mercredi 27 octobre 2021

Billet d'une journée presque comme les autres...

 Un billet que j'ai commencé à écrire hier, que je publie aujourd'hui. 


Je parlais d'une journée presque comme les autres. Horrible. Présentiel. Un mal de ventre qui ne passe dans la journée. Une fatigue totale. Un besoin d’aller à la salle de sport mais aucune volonté. Les beaux parents sont à la maison. Ma première petite amie, et meilleure amie, vient normalement ce weekend me présenter son nouveau chérie (enfin, ce qui est prévu avec ma femme… j’ai de la chance que les deux personnes que j’aime le plus d’apprécient beaucoup).

Des réunions qui s’enchainent avec une ambiance de merde et ce masque qu’on garde. Presqu’un souhait que le taux d’incidence dépasse bien les 50 et qu’un nouveau variant vienne foutre le bordel en cette fin d’année. Beaucoup m’ont confié avoir cette mauvaise pensée. Je ne suis pas meilleur que les autres.

 

Je rajouterai que le soir, mon docteur est venu manger. Bébé 2 fièvre et vomissement de partout. Nous avons profité pour boire un Côte Roti, donc ça ne va pas si mal que ça. D'ailleurs, quand je pense à mon ami Nicolas, je m'en veux de me sentir pas top. 


Des informations qui me laissent sans voix. Par exemple, les participants aux meetings politiques seront exemptés de pass sanitaire. N’allez pas voir Bigard mais Mélenchon si vous n’êtes pas vacciné. Et allez-vous prosterner à la gloire de Macron et de ses apôtres. Le pouvoir a des explications, mais je les trouve tellement connes…

Je me demande si le pass sanitaire est exigé quand Eric Zemour se produit, puisqu’il n’est pas candidat…

 

A côté de ça, un syndicat se réjouit du licenciement d’une personne. Le syndicaliste que je suis en a mal au ventre. Mais je suis un républicain, comme Georges Kuzmanovic qui a toute ma sympathie. Et certainement pas un ennemi de la république. Il serait adversaire politique, mais pas ennemi. Solidaire est par contre un syndicat qui défend des valeurs humaines que je combats viscéralement. Se réjouir du licenciement d’un homme à cause de ses opinions… Décidément, la boite du député à la botte de Macron fait mal au cœur et à la république.

 

Sur le reste, j'ai eu le bonheur hier de voir que lundi était jour férié (je ne comprenais pas pourquoi mon chef ne me validait pas ma demande de télétravail). J'apprends à l'instant que finalement ma première petite amie viendrait que la semaine prochaine. Ce qui m'arrange sans m'arranger : avec bébé malade et moi pas trop en forme, et un mariage le lendemain (alors que je n'ai envie de voir personne...), je ne suis pas sur que...


Un billet d'une journée comme les autres. Mais que j'ai envoyé le lendemain

3 commentaires:

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