Bizarre et désagréable quand on a l'impression qu'une part de nous s'en va, qu'une part de notre patrimoine se décroche. Qu'une part de France, finalement, disparait. Désagréables sensations, et un peu triste aussi...
Bienvenue dans ma maison.
Ici, Le respect qui accompagne la critique et le débat est le bienvenu. Insulte ou attaque personnelle (sur moi ou autres) non. Et il est interdit de venir casser les couilles du taulier que je suis (et des autres commentateurs).
Anonymes, passe ton chemin.
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moi c'est un peu de ma jeunesse. Parce que nous fumes voisins. Et qu'il appartenait à un monde où l'on pouvait cottoyer des acteurs, ou auteurs, sans se jeter dessus et sans qu'ils s'y attendent
RépondreSupprimerFais comme moi : écoute Europe1 !
RépondreSupprimerLancelot, c'est malin (et trés drole ^__^)
RépondreSupprimerEnfin, ça fait chier quand même.
J'ai une toute petite anecdote sur Monsieur Brialy.
RépondreSupprimerJ'ai été très jeune. Et j'avais besoin de quelque argent pour payer mon loyer. Je travaillais donc comme réceptionniste dans un hôtel de Strasbourg.
Jean-Claude Brialy est venu y dormir pour une nuit. Le lendemain, avant de repartir, et en attendant que je daigne bienlui établir sa note, il me proposa "mon petit, vous voulez que je vous signe un autographe ?". Etant donné au'il avait refusé d'en signer un pour Marie, l'une des femmes de chambre (qui, je dois avoir l'honneteté de le dire, l'avait pris au dépourvu et au saut du lit), je lui avait dit "oui, pour Marie"... Il a été surpris, mais il a été parfaitement courtois et l'a signé, ainsi qu'un chèque de sa compagnie de théatre.
Avant de partir, il m'a regardé profondément et m'a simplement demandé "vos yeux sont de quelle couleur, je n'arrive pas à y voir bien avec cette lumière". Il avait gagné, j'étais déstabilisé.
Bruno, c'est magnifique et poignant. Merci du témoignage
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