J’adore le Monkey Shoulder. Avec ou sans sa cage. C’est un bon whisky.
J’ai déjà mis un tir à la bouteille.
C’est un billet pour poster. Pour remplir. En parlant de remplir, je vais remplir à nouveau mon verre. Ou ouvrir un rouge.
Un copain de grand bébé est venu dormir ce soir. Le fond sonore est énorme : trois bébés excités comme des puces.
Quant à moi, je prends plein fer les journées de boulot. Mais je me dis que par rapport à y a un an, où la soirée que j’avais passé dans l’hôtel des verts à Saint Etienne s’est transformé en cauchemar, ça va mieux. Tellement mieux.
C’est dire que l’an passé je suis passé proche de l’abîme.
Je vais me resservir une épaule de singe. C’est bien d’avoir des épaules sur lesquelles s’appuyer.
Novembre est le mois où on supporte un remontant le soir. Perso mes bébés sont barrés et dans le silence et le crépitement du feux de cheminée je m'autorise volontiers un ti punch pour effacer le rythme de la journée...
RépondreSupprimerJoli commentaire merci
SupprimerLe punch est une boisson estivale mais oui le soir de novembre c’est bien aussi. Tellement bien
Le crépitement de la cheminée... quel délice...
Le petit fun fact, sur l'origine du nom : dans le temps, lors du maltage de l'orge, il s'agissait de retourner l'orge, épandu sur un sol de maltage, à l'aide d'une pelle, 24h sur 24 pendant quelques jours, si bien que les ouvriers finissaient par avoir une déformation au niveau de l'épaule, appelé "monkey shoulder". Peu de distilleries travaillent encore de cette façon.
RépondreSupprimerSinon c'est vrai qu'il est sympa ce petit whisky, santé à vous ! Si vous avez l'occasion, essayer de goûter le Spaniard, de chez Compass box, ça devrait vous plaire.
Je ne connaissais pas l'histoire, c'est super intéressant. Merci.
SupprimerJe ne connais pas le Spaniard. Je prends note. Merci en tous cas