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mercredi 9 avril 2014

Désir de récompenser la compétence et le mérite ?

Je suis sur le cul en voyant cette alerte. J'espère qu'il s'agit d'un poisson d'avril...

Je m'en vais retourner soupirer...

dimanche 2 juin 2013

Désir de culture démocratique...

La nomination du parfait petit apparatchik de l'appareil Harlem Désir à la tête du PS m'a toujours laissé songeur.
Aujourd'hui, le premier secrétaire nommé du PS donne des leçons à la droite, avec ironie et une arrogance méprisante qui coutera cher aux socialistes dans les urnes. "L'UMP, comme elle l'avait montré au moment de son congrès, a un problème avec la culture démocratique", considère t'il.

Sur le fond il a raison. Avec ses petits politichiens d'appareil et quelques fadas aux postes clefs, l'UMP a un réel soucis. "Culture démocratique" je ne sais pas, "dignité démocratique" sans aucun doute...

Par contre, sur la forme, que cela soit un apparatchik nommé par on-ne-sait-qui qui donne des leçons à la droite républicaine, j'avoue avoir du mal. Que ce dernier ait été adoubé par l'ancienne première secrétaire Martine Aubry, qui a été "élue" dans les conditions de Reims, qui vienne parader et moquer, c'est fort. Mais ce n'est pas le scrupule ou la honte qui font marcher Harlem Désir, qui en matière de "fraude pour tous", sait de quoi il parle au Parti Socialiste...
Enfin, c'est le jeu politique. Ça amuse les militants. Mais les gens ne sont pas dupes. Cette arrogance se paiera.

Néanmoins, j'aurais préféré ne jamais avoir entendu parler de Bournazel, qui s'est donné un peu de publicité à bon compte. Ce garçon est soutenu par les mêmes personnes qui ont fait perdre à la droite républicaine toutes les dernières élections : il serait tant de faire un peu le ménage...

vendredi 2 novembre 2012

Désir de brutalité vulgaire...

Un tweet d'Harlem Désir, à cause du très con bras d'honneur de Gérard Longuet : "Le geste de G.Longuet illustre malheureusement la brutalité vulgaire d'une certaine droite qui abîme trop souvent le débat républicain.".
Tiens ? Harlem Désir, dans une généralité grossière, insulte une nouvelle fois la droite républicaine. Mais cela sera apparemment son mandat et son rôle : insulter le camp d'en face. Pour l'instant il parvient très bien.

Il s'y connait, Harlem Désir, un "brutalité vulgaire". Son haineux discours à Toulouse l'était, d'une brutale vulgarité. Je ne qualifierai pas les doigts et autres bras d'honneurs de ses camarades Emmanuelli et Mamere dans les enceintes symboliques de la très républicaine assemblée nationale : je serai moi aussi d'une "brutalité vulgaire". 
Ce qui me paraissait inadmissible à l'époque était passé comme une lettre à la poste, mais il est évident qu'il est tellement plus fashion de taper sur "une certaine droite" que sur une gauche porte un énorme tribut à cette "brutalité vulgaire qui abime le débat républicain". 

Mais après que j'ai à nouvelle fois exprimé tout le mal et toute la crainte que m'inspire Harlem Désir, il est évident que je ne suis pas rassuré sur la qualité du débat républicain aujourd'hui. Depuis le duel Sarkozy - Royal, j'ai l'impression qu'il est impossible de dialoguer et de débattre sans tomber dans la stigmatisation, la caricature et l'insulte.

Aujourd'hui, le Front de Gauche a décidé depuis longtemps le même registre que l'extrême droite dans sa manière de faire de la politique. Le Parti Socialiste s'est vu imposé un Harlem Désir qui pense ne pouvoir exister qu'en insultant et en clivant. Et à droite, certains veulent aller loin que le sarkozysme dans le débat politique. Il y a de quoi être inquiet...
N'en déplaise à Harlem Désir, qui joue son rôle de premier militant avec zèle et sectarisme, la brutale vulgarité qui pollue le débat républicain ne provient pas que de cette droite républicaine qu'il caricature avec fidélité. Il prouve par lui même et par ses récentes sorties que la gauche, y compris gouvernementale, l'abime également avec talent, ce malheureux débat républicain bien mal en point...

dimanche 28 octobre 2012

Oui, ce Parti Socialiste d'Harlem Désir est haineux

Je viens de lire la charge d'Harlem Désir contre la droite, lors de cette fête des militants PS. En tant que garçon de droite, en tant que républicain de droite, en tant que républicain tout court, j'ai été choqué. Et blessé.

Ce n'est pas la première fois qu'Harlem Désir insulte la droite. "Oui, la droite est haineuse" qu'il balance à une salle de militants qui n'en attendait pas tant, applaudissant à tout rompre leur chef qui insulte "l’ennemi", le camp d'en face. 
Harlem Désir est en panne de légitimité, il le sait, donc il fait ce que fait tout bon chef de clan qui veut retourner la salle : il crache sur le clan d'en face. Ça marche. Ça pue, mais ça marche.

Je ne sais pas si la droite est "haineuse" comme il le dit. Par contre, il m'est évident que ce Parti Socialiste là représenté par Harlem Désir l'est, haineux. Haineux vis à vis de tout ce qui n'est pas de gauche. 
La droite républicaine n'a strictement aucune leçon de morale ou de politique à recevoir d'un apparatchik comme Harlem Désir qui rêve d'une alliance entre le FN et la droite républicaine.

Elle commence à me gonfler cette gauche qui ne pense qu'à taper, et maintenant à insulter, la droite. Se comporter comme le pire des Frédéric Lefevbre est petit, et m'exaspère. 
J'aurais pu espérer, après le mandat clivant de Nicolas Sarkozy, une sorte d'apaisement. Il n'en est rien. C'est bien dommage.

La république apaisée n'existe pas. Et avec des Harlem Désir (ou des Jean-François Copé), elle n'existera jamais. C'est bien dommage.

lundi 17 septembre 2012

Désir, l'avenir ?


Durant mon périple russe, le Parti Socialiste a désigné son futur patron. Harlem Désir. J’aurais beaucoup à dire sur ce choix, et sur le peu de considération que j’ai pour cet apparatchik politique. Mais mon copain libéral Hashtable a parfaitement écrit ce que je peux ressentir, dans un billet joliment intitulé « une belle brochette de loosers ». Je vais donc le citer…
« Et si l’on ne veut pas s’attarder aux polichinelles superfétatoires de ministères en carton, il suffit de regarder du côté du parti qu’on dit majoritaire dans le pays : la récente prise de pouvoir de Harlem Désir illustre parfaitement cette dégringolade du niveau général à des degrés qu’on n’avait probablement jamais atteint dans l’histoire du pays. Non seulement, sa nomination est, en droite ligne avec le caractère de l’ancienne patronne, parfaitement autoritaire, unilatérale et le fruit de tractations politiciennes dont l’opacité est caractéristique des groupuscules les plus maffieux, mais en plus, le nouvel arrivant ne peut même pas espérer s’approcher, même de loin, des vagues critères de respectabilité qu’une place importante dans un parti politique majeur devrait imposer.

Après avoir discrètement inséré différents repris de justice au gouvernement, les socialistes ont décidé de continuer à se moquer du monde et faire mentir le président Flamby (république irréprochable et patati et patata) en nommant à leur tête un condamné pour emplois fictifs. Je dis bien « à se moquer du monde » puisque cette nomination est un magnifique pied-de-nez à tout le pays : après tout, qui mieux qu’un expert de l’emploi fictif peut diriger une telle troupe de bras cassés dont l’intégralité des carrières s’est fait, précisément, sur le mensonge que la politique était un emploi, et que ces apparatchiks travaillaient pour de bon ? Qui mieux que Désir pour leur donner un Avenir ?
 »
Il est amusant de revenir à la tirade « Moi Président » de François Hollande, qui lui donne quelques obligations, mine de rien…
« Moi Président, je ne serai pas chef de la majorité » qu’il avait, notamment, clamé. C’est pourtant lui qui aurait nommé Harlem Désir à la tête de son ancien parti. Plutôt qu’un Cambadelis jugé « incontrôlable » (dixit le Canard Enchainé).
Bref, rien de bien différent d’un Nicolas Sarkozy nommant Devedjian, Bertrand ou Copé à la tête de son officine… Rien de choquant non plus, mais il ne fallait pas forcément promettre de faire différemment.

Sinon Harlem Désir à la tête du PS me donne vraiment l’envie d’une opposition de droite républicaine et du centre digne et efficace. C’est nécessaire. Aujourd’hui, ce n’est pas encore le cas… et c'est bien dommage...