"Moi président de la République, je ne serai pas le chef de la majorité, je ne recevrai pas les parlementaires de la majorité à l'Elysée" comme il le disait. C'était la deuxième strophe de la grande anaphore de l'entre-deux tours.
Et puis aujourd'hui on apprend que : "Ce sera une grande première : un dîner de chefs. Chef de l'État et chefs
des partis de la majorité se retrouvent lundi soir à l'Élysée. La présence de Jean-Marc Ayrault est également prévue et viendra compléter celles d'Harlem Désir (PS), Pascal Durand (ELLV), Jean-Michel Baylet (PRG), Jean-Luc Laurent (MRC) et Robert Hue (MUP).
Ah bon... On espère pour eux et pour la France qu'ils mangeront bien... Le reste, finalement...
C'est un prétexte pour empoisonner Harlem Désir, discrètement.
RépondreSupprimerNicolas,
SupprimerS'il fait pareil avec le gars d'ELLV je te promets que je ne dirai rien.
Tant qu'il ne touche pas à JL Laurent, mon Maire !
SupprimerNicolas,
SupprimerIl reste suffisamment peu de MRC pour les garder en bon état
Pas reussi à retrouver un billet où tu disais le même truc sur Sarko
RépondreSupprimerRomain,
Supprimertu as très mal cherché (et je te trouve malhonnête sur ce coup là).
Et même, si tel était le cas, où est le problème ? Pourquoi me demander à moi d'être "objectif" (je n'ai jamais prétendu l'être) et pas à d'autres ?
Mais peut être Sarkozy a fait moins de promesses de "changement tout ça" qu'a fait Hollande... (peut être)
ce ne sont pas des parlementaires qui seraient bien trop nombreux, comme le faisait sarkozy, là il s'agit de 4 à 5 personnes, ça n'a évidemment rien de commun
RépondreSupprimerMelclalex,
SupprimerMais Sarkozy n'avait rien promis sur ce point là. Il n'avait pas fait en 2007 des grandes phrases "je ne serais pas le chef de la majorité".
Franchement, que le président invite qui il veut, je m'en moque. Cela m'amuse simplement que de sa grande tirade célèbre, le deuxième point soit déjà obsolète.
Et puis bon... Vous avez Sarkozy à la bouche, c'est bien. Ca ne vous échappera pas qu'il a été battu et que ce n'est plus lui qui est au pouvoir.
Bon appétit Messieurs...tiens, ça me rappelle quelque chose...
RépondreSupprimerTu sais bien que les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent...
RépondreSupprimerTambour,
SupprimerMais je croyais que le changement tout ça..,
Hum... S'il s'était juste tu, on ne s'en navrerait pas, comme tu dis, il invite qui il veut. Mais s'il s'était tu, aurait-il gagné ? Ou encore, autre raisonnement : Il a essayé de tenir ses promesses et remarqué que ça ne marchait pas...
RépondreSupprimerBlandine,
SupprimerJe ne sais même s'il a essayé de tenir ses promesses (et celle là, franchement, elle est petite). Mais je n'en sais rien.
Nous voyons simplement la limite de l'exercice, et de provoquer pendant la campagne une certaine attente (en terme de méthodes, de comportements, de manière de gouverner). Surtout quand un an après, on se rend compte que finalement le changement est peut être pas si évident que ça.
Mais nous sommes d'accord. Cette bouffe est un non événement. Qui ne me choque pas en tant que telle.
Mais deuxième phrase de l'anaphore quand même...
Moyuais, tu veux que je te dise ce qui me fait sourire ? Bien des gens grâce à ce non fait auront appris le mot anaphore :p
SupprimerBlandine,
SupprimerC'est vrai.
j'ai peur qu'au prochain débat un candidat fasse des alexandrins
Chiche, je veux même bien être nègre !
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