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jeudi 24 août 2023

X dépression


Le changement de Twitter, je joli oiseau bleu, en X me déprime. Je continue à rester sans voix devant cette vilaine icone noire, ce logo qui efface bien des années d'histoire du web. Je suis conservateur, mais là, passer du bleu mignon au noir suicidiare, je ne vois pas bien la logique des équipes de Musk. 

Je ne me sens pas l'ame du militant type soulevement de l'oiseau bleu. Mais je pense toujours que la grandeur d'une personne est de savoir reconnaitre ses erreurs. 
L'oiseau bleu disait quelque chose. Un tweet était un joli mot, même si parfois il cachait quelque chose qu'on trouve dans les égouts.
Là, les choses sont dites : vous qui entrerez dans X, laisser tout espoir et toute légèreté. C'est triste. 

Le logo est triste, et finalement on se rend vraiment compte que bien souvent, dans ce réseau social, on a des choses pas marrantes. Le militant de base LFI qui pense qu'un peu moins à gauche que lui on est un facho, des bas du front qui t'insultent sans un "bonjour". Il y a des pépites. Mes copains de l'ancienne IKF. La Sotizerie qui est un monde de délire.

Mais quand même. Facebook et Instagram, c'est mignon. Ca donne envie. X, ça donne envie de se pendre. Remettez de la couleur et de la légèreté, bordel. 

dimanche 3 janvier 2021

Blues du dimanche soir et ras le bol devant une France lamentable

On dirait un pays nordique. Il ne s'agit du Forez, un lac à côté de Saint Hilaire Cusson la Valmitte, le village de Falconette, entre Noël et le jour de l'an. Dans mon Grenier du Faucon, après la série de photos sur Roquemaure en ce moment, je posterai ces quelques jours sous une neige qui donnait au Forez une teinte suédoise ou norvégienne.




Ce soir, c'est un dimanche d'hiver. Le vent est glacial. La cheminée crépite. Dans le verre à côté de mon iPad Pro 2020 tout neuf qui marche super bien, un Cardhu. Un... Non, un grand verre de Cardhu, avec un glaçon dedans. Je m'en resservirai. Alcoolisme passif ? Peut être, ma prochaine prise de sang risque d'être violente. 
Blues du dimanche soir ? Oui, totalement. Demain, je retourne en présentiel sur site pour la première fois depuis fin Octobre. Le télétravail qui suivra ne m'amuse pas. Je n'ai pas envie de reprendre. Pas du tout.

Pourtant, demain peut être sympa... Je recrute quelqu'un. Mardi matin, je discute avec une personne importante. Nous essaierons de porter le travail collectif de Bernard Accoyer, mon ami Julien Aubert, Arnaud Montebourg, Jean-Pierre Chevènement ou encore André Chassaigne pour défendre le patrimoine nucléaire français. Le numéro 2 de cette association est Yves Brechet, un scientifique de renom que je trouve admirable. 

Un peu d'idées dans une France moribonde... Ce matin une amie proche, psychologue qui travaille dans des lieux de santé (EPHAD, hopitaux...) me racontait la souffrance, sa souffrance en tant que soignante. Et sa fatigue. C'est une personne magnifique et pleine de vie, elle semblait épuisée. J'avais du mal à lui remonter le moral, mais à quoi bon ?



Cette France faible vis à vis de raveur en Bretagne (quel naufrage le préfet qui demande si ces connards peuvent gentiment rester isolés 7 jours et se sont vus offrir un flyer de bonne pratique plutôt qu'une amende... et nous nous irons bosser demain) et qui se permet de traiter salement son personnel soignant est ignoble. Un président lamentable, qui célèbre un éboueur de Guyane dans ses vœux pathétiques, en oubliant simplement de lui octroyer cette "prime Covid" qui aura divisée encore plus la France. Essentiel face aux non-essentiels. Les forts qui peuvent braver les forces face aux honnêtes qui se feront mettre à l'amende s'ils vont bosser en oubliant 1 minutes le masque. 

D'ailleurs, cette histoire de la faiblesse de la République devant des "teufeurs" rappelle un autre naufrage de ce quinquennat. Un pouvoir qui a abdiqué devant les délinquants de Notre-Dame-des-Landes. Un pouvoir faible... Amis des Hautes-Alpes et du Jura, ne sortez pas ce soir hein, 18 heures est passé : vous vous vous ferez sanctionner. 

2021 promet d'être comme les années d'avant... Alors autant rester encore quelques instants dans le Forez et dans les paysages enneigés. Demain matin le retour au bureau et à la vraie vie sera difficile...



dimanche 1 septembre 2019

(Gros) blues du dimanche soir...

Les fins de vacances... Je suis un aoûtien. 
Les miennes ont commencé prématurément : mon médecin me trouvant inapte à finir la semaine de travail que j'avais commencé... Les vacances, j'en avais besoin, et elles m'ont fait du bien.

Les cartes postales vont continuer durant tout le mois de Septembre. Envie de partager, envie d'écrire en me rappelant des jolis endroits que j'ai vu. Mais finalement c'est tout l'été qui fut objet de 'cartes postales'. 

Un été qui aura commencé par la canicule de Juin, une rencontre sénatoriale à Villeneuve les Avignon avant une soirée au Parc Spirou et un dimanche soir avec Zazie et Obispo aux arènes de Nîmes. Qui se termine par un Marseille Saint-Etienne et, pour l'instant, un apéritif donnant sur un jardin gris comme mon moral. J'ai pris un Nikka. Ce soir, une envie de whisky.



Je pourrais mettre aussi des cartes postales de bières (nombreuses) que j'ai bu et découverte. Un passage sur Saveur bière et la fête des pères chez Une petite mousse (pas de jaloux) m'auront rempli le frigo. 


Mais pour l'instant je confesse, j'ai le moral à zéro. Je sais, il faut travailler pour vivre. Je travaille dans un endroit dont j'imagine que l'enfer doit ressembler un peu à ça... J'exagère peut être, mais j'y aurais laissé ma santé depuis un an. Je ne suis pas le seul mais ce n'est pas une satisfaction.
J'ai en billet de favori le texte d'un responsable CGC de France Télécom qui parle de ce qui fut un enfer véritable. J'y pense souvent à ce billet, aux termes employés.

Quelqu'un de proche m'avait dit "souffrir au travail tu parles...". Oui, "tu parles", le monde du travail de 2020, celui des winners d'En Marche, n'est pas celui d'avant. En tous cas, je le trouve aujourd'hui d'une violence qui me fait peur. 
Peut être que c'est parce que c'est un dimanche soir de fin de vacances...

En tous cas c'était bien. Mais là, la souffrance du dimanche soir, je la vis, je la sens, je la ressens... 

Demain bébé 2 rentre au CP. Bébé 1 (anciennement bébé Faucon mais ils le sont tous les deux) au CE2. Ils sont ravis. Moi j’ai envie de finir encore deux bouteilles de Nikka...

Sinon je vois que BFMTV invite Zahia. Je me demande si en fait je n’ai pas une vie de merde d’avoir essayé d’être honnête, travailleur, fidèle... 

lundi 18 janvier 2016

Déprime générale

Aujourd'hui est le jour le plus déprimant de l'année... L'article de Métronews nous le rappelle. Le temps gris à ma fenêtre, et mon moral du jour, me le confirment.
Encore un lundi. La fin du week-end. Le début de la semaine. Et ça déjà, sur le papier, c’est dur. Mais surtout, nous sommes le lundi 18 janvier. Double peine. Car tenez-vous bien : on l'appelle le "Blue Monday", estampillé jour le plus déprimant de l’année. Tous les ans, il tombe au même moment : le troisième lundi de janvier. Alors d’après les données, impossible d’y couper : vous allez frôler la dépression. Préparez-vous, sortez le chocolat, les parapluies, les armes anti-déprime, il va falloir lutter. 
 La petite histoire voudrait que la découverte de ce "Blue Monday" ait été faite par Cliff Arnal, un psychologue de l’université de Cardiff, en 2005. D’après les savants calculs de ce professeur, c’est réellement le troisième lundi de janvier que se conjuguent plusieurs facteurs particulièrement déprimants : fin du week-end et début de semaine, températures glaciales, manque de soleil, dettes de Noël à rattraper, sentiment que la paie est encore loin, impossibilité de poser des congés, fêtes de fin d’année qui commencent à être loin, bonnes résolutions déjà balayées. Le professeur Cliff Arnal a réussi à résumer le tout en une irréfutable équation, qui avait été révélée dans un communiqué de presse envoyé aux rédactions :


Allez, on vous décrypte : dans cette équation, le W correspond à "Weather" (météo), (D-d) à "debt" différence des dettes contractées à la période des fêtes avec la capacité effective de remboursement avant la prochaine paie), T est pour "Time", ou temps écoulé depuis Noël, Q est le temps écoulé depuis nos résolutions du Nouvel An, M est le Manque de motivation, et Na retranscrit notre "besoin d'agir". Sortez vos calculettes, le résultat est formel : le jour le plus déprimant de l’année, c’est donc bien le troisième lundi de janvier. 

En plus, dehors, le temps gris et froid est à la neige. Et je commence à être malade...

Non, c'est une belle journée...


lundi 19 janvier 2015

Journée de déprime

Je confirme totalement l'article du Figaro aujourd'hui...


Même si ça fait des queue-leu-leus à Solférino ou à l'Elysée, j'ai l'impression que la journée était déprimante. Que la période est déprimante...
Je ne sais pas si demain ça ira mieux... Mais bon, on verra bien...