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jeudi 29 octobre 2020

Reconfinement et période de merde

Comme un symbole, ma piscine aura été reconfinée le lendemain de l'annonce d'un reconfinement délirant. 



Je lisais l'article du Point "Reconfinement - Emmanuel Macron chef de guerre en déroute". Oui, il est totalement en déroute. 
Elle est terrible l'interview du 14 juillet où il assurait à Léa Salamé à la question "la France sera t'elle prête en cas de deuxième vague" que oui. Finalement ben en fait non... 

Je ne lui en veux même pas... J'ai l'impression d'un mauvais jeu où plus personne ne pilote rien. M. Déconfinement Jean Castex reconfine après un été où des "jeunes" auront tout cassé Palavas les Flots et sur les Champs Elysées, et où une sœur d'un délinquant faisait défiler des hordes de personnes contre la police et un état forcément raciste, où il fallait déboulonner les statues...

Entre temps, un professeur d'histoire a été assassiné par l'Islam. Ce même Islam qui nous demande de renoncer à notre liberté de caricature, et à qui le ministre des affaires étrangères est à deux doigts de s'agenouiller.
Entre temps, à Nice et à Avignon, l'Islam continue de tuer. Dans un lieu de culte catholique.

Il est bon de rappeler les chiffres : en 2019 les actes anti-chrétiens était 10 fois plus importants que les actes contre l'islam. Ceux qui jouent avec le concept d'islamophobie pour rafler un vote communautaire...

Pendant ce temps on reconfine. Quand comment je ne sais pas ? Mon entreprise, qui navigue aussi totalement en vue, m'a "mis" en télétravail.  

Année de merde

samedi 17 octobre 2020

Ne jamais citer cet ennemi qui tue...

Discours du ministre de l'éducation à midi, en hommage à ce professeur, ce simple professeur, qui pensait que savoir était un grand trésor. Et qui a fini décapiter à cause d'une pensée, d'une religion, que le ministre de l'éducation refuse de citer. Jamais les mots "islam", "islamisme", "musulman" n'auront été cité. Jamais.
 
"Les ennemis de la république" était le terme. Mais on va enfin avoir les couilles de les citer ces ennemis de la République ? Ce n'est pas le vieux monsieur qui promenait son chien pendant le confinement ou le catholique qui voit son fils se faire moquer à l'école car il fait le catéchisme

C'est qui le Bataclan, Charlie, l'hyper cascher, Nice, etc... ? C'est l'Islam, religion des lumières qui tuent ce qui la critiquent.

La ville de Paris avait inauguré un jardin Arnaud Beltrame, une autre victime de cet islam radical. Qu'est il écrit sur cette plaque ? Il a été "victime de son héroïsme"... Encore peur de citer l'ennemi, qui c'est vrai a un poids électoral fort. Mais je suis comme Muriel Cousin, je pensais que c'était le terrorisme islamique qui avait tué ce héros, et pas son courage...

Aujourd'hui les ennemis de la République ont un nom. Ils ont des complices aussi (l'islamogauchisme qui détruit la république). Mais taire que l'islam radical aujourd'hui est celui qui tue, pour conserver une clientèle électorale qui a un poids fort, c'est criminel.

Lire aussi le dossier sur la petite Mila dans le Point de cette semaine. Nausée totale. 

Le républicain que je suis ira peut être à l'église demain. J'ai en plus des gens de ma famille hospitalisé à cause du Covid...





mercredi 16 octobre 2019

Voile islamique et parole hautement république @celine_pina

Souvent d'autres disent les choses mieux que nous. Céline Pina ne vient pas de ma famille politique, elle vient du Parti Socialiste. Mais elle a la République ancrée en elle. 
Et ce qu'elle écrit, j'aimerais avoir le courage et le talent de l'écrire. 

Sur cette histoire du voile en conseil régional de Bourgogne - Franche Comté, je ne dirais rien de mieux qu'elle. Alors je la cite. Et recopie son billet sur le Figaro Vox : "

Un texte assez fort à lire. Et laissons de côté les partis politiques. 
Si un militant RN ou France Insoumise viennent me dire qu'il a fait bon cette aprés-midi, je ne leur dirai pas que j'ai eu froid juste pour être contre eux. Oui, il a fait doux cette aprés-midi, et un joli soleil. 
Hier il pleuvait. Et aujourd'hui une mouvance religieuse fait pleuvoir sur la France. Et sur la République. 



Vendredi 11 octobre a eu lieu un incident de séance révélateur des tensions que connaît notre société face à la montée de l’islamisme. Au sein du Conseil régional de Bourgogne, un élu RN a interpellé la présidente de Région au sujet de la présence dans le public d’une femme portant un voile islamiste (noir très couvrant et qui rappelle les tenues des femmes de Daech). Faisant remarquer que cette ostentation religieuse était contraire à la laïcité, les élus RN ont finalement choisi de quitter l’hémicycle tandis que la présidente de la région menace de porter plainte non contre la femme portant tous les signes de la radicalisation religieuse, mais contre l’élu protestataire. Or, ces réactions de soutien de la part de l’ensemble des politiques à la femme totalement voilée dont la présence a suscité la réaction d’un élu RN sont plus qu’une simple erreur. Ce choix est une faute.

Le voile n’est pas un vêtement mais un signe.

Pour cette fois, l’élu RN a raison. Le voile n’est pas un vêtement mais un signe. Il porte un message vers l’extérieur, celui du refus de l’égalité au nom du sexe et celui de l’impureté du corps de la femme. Ce message politique est contraire aux principes et idéaux qui fondent notre République. Il n’a pas sa place au sein d’une enceinte démocratique.

D’ailleurs, je me souviens que le cas s’était présenté au Sénat où j’ai longtemps travaillé, lors d’une visite de l’institution. Une jeune femme, qui avait refusé d’ôter son voile, n’avait pas été autorisée à entrer dans l’hémicycle. Ce qui met ici mal à l’aise, c’est de voir que le seul qui réagit et est conscient de la provocation que représente cette femme portant le voile des islamistes est un élu du RN. Accréditant l’idée que finalement, eux seuls parlent vrais et sont lucides.

Le problème, c’est qu’il le fait à partir d’une lecture du monde qui n’est pas républicaine et que l’histoire de son parti porte en elle une idée de la Nation qui ne fonde pas la société sur une vision partagée de l’histoire, un accord autour d’idéaux et des principes traçant les limites d’un monde commun, mais sur une logique ethnique. Il est donc assez mal placé pour se positionner en gardien d’un temple républicain que sa famille politique a toujours combattu.

L’islamisme s’attaque aux fondations démocratiques de nos sociétés.

Au lieu de se plaindre aujourd’hui dans les journaux, drapée dans la posture de celle qui protège les «mamans musulmanes humiliées», la présidente du Conseil régional aurait dû réagir de manière républicaine. En effet, on est ici en face d’un acte militant visant à imposer un signe qui crache sur l’égalité femme/homme, au cœur de l’espace qui devrait s’attacher à la faire respecter. La présidente se serait grandie en prenant la parole après l’élu pour dire que si la loi et le règlement intérieur ne lui permettaient pas d’interdire à une personne arborant un signe à la fois sexiste, religieux et prosélyte, l’accès à l’hémicycle, il n’en restait pas moins qu’une telle présence et un tel affichage n’avaient pas leur place au sein de l’institution régionale. Pas parce que la République aurait un problème avec les musulmans, mais parce qu’elle s’est construite sur une vision universelle de l’être humain. Une vision qui dit que nous sommes égaux en droit à raison de notre humanité commune et que nul ne peut restreindre ce droit en le limitant à raison du sexe, de la couleur de peau, du statut social...

L’islamisme s’attaque aux fondations démocratiques de nos sociétés car celles-ci reposent sur le refus de voir les différences anthropologiques se traduire en inégalités sociales.

Le voile dit le contraire, qui assigne à la femme un destin d’inférieure. Il est l’arme de provocation favorite de ce mouvement qui a réussi à islamiser certains territoires et à bâillonner les élus. Ceux-ci, terrorisés à l’idée de se faire traiter d’islamophobes, deviennent des jouets entre les mains des stratèges de l’Islam politique. La provocation de cette femme qui amène un signe indigne au sein d’une assemblée démocratique, quelques jours à peine après un drame qui a endeuillé la nation est choquante. Qu’elle en soit consciente ou non. Or cela ne fait réagir qu’un élu RN, ce qui entraîne par réflexe grégaire les autres élus à justifier l’injustifiable pour exhiber leur appartenance à un hypothétique camp du bien. C’est à la fois ridicule et dangereux. En effet, c’est exactement ce type d’attitude qui fait le lit du RN, augmente l’emprise des islamistes sur les musulmans (qui sont vus comme forts, manipulateurs, capables de faire baisser les yeux de ceux qui devraient les combattre) et laissent pantois la majorité des Français. Ceux-ci sont mal à l’aise devant des élus sans boussole qui ne peuvent incarner une quelconque autorité car ils ne savent pas quel est leur rôle. En attendant, l’islamisme marque des points alors que le discours de Macron sur l’hydre islamiste est déjà oublié, tant on voit bien qu’il n’existe que pour masquer le choix de l’inaction.

Nos élus n’ont toujours pas pris conscience de ce qu’est cet islamisme qui s’attaque aux fondations de notre contrat social et sème la terreur par le terrorisme.

Cet incident, mal géré, est une nouvelle preuve que nos élus n’ont toujours pas pris conscience de ce qu’est cet islamisme qui s’attaque aux fondations de notre contrat social d’un côté et sème la terreur par des actes terroristes de l’autre. Cette jeune femme a été mise en face de la signification qu’implique son uniforme, donc de sa radicalisation. Il n’y a pas là matière à parler de traumatisme et à nourrir une polémique. L’exercice de l’autorité n’est pas chose facile mais face à ce type de provocation, elle devient de plus en plus indispensable. Sinon en face du péril islamiste grandissant, la seule alternative deviendra le RN et nous aurons collectivement perdu ce qui fait la grandeur et le génie de la France, une certaine idée de la dignité de l’être humain.

mardi 7 août 2018

La République protège des discriminations. Pas l'Islam

C'est avec stupéfaction que j'ai entendu parler ce matin de la nouvelle provocation d'une frange radicale de l'islam. Une tribune portée par un collectif de musulmanes pour lutter contre la laïcité républicaine et une soit disante-discrimination dont elles seraient victimes est une polémique du moment.

Comme l'indique Marianne, "Sous couvert de lutte contre la discrimination et pour "l'égalité des genres", un manifeste publié dans le journal "La Libre Belgique" accuse la neutralité religieuse d'être un faux nez pour discriminer les femmes musulmanes. La tribune est notamment signée par la militante Rokhaya Diallo et la directrice du CCIF."


S'en suit un texte délirant. Et quelque part abject. Qui met toutes les femmes musulmanes dans un même sac, et accuse la république et la laïcité d'être islamophobe. "Islamophobie", le terme est lancée. Il me rappelle certaines déclarations hallucinantes. Le CCIF notamment, qui en 2015 suite à l'assassinat d'un homme par un musulman radical, déclarait très sincèrement : "le véritable danger n'est pas le djihasisme mais l'islamophobie". 


Prenons le risque d'être islamophobe en étant fermement républicain. La république protège contre les discriminations, et permet à chacun de croire ou de ne pas croire. La laïcité protège les croyants et les non croyants. La séparation de la sphère civile et de la sphère religieuse était un progrès, que des fanatiques de l'islam veulent détruire. 
A chaque fois ils tentent de faire plier notre modèle république. Avec la collaboration politique sournoise de ces partis qui veulent capter l'électorat musulman en le draguant et en niant les problèmes d'une radicalisation de plus en plus forte. 

La république protège des discriminations. L'islam non. l'islam discrimine. Y compris et surtout ces femmes qui parlent de liberté et de résistance contre une laïcité coupable, et des lois de la république qui malheureusement ne sont pas appliquées (celles contre le voile intégral : rappel de ces maires qui avaient pour consigne de ne pas appliquer l'interdiction, pour éviter des débordements suites à l'application de cette loi, comme en 2014 à Marseille). 

Défendons la république. Et dénonçons ces provocations de cet islam contre nos principes républicains. Préférer Marianne à la burka, être fraternel plutôt que quenelle, être Charlie plutôt que Rokhaya Diallo, être républicain plutôt que complice de ceux qui veulent faire mal à notre République.