Les batailles de chiffres m'amusent toujours : "Entre 997 000 et 3 millions de manifestants partout en France...". Du simple au triple. Selon la police, selon les syndicats...
Bizarre, je n'arrive à trouver ni l'une ni l'autre des sources convaincante et objective...
Enfin, il a fait beau en Provence et à Lyon : c'est le plus important !
Eh Eh ! Lu sur Twitter aujourd'hui :
RépondreSupprimer"Aujourd'hui, 10 juillet selon la police, 7 novembre selon les syndicats #selonlapolice"
Mwarf !
Zgur (en vadrouille)
Il faisait beau, j'ai plus tendance à croire la police (mais j'avoue croire assez peu à ces syndicats aussi objectifs que le bon Frédéric Lefebvre...)
RépondreSupprimerCe qui m'étonne, c'est que depuis le temps, les observateurs (journalistes) n'aient pas trouvé une méthode de comptage a peu près juste et impartiale...mais non, on a toujours droit aux sempiternels "selon la police et selon les syndicats", ils ne pourraient pas se bouger un peu les doigts du c..., après tout, leur job ce n'est pas de répéter comme des perroquets les chiffres des prefs et des syndicats, bref de se mouiller un peu (enfin c'est comme ça que je vois les choses)
RépondreSupprimerParce que si on suit leur logique, si les prefs et les syndicats ne communiquaient pas leurs chiffres (juste une fois comme ça, par pur esprit taquin)qu'est-ce qu'ils diraient les journalistes, hein?!
Tu as raison sur le boulot des journalistes, que tu connais mieux que moi.
RépondreSupprimerAprès qu'ils taisent les chiffres ? Mais pour se faire mousser, ils vont forcément les publier, normal...
Enfin oui. Drole et ridicule à la fois...
http://www.lemonde.fr/societe/infographie/2009/03/18/les-differentes-methodes-de-comptage-pendant-les-manifestations_1169272_3224.html
RépondreSupprimeron voit bien que les méthodes sont a peu près similaires, alors qu'est-ce qui empêche les journalistes de se poster aux mêmes endroits?
Mais c'est sur que c'est plus peinard d'être dans son petit bureau et d'attendre les dépêches.
D'expérience, chaque fois qu'il y a une manif, un seul journaliste (quand il y en a un)est envoyé pour couvrir l'évènement et systématiquement il revient avec un petit micro-trottoir et hop il a le sentiment du devoir accompli.
Une dernière pour la route qui m'a bien fait marrer:
RépondreSupprimer" Dans tous ces chiffres, on s'y perd, c'est humain. C'est ainsi qu'un tweet de la préfecture de police de Paris nous annonce que «la manifestation du jeudi 23 septembre comptabilise 80 000 manifestants de moins que celle du 7 septembre». Laquelle avait réuni, toujours selon la préfecture, «80 000 manifestants». Récapitulons: 80 000 - 80 000 = ... pas de manifestation du tout à Paris."
très très fort:)))
source libé http://www.liberation.fr/societe/01012291961-bernard-thibault-la-mobilisation-va-etre-forte (voir le tweet de 16h00)
Bonsoir
RépondreSupprimerComment passer de 65% de grévistes effectifs dans l’éducation nationale à 35% dans les médias ?
Lors de la grève du 23 mars 2010, et probablement de manière plus systématique lors des autres grèves, dans mon académie, le Rectorat a utilisé de drôles de procédés pour minimiser les taux de grévistes dans les établissements scolaires.
Il a demandé aux chefs d’établissement de prendre le nombre de profs absents attendus à 8h et de diviser par le nombre total de professeurs de leur établissement. Ainsi les grévistes qui commençaient normalement à 9h, 10h, etc… ont été comptés comme non-grévistes ! Dans le calcul étaient aussi comptés le chef d’établissement lui-même, les profs absents pour maladie, congé de maternité, de formation et autres. Tout ce petit monde était donc considéré comme non-gréviste. De plus il a été demandé aux chefs d’établissement de ne faire remonter que les pourcentages, pas les chiffres. Afin d’empêcher toute vérification ultérieure ?
Enfin, lors d’une autre journée de grève, il n’a finalement été tenu compte que de deux collèges, choisis avec soin j’imagine, sensés représenter tout notre département …
D’où viennent de telles infos ? Pas d’une énième rumeur du net, mais de la bouche de certains chefs d’établissement. Les syndicalistes sont partout, le rectorat semble l’avoir oublié !
Evidemment, affirmer cela dans un commentaire sur un blog a peu de poids et même peu de crédit pour les sceptiques. Et pourtant c’est vrai, et relativement facile à vérifier de la part des médias. Il suffit d’enquêter, de croiser les infos au lieu de servir de simple relais médiatique au ministre. Jouer le rôle de contre-pouvoir, quoi …
Cela éviterait (sait-on jamais …) par exemple à JP Pernaut de dire au 13h en parlant des écarts de chiffres « De qui se moque-t-on ? » Pour une fois, je suis d’accord avec JPP …
Trop long, mon message ? Censuré, car déplaisant ? Ou erreur de ma part ?
RépondreSupprimerManuel, "censuré" ??? (il faudrait arrêter tous de vous croire au Chili de Pinochet et de vous penser tellement intelligent et épris de liberté que tous les autres sont des vilains censeurs...)
RépondreSupprimerIl se trouve que Blogger a considéré ton commentaire (qui vaut ce qu'il vaut et vu ta réaction je n'ai même pas envie de le commenter...) comme un spam. Et je n'avais pas vu.
Je le "déspamme". Il serait dommage que la blogosphère se prive de ton commentaire.
Sinon, un point quand même. Ici je suis chez moi. Si quelque chose ou quelqu'un me déplait, je supprime. De la censure ? Non, mais juste j'ai envie de recevoir qui je veux chez moi, et si c'est quelqu'un qui insulte, qui m'insulte, ou qui me casse les bonbons, je le vire.
Il me semble, Manuel M, que je n'ai jamais agit de la sorte avec toi. Donc censure non. Mais truc technique qui fait que Blogger a considéré ton commentaire comme du spam, oui.
Ca va comme ça ?
Nouvelle tentative : erreur 503. C’est quoi ça ?
RépondreSupprimerDe mémoire donc, je recommence. Je ne souhaite pas rester sur un malentendu.
1. Je suis très surpris par la réaction d’hostilité que j’ai suscité. J’ai dû dire un gros mot …
Je vous demandais simplement une explication sur la non-parution de mon commentaire. Explication que vous ne me deviez évidemment pas. Simple curiosité de ma part. Mais visiblement je ne possède pas les codes.
2. Je ne poste jamais de brillants commentaires. Ceux qui souhaitent s’y essayer devraient il me semble créer un blog.
3. Je ne viens pas vous insulter chez vous. Je n’aime pas les polémiques, surtout violentes. Ni provoquer d’ailleurs. Et puis la vie est courte, et nous avons mieux à faire je pense.
4. Mon commentaire était juste informatif. C’est selon moi un des intérêts des blogs : des échanges d’informations (malheureusement pas toujours vérifiables). Et Internet a l’avantage de l’indépendance sur les médias traditionnels. Et je pense avoir été dans le sujet.
5. Bonsoir.
Rapide réponse (parce que elle va vraiment être hostile, ma réaction, et qu'aujourd'hui n'a pas été une bonne journée pour moi : désolé tu tombes mal)
RépondreSupprimer1 - Je l'ai déjà dit, on peut se tutoyer...
1' - crier à la censure n'est pas une question de code ou quoi que ce soit, c'est idiot. Et nous ne sommes pas en dictature, malgré ce que pense certains...
2 - Tes commentaires sont plutôt bon. Et tu semblais être triste que le dernier soit passé à la trappe (ie ironie chez moi)
3 - on peut toujours se tutoyer. Et quand je parlais d'insulte je ne pensais pas à toi (d'ailleurs ais je supprimé un seul de tes commentaires ? non, mais je crois qu'il n'y a qu'une personne qui n'est pas le bienvenu chez moi...)
3' - tu as raison. La vie est courte, je viens encore de m'en rendre compte aujourd'hui (c'est la période)
4 - commentaire informatif. Avec mot "censure" que j'ai mal pris. C'est là que je présente mes regrets.
5 - Idem. Passe une bonne soirée (et évite de crier à la censure de partout, la France n'est pas Cuba...)
Soulagé, je suis !
RépondreSupprimerCdt