vendredi 22 septembre 2006

Marre de ne rien pouvoir dire

Je ne sais pas si mon enthousiasme de hier a ruiné tout mon optimisme hebdomadaire, mais aujourd'hui a été trés dur. Journée difficile, maussade. Une humeur assez grise, je n'aurais pas beaucoup souri. Même pas mis en colère. Non, rien à foutre, rien à faire, les bras ballants. Epaules basses, et regard qui n'allait pas bien loin. A quoi bon ?

Je crois qu'une nuit pas géniale, et l'interview de Nicolas Sarkozy ce matin de bonne heure sur RTL, auront lancé ma journée sur de bien tristes augures. Pourquoi se battre, pourquoi se révolter. Non, on ne peut rien dire, à quoi bon avancer ? J'ai été frappé professionnellement par l'immobilisme qui nous frappe tous. Même moi, j'ai plus envie de dire ce que je pense. Ca sert à quoi ?

Prenons les exemples les uns aprés les autres :
* On critique la justice, que l'on trouve trop laxistes avec les récidivistes... Les faits le prouvent. ---> Les magistrats, par leur numéro 1, vont se plaindre et s'offusquer : on ne doit pas commenter la justice sous peine de mettre en cause leur indépendance...
* On pense que, enfants ou pas, scolarisé ou pas, un sans-papier n'a pas à rester sur le territoire français sans bonnes raison ---> On est un fasciste, on fait le jeu de Le Pen...
* On pense que, dans les banlieux et dans certains quartiers, l'ordre doit régner et la République ne doit pas baisser son froc, que les flics peuvent aller demander des comptes au caïds avec qui on a rien à négocier ---> Malheureux ! Tu cherches vraiment à les provoquer et à rallumer les braises des émeutes de l'an passé !
* On pense que les régimes spéciaux de retraites de la SNCF, d'EDF, de la RATP, sont une hérésie, et surtout une injustice vis à vis de ceux qui doivent cotiser 40 ans pour une retraite souvent modeste ---> La CGT va se lever et crier à la provocation. Ce n'est qu'une idée de campagne mais on va faire grève, il ne faut pas non plus déconner ;
* On oppose des arguments à Ségolène Royal, et on exprime des désaccords avec elle ---> On est machiste et anti-Ségolène !
* On trouve des qualités à Ségolène Royal ---> On est un Ségoliste béat !
* On trouve que le client est un peu incorrect, injuste, voire nous manque de respect ---> Non, le client a toujours raison ;
* On pense que le chef a tort ---> ferme ta gueule, on t'a demandé ton avis à toi, pauvre crétin ?
* On pense que Giuly aurait du jouer en équipe de France ---> De toutes manières, y a 60 Millions de sélectionneur, alors ferme ta gueule là aussi ;
* On aime pas le rap, on trouve que ce n'est pas de la musique ---> Pauvre con de réac fasciste et raciste ;
* On était tenté de voter non à la Constitution européenne ---> anti européen !

Et en plus, ce soir, l'antenne parabolle nous emmerde et on peut pas aller sur Canal Satellite : va mourrir un peu plus loin s'il te plait. Je pense que ce soir, je vais boire... Non, vraiment, pas la peche ce soir.

jeudi 21 septembre 2006

Debout tôt

A croire que je me sois levé pour être un des premiers à lire le billet quotidien de 6 heures de Guy Birenbum... D'ailleurs fort interressant.

Mais non. Ce matin, j'ai une visite médicale qui va durer 4 heures. Rien d'important, sinon que je dois être à jeun pour la prise de sang de 7 h 30, mais pas facile de dormir quand on se dit qu'on joue un avenir personnel en ce moment, en ce début de mois d'automne. Une sorte de reve professionnel qui est en passe de devenir réalité, un autre cauchemar qui va s'achever de la plus belle des manières. Une revanche que j'ai envie de savourer, mais qui sera délectable et totale que lorsque ma signature paraphera ce divin contrat, pour entrer dans une nouvelle ére personnelle.

En Septembre 2001, la veille de l'élection présidentielle "du 21 Avril", je me préparais à mes débuts professionnels à Marseille, le 5 Octobre. Ensuite, une mutation un peu sauvage en Drome provencale. Je feterai la semaine prochaine mes 5 ans dans cette société. Pourtant, cet automne de précampagne, une fois encore, je me prépare à changer. Y 5 ans, le monde était bouleversé du "11 Septembre". Là, ça va, merci bien...

Enfin, vivement que cette visite médicale soit terminée. Vivement que 15 jours s'écoulent. Entre temps, une grosse offre à rendre, des affaires à gérer, un mal de tête à supporter. Et un blog à remplir, de photos, de commentaires, d'états d'ame bien sur, c'est le jeu. Et quel jeu, j'aime bien.

La suite au prochaine épisode

samedi 16 septembre 2006

Je pars en presque - Auvergne

Weekend à la campagne. Saint Hilaire Cusson la Valmitte, c'est le nom du petit village où je vais passer le weekend. Là bas, ce soir avec le verre de vin chaud à 2 francs (avant 2001), les vogues sont toujours trés rurales, trés rupestres. Trés "terroirs" pour reprendre un mot à la mode.

Je ne sais pas, mais là bas, je crois que le raoult du Parti Socialiste à Lens, ou les divergences Sarkozy - Villepin sur le service militaire, ou encore la charge - justifiée - de François Bayrou contre les médias, là bas, ils s'en foutent. Chasse, Peche, Nature et Traidition ? Déjà un peu plus.

En tous cas, ca sera calme... Et j'aurais quand même mon décodeur Canal + pour suivre ce soir, sur Foot +, Saint etienne (puisque je serais à 30 minutes de la citée "des verts", et que mes petits marseillais jouent demain).

Bon weekend.

jeudi 14 septembre 2006

Mal de tête, lassitude, et Ségolène Royal...

Est ce que chacun de ces trois points sont liés ? Par quoi, je ne sais pas... Mais aujourd'hui, finalement, c'est ce qui pourrait résumer ma journée.

Mal de tête d'abord. Grosse migraine... Est ce à cause de la pluie cette nuit ? Est ce à cause de cette chaleur qui m'étouffe ? Est ce à cause d'autres choses moins admissibles ? Pourtant le resultat est là. Depuis dimanche, j'ai mal à la tête, et aujourd'hui, c'est insupportable...

Lassitude. Evidemment... Cause ou conséquence du dernier paragraphe ? Je ne sais pas... Mais je trouve cette journée longue. Professionnellement, c'est pénible. Des mauvaises nouvelles qui arrivent par mails, et qui me donnent envie de faire "pfff, à quoi bon ?" A quoi bon quoi ? Je ne sais même pas. J'ai juste envie de soupirer, de baisser les bras et les épaules, et d'aller me coucher. Enfin, pas de suite, l'OM joue ce soir.

Ségolène enfin. Objet d'une discussion interressante sur l'excellent blog de Guy Birenbum. Il nous fait un pari, c'est que le duel Sarko - Ségo va pas tenir l'hiver. Que le premier explosera, et que la seconde... En fait, on discute sur Ségo, chez Bertrand Delais, et chez Guy. Et un point qui m'amuse, c'est de voir finalement comment cette personne cristallise des sentiments différents. Un ami bloggeur (salut Column ^^) défendait Ségolène, avec des arguments modérés et tenant magnifiquement la route. De suite, il se voyait taxé de "Ségolisme aigue". Par ailleurs, sur le blog de Bertrand Delais, on se voyait taxés "d'anti Ségo viscéraux", ouvrant la chasse à la petite biche Poitevine, car on osait émettre des doutes ou des réserves sur la personne, et les idées de la personne.

Non, on peut aussi être complétement indifférent, observateur. Je ne suis pas socialiste, je ne voterai pas pour la désignation du candidat socialiste, je ne voterai pas non plus pour le candidat socialiste investi en 2007. Je ne suis pas un "anti - Ségo", je m'en fous à vrai dire. Je ne l'apprécie pas, mais point de haine ou de répulsions maladives chez moi... (j'en ai pour d'autres, Elisabeth Guigou par exemple...). Et je suis amusé de voir comment volent les critiques quand, de suite, on arrive à cette passion idolatrement imbécile. On peut être critique, on peut adhérer à certains points, on est pas obligatoire un "tueur de Ségo" ou "amoureux de Ségo".

Pour finir, je trouve quand même que Ségolène et Sarkozy ont une particularité : ils attirent ou ils repoussent. De l'amour et de la haine autour d'eux. Sentiments trés forts. Sauf que pour être Président, il faut être un Rassembleur. Ces deux là peuvent ils être des rassembleurs vu la haine profonde et viscérale, quoique parfois totalement incongrue et irraisonnée (Renaud...) qu'ils provoquent ? Ca sera un autre débat. Et parce que je me pose cette question, je pense comme Guy Birenbum que non, ça ne durera pas ce firmament sondagier.

En tous cas, j'ai toujours mal à la tête...

mercredi 13 septembre 2006

Mon rêve, une maison, une famille, un chien...

Je loue la première, et construit la seconde... Me manque que la troisième. Heureusement, chien-velu vient nous voir des fois...

Et si les Verts changaient ?

Est ce que les Verts ont changé ? En voyant, d'abord, Dominique Voynet accepter l'invitation de Corinne Lepage, puis ensuite l'inviter, elle et Nicolas Hulot, aux Universités d'été des Verts, je me suis posé la question. Ce parti à la limite de l'extreme gauche, immigrationiste et societal-libertaire, deviendrait il enfin vraiment écologiste ? Pas écologiste radicalement idiot comme l'a pu être Dominique Voynet ministre de l'environnement. D'un coté foudroyant le nucléaire en fermant idéologiquement un SuperPhénix (qui reste un fleuron de ce que la France peut faire de grand), et faisant preuve d'un absenteisme coupable et suspect devant la marée noire de l'Erika ou devant la tempète de 1999. Pas sociétalement idiot lorsque Dominique Voynet (la meme ) appelle à la régularisation sans réflexion de tous les sans papiers ou quand Noel Mamere célèbre en grand pompe un mariage homosexuel. Mais écologiquement responsable. Débattant, se posant des questions, les bonnes, et proposant des réponses.

Je suis posé la question...

Et puis patatra, la connerie revient au galop aussi vite que le doute s'est installé. Les Verts de Paris (une espèce rare, que je souhaite en voie de disparition), se comporte d'une manière idiote et risible (condamnable ?) lors de l'inauguration par Delanoé de "la Place JeanPaul II", qui restera pour tout le monde, le Parvis de Notre Dame. Et on s'allonge tous dans la rue, et on est ridicule avec les extrémistes calomnieux d'Attac. Pour une pseudo "laicité" ou une lutte contre le Sida... Ces mêmes verts parisiens qui emmerdent Bertrand Delanoé et les parisiens en rendant Paris incirculable. Même M. Girard s'est résolu à quitter ces verts infréquentables. On soutient les actions de la bande de vandales à Bové détruisant des champs privés d'OGM. Je ne parle pas de leur perpétuelle infantilité politique, ie le vote des militants pour une présidentielle où le candidat ne dépassera surement pas les 3 %.

Quelque part, je reste encore certains que l'écologie mérite mieux que ça. J'avais parlé ici de Nicolas Hulot, en qui je place certains espoirs. Mais les Verts... Non, vraiment je ne peux pas. Dommage, y a peut être des gens biens, mais non. Ca ne sera pas pour cette fois encore.

lundi 11 septembre 2006

Son 11 Septembre

On a tous son 11 Septembre. Ses tours effondrées et ses "jours d'aprés". Je me souviens où j'étais il y a 5 ans quand New York s'est effondré. Je me souviens aussi d'il y a deux ans, quand Marseille a soufflé.
La première fois, j'étais dans les rues d'Avignon, acheter des mangas. Le soir, j'avais une réunion de sécurité à la Mairie. Y a deux ans, je tentais de réparer un écran 17 pouces Sony foudroyé par l'orage, alors que plus au Sud, le destin foudroyait mes proches amis.
Je ne t'oublies pas, je ne vous oublies pas. Et ce soir, je boirais une Leffe à la maison. Puisqu'en Belgique, vous n'y connaissez rien en vin (ces belges...). Salut mon ami.

dimanche 10 septembre 2006

Dimanche + - C'est du trés bon

J'aime la politique. Et je ne déteste pas Laurence Ferrari. Non seulement elle est jolie (trés jolie), mais en plus elle est trés pertinente dans sa manière d'interroger les hommes politiques. Aussi, ça fait plaisir de voir une aussi bonne émission politique que celle vue ce dimanche à midi, sur Canal +. Emission didactique, emission rythmée, emission agréable à regarder, à écouter. On apprend, on s'informe. C'est sérieux, mais c'est pas chiant. Et c'est bien le ton du Canal + nouveau, dans le ton de "+ Clair" (qui repose sur la même machinerie), ou même de l'excellent "Grand Journal".

Ca change des leçons données par Karl Zero par exemple. Je ne le déteste pas (au contraire). Mais subsiste ce coté anti-front national pseudo "citoyen" (terme galvaudé et utilisé à tout bout de champ par Karl) voulant "défendre la démocratie" et exhibant ses amitiés idéologiques avec José Bové ou Olivier Besancenot que j'abhorre... Dommage, l'homme avait (a) du talent, de l'humour, de l'esprit. Mais son émission, je ne pouvais plus.

Ca sera dur le dimanche midi : quand je serai à la maison, ferais un "Arrêt sur Image" ou un "Dimanche +", qui est en fait un Arrêt sur Image trés politique, et un peu plus moderne... Je verrai.

Ce soir, y a Paris SG- Marseille, et moi j'ai un peu pris froid...

vendredi 8 septembre 2006

J'ai perdu 1,5 kg !

En euros (et en un mois), c'est déjà pas mal... Mais en francs, ça fait presque 10 kg de perdus...
Je suis content, l'été prochain je serai beau.

jeudi 7 septembre 2006

La Sagrada Familia, pour se changer...

... les idées. Et aussi pour une de mes meilleures amies qui m'a reproché de préférer le Nou Camp à la Sagrada Familia, à Barcelone... En plus, je trouve cette photo plutôt réussie... Je ne loupe pas tout.

Allez, on part regarder les derniers épisodes de "Solty Rei"...

On ne choisit pas non plus les trottoirs de Manilles...

J'écoute "Je fais semblant", tiré du dernier album (trés bon) de Patrick Bruel. Est ce que parce que ce chanteur me rappelle mon premier amour ? Est ce parce que je trouve cette chanson trés bonne et qu'elle me touche beaucoup ? En tous cas, je suis vraiment pas en forme là, en commençant mon article, qui sera un peu pleurnichard. Peut être que le temps, gris et maussade, automnal et lourd, n'arrange rien... En tous cas, aujourd'hui, et pour un fois, ce n'est pas le travail qui me mine. Pas de nouvelles qui m'ont fait de la peine. Pas de lectures de blogs qui m'ont atteint. Rien.


Si, peut être une douleur que je pensais un peu plus lointaine depuis que j'ai quitté le domicile familial il y a presqu'un an jour pour jour. Mais non, elle est toujours là. Ne pas se sentir ou se savoir aimé de gens qu'on aime, c'est jamais agréable. Quand ceux sont des ancien(ne)s ami(e)s, ça me fait mal. Quand ceux sont des connaissances que j'aime bien, ça me fait mal. J'en dors pas bien la nuit. Quand ceux sont des gens que je n'aime pas ou qui me sont indifférents, je m'en fout (sans doute un point où j'ai progressé). Quand c'est la famille proche, trés proche, trés trés proche, là déjà, ça me fait plus mal.


Il y a une partie de ma famille que je ne vois plus. Elle m'a reproché mes choix politiques. Soucis avec mes parents, disputes, je ne sais pas quoi. Bon, OK, on passe à autre chose, ca me laisse indifférent. Sauf que quand ça devient plus proche, et que les reproches sont tout simplement calomnieuses, teintées d'une sorte de haine sourde et lointaine, c'est pas pareil. Quand sous des yeux qui se veulent larmoyant sortent les couteaux, ça ne peut plus glisser comme la pluie sur les plumes d'un canard. Ces mots ne sont pas des gouttes de pluie. Et mon pauvre coeur bien ridicule n'est pas fait de plumes de canard.


Là, il est touché. Et surtout, il en a marre, il en a ras le bol. Ne sentir (ou me savoir) exclus professionnellement, exclus de certains anciens groupes d'amis, de promotion, ou d'enfance. Me savoir exclus du coeur d'une personne que j'aime beaucoup. Savoir que je génère plus d'indifférence que d'affection de la part de gens que j'aime, ça ne me fait pas plaisir. Et non, j'en dors mal la nuit. Mais là, quand c'est le domicile familial le plus proche qui cherche à, encore une fois, vous accuser de la rage... Alors que ça bien longtemps que je ne bave plus. C'est dur, c'est dur à accepter, ça fait mal.


Je ne sais pas si je vais laisser le Cairanne blanc mis au frais pour ce soir. Je ne sais pas. En tous cas, ce que je sais, c'est que c'est pas cette aprésmidi que mon travail aura été efficace. Là, d'ailleurs, je vais partir, car je n'arrive pas. Je n'arrive plus. J'ai trop mal au ventre pour aller plus loin.


Putain, il a bon dos le Faucon... Mais il en a un peu marre. Il votera pas Le Pen en 2007 pour ça, mais... Mais il en un peu plein le cul ! Y en a qui ont voté FN pour moins que ça ^____^ (petite touche humoristique de fin de mail.. Allez, on se marre avec moi de mon humour décapant, soupir...)

dimanche 3 septembre 2006

Je soutiens la grève des enseignants...

Dans la bande de Gazza et les territoires palestiniens. J'ai entendu l'info à BFM TV tout à l'heure (pendant l'apéritif... y a pas foot). Et là, j'ai un peu de compassion quand même (voire beaucoup). Par contre, la grève des enseignants "de chez nous" prévue le 28 Septembre (alors même que la rentrée c'est demain), je la trouve déjà plus caricaturale et déjà, j'ai moins d'affection...

Pour autant, je souhaite une bonne rentrée à mes amis profs que j'ai. Je sais qu'à Vierzon ou à Ales, les élèves seront bien traités. Je sais qu'en Bourgogne, à la Réunion, ou dans la proche banlieue lyonnaise, ils seront bien traités. C'est rien de le dire, mais je pense un peu à vous. (mais bon... on travaille le 28 Septembre, hein Lolo !!!)

Un fond d'écran plutot que du Sarkozy

Pour le plaisir, mon fond d'écran actuel depuis que j'ai mon nouveau PC (ie depuis 3 semaines). Joli, non ? c'est du FullMetal Panic, et la petite Tessa Testarossa (à gauche), je la trouve mimi au possible. Dire que Sosuke Sagara, le héros militaire un peu con (si, des fois il est un peu con) ne voit pas que sa supérieure (oui, elle est capitaine d'un navire de guerre... chercher pas, un animé japonais c'est toujours bizarre, mais celui là est génial) est amoureuse d'elle. L'idiot...

Où ais je pris ce fond d'écran ? je crois (mais pas sur) sur animewallpapers .

Sinon, Sarkozy quand même. A midi, discours de cloture des universités à Marseille. Au premier rang, Dominique Villepin, Devedjian, Gaudin, Johnny Halliday, François Fillon, Philippe Douste Blazy, Doc Gynéco, Barnier. Cherchez les erreurs. Je vous aide, il y en a deux.

Mais le discours, je l'ai trouvé trés bon. Pourquoi à chaque fois que quelqu'un (droite ou gauche) parle de la France avec des accents gaulliens, ça me touche ? Sarkozy a parlé de la France. Aprés le discours de Nimes, c'est la deuxieme fois que je l'ai trouvé brillant. Aprés, que je suive l'homme l'an prochain, c'est autre chose. Les actes ne sont malheureusement pas toujours en adéquations avec ce discours. Mais il m'a fait quelque chose. Quelque chose de pas mal...

Même si c'est la fin de l'été... Rien à voir, mais quand je vois ce beau temps revenir, pour surement disparaitre demain par les nuages de Septembre, je me dis toujours que c'est beau, la fin de l'été, mais triste. Surement pour ça que j'aime ça.

samedi 2 septembre 2006

Université d'été ? Non, plage

J'étais aujourd'hui à la Grande Motte. Non, pas à l'Université d'été de l'UDF, mais au Grand Travers, la grande plage qui court jusqu'à Carnon. Pas un grand soleil, mais une plage de fin d'été. Calme, mais agréable. J'ai terminé de lire l'excellent "Cercle de Sang" de Jérome Delafosse.

J'aurais pu rester chez moi. A 15 minutes en voiture, y avait en Avignon l'Université d'été du FN. Mais bon, c'est pas trop ma tasse de thé... Je préfererai tant qu'à faire, tirer jusqu'à ma bonne ville de Marseille. J'aurais, avec Johnny et Doc Gynéco (!) fait la fête à Nicolas Sarkozy et à l'UMP...

Et puis je suis à 1 heure de la Méditérannée. Pour voir des Université d'été de Gauche, il aller à la Rochelle ou dans le Cotentin... Et pour voir des patrons, aller en Région Parisienne...

Mais non. J'ai passé la journée à la plage. Je n'ai pas vu d'UDF, pas d'UMP... Rien qu'une plage de fin d'été. Un peu triste et nostalgique, mais sympathique. C'est la fin de l'été, j'aurais le temps de penser politique plus tard... Quand les jours seront courts.

PS : merci Ludovic pour ton lien. C'est gratuit et gentil de ta part. Et... Ca touche et ça fait plaisir. Trés plaisir. Merci

vendredi 1 septembre 2006

Bayrou en deux phrases

Toulouse, première réunion publique de l'UEM, le 19 Fevrier 2002. lu dans le Parisien sur un quai de Gare à Lyon en attendant une amie,

" Si tout le monde pense la même chose, alors plus personne ne pense plus rien "

Palavas les Flots, Université d'été de l'UDF, le 31 Aout 2006. Vu sur ITélévision
"Tout le monde pense que parce qu'on est de familles différentes, on ne doit pas
se parler. Alors qu'on a le devoir, même si on est différent, de travailler
ensemble".

Je ne suis pas devenu UDF en cinq minutes. Mais ces deux phrases résument ma philosophie et ma pensée politique... Humaine aussi peut être.