Le candidat de droite détruit par une affaire sortie à deux mois du scrutin. Un président socialiste légitime assassiné par son propre camp. Qui a investi un Benoit Hamon qui a été ridicule.
Macron était le moins mauvais. Il a aggloméré autour de lui une jolie bande d’opportunistes. Qui ont pensé que le pouvoir était une toute puissance.
Depuis nous avons vu un effondrement sans précédent de notre société. Et des réponses à côté de la plaque. D’un boboisme de parvenues réussis qui font peur.
Le symbole était, au début de l’été, la déclaration hallucinante de cette hallucinante porte parole de ce gouvernement. Lorsque Sylbeth N’Diaye montrait que depuis sa voiture de fonction avec chauffeur, la galère des automobilistes elle s’en branlait.
Mais qu’avons nous eu ? Crise des gilets jaunes et d’une France rurale qui s’est sentie humiliée, ignorée ? Une circulaire qui dit que les résultats des communes de moins de 9000 habitants ne sera pas prise politiquement en compte... les pouilleux qui ne votent pas En Marche, on s’en branle... et augmentons leur le gazole et les cigarettes.
Le conseil d’état a mis la couche finale en dénonçant cette méthode « qui vient d’en haut », d’un roi soleil et sa cour totalement hors sols.
Macron ira jusqu’au bout, le Général de Gaulle a conçu une belle constitution. Le président n’a pas besoin des tripatouillages d’un procès Fillon avant les municipales ou de circulaire Castaner.
Par contre demain...