vendredi 8 août 2014

Paysages d'avant vacances

Ce soir en vacances. Bonheur. Impression d'être épuisé...

Hier soir petite marche sportive (ou jogging lent) à côté de Saint Victor la Coste. Jolis paysages.


Par contre ça grimpe mais ça donne des jolis panoramas.
Le reste ? C'est ce soir les vacances. Une fête votive dans mon village à laquelle je ne participerai pas. Vu que les délinquants qui nous emmerdent sans être inquiétés par une justice qui ne protège pas la société s'y promèneront, ça sera moi.

Et ce soir commence la Ligue 1. Un peu hâte...

Tout à l'heure vacances. C'est bien...

2 commentaires:

  1. Beaux paysages.
    Quant aux mises en examens : je ne crois pas que le Procureur de chez toi soit un incapable ! En droit français, fort heureusement, on ne peut incriminer "à la louche", il faut des preuves absolues comme des aveux, ou des indices particulièrement concordants contre chaque personne mise en cause !
    Sois plus confiant dans les services de police et de justice et plus souple envers les jeunes : tu as des fils : ils pourraient te surprendre comme cela arrive à de nombreux parents attentifs et structurés qui ont éduqué leurs enfants d'une manière bien léchée et paf ! leur chérubin les renvoie au sentiment tragique de la vie que Miguel de Unamuno évoquait avec tant de justesse ! ... Batailles rangées, conduites addictives, circulation en scooter ou en voiture à tombeau ouvert ... comment reconnaître son enfant ? Et pourtant, la bonne réponse est celle que le père fait à son voyou dans la chanson de Georges Brassens : il vient chercher son gosse à la gendarmerie et lui dit "bonjour petit" ...
    Réfléchis-y : la vie politique locale fait parfois perdre de vue ces choses essentielles.
    Amitiés

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    Réponses
    1. Premier point : Laisse mes fils en dehors de nos discussions. Merci.

      Sur le reste, j'y ai réfléchi depuis longtemps, et le fait que j'eu été dans la politique locale ne me fait pas perdre de vue mon bon sens de citoyen. Qui aspire à une sécurité légitime.
      Les choses essentielles, c'est pas moi qui les ai perdu de vue. Quand on accepte qu'à Barbes, à Sarcelles, ou dans mon village, des voyous cassent tout et font régner une terreur, j'estime que ce n'est pas moi qui perd de vue des "choses essentielles".
      Quand au final des secours refusent d'aller dans des quartiers où ils se font défoncer, et que ça crée des drames comme ce pauvre gosse en Seine Saint Denis, je me dis que ce n'est pas moi qui perd les choses essentielles de vue.

      Je ne dis rien sur le procureur de chez moi qui est sans doute quelqu'un de très bien. Mais les faits sont là : j'ai chez moi des délinquants qui emmerdent le monde depuis bien longtemps, qui ont contribué à ce que mon village soit à la une de Google News. Et je vois au final une seule mise en examen chez moi.

      Tu m'invites à réfléchir. Mais réfléchis toi aussi au sentiment de personnes honnêtes qui voient que les voyous continuent à faire des doigts aux gendarmes quand ils y passent devant, parce qu'ils savent que la justice ne les punie. Réfléchis aux désastres d'une justice qui ne protège pas la société, et laisse ces chérubins sympathiques pourrir la vie de gens qui ne demandent qu'à vivre normalement en sécurité.

      C'est bien beau de toujours leur trouver des excuses aux voyous. Et de préférer prendre leur défense, contre la société qui est forcément à ranger dans le camp des coupables.

      Les choses essentielles, ce n'est pas moi qui les ai perdu de vue... Je demande juste une justice qui permette à la société de vivre normalement. Le "vivre ensemble" qui est impossible aujourd'hui.

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