mardi 27 décembre 2016

Je blogue beaucoup moins...

Les faits sont là, chiffrés. Avec des traits moches faits à la main, sur l'application photo de l'iPhone.



Je finirai l'année autour de 220 billets. Quand en 2010, autour de cette belle période du Wikio et de l'esprit de la Comète, j'en pondais presque le triple. 

Oh, je ne parle pas de qualité. Sans doute d'ici là fin de la semaine, je ferai une rétrospective pour voir les 12 billets qui ont le mieux marché. Ou ceux qui ont suscité le plus de débats. Aujourd'hui, je me demande lesquels ont vraiment été intéressant. À lire pour les copains et copines qui passent. Mais pour moi à écrire. 
A l'époque où j'écrivais 584 billets (presque deux par jours !), je prenais vraiment du plaisir. Y avait ce côté drogue, addictif. Aujourd'hui, ce plaisir y est moins.

Où sont les copains ? Un truc bête. Où sont ils ? Ceux du DEL de mon copain Guy Birenbaum ? Ceux ensuite de la Comète. Il y a toujours mon copain Nicolas. Mais l'esprit de l'époque, "des liens bordel des liens", il a disparu.
Je me souviens des réseaux de blogs et de blogueurs. Y avait des moments sympas. Des clashs parfois, mais ca n'allait pas bien loin. Et y avait une sorte d'amitié qui, je pense, etait sincère. 

Depuis, j'ai le souvenir de comportements haineux. D'un sectarisme d'une rare violence, qui peuvent s'accompagner d'une sorte de harcèlement de la part de certains dangereux. 
Les blogs et le net n'est qu'un reflet de la société. En 2010, nous n'imaginions pas que certains pourraient assassiner des dessinateurs et des jeunes en concert au nom d'une religion. Depuis, les comportements se sont décomplexés. La campagne "Ali Juppé" etait aussi nauséabonde que certaines merdes balancées par une "vraie gauche" qui a manifesté avec des gens qui incendié une voiture de police et vomi sur la police. 

Au milieu de tout ça, difficile de bloguer avec cette même légèreté qu'en 2010. Difficile.

J'imagine que la campagne de 2017 encore abjecte que ne l'était 2012, qui a été le debut de la fin de cette période sympa. Alors j'imagine qu'il sera difficile d'avoir un plaisir et une motivation pour bloguer, pour partager, pour échanger.

Nous verrons bien. En tous cas j'aurais écris à l'iPad un billet assez long, qui m'évoque bien des souvenirs. Des jolis souvenirs. Souvenirs de gens qui ne sont plus la. Souvenir de blogs qui n'existent plus. Souvenir d'un soir de fin Août à la Comète, et d'un aligot saucisse qui n'était pas de saison, mais qu'il etait chouette... 
Nous verrons bien..

samedi 24 décembre 2016

Galia va bien et attends Noël

J'avais écrit cet été l'histoire tragique de Galia, notre chien renard Ninja. Elle s'était fait mordre par une salope de vipère. Elle a passé fin Août entre vie et mort, avec des Shinigamis canins qui l'attendait...

Elle va beaucoup mieux, et c'est une nouvelle formidable. Elle aime toujours autant les babets (cf pignes de pin pour les institutrices de bébé Faucon, qui pleurait de voir que sa maîtresse ne connaissait pas le terme de babet, pauvre petit). 

Et elle rend les bébés heureux. Ils ne savaient pas que dans le Forez, chez papy et mamy, un vilain serpent avait mordu Galia. Déjà que leur papa a une phobie panique de ces merdes de bestioles, nous n'avions pas envie de les inquiéter, de les paniquer... alors ils n'ont rien su. C'est papa et maman qui ont pris l'inquiétude sur leurs épaules. Mes enfants ont à rester des enfants. À croire au papa Noël. À penser que les belles choses et les gens qu'on aime sont éternels.

Les histoires difficiles de la réalité et de la vie, ils la connaîtront bien tôt. Le papa que je suis essaiera de les accompagner. Mais aujourd'hui, ils profitent de leurs deux papys et leurs deux mamies. De leur arrière grand même, ma mamie à moi. De Galia.
Et ils pensent que ce soir le papa Noël arrivera. Ils leurs ont même préparé une piste d'atterrissage. C'est mignon.

Galia va bien, elle attend Noël. Nous aussi.

Mais je suis un peu fatigué de cette année difficile quand même...

mercredi 21 décembre 2016

Lac de Salagou #34 #Hérault

Il y a un an, je mourrais au bord du Lac de Salagou. Une promenade en vélo, avec des amis du boulot (amis c'est le mot, surtout pour celui qui m'a fait confiance il y a 10 ans là où je suis aujourd'hui). J'avais tenté de les suivre : j'y ai laissé mon coeur, mes poumons, mon amour propre.

Mais j'ai gagné des images magnifiques d'un coin de l'Hérault qui est divin en hiver. On imaginerai presque un gros serpent marin sortir du milieu du lac, les cornemuses et Marie Stuart en moins.

Ce dont je me souviens de cette promenade, c'est cette terre ocre qui reste aujourd'hui sur mon jogging et mes chaussettes de l'époque. Un Rolland Garros d'hiver au bord du Loch Ness. 
Et cette bière Leffe Royale que j'ai bu le soir, pour me récompenser, et me réconforter.

C'était il y un an ces photos. L'élection présidentielle devait se jouer entre Juppé et Hollande. La Grande Bretagne était toujours en Europe. Mais l'Olympique Lyonnais était déjà favorisée par un arbitrage très favorable : les pressions du président Aulas marchaient déjà très bien.

C'était il y a un an. Nice, Berlin et Saint Etienne du Rouvray n'avaient pas encore eu lieu. Mais cet islam dégueulasse qui tue et qui peu avait déjà marqué les esprits. Il y a un an...

Et le temps qui passe à une allure délirante me ferait presque penser que c'était hier. Ce temps passe trop vite.

mardi 20 décembre 2016

Pensées au détour d'une vigne à Châteauneuf du Pape

Période difficile.

J'assume de tout mélanger. Mais pendant qu'à Avignon une mairie gauche Libé veut rayer les traditions chrétiennes de la carte de la Provence, des terroristes foutent le boxon à Berlin. Mélange et amalgame ? Je ne sais pas...
Mais les faits sont là. Pendant qu'un quotidien national titre un "au secours Jésus revient", des messagers de Mahomet tuent sans tri et sans réflexion. Par contre là, il ne faut pas stigmatiser, il ne faut pas mélanger. Chut...

Alors on part marcher. Et on retrouve des photos de y a quelques semaines. Quand l'hiver n'était pas encore tomber sur ma Provence.
On tombe sur une petite statue qui offre un hommage à un abbé important pour le village. A l'époque où il n'y avait pas de honte à être chrétien, et à assumer cet héritage qui est beau et humainement enrichissant.

Et à un moment, on tombe sur une Croix qui domine le Rhône, la vallée. Et pendant que ses salopards tuent au nom d'un messie barbare et meurtrier, il est de bon ton de se rappeler du discours véhiculé par les apôtres de celui qui est mort sur la croix. 
Juste se souvenir du symbole. Qui ne devrait pas évoquer un "au secours". C'est pas la croix et de ses messages humanistes qu'il faut fuir. 

Un rappel sur fort héritage chrétien dans ma provençale vallée du Rhône... C'est important en ce moment.
C'est très important.

lundi 19 décembre 2016

Mon sapin et ma crèche de Noël (sans girafes)

La semaine dernière, mes bébés et leur maman ont préparé le sapin de Noël. Un joli moment, qui nous est cher. Je me souviens de ma joie quand, enfant, je faisais cette activité avec ma maman.

Noël, c'est des traditions qui me sont chères. Qui me ramènent à mon enfance. Mes parents avant moi, et leurs parents, ont ou avaient ces mêmes souvenirs. L'église du village, la crèche du village, les rues décorées. La Provence qui se prépare à Noël. 

Cette année encore, ma grand-mère me demandera "Minuit chrétien" à minuit. Je penserai à mon papy qui n'est plus là. Noël, c'est plein de choses. Aujourd'hui pour mes enfants, c'est l'excitation d'attendre la joie de la nuit de Noël. Ils ont la chance de vivre dans une famille aimante, et avec les moyens financiers de les rendre heureux. J'espère qu'ils transmettront à leurs enfants ces mêmes moments de joie, les mêmes que m'ont transmis mes parents. 


La petite crèche n'est pas fantastique cette année. Mais mes enfants ont pris du plaisir à la faire. Et à coller des père Noël et des bonhommes de neige de partout sur les vitres. 


Je commence un peu à expliquer au grand (qui n'a que 5 ans) la symbolique de Noël. Ou du moins j'essais, modestement. J'essaie de lui expliquer l'histoire jolie du petit Jésus qu'il avait vu sur une croix dans l'église de mon village. J'essaie de lui expliquer ces quelques racines qui font ce que nous sommes en tant qu'hommes, en tant que chrétien.
Je lui expliquerai plus tard qu'il n'a pas honte d'être chrétien, d'être baptisé. Et que c'est même plutôt pas mal.


Les racines chrétiennes de la Provence sont indiscutables, et sont belles. Noël en Provence, c'est quelque chose de beau et de sacré. La polémique à Avignon, de ce "Noël autrement" placé sous l'égide de la girafe (!!), c'est délirant. Presque insultant. En tous cas totalement à coté de la plaque. 

Avignon est sous une municipalité de gauche très "Libération". Ceux là même qui publient en Une un "au secours Jésus revient", ou considèrent que la croix est un symbole facho. Cette gauche qui trouve donc Jésus dangereux, et appelle à ne pas faire d'amalgame ou de stigmatisation quand des gens tuent au nom de Mahomet. Cette gauche qui appelle à la tolérance, mais fait preuve d'un mépris anti-chrétien qui peut s'assimiler à un racisme. 

Je partage l'avis du sénateur de droite Alain Dufaut, quand il fait remarquer que cette "intelligentsia socialo-écolo rejette tout ce qui peut évoquer les traditions provençales". Une société qui brûle ses racines ne peut pas aller bien loin, et cette sensibilité politique là l'envoie droit dans le mur.

La mairie socialiste de cette capitale provençale qu'est Avignon brûle la tradition chrétienne et provençale. C'est triste, et c'est désespérant. 
Je suis un citoyen attaché au valeur de la république, et à la laïcité. Mais je pense que la laïcité ne veut pas dire effacer et mépriser des traditions, une religion. Une seule, parce que ces prétendus libres-penseurs n'ont aucun état d'âme à célébrer d'autres fêtes religieuses... Indifférence religieuse d'un côté, quand de l'autre on ouvre en grande pompe l'hôtel de ville de Paris pour fêter la tolérance. Toujours surprenant, et franchement blessant. 

C'est beau Noël. Et elles sont belles nos racines et nos traditions. J'essaierai de les transmettre à mes enfants, comme l'ont fait mes parents et mes grands-parents. 


samedi 17 décembre 2016

Chimay et fin de l'année

Falconette m'a rapporté ce mignon coffret de ses emplettes de fin de semaine. Pour avoir un nouveau verre dans le verrier. Et pour panser un peu quelques douleurs d'une fin d'année qui a été dure pour moi. Professionnellement notamment.

Je profite de la fin de l'année en buvant une autre bière. Goudale de Noël. Je ne connaissais pas, c'est plutôt pas mal. En tous cas le style de bière que j'aime bien. Foncée, caramélisée, chargée. Une bière d'hiver.

A part ça, Paris est en train de se faire humilier a Guingamp. Pour moi, tout fort que soit l'entraîneur Emery, ce n'est pas possible pour lui avec les pseudos starlettes très racaille football club qui composent le PSG. Aurore évidemment, mais aussi Kurzawa (à la mentalité aussi détestable), et Veratti qui se prend pour Pirlo, mais qui est plus une bimbo. Leonardo et Ancelotti avaient créé une équipe hors foot de France. C'était la bonne méthode, il faudra faire une grosse vidange dans l'effectif. 

Sinon la déclaration du chef de la haute autorité des primaires de gauche à 13h pour annoncer le nom des 7 candidats étaient à mourir de rire. Farfelue, pour reprendre un mot utilisée 3 fois. De la belle novlangue socialiste. Bon courage aux citoyens qui dépenseront un euro pour une élection très Solferino, qui en tous cas ne me concerne pas. 
Je pense quand même que l'électeur de gauche (socialiste) doit avoir le même goût amer que j'ai à l'issue de cette année. Je dis "goût dans la bouche" parçe que "douleur dans le cul" aurait été vulgaire...

Mais perso j'ai un peu mal.

mardi 13 décembre 2016

Laudun un matin de décembre

Joie de voir une belle église illuminée d'un joli soleil de décembre. Les couleurs sont différentes quand le froid pique le visage...

A part ça bébé 2 est cloué au lit d'une grippe qui donne une température sympathique. A quelques jours des vacances de la fin de l'année, je me dis que c'est ce qui me pend au nez aussi.
Mais avec la fatigue qui est la mienne, physique et morale, cela ne serait guère surprenant.

Et encore à part ça rien. Sinon que le Gard regorge de jolis villages...

dimanche 11 décembre 2016

Mickey ne va pas bien

Il boit de la vodka russe. Elle est très bonne la Parliement, mais pauvre Mickey...

Il est comme ça depuis qu'il a vu le meeting de Macron, qu'il a trouvé grotesque (surtout la fin où il craque complètement...). Il a subi les candidatures des très dispensables Alliot-Marie et Peillon à la présidentielle. Il voit sa république piétiner par des politicards qui ont échoué et se sont essuyés sur elles prétendre concourir à la présidentielle. On se rappelle des vacances en Tunisie, et des rythmes scolaires. Des réussites.
Et il est fatigué Mickey.

Alors il boit de la vodka. Russe. Comme la numéro 3 de son gouvernement qui considère que Cuba est une démocratie et que Castro était un grand homme qui a fait avancer l'humanisme et le monde dans le bon sens a été maintenue au gouvernement, il ne trouve pas choquant de faire honneur à la Russie de Poutine.

Mais il est fatigué Mickey. Il n'est pas le seul...

jeudi 8 décembre 2016

La France est sauvée 2

J'ai peur que Jean-François Placé ait lui aussi envie de sauver la France, et de se présenter...

Sinon la République en a un peu plein le cul de ces blagues, serait il possible de la respecter ? Merci pour elle (et pour nous)

mercredi 7 décembre 2016

La France est sauvée

L'apparatchik Peillon est candidat ! La France l'attendait...
Il ne manquerait plus qu'on nous dise que l'autre apparatchik Le Roux est nommé Ministre de l'Interieur, et que Royal et Placé sont au gouvernement, et la blague serait totale.

Le jeune parent d'élève (et ancien élu local) que je suis a vu les ravages des rythmes scolaires, dogmatiques et pénalisantes pour les familles, les enfants, les profs et les communes. Mais tellement socialistes...
Et puis je retrouve quelques vieux billets où je me revois tout ce que représente Peillon. Opportunisme politique, dogmatisme, haine. Et positionnement idéologique que je trouve abject et dangereux. Et en plus, c'est un prétentieux notoire... 

Soyons sérieux et arrêtons d'insulter la politique et la république.

Sinon Ségolène Royal est toujours ministre. On est peut être en train d'avoir un scandale d'état (en plus d'être moral). Ses dernières déclarations à l'Assemblée Nationale devrait suffire à la disqualifier et à l'exclure du gouvernement de notre République. 

vendredi 2 décembre 2016

Automne gardois et François Hollande

D'habitude je réserve ces photos pour mon grenier. Mais il fait froid, et je me dis que bientôt le rouge et l'orange de l'automne aura disparu chez moi... Période de transition, de sacrée transition...

J'avais préparé ces photos sur Blogger hier soir, en buvant mon whisky ce soir, la cheminé allumée. J'attendais tranquillement le weekend, qui m'amènera vers Lyon ce soir.

Je me disais que j'étais épuisé. J'ai pas mal de soucis au boulot. Une grosse fatigue physique et morale, qui se traduit par ces fameux maux de dos qui clouent sur le canapé, impossible de bouger. Je me disais que la soirée serait tranquille, courte aussi car je n'avais pas prévu de dormir tôt.

Et puis est arrivé le moment où il était dit que François Hollande devait parler à 20 heures. C'était pas prévu...


"Ben putain", c'était ma réaction quand j'ai entendu sa conclusion. On s'en doutait en le voyant. Je ne reconnaissais pas François Hollande, physiquement. Je ne le reconnaissais pas... Fatigué, pas si bien que ça.

Pour un jeudi soir qui devait être tranquille, c'est malin...

"Ben putain", c'est la réaction que j'ai eu début Novembre quand BFM TV m'annonçait dès potron-minet que Trump était largement en avance. "Ben putain", c'est moi y a 10 jours quand Fillon est annoncé à 45% au premier tour.
Ben putain, ça aura été mon mot de l'automne...

Politiquement, ce n'est pas une découverte que je ne suis pas un fan de François Hollande. J'écoutais la défense de son bilan, avec un point de vue et des sensations très différentes. Si je devais juste voir ma position personnelle et professionnelle, ce mandat aura été une catastrophe. Pour pleins de raisons, dont certaines que je n'ai jamais cité ici. 

Après, je ne sais pas si c'est de la grandeur, de l'élégance ou du courage d'avoir annoncé ne pas se représenter. Je ne sais pas si c'est de l'honnêteté aussi. J'ai eu l'impression, peut être à tort, que tout ce mandat n'a été que calcul et jeux politiques. Pour finalement arriver à ça... 
Il est évident que la primaire de la droite a fait sans doute du dégât. Je ne sais pas...


Comme j'ai déjà dit ici, je respecte les gens qui ont cru en François Hollande, comme je respecte les gens qui croient en quelqu'un ou en quelque chose. J'ai de la tendresse pour certains d'entre eux. Et j'imagine que hier soir, certains ont pu se retrouver bizarre.
Pour autant, je n'ai pas une considération très grande pour la personne de François Hollande. Je pense qu'il aura fait, au final, beaucoup de mal à la parole politique. Des renoncements, il y en a eu bien avant celui du 1er décembre. J'ai toujours le souvenir de la TVA sociale, qui finalement a été maintenu alors que quelques mois avant, le PS tractait contre la TVA Sarkozy.
J'ai aussi le souvenir de ma campagne municipale, où la parole pendant la campagne ne passait pas. Souvent j'ai entendu des "oh vous savez, l’ennemi de François Hollande c'était finance, alors les paroles en campagne...".

L'automne est une jolie période. Cette automne là aura été une période riche. Des moments où l'histoire se joue. On en reparlera dans les écoles plus tard.
Je ne sais pas ce qui va se passer maintenant. Mais qui pouvait prédire cette période ?

Ce qui va se passer pour moi, c'est un weekend tranquille dans le froid de Lyon, entre Saône et Rhône. Et c'est très bien comme ça.