Pour différentes raisons.
D’abord parce que je pense que son discours, aujourd’hui, est inaudible. On peut le regretter. Et aujourd’hui, je n’ai pas envie que mon vote de premier tour tombe dans une escarcelle à 1 ou 2%, qui ne représentera au final peu de choses.
Ensuite aussi parce que bien qu’ayant voté non à la constitution et étant un eurosceptique, j’avoue être moins sensible au discours type Dupont-Aignan. Je ne me suis jamais senti « souverainiste ». Et des propositions types « sortie de l’Euro » ne me touchent pas : elles me feraient plutôt fuir.
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’il ne faut pas « plus » ou « moins » d’Europe. Mais mieux d’Europe. Peut être pas à 30 comme aujourd’hui. Mais à quelques pays, pour essayer de faire une politique commune à peu d’Etat, mais avec des mêmes objectifs, des mêmes caractéristiques… J’ai l’impression que sortir et faire son truc dans son coin, ça ne marchera pas…
C’est ce que je ressens aujourd’hui. Je me trompe peut être. Mais si je partage bien des analyses de Nicolas Dupont-Aignan, je ne suis pas en phase aujourd’hui avec les remèdes qu’il propose.

Dominique de Villepin est pour moi une énigme. Je ne le vois pas, aujourd’hui, être candidat. Et quelque part je ne le souhaite pas. Pourtant, s’il devait l’être, ce serait mon candidat naturel, celui le plus en phase avec la manière dont je vois la politique, celui le plus proche de ma « famille » d’idée.
Quand je vous dis que je divague en pleins paradoxes… Parce que je n’imagine pas, et ne le souhaite pas quelque part, candidat.

François Bayrou serait celui pour qui j’aurais le moins de réticence à voter aujourd’hui. Une hypothèse possible... Bon, je laisserai de coté son idée de référendum pour enfoncer des portes ouvertes 1 mois après l’élection (à quoi ça sert une présidentielle ?), et j’attends de lui beaucoup plus. Mais aujourd’hui, c’est le discours et le personnage avec lequel je me sens le moins éloigné.
Mes réserves ? Aujourd’hui savoir clairement qui sont ses soutiens, et avec qui fera t’il une majorité. Je revois le Modem d’après 2007. Je revois les Cavada, les Lepage, partir à la première occasion se faire élire ci ou là. Je revois certains blogueurs modemistes fondamentaliste au début, quand les places des municipales de 2008 ou des régionales ou européennes après étaient là, toutes proches. Partir à l’UMP ou chez les verts à la première occasion. Le principe de la girouette : c’est le vent qui tourne, pas elle…
En gros il y a au Modem des gens qui ont été, depuis le début, fidèles à des idées, à des objectifs, à un homme. Et puis il y en a eu le festival des opportunistes. Si Bayrou est élu, qui remportera la martingale. Les premiers ou les seconds ?
Je dis ça en disant que j’aimerais beaucoup que Villepin se rapproche de Bayrou. Je pense qu’aujourd’hui, ils défendent une même vision de la France…

Sarkozy, Bayrou, Villepin, Dupont-Aignan. Du choix, j’en ai quand même…
Voter Hollande ? La réponse est non. J’apprécie le personnage, mais je n’ai pas envie de voir arriver la gauche au pouvoir. Qui n’a pas fait mieux en Espagne, en Grèce, en Irlande ou au Portugal que la droite au pouvoir en France ou en Italie… Et je n’ai pas envie de voir ses amis venir au pouvoir. Je n’ai pas envie de voir des verts ou Mélenchon entrer dans un gouvernement où siégeront Aubry, Royal, Hamon, Montebourg ou Peillon.
Et puis les socialistes au pouvoir, je connais un peu. Localement par exemple, où leur bilan ne m'est pas satisfaisant. On me répondra qu’ils sont réélus, et que l’électeur a toujours raison…
Et puis ils m'ont déjà prouvé localement que leur « République Irréprochable » est du même niveau que celle de l’UMP. La politique des copains, il y a juste la couleur politique qui change. C'est dommage...

Et quand j’ai dit ça je n'ai pas dit grand chose, à part ce que je ressens. Sorte de billet exutoire... Je me dis aussi que l’alternance dans un pays, ce n’est pas une mauvaise chose…En ce sens que je nage en plein paradoxe.
Bref, je me dis beaucoup de choses contradictoires… Période électorale. Crispante, inquiétante, normalement passionnante parait il. Peut être que demain aurais je un peu plus de convictions…

dimanche 26 février 2012

Il fait de l'anémie Docteur

Mais bouffez le !!! (copain comme cochon)


Je suis fan !!!!

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Bravo Canal +, et vive la Ligue 1 !

J'ai reçu hier un très joli courrier de Canal +, dont je suis abonné.

Naïvement, je pensais que Canal + allait me rassurer. Je suis fan de foot, et c'est pour la Ligue 1, et les Coupes d'Europe et les Championnat étranger que je suis abonné à Canal +. Or il se trouve que Canal + a perdu 8 matchs de Ligue 1 sur 10, quasiment toute la Coupe d'Europe (sauf un match, comme TF1 aujourd'hui), et apparemment des championnats étrangers.

Bien sur que non. Ce courrier est juste pour me dire que mon abonnement augmentera de 1 € à la fin de l'année. J'aurais moins, mais "mieux" qu'ils me disent. Et il y a une augmentation de TVA aussi. Normalement, l'augmentation aurait du m'augmenter mon abonnement d'environ 40 centimes, mais non. Canal + l'a décidé, ça sera 1 €.

"Vous offrir le meilleur du sport" qu'ils me disent. Hier soir, il y avait sans doute le plus beau match de Ligue 1 de la saison pour l'instant : Lyon Paris Saint Germain. L'affiche est magnifique. Mais non : c'était sur Orange TV. Un peu moins des 200 000 abonnés auront pu suivre, s'ils en avaient envie, ce match fabuleux qui s'est fini à 4 buts partout.
Mais Canal + nous offre le meilleur du sport. Ce soir, il y aura un délicieux Rennes - Lille... Je ne dirais rien en observant qu'une nouvelle fois, le derby Saint Etienne - Lyon sera également sur Orange... Le "meilleur du sport".

Non, j'en veux à Canal + de ne m'avoir pas permis de voir ce Lyon - PSG. J'en veux à Canal + d'augmenter un abonnement qui se verra dégradé.
Et j'en veux à la Frédéric Thiriez, président de la Ligue 1, "d'offrir" un spectacle que beaucoup ne peuvent pas voir. L'an prochain, avec deux chaines privées et des horaires à la con, ça sera bien de suivre la Ligue 1...

Au fait ? Le trophée des champions de Ligue 1 sera cet été à New York... Vive la Ligue 1...

vendredi 24 février 2012

"Je t'emmerde"

La politique offre parfois des moments de grandeur et de noblesse, qui font d’elle un art.

Eva Joly par exemple. Elle aime bien donner des leçons. Mais attention, ne la critiquons pas. Ne la moquons pas. Ne la caricaturons pas. Sinon, on est misogyne, ou xénophobe, ou pleins d’autres choses. Elle n’aime pas qu’on la critique, qu’on la moque, qu’on la caricature. Si en plus on le fait avec humour comme Plantu, c’est la fête.
« Je l’emmerde », c’est ce qu’elle a répondu à Corinne Lepage qui a critiqué son engagement écologique. « Je l’emmerde », c’est beau, c’est noble, c’est grand.



Jacques Chirac avant elle. Une histoire qu’avait révélée le journaliste de RMC Christophe Jakubyszyn. Que lui avait raconté François Bayrou. Histoire qui nous ramène le 21 Avril 2002. François Bayrou avait refusé d’intégrer le papa de l’UMP. Et il était candidat à la présidentielle. Et il sait que Jacques Chirac l’appellera à la fin de la journée, parce qu’un deuxième tour à gagner, une famille à rassembler. Et François Bayrou espère. Peut être même Matignon, qui sait ?
L’histoire, c’est Christophe Jakubyszyn qui la raconte.
« A 18h, stupeur dans la France entière: les premières indications donnent Jean-Marie Le Pen au second tour. Jacques Chirac n'a plus besoin de François Bayrou, il gagnera probablement seul. Et pourtant, à 20h10, le téléphone sonne dans le bureau de Bayrou: c'est le chef de l'Etat: « Allo François ? Je voulais te dire que je t'emmerde ». Authentique... »
C’est grand, c’est noble, c’est de la politique. Bon, très peu objectivement, j’avoue préférer le « je t’emmerde » de Jacques Chirac à celui d’Eva Joly, que je ne porte pas dans mon cœur.

Je ne sais pas si cette campagne est « violente », comme se plaint Caliméro Pierre Moscovici. Personnellement, je ne trouve pas (je trouvais celle de 95 entre Chirac et Balladur plus violente). Par contre, elle ne vole pas haut, c’est évident…
Frédéric Lefebvre et Benoit Hamon sont moins bavards ces derniers temps, mais entre Eva Joly, Marine Le Pen et Mélenchon hier soir, d’autres s’arrangent pour ne pas rehausser le niveau.

Tout ça, ça m'emmerde.

jeudi 23 février 2012

Les regrets...

Nicolas Sarkozy a des regrets. La voix tremblante et hésitante, il regrette le Fouquet’s, première fève du quinquennat.

François Hollande a des regrets. « Je n’aime pas les riches », qu’il avait asséné d’une manière sectaire et brutale en 2006. Je n’aime pas les riches… D’autres n’aiment pas les étrangers, les parisiens, les footballeurs ou les cons. François Hollande, c’était les riches.
Il regrette, c’était « une phrase abrupte »….

« N’ais pas de regrets » disaient Mylène Farmer et Jean-Louis Murant. Je ne sais pas s’ils ont raison, mais c’était une jolie chanson…

Une nouvelle porte parole pour François Hollande ?

Un peu d'humour avec une vidéo qu'on vient de me renvoyer ce matin : la mémé qui n'est pas contente de Nicolas Sarkozy.

Mamie contre Sarkozy

Sourions un peu. C'est bientôt la fin de la semaine, et il fait beau.

mercredi 22 février 2012

11 questions d'un mercredi...

Ca fait un moment que je n’ai plus été sollicité dans une chaine (en photo, deux chaînes de montagne... Oui c'est con). C’est souvent plaisant, quand elle est en plus transmise par un blogueur qu’on aime bien. Aujourd’hui, c’est Tambour Major qui me pose 11 questions. Le petit coquin indiscret. Allez, je vais jouer…

Il faut d’abord rappeler les règles du jeu. Elles sont simples. 11 questions qu’on m’a posées, j’y réponds. Et ensuite j’en crée 11 autres, que je pose à 11 blogueurs. Comme on est poli, on mettra les liens de ces blogueurs, et on ira les prévenir chez eux. Je ne sais pas quand, mais je trouverai bien un moment.
J’aime bien cette règle : elle oblige à connaitre un minimum les blogs que l’on cite. Non, je ne reparlerai pas de ces listes de blogs anonymes qu’on voit ici ou là...

Les 11 questions du Tambour sont donc celles là.

1. Qu’est-ce qui te démange ?
J’ai un gros problème : je suis allergique aux chats (hein Mumuse ?). Donc déjà y a ça… Et c’est beaucoup, et un peu triste aussi. C’est mignon un chat.

2. Iras-tu voter en 2012 ? Pourquoi ?
Evidemment que j’irai voter. Je tiendrai même un bureau de vote. Après pour qui, je ne sais pas encore. J’écrirai un billet plus tard. Je sais pour qui je ne voterai pas par contre.

3. On mange quoi ce soir ?
Ben faudrait demander à Falconette. Hier soir, elle avait fait une quiche merveilleuse (lardon, mozzarella, oignon). Il en reste : je pense que je me la taperai (la quiche)

4. Rat des villes ou rat des champs ?
Des champs, la campagne. Mais une ville, ça a quand même un charme rare…

5. Que serait pour toi un monde sans électronique ?
J’ai du mal à imaginer. Je m’y emmerderai. Bah, je lirai, beaucoup plus. Et j’écrirai, aussi.

6. Quel est le parfum de ton gel douche ?
Là j’ai ouvert un truc Axe machin chose qui parait doit faire tomber toutes les gonzesses qui croisent ma route. Ça ne marche pas…

7. Dans ton évier, là, maintenant, il y a quoi ?
J’espère qu’il est vide (ça voudra dire que Falconette a fait la vaisselle avant de partir, smiley ^_^). Sinon dans la salle de bain, sans doute il doit y avoir un gant de la toilette de bébé.

8. Chèque ou CB ?
Ça dépend pour quoi. Essentiellement CB.

9. Le dernier morceau de musique que tu as écouté aujourd'hui, c'était ?
Au moment où j’écris, j’ai une musique de Fullmetal Alchemist Brotherhood qui me donne des larmes (celle là : Requiem to the brigardier general... L’enterrement de Hugues est un des passages les plus émouvants de l’animation japonaise…).

10. Laura Ingalls, c'était quand même une belle connasse, non ?
Comme je refuse de déraper et d’être graveleux, je ne répondrai pas à la question (et puis elle est trop jeune, mais quand même il a part tort le Tambour...)

11. Le facteur sonne toujours deux fois. Et toi ?
Moi ça fait trois jours qu’il n’est pas passé, ça commence à me courir…

Bon, ben y a des questions malines, d’autres moins. Je vais essayer de faire pareil.
  1. Quand et pourquoi as-tu ouvert un blog ?
  2. Où voudrais-tu finir ta vie (le plus tard possible) ?
  3. Tu mets des chaussettes pour dormir ?
  4. Pâtes bolognaises, carbonara, pesto ? Ou autre chose ?
  5. Pourquoi le Brésil, et pas le Pérou ou le Guatemala ?
  6. Football ou Rugby ?
  7. Quand tu repenses au collège, c’était comment ?
  8. Ton parfum actuel ?
  9. Tu es plus Capitaine Flam, Dragon Ball, Chevaliers du Zodiaque ou Naruto ?
  10. Facebook, Google + ou Twitter ?
  11. C’est bien l’amour ?
11 questions à la con… Désolé, je ne ferai pas mieux pour aujourd’hui.

Il faut trouver 11 pigeons blogueurs à inviter à répondre à ces questions. Je vais prendre des que je n’ai pas trop lié ce mois ci.

Évidemment l’ami qui restera toujours the Nuberwane, Vallenain, Vlad le raleur, Prof Mathieu, Polluxe, CC, Captain Haka, Eric le mulhousien, Mtislav le pyrénéen, l’ami Alter Oueb.
Le dernier blog que je linke est tout récent. Il s’agit de mon amie Alice et de son petit monde pleins d’idées. Oui, c'est un blog de nana.

C'était un billet de mercredi. C'est bien les mercredis...

Le féminisme a vaincu : les femmes (demoiselles) sont sauvées…

Il y a des trucs comme ça… Des informations qui laissent sans voix. Et pourtant on crève d’envie d’en parler, parce que laisser sous le silence des évènements qui relèguent dans les tréfonds de l’histoire d’autres grandes avancées sociales, c’est dommage.
Comme par exemple la suppression du terme "Mademoiselle" dans les administrations...

« Les termes «mademoiselle», «nom de jeune fille» ou le «nom d'épouse» sur les formulaires seront bientôt du passé. Une circulaire des services du Premier ministre recommande aux ministres concernés et aux préfets de «donner instruction» aux administrations «d'éliminer autant que possible de leurs formulaires et correspondances ces termes. ».
C’était un grand combat des féministes de la fin de l’année dernière. Ce cri a été entendu. Alléluia…

J’avais écrit un billet sur le sujet, « et un combat ridicule de plus pour la mademoiselle ». Parce que je trouvais ce combat ridicule. Parce que quand je discute avec des copines, je n'avais pas l'impression qu'elles étaient traumatisées par le fait de cocher la case "mademoiselle"... Mais bon, peut être ne le savaient elles pas que c'était "discriminant"...
Et parce que j’avais l’impression qu’il y avait bien d’autres combats à mener pour le droit des femmes. Par exemple un des derniers rapports de ONU femme, qui disait que un pays sur deux dans le monde ne condamne pas le viol. Mais c’est évident qu’il est plus facile s’indigner de l’utilisation du mot « mademoiselle » (que je n’arrive toujours pas à trouver dégradant…), d’hurler contre une publicité, de taper du pied que l’on mette une jolie fille en illustration d’un billet, de se fâcher de voir qu’on réserve la couleur rose pour les filles…

Quelque part, je suis inquiet des prochains combats qui seront défendues par ce féminisme intégriste qui n’a peur de rien, et surtout pas de l’affligeant. Je suis un peu inquiet… Mais pas pour ceux qui font réellement du mal aux femmes, et portent atteinte à leurs droits et leur dignité : eux continueront à ne pas être inquiétés…
C’est dommage…

mardi 21 février 2012

Remplacer l'état UMP par l'état PS ?

« François Hollande a déclaré que les hauts fonctionnaires liés au «système» Sarkozy devraient «forcément à laisser la place à d'autres» s'il était élu à l'Elysée » (le Parisien).

Je fais parfaitement confiance à François Hollande pour réaliser une purge des postes confiés par des gens qui ne répondrait pas aux « critères politiques ». Localement, je vois comment cela se passe dans une région tenue par les socialistes, et des départements tenues par les socialistes.
Nicolas Sarkozy et l’UMP ont placé des « gens à eux » aux postes importants ? Les socialistes ont fait de même au niveau local, et au niveau national quand ils avaient le pouvoir. Et bon, avant lui, Mitterrand et Chirac ont fait de même. Le prochain réalisera la même chose. Même plus choquant…

Ais je tellement envie, par contre, de voir un « état UMP » remplacé par un « état socialiste » ? La réponse est évidemment non. Avec les départements, les régions, le sénat, et peut être demain l’assemblée et l’Elysée, il risque d’être très difficiles d’exister si on est « pas de gauche ». J'espère qu'on pourra quand même continuer à penser ce qu'on pense, et qu'on se fera pas privé de dessert et de vin si on n'est pas sympathisant de gôche.

François Hollande promet de faire du ménage. Pourquoi pas. Le président socialiste de la cour des comptes Didier Migaud, et le président de l’AMF Jean-Pierre Jouyet, peuvent donc s’inquiéter pour leur poste… Et même pas. François Hollande l’a dit clairement : « Aucun de ceux qui aujourd'hui exercent des responsabilités et qui sont loyaux n'ont à s'inquiéter…». Ah bon…

Pendant ce temps, on apprend la possible nomination du sans doute très compétent Jean-Louis Borloo à la tête de Véolia... Mais on est rassuré : la gauche promet de faire exactement pareil, mais "avec des gens loyaux". Ecoeurant. Inquiétant. Désespérant...

Il est toujours amusant de voir une personne promettre de faire ce qu’elle a violemment (et justement) critiqué chez d’autres. C’est de la politique il parait…
Mais bon, ça promet l’avenir…

lundi 20 février 2012

Royal vs Lang... Ca promet...

La gauche n'a pas encore gagné les élections, mais elle commence à se partager les postes. Ou à se les disputer.

Aujourd'hui, nous apprenons que Jack Lang convoite la présidence de l'Assemblée Nationale. C'est bien : il ferait acte de présence cette fois, après un mandat où il aura brillé par son absence... (et les rares fois où il a été présents, c'était pour voter HADOPI ou la réforme constitutionnelle...).
En tous cas il n'a honte de rien. Mais on le savait déjà...

Je m'interroge parfois sur ma réticence à voter à gauche au niveau national... Et quand je vois qu'à la présidence de l'Assemblée Nationale, on nous propose à gauche une Ségolène Royal ou un Jack Lang (soit des parachutés pire que le président actuel), je trouve un début de réponse...

Monsieur Gentil vs Docteur House

Un très bon billet du Toréador ce matin. Qui parle de la campagne : Monsieur Gentil (Hollande) vs Docteur House (Sarkozy). Billet malin, comme toujours chez Toréador.
Quelques morceaux choisis :
Hollande préfère mener la guerre sur le terrain des personnalités plutôt que celui de l’expérience ou des idées. Il est ce personnage de bande dessinée pour enfant, cet inoffensif « Monsieur Gentil ». Monsieur Gentil n’agresse pas, Monsieur Gentil ne clive pas, Monsieur Gentil n’insulte pas. Il ne veut pas le pouvoir. Il n’aime pas les riches et les méchants. Et il met d’accord tout le monde.

Coté Sarkozy, la stratégie est plus complexe à suivre car le candidat doit changer de peau, tout en défendant son bilan, ce qui l’oblige à contourner sur la pointe des pieds le javelot fiché à terre de son premier quinquennat, qui est à la fois difficile à manier et en même temps un pivot central de son identité politique (...)
Les mots clés de Sarkozy sont « France », « courage », « responsabilité », « vérité ». Bref : « J’ai mauvais caractère, et j’assume ! »

Sarkozy esquisse une critique sur la personnalité de son adversaire mais son propos vise plutôt la méthode de gouvernement de Hollande.
Dans un paragraphe très joliment titré « le fou et le flou », Toréador met en avant ce point important : « Chacun des deux attaque l’autre sur sa faiblesse principale. ».

Hollande tape régulièrement sur la personnalité du candidat sortant, dont tout le monde connaît les limites : ouh, le croquemitaine ! C’est un merveilleux sujet d’attaque, une autoroute, car François Hollande sait que sa personnalité un peu fade mais joufflue passe forcément mieux que les aspérités sarkozyennes. (…) L’idée est de faire passer le message qu’un candidat désaxé et clivant a forcément des mauvaises idées pour la République.

Sarkozy de son coté cherche à faire l’alchimiste en transformant l’avantage de personnalité de Hollande en boulet programmatique. Il sait de toutes manières que Hollande a un programme très flou, et qu’il a depuis le départ choisi de présenter le visage bonhomme d’un monsieur jourdain de la politique, une savonnette caoutchouteuse qui convainc mal mais ne clive pas. (..) Du coup, on lui ressort ses déclarations contradictoires sur les familles, le nucléaire ou le libéralisme.
Avec cette conclusion là encore d’une rare justesse : « Reste que pour Sarkozy, taxer Hollande de girouette n’est pas forcément crédible, étant donné ses propres abandons ou revirements. ».

Le Toréador revient forme durant cette période électorale, avec des billets incisifs comme il nous en a souvent donné l’habitude. C’est une bonne nouvelle : une des meilleures d’une campagne qui en est un peu avare…

vendredi 17 février 2012

Le festival du menteur à Moncrabeau

Ce n'était apparament pas vraiment au concours du menteur de Moncrabeau, mais plutôt en campagne électorale à Annecy. Et Nicolas Sarkozy, qui ne devait surtout pas parler de ses adversaires, s'est lâché devant François Hollande :


J'ai toujours considéré, en politique, que parler de son adversaire en se rabaissant au niveau de l'insulte et du caniveau était une faute. Une erreur. Les électeurs n'aiment pas ceux qui passent leur temps à baver sur l'autre.
C'est une des raisons pour lesquelles j'ai profondément déploré la campagne à la salaud de l'UMP depuis l'automne. C'est une des raisons aussi qui me ferait penser que Sarkozy n'a pas forcément perdu, vue la jouissance d'une certaine gauche à se rependre sur la droite, d'une manière qui ne fait honneur à personne.

Nicolas Sarkozy a traité François Hollande de "menteur". C'est moyen. C'est même moyenasse...

Il y avait un débat y a quelque temps, où l'Hérétique m'avait demandé "François Hollande, fou ou menteur". Je lui avais répondu d'une part que les termes étaient moyenasses (déjà). Et j'avais répondu "ni l'un ni l'autre". Il fait de la politique. Il arrange peut être la réalité et les chiffres pour les faire coller à son argumentaire, et a peut être une lecture des évènements partiales et sujettes à discussion.
Mais menteur, sûrement pas plus que Nicolas Sarkozy, François Bayrou, ou avant lui Lionel Jospin, Ségolène Royal, Jacques Chirac, et consort...

Si Nicolas Sarkozy veut refaire son retard en utilisant les ficelles de Nadine Morano ou Bernard Accoyer, je comprends le relatif optimisme des militants socialistes en ce moment. Il ne remontera jamais la pente comme ça.
Après, que ses équipes démontent les arguments et attaques d'Hollande qu'ils jugent être des arrangements avec la réalité, qu'ils le fassent. C'est la politique. Mais qu'ils le fassent avec respect, avec méthode, sans pratiquer cette insulte et cette arrogance méprisante qui gonfle les citoyens...

Je crains qu'au concours du menteur de Moncrabeau, il y ait beaucoup de candidats dans notre classe politique... Alors restons humble et digne...

jeudi 16 février 2012

Vraiment rien à dire... (sinon me perdre sur le Lac)

C'était mon ami Homer qui avait fait, il y a quelque temps, un billet pour dire que décidément non. Il n'avait rien à dire... Un billet sur le vide... C'est d'ailleurs un peu ça aussi le problème des blogueurs. Quand on a rien à dire, on écrit un billet pour dire qu'on a rien à dire... Je ne sais pas si ça se soigne...

Hier soir, j'ai regardé Nicolas Sarkozy sur TF1. J'aurais aimé m'enthousiasmer, ou me révolter. J'aurais aimé être comme la pravdasphère, et me lâcher en moqueries, en bêtes méchancetés, ou en caricatural militantisme. J'aurais aimé être comme le militant UMP convaincu, et sortir ébahi et ragaillardi de cette prestation télévisuelle.
J'aurais aimé avoir eu une réaction. Positive, négative, qu'importe. Tout mais pas l'indifférence comme disait le chanteur des Restos.

Et en fait non. Rien. Avant, j'avais un peu regardé le meeting de Hollande sur les chaines infos. Pareil, pas grand chose. Un peu d'agacement par moment, mais guère plus. Et ensuite, sur TF1, rien. Rien qui m'a énervé, rien qui m'a affligé, rien non plus qui m'ait donné envie...

Un peu le problème de cette campagne présidentielle. Je disais hier que ça serait passionnant cette période. Et aujourd'hui déjà, moins de 24 heures plus tard, je dis l'inverse. Je soupire mon pessimisme devant une situation qui, je le pressens, ne s'améliorera pas.
Nous discutions ce matin, devant la machine à café. Avec un copain bien de gauche, qui porte fièrement les couleurs de son syndicat pas libéral pour un sou, et un autre à coté plutôt centre mou et modéré. Et on faisait ce même constat : qui que se soit qui gagne, demain promet d'être plus difficile qu'aujourd'hui.
Et le soucis est là. La pravdasphère est persuadé que demain avec Hollande, ça sera le bonheur sur la terre. Quelque part je les jalouse un peu : ils croient en quelques choses. Et c'est chouette.

Non, je n'ai vraiment rien à dire sur le départ en campagne de Sarkozy. Je ne souhaite pas sa victoire, je n'ai pas aimé son mandat. Je ne souhaite pas non plus sa défaite.
En fait aujourd'hui, je m'en fous...

Mais bon, je sais qu'il est à Annecy aujourd'hui. Alors je fais un coucou à Shaya, et je poste une photo de cette ville magnifique...

mercredi 15 février 2012

Le jour où Chirac se déclara, sur le Pont d'Avignon...

J’ai en mémoire la déclaration de candidature de Jacques Chirac en 2002. C’était chez moi, dans la ville où je suis né. Avignon.
L’image était belle, il me semble qu’on voyait, au fond, le fort Saint André et la Tour Philippe le Bel. Outre le lieu, je garde le souvenir d’une belle déclaration. Simple. Une question d’une Marie-José Roig toute fofolle. Une réponse simple, un « oui »…

J’en garde un beau souvenir. Une belle période de ma vie. 2002, mon début de carrière. J’étais à Marseille, il faisait beau ce 11 Février. Il fait toujours beau à Marseille. Et puis j’étais jeune…
2002 reste une année particulière pour moi… Au début, j’étais Orphée et je jouais de la lyre, entre Vieux Port, Pont d’Avignon et Lac Léman. Le tout sous la protection d’Athéna… Et puis comme Orphée, je suis tombé en enfer, avant de revenir au paradis à la fin de l’année… Belle et riche année que celle de 2002.

Revenons à la déclaration de Jacques Chirac. A la fin de son premier septennat, je faisais parti de ceux qui, dans son camp, étaient très critiques vis-à-vis de lui, de son bilan, de ses choix politiques. J’avais été opposé à son référendum sur le quinquennat. Et en 1999, j’avais voté pour la liste Pasqua contre l’officielle liste Sarkozy aux élections européennes. Il ne faut jamais oublier qu’en 2002, Chirac ne fait pas l’unanimité dans camp, comme Sarkozy aujourd’hui. En témoignent aussi les candidatures (ou projets de candidature) de Pasqua, Bayrou, Madelin, et déjà de Christine Boutin (sans risible bombe atomique à la sauce tomate).

En ce qui me concerne, le 11 Février 2002, j’accueille la déclaration de candidature de Chirac comme un évènement de l’histoire politique. De la même manière que la déclaration consternante de Balladur, ou l’annonce de non candidature de Delors, pour l’élection de 1995. De la même manière que la Voix du Nord de Chirac en 1994, le « oui » de Mitterrand en 88, ou le fax de Jospin en 2002. Un moment d’histoire.
Ajoutant qu’au moment de l’annonce, je suis plus attiré par d’autres possibles candidatures. Celle de Charles Pasqua, qui plait au RPR que je suis. Celle de François Bayrou aussi, déjà. Son passage à l’éducation nationale ne m’a pas laissé un souvenir impérissable (loin de là…), mais j’ai apprécié ses prises de position en tant que président de l’UDF (notamment les régionales de 1998), et son début de fronde devant la création de la gargantuesque UMP (UEM à l’époque).

Le final, c’est le 21 Avril 2002. Je tiens le bureau de vote de mon village. Je me balade dans le canton. Et je vote, à 17h30, pour Jacques Chirac. Parce que j’ai peur d’un deuxième tour Jospin – Le Pen. Et c’est derrière un mandat décevant pour Jacques Chirac. Son dernier. Avant l’arrivée de Nicolas Sarkozy…

Pourquoi cette promenade à Avignon ? Pourquoi écrire ce billet, le jour où normalement Nicolas Sarkozy doit se déclarer ? Parce que j’ai envie, et parce que j’y pensais à ce moment, tout à l’heure, alors que j’allais courir le long d’une Cèze en dégel, entre midi et deux. Parce qu’un moment de balade dans les méandres de mes souvenirs politiques. Parce que c’était finalement une belle époque.
A cette époque là, je me souviens que beaucoup d’électeurs de droite espéraient presque une victoire de Jospin. Pour « nettoyer la droite » et passer à quelque chose de neuf. Toute ressemblance avec une période actuelle… Au final ? Chirac a été réélu. Beaucoup ont finalement voté pour lui dès le premier tour. Sans joie, sans envie.

Je ne suis pas convaincu que l’histoire recommencera. Je suis persuadé qu’il n’y a aucune leçon à tirer, et que l’histoire de 2012 ne sera pas celle des élections d’avant. Nicolas Sarkozy n’est pas Jacques Chirac. La droite d'aujourd'hui n'est pas la même que celle d'hier. Et à coté François Hollande n’est pas Lionel Jospin, même si lui aussi (ainsi que son entourage et ses soutiens) sont persuadés d’une victoire, et que cela se voit un peu trop.
Je ne sais pas comment sera la déclaration de candidature de Sarkozy ce soir. Elle sera moquée par une certaine partie de la pravdasphère. L’UMP officielle se pâmera de bonheur. Et bon, on verra ce que l’on devra voir.

Par contre, il est évident qu’il se déclare tôt. De la même manière qu’un Chirac en 2002, il voit que la situation est moche pour lui. Aujourd’hui, je ne vois pas comment il pourra gagner, Nicolas Sarkozy. Encore plus s’il choisi de faire une campagne très à droite.
On verra la suite. Mais même si ça sera long 10 semaines, ça sera passionnant…

mardi 14 février 2012

Ras le Front du sectarisme...

Petite histoire du sectarisme ordinaire du Front de Gauche et de la gauche de la gauche
Hier soir, manifestation devant l’ambassade grecque à Paris. Bon… Pas d’avis très positif là-dessus, mais bon… Bien sur présent la gauche de la gauche, Front de Gauche & Co, qui appelle toutes les cinq minutes à la résistance. Pendant qu’ils gueulent, ils ne collent pas n’importe où dans nos campagnes, c’est très bien.

Et donc hier soir devant l’ambassade grecque, Nicolas Dupont-Aignan est aussi allé manifester. C’est son droit… Les grands tolérants de la gauche de la gauche n’ont pas été content… Nicolas Dupont Aignan « a été chahuté par plusieurs manifestants, selon lui "furieux de sa présence", qui l'ont sommé de partir. » (sur le site de RTL, un des rares à en parler). En ayant été traité de « sale raciste » et de fasciste... C'est toujours savoureux de se faire traiter de fasciste par ces gens là... (le munster qui parle de l'odeur du brie...)

Jean-Luc Mélenchon parlait de Marine le Pen, en critiquant « son "odieuse présence" fait selon lui l'objet d'un traitement trop positif par la classe politique. ».. Il a raison, Jean-Luc Mélenchon, de soupirer devant la complaisance de certains devant « l’odieuse présence » de certains…
Constater que cette sectaire et intolérante gauche de la gauche aura trois candidats à l’élection présidentielle est, en effet, quelque chose de terrifiant. Et imaginer que le chef de file de ces manifestants fanatiques et extrémistes pourrait être ministre l’est tout autant.

Enfin bon, Nicolas Dupont-Aignan avait peut être mieux à faire hier soir que d’aller se donner en spectacle devant une ambassade étrangère. En plus d’instrumentaliser la douleur d’un pays, et de son peuple qui souffre… Ce qui se passe en Grèce est bien plus grave que les agissements de certains extrémistes de gauche...

Saint Valentin

lundi 13 février 2012

Une "bombe atomique" qui fait prout

Grande Christine Boutin...


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Le Gard en vert

Jolie carte de Météo France... Alors que la vague de froid doit nous dire au revoir cette semaine, nous voyons une petite tache de vert au niveau du Gard. Normalement, il fera chaud (autour de 8 10°C) cette après-midi. Ca fait plaisir...
J'ai une pensée pour mes gogues et ma machine à laver, gelées pendant toute la semaine. J'ai une pensée pour ces blancs paysages et ses étangs et contre-canaux du Rhône glacés. Source de jolies photos... Et je pense à ces nombreuses coupures de courants qui ont émaillé la semaine...

Je constate enfin qu'avec mes amis bretons et varois, nous sommes les seuls en vert aujourd'hui. Pensée pour les autres.

Allez, demain il refait des températures positives chez moi. Je retournerai courir. Content...
Je me contente de savourer la chaleur qui va revenir dans peu de temps chez nous... On parlera politique et entrée en campagne de Sarkozy un peu plus tard...

samedi 11 février 2012

Neige ligérienne

Neige autour de Saine Étienne...


Jolie... Mais froid...


Buvons pour se réchauffer...

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vendredi 10 février 2012

Un référendum qui arrive bien trop tard...

Le sujet du jour est la nouvelle fièvre référendaire de Nicolas Sarkozy. Chacun (dans la blogosphère qui ne soutient pas le président) y va de son idée de référendum farfelu. Pourquoi pas…

J’aurais aussi une idée de référendum. Mais je ne la considère pas moqueuse ou fantaisiste. Il arriverait trop tard, ce référendum. Mais en pleine crise européenne, il pourrait vite revenir à l’ordre du jour.
Pour moi, c’est en 2008 que Nicolas Sarkozy aurait du sortir le référendum. Pour faire valider par le peuple français le traité européen de Lisbonne. Parce ce même peuple avait dit non, trois ans plus tôt, au projet de constitution européenne.

Je pense que la validation par le peuple de ce genre de texte me parait plus autre légitime qu’une question sur le chômage, l’immigration, ou toute autre question qui peut être traitée par un parlement dont c’est la fonction.
Je le dis d’autant plus facilement que j’aurais eu tendance, si on me demandait mon avis, à dire oui au traité de Lisbonne. Alors que j’avais dit non en 2005…

En allant plus loin, j’ai l’impression que cette ratification en loucedé du traité de Lisbonne, en faisant un doigt au peuple français qui avait dit non 3 ans plus tôt, aura été une des fautes majeures de Nicolas Sarkozy. Qui lui aura fait perdre la base qui l’avait porté au pouvoir en 2007.
L’adoption du traité de Lisbonne, l’épisode de Jean Sarkozy à l’EPAD, et la réforme des collectivités territoriales, voilà pour moi les trois grosses erreurs du mandat. Plus que la période bling-bling Fouquets (qui était finalement anecdotique), plus que le bouclier fiscal (qui était un choix politique approuvé par ses électeurs en 2007).
Quelques part, que Nicolas Sarkozy ressorte l’idée du référendum aujourd’hui ne me parait pas anodin…

Aujourd’hui (enfin hier), François Hollande disait, avec grandiloquence, que le prochain référendum, c’était l’élection présidentielle. Il a raison. Mais les résultats sembleraient montrer qu’il s’agit plus d’un rejet que d’une adhésion à quelqu’un ou à un projet : ça devrait amener à un peu plus d’humilité…
Mais bon, que ça soit l’un qui gagne ou l’autre qui perde, seule la victoire est jolie parait il…

jeudi 9 février 2012

Froid en Provence, toujours...

Il fait froid de partout en France... L'Alsace, la Savoie, la Loire...
Et chez moi, c'est le Rhône qui se fait fouetter d'un glacial vent du Nord, qui rendrait le Mistral inoffensif...Et les contres canaux du Rhône de se trouver prisonnier d'une délicieuse couche de glace marbrée...
Les photos ont été difficiles à prendre... Peur de lâcher l'iPhone, de mes doigts gelés... Mais quelque part, et même si mon stock de bois est en train de prendre un tir, je me dis qu'on s'en souviendra un moment, de cet hiver 2012...
Entre le jogging en TShirt de Janvier, et les icebergs ventés du mois d'après, il n'y aura guère eu de place pour la nuance...

Enfin, il n'y a pas qu'au niveau du thermomètre où elle est absente, la nuance...

Quota tout faux ?

Je me souviens de l’affaire des « quotas » à la Fédération Française de Football... Sans revenir sur le fond de l’affaire, il y avait ma position. Non, Laurent Blanc n’est évidemment pas raciste, et il n’était coupable de rien. Mais de même non, j’étais opposé au quota dans le sport. J’avais écrit :
Les sélectionneurs et le DTN auraient émis l’hypothèse de « quotas » ? En ce qui me concerne, je suis profondément opposé aux revendications de certains de vouloir voir, dans les médias ou à la télé, un « quota de personne issus des minorités visibles » (sic). Je suis donc profondément opposé à tous quotas imposant un nombre de noir, de blanc ou de bleus dans les équipes de sports nationales. Par contre oui, je demande un quota de joueurs performants, intelligents, et moralement respectable. Cela exclurait des Evra ou Ribery, mais ceci est un autre débat.
C’est donc dans le même esprit que je trouve que cette loi votée par l’Assemblée Nationale, qui instaure des quotas de femmes de 40% dans la haute fonction publique me dérange. Et que je trouve que c’est une très mauvaise idée.
Parce que plus haut, cette histoire de quota dans les sélections nationales qui a fait scandale chez les beaux esprits. Aujourd’hui des quotas de femmes, pourquoi pas ? Demain, des quotas de « minorités visibles » (on en entend souvent parler, même si la définition n'est pas forcément évidente...) dans les assemblées électives, dans les médias… Et après demain ? Des quotas de blonds dans les équipes de sport ? Des quotas de plus de 85 kilos dans les colonies de vacances ? Des quotas de moches dans les maisons closes ? Des quotas de con à l’apéro ?

Et puis je vais plus loin. Je suis homme, blanc, trentenaire, en pas trop mauvaise santé, un physique pas génial mais banal, un indice de masse corporelle pas trop déconnant (quoique dernièrement j’ai forci), des revenus moyens. Je rentre dans quel type de quota ? Aucun ? J’espère qu’il n’y a pas de discrimination par indifférence à mon égard quand même (sinon j’irai me plaindre)…

Évidemment que je ne suis pas opposé à la lutte contre les discriminations négatives qu’il peut y avoir ici ou là. Mais je me méfie toujours : la fin, aussi légitime soit elle, ne justifie pas tous les moyens.
Et les quotas ne me semblent pas être une solution acceptable à long terme…

mercredi 8 février 2012

Le fond du caniveaux...

Je n’avais pas d'électricité hier. C’est bien. Je n’ai pas eu que tard la connaissance de la polémique des déclarations de ce député socialiste de Martinique à l’Assemblée Nationale…

Ce weekend, au moment des réactions outrées et indignées à gauche suite aux déclarations de Claude Guéant, j’avais bien aimé la réaction de Nicolas. Il disait, en résumé : « La gauche doit arrêter de répondre. Elle doit lancer les discussions autour des thèmes sociaux et économiques. La seule réponse possible est la moquerie, de type "bah ! Les clowns ! Ils n'ont plus que ça". Il faut arrêter de leur faire de la pub.».
J’aimerais faire ce même conseil à la droite, qui surjoue aujourd’hui l’indignation, d’une manière au moins aussi risible et ridicule que ne l’a faite une certaine gauche ce weekend.

Pour autant, éviter de se vautrer dans la condamnation outrée ne signifie pas accepter ces déclarations insultantes de ce député de gauche. Qui rejoint une certaine gauche qui pense que tout ce qui est un peu plus à droite qu’elle est forcément fasciste, illégitime, anti-républicaine, etc, etc…
Hier, un cran supplémentaire de la bêtise à sauter : procès en nazisme. Bravo, merci, et fermez la porte derrière vous, parce que là on fera difficilement pire…

Il n’y a pas à demander des excuses à François Hollande, qui n’est pas responsable des bassesses dites par certains de ses collègues ou soutiens. Ce député de gauche a dit des propos abjects et indignes, ce n’est malheureusement pas le premier et ne sera pas le dernier de ces gens à gauche pour qui toute personne à droite est forcément coupable, méprisable et condamnable. Je me suis senti insulté hier soir, mais ce n'est pas la première fois que cette gauche m'insulte et insulte tous ceux qui ne pensent pas comme elle. C'est une manière de faire de la politique après tout...

Et force est de constater que, malheureusement, ces propos insultants font écho à d’autre propos tout aussi insultants et misérables qui viennent de la droite. J’avais dit, à l’époque, mon sentiment sur ces paroles

La campagne électorale risque d’être à ce niveau. Certaines réactions que j’ai lu ce matin sur le net, qui applaudissent les insultes proférées par ce député, me confirment cet état de fait. Elle me confirme également que si je n’ai pas trop envie que cette droite là reste au pouvoir, j’ai encore moins le désir que cette gauche là y arrive…
Et qui que ce soit qui arrive, je me demande s'il sera possible de gouverner sans diviser encore plus les français, et en faisant vivre ensemble des gens qui décidément ne pensent pas la même chose, et en plus montrent tous les jours qu'ils ne s'aiment pas... (mais là, je suis exigeant et bisounours...)

mardi 7 février 2012

Commentaire sur les commentaires... (de blog)

Mon ami Homer avait écrit, fin de Janvier, un billet pertinent dont le titre voulait tout dire : « Trop de billets tue le commentaire ». Il parlait de production de billets, élevée en ce moment. Et parallèlement, de la baisse du nombre de commentaires chez lui.

Chez moi, c’est un peu le phénomène inverse qui se passe. Des billets, j’en ponds de moins en moins. Il y a un an, je tournais à une soixantaine de billets par mois. Aujourd’hui, je ne dépasse pas les 30. La qualité étant proportionnelle à la motivation du taulier derrière, et à son envie d’écrire, elle s’en ressent… Forcément, cela joue sur pleins de paramètres. Classement Wikio Ebuzzing, nombre de visites. Et donc fatalement sur le nombre de commentaires…

La copie d’écran de ma page de billets Blogger est éloquente. Outre ma fierté de maitriser élégamment l’ellipse bleue (quand d’autres excellent sur la flèche rouge), on peut voir le faible nombre de commentaires. Pour le blogueur que je suis, évidemment, je n’en suis pas ravi. Pour un billet qui m’aura offert fin 2011 une cinquantaine de commentaires, le reste est très morne plaine. Mais là encore, la qualité et l’intérêt du billet y est sans doute pour beaucoup…

Le très bon Eric Mainville a écrit un billet (qui a eu lui beaucoup de commentaires : normal vu sa pertinence) : « 10 raison de ne pas commenter un blog ». Un billet indispensable.

  1. Ce que vous écrivez est si complet que je ne sais pas quoi dire d’autre que bravo ! Il y en a des billets comme ça…
  2. Vous m’avez appris quelque chose et j’ai besoin d’y réfléchir avant de poser une question. le problème du blog, c'est que si on part réfléchir, on risque de ne pas revenir...
  3. J’étais sur le point de noter un commentaire, mais j’ai remarqué que seuls vos amis vous répondent et échangent des blagues entre eux. Ca y fait sans doute beaucoup, et ce n’est pas anormal d’apprécier discuter et déconner avec copines et copains.
  4. Les personnes qui commentent chez vous aiment argumenter et pas moi. Pas faux. Et même des fois le taulier a moyen envie d’argumenter à l’infini sur le pourquoi et le comment de la vie…
  5. Vous répondez rarement aux commentaires. Je pense y répondre toujours. Parfois un peu tard, mais on ne passe pas sa vie sur PC.
  6. Votre blog est très branché technologie et pas moi. Je ne suis pas concerné par cet item.
  7. J’aime bien votre blog et votre billet, mais je suis trop fatigué, pressé ou autre. En ce qui me concerne, en ce moment, quand je suis fatigué je ne vais pas sur les blogs...
  8. Vous terminez votre billet par une question générale comme “que pensez-vous de la théorie du big bang » ? J’attends toujours la réponse à cette question d’ailleurs…
  9. Vous placez une barrière en mettant un code pour ceux qui commentent. Si cela pouvait éviter les spams d’ « horoscopes mon cul », « voyance mes ronfles », qui aime beaucoup ce que j’écris… Sinon j’ai arrêté ce système de code. Je commente aussi des fois avec l’iPhone, et c’est vrai que c’est chiant.
  10. Votre billet n’était pas original, il n’y avait aucune marque que c’était vous personnellement qui écriviez, et je me dis « j’ai déjà lu ça dix fois ». En plus en ce moment en période électorale, où on va lire 100 fois la propagande d’un tel ou d’un tel, c’est sur que ça peut être lassant de commenter…
Eric termine par bonus track que je prends volontiers pour moi : « Votre article est négatif. La plupart des gens fuient ce qui est négatif. Donc ils ne laissent pas de commentaire ». Eric a raison… Et c’est évident qu’en ce moment, je ne pue pas l’optimisme. Je peux donc comprendre que…

Pas vraiment d’explications sur cette période. Mais c’est vrai que nous sommes peut être, en cette période de démarrage de la campagne présidentielle, à un moment où nous avons peut être moins envie d’échanger sur les blogs. Avant on discutait, on déconnait. Aujourd’hui, peut être l’ambiance est elle plus à la campagne pure et dure. Dans les blogs politiques ou politisés. Peut être que l’échange et la bonne ambiance passe après l’objectif de contribuer à gagner une élection, à faire gagner un camp et à battre l’autre.

Peut être que cela y joue… Et sans doute y a-t-il bien d’autres causes qui ne sont pas évoquées dans ce billet... (si quelques collègues veulent me donner leurs avis en commentaires...)

lundi 6 février 2012

Ca gèle en Provence...

Le Gard et le Vaucluse se le gèlent... Bon, ceux ne sont pas les seuls. Ni en Provence, ni ailleurs...

Petite image prise en rentrant du boulot. Un bras du Rhône, qui avait bien froid...

Et Falconette, ce matin, à l'Isle sur Sorgue...
Juste pour se rappeler que l'hiver, il fait froid... Y compris en Provence...

Mensonge ou folie ? Non, de la politique...

L’Hérétique, tête de file des blogueurs soutenant François Bayrou, me pose une question. « François Hollande ment il ou est il fou ? ».

Cette question prend racine sur une discussion avec l’ami Hervé Torchet, qui part sur un postulat de base. Le programme de François Hollande est inapplicable, et fera que la France continuera à creuser le trou qui la rapprochera du néant. Sur ce point là, je ne suis pas forcément en désaccord avec mes copains.
Et s’en suit deux hypothèses. Soit Hollande croit en le programme socialiste qu’il défend. Et auquel cas ce serait, si on est en profond désaccord avec lui, une « folie ». C’est la position d’Hervé. L’Hérétique suppose quant à lui que François Hollande n’a qu’une seule ambition : celle d’être élu. Et tant pis s’il est conscient que ce qu’il propose ne marchera pas. Donc ce serait un « mensonge ».
« Folie » ou « Mensonge », telle est la question.

A discussion avec centriste, réponse de centriste. Pour moi, ce n’est ni l’un, ni l’autre. Ni « folie », ni « mensonge ». Juste de la politique. Et rien de choquant à cela : avant lui, Sarkozy, Chirac, Mitterrand et pleins d’autres ont fait pareil pour être élu : promettre des lunes qu’ils savent inatteignables, mais ce n’est pas grave. L’important est de gagner, d’être élu. Après, on verra.

François Hollande fera des reniements quand il sera au pouvoir ? Il n’appliquera pas son programme parce que la réalité le rattrapera ? Pas grave. Il fera comme Chirac ou d’autres avant lui. Il fera le constat que « décidément, j’ai hérité d’une situation intenable, patati patata. La faute de ceux avant. Alors je ne vais pas faire ce que j’ai promis. Mais c’est la faute de ceux avant. Patati, patata ».
Mensonge alors ? Non, juste de la politique. Celle que l’on a depuis des temps et des temps en France. Mais aussi dans nos mairies, nos départements, nos régions… Le temps de la campagne n’est pas celui de l’exercice du pouvoir. Et c’est comme ça.

Avec les 5 ans de pouvoir de Sarkozy, François Hollande a toutes les excuses du monde pour ensuite ne pas mettre en place ce qu’il défend aujourd’hui. Il serait idiot de ne pas en profiter…
Ajoutons qu’entre le projet socialiste défendue en grande pompe par Solférino l’an passé, et celui proposé par le candidat Hollande, il y a déjà des différences notables. Je n’irai pas, pour ma part, hurler au scandale si le probable (aujourd’hui) président Hollande n’applique pas ce qu’a dit le candidat.

Ca ne serait pas le premier. Et pas le dernier non plus. Et ce n’est ni mensonge, ni folie. Juste de la politique…


Edit 12h30. Le commentaire de Nicolas m'a fait remarquer que j'ai oublié le plus important dans ce billet. Traiter quelqu'un de "menteur" ou de "fou", je trouve ça assez nul quand cela tombe dans les billets récurrents de certains blogueurs de gauche qui ne savent pas parler de quelqu'un de droite sans tomber dans l'insulte.
Donc il va de soit que, comme je l'avais exprimé précédemment, je n'approuve pas ces termes quand ils parlent aussi d'un homme de gauche...

dimanche 5 février 2012

samedi 4 février 2012

Gérard Depardieu est Dominique Strauss-Kahn...

Je n'avais jamais entendu parler d'Abel Ferrara. Mais aussi il faut que le cinéma et moi, ça fait deux...
Abel Ferrara est apparemment un cinéaste. Il préparerait un film sur "l'Affaire DSK". Pourquoi pas...

Et donc nous apprenons la rumeur culturelle du jour. Gérard Depardieu serait pressenti pour jouer le rôle de Dominique Strauss-Kahn. Et Isabelle Adjani celui d'Anne Sinclair.

J'ai encore un petit peu de mal à imaginer Gérard Depardieu en DSK. J'ai encore plus de mal à imaginer un film sur cette affaire fraiche et récente...

Quelque chose me dit quand même qu'il est fort que ni je n'achète le blu-ray du film (ni je ne le mégauploade...). Mais j'attendrai avec curiosité la distribution du film...
(le cinéma est formidable...)