Affichage des articles dont le libellé est paris. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est paris. Afficher tous les articles

lundi 15 avril 2019

#jesuisnotredamedeparis

J'ai juste les boules... Je pensais que l'allocution de Macron me saignerait, mais cette information me fait très mal.


jeudi 28 mars 2019

1% et un peu de politique

Je ne parle pas du score que devrait faire une gauche de la gauche style France Insoumise pour le bien de notre République. Mais de la batterie de mon iPhone 7 hier soir à la fin du (merveilleux) concert de Patrick Bruel à Marseille. C’était magnifique.

Après une première journée à Disneyland, j’étais aussi à 1%. C’était marrant.



Sinon champion ces opportunistes d’En Marche. Je vois avec effarement le barouf sur Grivzux qui lance sa campagne. De bobo parisien parvenu. Je me souviens de son insulte vis à vis de Wauquiez et de l’électeur de droite, des ploucs qui fument et roulent en diesel.

J’aimerais que cette belle ville de Paris aient mieux que ces tristes Hidalgo (qui grâce à la médiocrité LREM a toutes ses chances, ce qui est fascinant), ou cette prétention orgueilleuse incarnée par Grivaux ou le mathématicien Villani.

J’aimerais bien que la droite républicaine se retrouve un Jacques Chirac...

dimanche 10 février 2019

Carte postale souvenir de Disney avec la reine des neiges

La reine des neiges en fait, c’est Hyoga le chevalier du cygne. Il a suffit qu’elle passe avec la parade pour que tombe la neige. 

En tous cas donne des photos de Disneyland sous la neige en fin de journée qui sont magnifiques.



Je pourrais continuer à pondre des billets de photos. Il y en d’autres. Je pense que dans mon grenier j’ai quelques semaines de billets du soir, 


Je pourrais mettre les photos qu’on a pris avec les personnages. Mais non. Des proches qui m’ont vu avec Dingo et Tigrou m’ont dit que ça m’a mis une banane d’enfer. C’est vrai, ça m’a fait du bien.

Même si l’atterrissage fut dur. Le retour sur terre après cette parenthèse enchantée a été dur. Le choc sur le sol fait mal.



Je reparlerai politique ou autre chose plus tard. Pour l’instant je partage des instants de bonheur, demain on verra.

Sinon le Nîmes Olympique c’est fabuleux. 

samedi 9 février 2019

Voyage dans le monde des merveilles

Quelques photos d’un souvenir d’il y a une semaine. Nous étions au pays des merveilles. L’attraction toute conne et toute bête du monde d’Alice au Pays des Merveilles est le genre de truc qui font qu’on se sent bien, en apesanteur. C’est beau.





La neige rendait cet endroit encore plus magique.


Fantasyland est mon endroit préféré. Oui c’est cucu, oui c’est con. Les poupées (it’s à small small World le monde est tout petit) est fantastique.



On a aimé ces trois jours chez Mickey. Ils nous ont fait du bien 

lundi 4 février 2019

Carte postale de Disneyland sous la neige

Parenthèse enchantée fin de semaine dernière. Surprise pour les bébés. Un réveil à 5h30 du matin pour les mettre dans un train qui allait dans une destination inconnue. Et puis l’arrivée. Sous un froid soleil de fin janvier. Avec une reine des neiges qui avait bien rigolé. 



Il faisait froid. Mais les enfants étaient heureux, nous aussi. Cet endroit reste magique. Ceux qui animent ces endroits sont adorables. C’est une entreprise merveilleuse Disney.









Carte postale simple, d’un papa qui a offert à sa famille un peu de bonheur. Loin de tout. Loin du reste, et c’est bien.

Mais la reine des neiges reste une sacrée coquine...

dimanche 4 février 2018

Paris de nuit

J’ai failli titrer « Paris by night », ce qui aurait été laid. Pourtant la semaine dernière ça faisait très « night » nos promenades après le repas. 


Le samedi soir entre Champs Élysée, Louvre et Opéra. 


En passant par l’église Saint Augustin (dont je me suis souvenu une connotation politique qui peut en émouvoir certains). Mais qui en elle même est très jolie, avec une statue de Jeanne d’Arc qui mérite mieux que d’être un symbole politique. 

Avec 30 kilomètres de marche par jour, nous étions en marche avc Falconette. Qui a souffert. Nous aurions pu être invité à manger par Emmanuel et Brigitte. Mais nous avons mangé à deux pas, dans une échoppe corse qui touchait la Place Beauveau. Une table magnifique.


Après le repas nous avons pris nos jambes direction une avenue cher aux amis de Michel Drucker et de l’histoire de Paris. Mais pour nous, c’est juste notre rue à nous et à notre premier fils que j’aime profondément.


Les photos du début Place de la Concorde. Passage par les tuileries. Avec toujours cette gêne devant des hommes, parfois avec des enfants, qui vivent à même le sol. Gêne et malaise. 
Puis on arrive au Louvre. Falconette était épuisée à ce moment là. 



Puis avec la musique de Hans Zimmer, tel un Robert Langdon, je me suis agenouillé devant la pyramide du Louvre, imaginant la femme de Jesus Marie-Madeleine enterré dessous. Une des scènes que j’aime beaucoup cette scène de film.


Puis le retour à l’hôtel, devant l’opéra.


Puis le square saint Étienne d’Orves qui accueille aussi une église superbe.


Paris est belle aussi de Nuit. Nous en avons profité la semaine dernière. J’avais envie de partager un petit peu...

mardi 30 janvier 2018

Carte postale de Paris en janvier

Un weekend sur Paris. Tous les deux, en laissant les enfants en bas chez papy et mamy. Pour profiter, pour marcher (beaucoup, presque 90 bornes...). Et revoir des quartiers, des endroits qu'on a vu pleins de fois. Mais qu'on redécouvre, avec un ciel bas et gris, tout bas. Et avec une Seine qui déborde de partout.


Quelques photos d'un provincial qui monte à Paris et veux voir certaines choses. Bien sur les alignements de l'Elysee. 


La Tour Eiffel même si les travaux sont penibles.

Les Champs Élysées. Le Fouquets était derrière moi quand je prenais cette photo.



Puis rive gauche, après avoir rit en passant devant Solférino. Quelques endroits supers. La Sorbonne,


L'église Saint Sulpice que le Da Vinci Code avait remis en avant.



Et des grandes rues où on Marche dans ce Paris du soir, de la fête mais pas que. Ici la promenade à Pigalle.



Passer du sexodrome au Senat c'est le charme de Paris.


Puis Notre Dame des Champs, une église au milieu du boulevard qui fait façe a Montparnasse, et doit se dire que les Champs s'était y a longtemps 


Fin de ce long billet par la pyramide. Oui elle a une symbolique qui insupportable certains, et oui même Macron s'en est emparé. Mais je trouve qu'elle est une fantastique image de la France que j'aime.


J'ai trop de photos à partager. Je ferai d'autres cartes postales, peut être plus longues. Ce soir je suis crevé...

dimanche 28 janvier 2018

Haute Seine

Deux jour sur Paris. Voir la Seine très haute.


Et le Paris d'Hidalho qui coupe la Tour Eiffel et inonde les quais de seine pour faire fuir les automobilistes : lamentables




Cette plaisanterie mise à part, je comprends pour le truc de repas sur péniche m'a annulé ma réservation pour hier soir. Je comprends le refus de me rembourser la soiree en se réfugiant derrière des CGV douteuses, mais ma banque et mon assurance s'occuperont de ca.

Le reste c'est des images assez fascinantes. Et il paraît  ca doit être pire encore...




A part ça j'ai des problèmes pour importer les photos de mon iPhone vers mon PC. Certaines ne sont pas vue,c'est dommage vue la somme de photos que je prends. Bah tant pis, on le fera manuellement l'importation mais c'est penible.

Et sinon on confirme : normalement ca passe pas sous le pont...


vendredi 24 novembre 2017

Le féminisme con à fond les ballons

Au début je croyais que c'était le Gorafi tellement c'est con. "Con" au masculin. Mais on pourrait le féminiser, et le peindre en vert.


Cette maline s'appelle Joëlle Morel. Elle représente les verts. Et prétend défendre les femmes

Je ne sais pas si elle et les Verts ont pris position sur la Barbie voilée qui doit sortir. Mais asservir la femme sous couvert d'une religion dont une grande partie de la communauté apporte des voix est moins grave que de ne pas féminiser les mots.
Cette gauche là est en train de dépasser le mur de la bêtise. 

En parlant de gauche, la députée de la gauche Melenchon Daniele Obono défend les stages interdit aux blancs proposés par un syndicat extrémiste de l'éducation nationale. Il paraît que dénoncer ses positions haineuses et dangereuses, c'est du racisme et du machisme. On va prendre le risque d'être insulté et la contester...
la république mérite d'être défendue contre ce type de personnes dangereuses. Et qui siège malheureusement à l'Assemblee Nationale, au sein d'un groupe politique qu'il n'est pas possible de considérer "républicain" en ce début de mandat. 

dimanche 15 novembre 2015

L'horreur, l'inquiétude aussi (et un peu d’écœurement)

J'avais trouvé très belle la une de mon quotidien l'Equipe hier. Marquante en tous cas. 
Lorsque je l'ai lu hier matin, je n'avais pas encore vraiment pris conscience de l'ampleur de l'horreur à Paris.

J'aurais passé un weekend bizarre. Épuisé, fatigué, avec des mauvaises nouvelles familiales personnelles qui se sont ajoutées à la violence de l'actualité. Mes douleurs dans le ventre ce soir, c'est un peu de tout ça.
Bizarre aussi. Les chaines infos me déversaient l'information, et hier je prenais conscience de l'ampleur de cet attentat. Et à coté, bébé Faucon jouait avec sa maman à croque-carotte en me chantant le Bolo-Bolo. 

Pendant ce temps, mon Facebook se colorait de bleu-blanc-rouge, ce qui est joli. J'ai aussi cédé à cette mode. Ça ne coûte pas bien cher, ça ne changera malheureusement pas le monde, et ne rendra pas ces islamistes barbares plus aimables... D'ailleurs, la journée de la gentillesse ce vendredi, ça ne les a pas forcément atteint.
Beaucoup de mots, de slogans. Hier, j'ai reçu quatre ou cinq fois le sms copier-coller de mettre des lumières à ma fenêtre... Et pleins de mes amis Facebook ont évidemment relayé les slogans qui sont pleins de bons sentiments. Je le dis de manière neutre et pas péjoratives, mais c'est évident que les sentiments sont bons, sont nobles. Rien à redire à ça.

Mais de la même manière qu'on était tous Charlie (sauf certains) il y a presque un an, on peut concevoir que chacun exprime ce qu'il a ressenti hier de manière différente. Il n'y a pas, à mon avis, la "bonne attitude" qu'il faudra opposer aux autres. Tout le monde est touché, et tout le monde exprime sa douleur, son écœurement, son inquiétude, sa terreur ou sa colère de sa manière. Il n'y a pas à juger. A se juger. 

Je suis inquiet car j'ai l'impression que l'intolérance "entre nous" a commencé vraiment vite et vraiment tôt. J'ai été surpris hier de voir que déjà sur les blogs, les réseaux sociaux, même sur mon Facebook, les critiques politiques bêtes étaient de sortie. Rapides. Et violentes.
"C'est la faute à Hollande qui tue la France", "Valls et le socialistes ont de la chance, ça les arrange bien", "tous ensemble contre les terroristes et contre Le Pen", "Sarkozy et la droite instrumentalisent c'est des salauds", etc, etc... 
130 morts, des blessés en pagaille, et de suite la bêtise franchouillarde et militante qui reprend le dessus, catalysée sans doute par la force de la douleur. "Je suis Charlie, mais pas avec ceux qui ne pensent pas comme moi".

Même sur Facebook... Des amis (que je sais non politisée) qui tiennent des raisonnements délirants. Derrière le bleu-blanc-rouge et l'appel à la lumière sur le rebord des fenêtres, une intolérance et une bêtise incroyable. 
Appel à l'unité nationale, mais juste entre nous. Pas avec ceux qui votent FN hein ! Pas avec ceux qui sont de droite, parce que Sarkozy il pue. Pas avec Hollande et Valls qui instrumentalisent les attentats, et qui sont responsables des migrants qui sont venus et de Taubira qui a vidé les prisons...
Une unité nationale finalement pas très unie... Il ne reste plus grand monde au final...

Je la faire avec mes bébés et avec Falconette ce soir, l'unité nationale. Avec ma photo de profil qui sera bleu-blanc-rouge jusqu'à ce soir. Demain j'imagine que ça va être long avant d'arriver à mon travail. 
Et il y a le reste. Mes parents en vacances à l'étranger. Mes petits soucis, les autres, les personnels.

Et une inquiétude devant cet ennemi de l'intérieur, dont la barbarie n'a pas de limite. Vu l'état de notre société, vu notre état d'esprit, je suis inquiet. 
Mais bon...

samedi 14 novembre 2015

Réveil d'horreur

Le soir, j'essais toujours de quitter mon iPhone et les réseaux sociaux à 21h30 maximum. Donc j'avais laissé mon iPhone en mode "ne pas déranger" lorsque les premières dépêches sont tombées. Nous regardions un dessin animé (assez bof d'ailleurs, Ritan no Laplace...), et dodo tôt.

Lorsque je me suis levé ce matin, c'est Falconette qui a eu les premiers mots avant que je n'ai le temps d'embrasser mes bébés. "Ca a été un carnage à Paris cette nuit, presque 200 morts". Suivi d'un "bonjour au fait mon chéri...". 

Puis grand bébé a un peu crié quand je lui ai enlevé Piwi+ devant Robocar Poly, mais sa maman lui avait dit : "on va mettre les informations ce matin". Et je regardais, avec la tablette qui m'expliquait cette nuit d'horreur. 

Facebook a mis au point un truc pour me dire les gens que j'aime qui sont sur Paris, et me confirmer qu'ils sont en sécurité. Mes premières pensées. A mes parents aussi, qui sont en voyage à l'étranger, et qui malgré le décalage horaire m'ont envoyé un mot pour me dire que le retour en France serait dur.

Réveil d'horreur, comme beaucoup. J'avais pris connaissance de Charlie en rentrant de la cantine. Cette fois, c'est en me levant.
"Cette fois c'est la guerre" titre le Parisien. Nous l'avions compris il y a déjà un moment... Contre un ennemi de l'intérieur. Et je crois que j'aurais du mal à supporter les "padamalgam" qui vont surgir très rapidement, les "je suis Paris" et autres conneries de ce genre. 

Choqué ce matin, comme beaucoup. Choqué, inquiet...

lundi 6 juillet 2015

Coucher de soleil de canicule

Photo d'un coucher de soleil après une nouvelle journée caniculaire dans le Forez. Impression que la grosse boule de feu là bas au fond s'enfuit loin, très loin...

Drôle de journée. Je reprends le boulot demain après un long weekend. Journée avec une échéance qui m'inquiète beaucoup, l'épilogue de trois mois qui m'auront fait passer certaines nuits blanches. J'espère un épilogue heureux.

A part ça, j'apprends que ce soir la mairie de Paris va fêter la fin du ramadan. Pourquoi pas... 
Mais je suis quand même toujours surpris de voir le zèle avec lequel certains cajolent la religion musulmane avec autant de force qu'elle méprise d'autres religions. Il y a un côté agaçant (voire même révoltant) je trouve. Mais bon, peut être y a t'il autre chose derrière cela... (vote communautaire, etc...).
J'espère quand même que ceux qui considéraient que ceux qui pensent que faire le djihad et égorger est moins grave qu'émettre des réserves sur une certaine pratique de la religion musulmane ne font pas partis de ceux qu'une certaine classe politique courtise. Et qu'ils ne seront pas invité ce soir dans les ors de la Mairie de Paris. Même si celui qui voulait transformer des églises en mosquée (avec toute la symbolique  terrifiante qu'il peut y avoir derrière) est invité...

Enfin bon...

A part ça, ce fut une chaude journée. La semaine risque d'être du même acabit...

(je prends quand même note de la présence de Nicolas Sarkozy aux obsèques de Charles Pasqua. En écho à mon billet de vendredi. J'apporte naturellement un bémol)