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dimanche 4 février 2024

Carte postale de Crest et Dalida #Drome #Dalida

Un montage que j'ai pris plaisir à faire. Une ville que je trouve magnifique (Crest, dans la Drôme, moins d'une heure de Valence, en bord de rivière). Une joli saison, l'automne. Un souvenir qui, avec du recul, est bon. Le soir chez Anne-Sophie Pic à Valence.

Et Dalida, chanteuse que j'aurais découvert après sa mort. Merci Moscato et le rugby d'avoir rendu cette personne iconique. Je ne sais pas si je vais mourir sur scène, mais le "à ma manière" (titre d'une belle chanson d'Aznavour) est fantastique. 


Sur le reste, force est de constater que je n'écris pas. J'ai eu un mois de Janvier très pas difficile, mais intense. Il s'est terminé. Les instants de calme, je les passais avec Didier Roustan (son livre Puzzle est un doudou) et Franz-Olivier Giesbert, sa trilogie sur la Veme République.

Je n'ai que peu suivi les agriculteurs. Mais je n'ai pas été bloqué. Et oui, je les soutiens. Même si chez Lidl hier on cherchait les promotions... L'homme est une contradiction sur deux jambes. 

dimanche 17 septembre 2023

Pour en arriver là, à Lirac (et ailleurs)

J'adore Dalida. Je l'ai découvert sur le tard, elle était déjà morte depuis bien longtemps. Le biopic est terrible d'ailleurs... Le nombre d'amants qui se sont donnés la mort, une histoire tragique, qui se termine non pas en mourrant sur scène...

J'adore Lirac, le village, ses vins, les gens qui y vivent. Mon meilleur ami, qui a eu le courage d'arrêter de produire son vin. Dans ce clip, on voit des vignes. Je ne pense pas qu'il me l'avait dit cette décision lorsque j'ai crée ce clip. Mais je trouve que c'est courageux. Il vit bien, il est salarié, il voit grandir ses filles. Et il va mieux. 

 

Je parle souvent de la souffrance au travail. J'ai une prise de sang de contrôle dans trois semaines. Je sais que j'ai failli perdre beaucoup. Pourtant, je ne suis que salarié. La chef de département qui m'a fait beaucoup de mal quitte ma société. Comme me l'a dit mon docteur, elle ira faire souffrir des gens ailleurs.

Pourtant, je pense à mon ami vigneron. Lui souffrait, mais il ne pouvait pas arrêter. La grêle, les sangliers, la sécheresse, le tracteur qui pète au mauvais moment, l'orage cévenol la veille de la récolte... Du vin qui se vend pas. Des nuits à ne pas dormir. 
Comparaison n'est jamais raison. Ma souffrance n'est pas plus ou moins douloureuse que la sienne ou celle d'un autre. Elle est différente. 

J'écris peu en ce moment. Le début d'année est difficile. Je suis soucieux, et je joue la petite chanson de la déprime de rentrée... Elle est pénible. 
Demain la semaine reprend. 

A noter que je suis fatigué de parler politique. Je trouve la classe politique pathétique, et pas à la hauteur. Une polémique en chasse une autre, je n'arrive pas à suivre. 

Abonnez vous à ma chaine Youtube, ça me poussera à continuer (mais j'aime bien). 

lundi 3 décembre 2012

Pour en arriver là...

J'ai redécouvert ce soir cette chanson. Beaucoup de trucs dans ma poitrine... (beaucoup)