Peut être que quand l'épidémie reprendra sévèrement fin février ce gouvernement qui aura instrumentalisé scandaleusement cette crise, des comptes seront à demander.
Mais il faut bien qu'Emmanuel Macron entre en campagne électorale...
Peut être que quand l'épidémie reprendra sévèrement fin février ce gouvernement qui aura instrumentalisé scandaleusement cette crise, des comptes seront à demander.
Mais il faut bien qu'Emmanuel Macron entre en campagne électorale...
Si l’on est d’accord sur le fait qu’Emmanuel Macron a été un président diviseur, non pas par accident mais volontairement, de manière à garantir sa réélection face à un champ politique fragmenté, alors la question est : qui peut incarner l’alternance en 2022, qui peut avoir une chance de balayer le président actuel ?
Ce matin, un sondage - qui ne reste qu’un sondage bien entendu - pour la première fois nous donne une chance d’espérer que cette alternance ait lieu. Une petite chance. Mais une chance quand même.Je n’ai pas oublié le recul de Notre-Dame-des-Landes, l’Elysée transformé en boîte de nuit, les doux propos adressés à l’ex-braqueur, l’impunité Benalla et les coffre-forts qui disparaissent la nuit, l’entêtement sur la fiscalité écologique, la farce des cahiers de doléance, la vente d’Alstom, le sacrifice de Fessenheim pour faire plaisir aux écologistes, les attaques contre les traditions locales, la mise au pas du Parlement, les nominations socialistes dans toutes les juridictions, la suppression démagogique de l’ENA, les affaires touchant tous les bons apôtres de la République exemplaire et leur mise en cocon, la distinction essentiels/non essentiels, le formulaire kafkaien pour sortir acheter du pain.
Je n’ai pas pardonné les propos sur la culture nationale, sur la colonisation, le mépris des gens qui ne sont rien et des sous-citoyens, la répression des gilets jaunes assimilés aux black-blocks, le mensonge sur les masques, l’instrumentalisation du drame des harkis, la reconnaissance des violences policières et le lâchage des préfets et policiers, la perte du savoir faire sur une partie de la technologie nucléaire, la tentative de fusionner Veolia et Suez pour nourrir les banquiers d’affaires, la tentation de démembrer EDF, la privation de la liberté de pratiquer son culte, l’augmentation massive de la taxe foncière pour compenser la taxe d’habitation.
Et je dis : stop ou encore ?
Je rajoute une réponse de Julien à un contradicteur qui lui lance "l'alternance c'est Valérie Pécresse, tu veux nous faire croire ça ?" et la réponse de Julien, qui a toujours été fidèle à sa famille politique, à ses idées, à ses valeurs.
vous savez ce que vous avez. Même en prenant comme postulat que vous ayez raison, tentez. Soit vous avez raison, et vous aurez le même resultat que si vous aviez voté pour qqun d’autre (puisque cela revient à réélire Macron), soit vous avez tort et vous aurez l’alternance. C’est mon pari.
C'est aussi le mien. Mais j'avais dit que serai loyal avec mon parti politique et avec le résultat des urnes.
Ce matin, j'entends gueuler dans la chambre du grand. Le petit me sort :
"Mon frère est là pour m'emmerder"
Et je vois qu'en effet notre président de tous les français est remarquable. Deux mains plates, une à chacun. Et triste pensée pour la France...
(à lire aussi mon ami blogger Nicolas : "faut il emmerder Macron ?")