Affichage des articles dont le libellé est famille. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est famille. Afficher tous les articles

vendredi 2 septembre 2022

Conseils de rentrée (et bilan de ma rentrée)

Je suis rentré hier au bureau. Dans ma pile de mail, moins épaisse que l’année dernière, il y avait un mail de mes amis de mon syndicat qui donnait des conseils de rentrée donnés par l’APEC. Je les ai lu et je tente de les appliquer. Je vous les fais suivre.

 

Pour une reprise en douceur, il nous est conseillé, en premier lieu, d'alléger notre emploi du temps. Les premiers jours, interdisez-vous les horaires à rallonge : rien de tel pour perdre rapidement le bénéfice de vos jours de repos ! L'idéal est de commencer par une semaine de 4 jours (j’en aurais fait une de deux jours) et de respecter l’horaire de travail collectif.

Ne planifiez rien le jour de votre rentrée - si ce n’est de désactiver le message d’absence de votre boite mail. Consacrez cette journée à échanger avec vos collègues, à trier vos mails pour ne lire que les plus importants, à vous mettre à jour sur vos dossiers. Accordez-vous une vraie pause déjeuner pour prendre des nouvelles de vos collaborateurs et collègues. Ces échanges vous permettront de glaner toutes les informations que vous avez manquées pendant votre absence. Changement d’équipe, annonce d’un départ ou d’une arrivée, nouveaux projets : même si votre journée ne vous semble pas très productive, vous gagnerez en efficacité grâce à toutes les infos récoltées de part et d’autre. Enfin, évitez de surcharger votre agenda de réunions les premiers jours. Mieux encore : n’en programmez aucune la première semaine.

 

En second lieu, priorisez votre travail des premiers jours : en votre absence, le service ne s'est pas arrêté de tourner. Inutile donc d'essayer de rattraper tout votre arriéré d'emails en un seul coup, et dès le premier jour. Votre défi post vacances va être de hiérarchiser vos priorités professionnelles. Pour ce faire, interrogez-vous sur le degré d'urgence de chaque tâche à accomplir, et bien entendu, vous ne devez traiter que ce qui est vraiment urgent. Si un dossier peut encore attendre quelques jours, planifiez-le la semaine suivante.

 

Enfin, pensez déjà à vos prochaines vacances. Parti en urgence au soir d’une dernière journée de travail surchargée, peut être avez-vous abandonné de nombreux dossiers éparpillés sur votre bureau ? La rentrée, c’est donc le bon moment pour faire le ménage. Un bureau fouillis peut être source d'angoisse. Alors, triez, jetez, rangez, archivez pour que votre espace de travail soit de nouveau agréable. Vous ne mesurez pas à quel point l’encombrement de votre bureau vous encombrait l’esprit jusqu’alors. Vous n’imaginez pas à quel point libérer de la place sera plaisant et source d’efficacité. Et la prochaine fois, faites ce même classement à la veille de votre départ en vacances, le retour n’en sera que plus agréable.

 

J’ai suivi ces conseils. L’an passé, j’ai voulu trop en faire : j’ai explosé fin de l’année. Et ma carrière s’en ressent. Ne pas en faire ni plus ni trop. Dans mes objectifs de rentrée, mes « bonnes résolutions », il y a cette première. Ne pas me rendre malade à cause du travail. J’aurais d’autres soucis, plus important (j’en parlerai plus loin), à gérer. Ne pas me rendre malade et ne pas attendre ni trop ni plus, donc ne pas en faire ni trop ni plus.

La deuxième est de prendre du temps pour moi. Sport en salle minimum deux fois par semaine, et lectures. Lire c’est vraiment du temps pour soi.

 

La troisième est primordiale : accorder du temps à ma famille. Parce que bébé Faucon est entré hier au collège, et hier soir à la rencontre avec les profs j’ai pris conscience qu’être parent sera différent maintenant. Parce que j’ai délaissé les faucons et Falconette. Cela veut dire moins de temps à marcher seul en écoutant l’After et le Moscato Show. Et plus de temps à la maison.

 

Le reste, comme j’ai dit plus haut j’ai pris conscience hier et cette nuit que la suite ne va pas être simple. Hier soir, j’ai été pris d’une panique et d’un coup de blues énorme. Je ne pourrais pas tenir le tempo en me mettant des pressions supplémentaires. Et le verre de whisky ne peut pas être une option.

Enfin, continuer à écrire, sur ce blog et ailleurs. Lire et écrire, le professeur principal de bébé Faucon (qui en est moins un) c’est lui donner de l’or. Il faut en prendre. Il a dit « lire, écrire et faire du sport ». Donc acte.

Et retourner travailler…

jeudi 25 mars 2021

J'ai perdu mon cousin aujourd'hui

Y a 11 ans, à la salle des fêtes de Roquemaure, je buvais un whisky avec le maire pour remercier l'association de la Saint Valentin. C'était la dernière que je voyais mon ami, la nuit même il mourrait. Le 26 Mars 2010 vers 7h30 ma vie basculait.

A peut être la même heure, mais un 25 Mars, mon parrain m'apprenait que son frère était mort. Mon cousin.

Ce soir, je regarde Olivier Veran un verre de whisky à la main. 11 ans plus tard, le whisky n'a décidément plus le même gout. 

En bas de ma rue, j'avais mes deux oncles (avec taties) qui habitaient une maison en face de l'autre. Deux oncles et une tatie sont morts. Une maison a été vendu. Aujourd'hui, j'ai perdu un cousin. Mon parrain a perdu son grand frère, il est triste. 
Je me sens petit, tout petit. Je ne l'ai pas encore dit à mes enfants. 

Roquemaure est triste ce soir. Mon cousin rejoint son père, mort y a plus d'un an avant la Covid. Il rejoint mon papy, mes tontons. Ils parleront football en buvant du vin. 

Roquemaure a perdu un de ses enfants. Et moi mon cousin. Demain, le 26 mars sera plus dur encore...
Ce soir, le whisky a décidément un gout amer...



lundi 20 avril 2020

Morceau de vie et de péro

Morceau de vie de confinement...


Bébé 2 : « il est où ma péro ? »
Moi : « hein ? »
Maman : «  il parle de La Péro... »

On boit sans doute trop...

lundi 4 février 2019

Carte postale de Disneyland sous la neige

Parenthèse enchantée fin de semaine dernière. Surprise pour les bébés. Un réveil à 5h30 du matin pour les mettre dans un train qui allait dans une destination inconnue. Et puis l’arrivée. Sous un froid soleil de fin janvier. Avec une reine des neiges qui avait bien rigolé. 



Il faisait froid. Mais les enfants étaient heureux, nous aussi. Cet endroit reste magique. Ceux qui animent ces endroits sont adorables. C’est une entreprise merveilleuse Disney.









Carte postale simple, d’un papa qui a offert à sa famille un peu de bonheur. Loin de tout. Loin du reste, et c’est bien.

Mais la reine des neiges reste une sacrée coquine...

dimanche 27 mai 2018

Accrobranche dans l'Aveyron

Je termine ma période de vacances printemps par encore d’autres bons seouvenirs. Cette semaine à Najac fin avril.

Mes bébés sont formidables. Souvenirs d’un accrobranche à Najac. Bébé 2 a suivi maman dans un accrobranche. Son troisième déjà a 3 ans.
Et la maman a suivi bébé Faucon, 7 ans bientôt, dans les cimes.


Papa prenait des photos d’en bas !


Il regardait ses deux bébés faire des choses effraient papa. La dernière fois que j’ai fait de l’accrobranche, j’étais tétanisé. Réfléchir à se demander pourquoi on est sur un fil à 8 mètre au dessus du sol, et qu’une chute m’empecherait de voir grandir mes enfants, ça pose problème.



Suite dans les arbres 





Un billet de rien, un billet de dimanche. 

dimanche 11 septembre 2016

Souvenirs et reflexions du 11 Septembre autour de croix foréziennes

Ce billet est l'occasion pour moi, en ce dimanche, de mettre quelques photos de croix et de jolies églises foréziennes. Prises pendant ce chaud été. 

Un été où les vipères ont été nombreuses et méchantes, comme je l'avais expliqué dans un billet précédent. La petite chienne Galia va mieux, mais elle est passée vraiment tout près du ravin. Mordu sur la tête par une vipère...
Si cela avait été sur une veine, nous n'aurions plus de petit chien renard. Mes beaux-parents seraient effondrés. Et nous aussi. Coup de "chance", la tête est moins sensible que je ne l'aurais cru. Galia est épuisée, sans doute aura elle des séquelles (nous le verrons plus tard). Mais elle est toujours là. Et c'est bien...

Ce billet est décousu d'entrée. Après le calvaire de Saint Hilaire, et la photo de l'église du village, je passe par Rozier-Côte-d'Aurec. Son église est aussi fascinante, vraiment jolie. Massive. Elle se voit de loin.

Et puis une chapelle à Leignecq. Ce village dont l'église fortifiée est aussi un endroit à voir. 


Je parlais de croix dans mon titre, et finalement cela aura davantage été des édifices religieux. Je parle de Galia et des serpents (j'ai horreur des serpents, il faudrait les éradiquer), alors que je met "11 Septembre" dans mon titre. 

Mon 11 Septembre à moi aura vraiment eu lieu 3 ans après le officiel, celui qui avait changé la face du monde. Je perdais un ami, et c'était la première fois que j'étais confronté à la mort d'un copain, de quelqu'un d'assez proche. Depuis, mon cœur s'est rempli d'autres départs, certains prévisibles, d'autres brutaux. 
Mais aujourd'hui, c'est pour moi l'occasion de repenser à cet ami qui n'est plus là. Et qui aurait adoré bien des animés et des séries qui sont sorties depuis... 
De penser aussi à mon amie de Marseille que je n'ai plus vu depuis si longtemps. Je ne me cherche aucune excuse (je n'en ai pas à chercher d'ailleurs). Pour autant, force est de constater que la vie de famille et le quotidien fait que le temps passe vite, très vite, trop vite. Et quand on se pose cinq minutes, on fait la liste des gens qu'on n'a pas vu et qu'on ne voit plus depuis longtemps. Des gens qu'on aime, important pour nous.

Aujourd'hui, je me rends compte que le temps disponible, j'ai envie de le passer avec Falconette et les enfants. Je ne suis plus élu, j'ai un boulot dont les responsabilités et la charge a exponentiellement augmenté depuis. Et les soirées où je suis à la maison, les weekends, j'ai envie de les passer juste tous les quatres. 
Il y a sans doute eu après la naissance du deuxième et la perte de mon mandat chez moi un petit moment de déprime qui a fait que je me suis recroquevillé sur ma base. Si je revois un psy ou un curé un jour, je lui en parlerai peut être. Mais aujourd'hui, ce n'est plus le cas. C'est juste que je suis bien comme ça.

Même si ça fait longtemps que je n'ai plus vu des gens que j'aime. Même si ça fait longtemps que je ne suis plus descendu à Marseille...

A part ça, les églises et les croix du Forez sont vraiment jolies. Même si l'an prochain, j'irai plutôt les admirer en automne ou en hiver, il y aura moins de risques vipérins. 

lundi 13 juin 2016

Juste envie de silence, dont le mien

Seul devant Belgique - Italie. Envie de dormir, deux jours que je n'ai pas dormi... Et pourtant...
Parfois, envie du silence, simple silence. Chez soit, avec madame, ses enfants, même bruyants, même énervants. De ne rien dire, ne pas polémiquer. Ne pas échanger.

Je le vois, hier j'étais élu. Aujourd'hui je fuis les festivites. Bodega dans mon village d'enfance ? Je fuis. Fête des écoles ? Une fois le spectacle fini, je prend bébé et me réfugie sur ma terrasse. Ce soir un truc au boulot ? J'ai préféré allez courrir seul sur un tapis de course après une séance de musculation pour mon dos. 
Et ce soir, devant Belgique - Italie, j'ai envie de dormir. Je ne tarderai pas.

Bien sûr Orlando m'a horrifié. Je n'arborerai pas un #jesuisgay qui ne serait pas sincère, et qui devient un peu commercial. Mais là encore, ce que je ressens, j'ai pas envie de l'arborer sur Facebook. J'ai du respect pour certains de mes proches qui ont trouvé l'amour avec des gens du même sexe. Respect est faible : j'ai de l'affection parce que je les aime en tant que gens que j'aime. Je ne le considère pas gay, lesbienne, en tous cas pas différents de moi qui aime une douce paire de seins et un regard féminin. 
Je suis pas gay friendly, je suis ce que tous devraient être : indifférent. 

Orlando m'a choqué car une nouvelle fois un musulman illuminé a décidé de tuer ce qu'il considère être le mal. D'abord, j'ai vu des jeunes qui étaient abattus par un salaud qui trouve que le message d'Allah est cool quand il s'accompagne de sang impur. J'ai su après que ces jeunes étaient gays : cel n'a pas donné pour moi plus de douleur, plus de violence à cet acte Innaceptable. Avant d'être chrétien, juif, blanc, noir, jeune, vieux, pédé ou gros con, on est avant tout des êtres humains. Et c'est ca que ces salopards abattent. C'est insupportable.

Là encore, j'ai envie pourtant de rester dans le silence. Les mots, nos mots, nos indignations, ça ne sert à rien. Alors je vais coucher mes bébés. Je les aime. Demain soir j'irai voir mes parents. 

Et peut être faudrait il garder ces mots pour moi. Ce blog est ma deniere fenêtre avec le dehors, je l'ouvre peu. 
J'essaierai de comprendre pourquoi ces sentiments en ce moment. Mais demain. La je vis coucher les bébés et dormir.

Et quel but de l'Italie... (Même si Di Meco me manque sur Beinsport : c'est les meilleurs consultant football)

dimanche 20 décembre 2015

Morceau de vie de famille : Chien et chat Instagram

Petit chat squattait notre jardin, et presque notre maison. 
Malgré mon allergie des chats, je l'aimais bien petit chat. Il a animé notre printemps, notre été, et le debut de l'automne.

Les bébés l'adoraient


Et puis Galia, chienne des beaux parents, est arrivée en Octobre pour un week-end. Chez elle : Galia est chez elle chez nous. 
Les bébés l'adorent aussi, elle est née 6 mois avant bébé 1 (bébé Faucon). Ils sont frère et sœur.

Sauf que Galia. C'est un chien. Sur cette photo, elle dort. Mais c'est un Shiba Inu. Un chien japonais. Ce n'est pas un chien chasseur, c'est un chien Ninja.
Alors un chat qui vient sur son territoire...

Cela fait deux mois que nous n'avons plus de nouvelles de petit chat. Mes enfants le demandent, surtout bébé 2 : "lé pù châââ ?"... Et je le vois partir à la porte fenêtre hurler "châââ !!!"
Bébé Faucon croit encore au père Noël. Mais sa logique est plus dure : "Galia a du le manger petit chat :-( "

La vérité est sans doute entre les deux...

Une histoire de famille. De ma famille. On est loin des conneries chez les républicains ou chez les amis du Presdient, mais mes histoires de famille sont aussi pas mal.

Sinon j'ai encore mal au genou...


lundi 27 juillet 2015

Il fait froid ce soir...

J'aurais bien aimé que mon papy connaisse mes deux bébés. Il les auraient adoré. Et ils auraient autant aimé mon papy qu'ils aiment ma mamie, leur "mamé".

J'ai un peu honte. C'est le billet mon ami Nicolas qui m'a rappelé pourquoi ma mamie était triste aujourd'hui. Et pourquoi aussi je n'étais pas en forme, vidé. Mon corps se souvenait.

J'aimais mon papy. Il était d'une gentillesse. Je sais qu'il m'aimait beaucoup. Ce soir, j'ai un peu froid, alors qu'il fait encore 30°C dehors.
Mais je sais que j'aurais toujours un peu froid à la fin du mois de Juillet. C'est comme ça...

Sinon je ne sais pas comment retourner dans le salon sans que Falconette ne se rende compte que je viens de passer 10 minutes à pleurer sur mon pauvre clavier qui ne me demande que de l'amour... Un passage en cave peut être ? (j'ai mis une bonne vodka dans ma cave de service...)

jeudi 5 septembre 2013

La « justice sociale » (ou augmentation d’impôt) du jour


D’après les Echos, nouvelle hausse d’impôt en vue qui va peser sur les familles : « Le gouvernement compte en effet supprimer dans le budget 2014 deux niches fiscales bénéficiant aux familles ayant des enfants scolarisés dans le secondaire et le supérieur. Ces dernières bénéficient d’une réduction d’impôt sur le revenu non négligeable: 61 euros par enfant au collège, 153 euros par enfant au lycée et 183 euros par enfant étudiant dans lenseignement supérieur. ». En moyenne, des hausses d’impôts de 12 € par mois pour ces familles.

Une nouvelle hausse d’impôt prévue donc. Mais ce qui me scandalise le plus, c’est la justification de ces dernières par l’exécutif : « cet avantage fiscal ne bénéficiait quaux foyers imposables et donc pas aux familles les plus modestes, qui sont celles qui ont besoin d’être aidées pour faire face aux dépenses liées à la scolarisation de leurs enfants ».
Il est évident qu’un avantage fiscal ne bénéficie pas aux personnes qui ne paient pas l’impôt. Il est évident que les baisses d’impôts ne touchent que ceux qui en paient…

La logique est terrifiante. Les gens qui travaillent et paient des impôts sont donc considérés comme « privilégiés ». Ils continueront donc à payer pour ceux qui n’en paient pas. Et les baisses d’impôts sont considérés « injuste sociale », car ceux qui n’en paient pas n’en bénéficient pas. C’est ubuesque… Et pénible pour les seules épaules de ceux sur qui reposent le « modèle social français ».
Je suis affligé par ce matraquage fiscal qui continue pour les familles, qui travaillent et paient des impôts.

Pour conclure, un billet que j’ai lu la semaine dernière : « La société française à deux étages ». Un exemple où « le travail des uns permet manifestement l’oisiveté des autres ? ».
Une logique qui m’échappe. Et aujourd’hui, que j’ai de plus en plus de mal à accepter…

mardi 7 juin 2011

Allonger le congé paternité ?

C'est fou. Je rentre à l'instant de congés que je vais repartir... Je viens de transmettre ma demande de congés paternités. Qui sera, je l'espère, accordée...

Et je vois sur le flux d'information du Monde qu'un rapport sera remis à la délicieuse Roselyne Bachelot, ministre en charge de pleins de choses. Un rapport qui préconise d'allonger le congé paternité. C'est bien...

En ce qui me concerne, je suis pour. En effet, si j'avais eu un congé paternité plus long, j'aurais pu donner le biberon à bébé Faucon en regardant le Tour de France. J'adore le tour de France, et je reprendrai le boulot au moment où seront donnés les premiers coups de pédale : le monde est dur avec les papas faucons.

Bon, je plaisante. Et à vrai dire, je n'ai pas trop d'avis sur la question. Sinon que oui, peut être qu'il y a des choses, à certains moments de la vie, plus importants que le boulot...
Proposer la possibilité (pas l'obligation) d'un congés paternité plus long, ben pourquoi pas... Après, libre à chacun d'accepter, ou de refuser...