Un moment que je n'ai pas parlé de politique... Ce n'est pas un drame, je n'ai rien à dire.
Alors je parle d'un chat, qui squatte mon jardin. Qui est adorable. Il y a plusieurs chats qui trainent par chez nous, mais ce petit chaton est le seul qui veuille se faire caresser par mes douces mains allergiques à ces mignons minous.
Et tout à l'heure, surprise en levant les yeux au ciel, en direction de mon toit...
Il était bloqué le pauvre petit biquet. Et il tournait, miaulait. J'ignore comment il a réussi à grimper sur mon toit, et sans doute lui aussi... Mais le fait est là.
Alors j'ai pris une échelle. Et l'allergique au chat que je suis n'a écouté que mon coeur, qui ne peut pas ne pas battre quand il voit ces mignons petits minous.
Bon, j'ai pris mon appareil photo aussi : ça peut faire un billet de blog que je pensais...
Et finalement, en ce dimanche avant une élection présidentielle, j'en ponds un billet sans grand intérêt sur un chat qui se balade dans mon jardin...
Et pourtant je l'aime bien ce billet... Et je l'aime bien ce chat.
Parler politique, je laisse l'activité à mes copains qui croient en un camp ou un candidat. Ou qui veulent absolument la défaite d'un camp ou d'un candidat.
Ce n'est pas mon cas. Je pense savoir contre qui je voterai. Je ne sais pas qui aura mon suffrage. Et finalement ce n'est pas bien important, ça ne changera pas la face du monde, de mon pays, de mon village, savoir pour qui je voterai, ou pas.
Et quelque part, j'imagine que le petit chat s'en cognait complétement de cette question, à cet instant où il se demandait comment descendre...
Alors je parle d'un chat, qui squatte mon jardin. Qui est adorable. Il y a plusieurs chats qui trainent par chez nous, mais ce petit chaton est le seul qui veuille se faire caresser par mes douces mains allergiques à ces mignons minous.
Et tout à l'heure, surprise en levant les yeux au ciel, en direction de mon toit...
Il était bloqué le pauvre petit biquet. Et il tournait, miaulait. J'ignore comment il a réussi à grimper sur mon toit, et sans doute lui aussi... Mais le fait est là.
Alors j'ai pris une échelle. Et l'allergique au chat que je suis n'a écouté que mon coeur, qui ne peut pas ne pas battre quand il voit ces mignons petits minous.
Bon, j'ai pris mon appareil photo aussi : ça peut faire un billet de blog que je pensais...
Et finalement, en ce dimanche avant une élection présidentielle, j'en ponds un billet sans grand intérêt sur un chat qui se balade dans mon jardin...
Et pourtant je l'aime bien ce billet... Et je l'aime bien ce chat.
Parler politique, je laisse l'activité à mes copains qui croient en un camp ou un candidat. Ou qui veulent absolument la défaite d'un camp ou d'un candidat.
Ce n'est pas mon cas. Je pense savoir contre qui je voterai. Je ne sais pas qui aura mon suffrage. Et finalement ce n'est pas bien important, ça ne changera pas la face du monde, de mon pays, de mon village, savoir pour qui je voterai, ou pas.
Et quelque part, j'imagine que le petit chat s'en cognait complétement de cette question, à cet instant où il se demandait comment descendre...
Joli billet, presque émouvant...
RépondreSupprimerJe ne suis pas loin de penser la même chose que toi.
Trop joli ! ...
RépondreSupprimerPour la politique, avec le grand coeur du Faucon et de la Falconette de ce doux logis, m'étonnerait pas que les votes aillent dans le sens qu'avec sa simplicité courageuse, Corinne Lepage a donné, sans faire de chichis ! ... Franchement, elle est trop !
Estelle, en tous cas c'est marrant de sauver un chat.
RépondreSupprimerLady, Lepage, c'est pas elle qui était chiraquienne en 1995, Lepagienne en 2002, Bayrou en 2007, Europe Ecologie en 2009 et Socialiste aujourd'hui ?
'_' Ah ah, je le savais que la seule partie en pierre de ton coeur était sur mon étagère... ;)
RépondreSupprimerQuel effet ça fait de porter secours au plus bel animal de cette planète ? Je suis sure que tu en avais les larmes aux yeux. ^^
Galac, merci :)
SupprimerTu as raison, j'avais les larmes aux yeux, et des boutons qui grattent sous le cou :-)
Bisous