lundi 5 octobre 2015

L'homme qui souriait et la lionne blanche sont tristes

Le titre est long. J'aurais simplement pu écrire que Kurt Wallander, juste lui, est triste. Il avait déjà perdu son papa durant la saga. Il vient de perdre son concepteur.
J'aimais vraiment Henning Mankell. Depuis le professeur de danse que j'avais lu dans la salle d'attente d'un irm pour mon dos, il m'a accompagné depuis 2007... J'aimais vraiment ce qu'il écrivait, sa plume, son héros, ses héros (car tous ses personnages sont attachants)

J'étais déjà pas bien joyeux. Je suis vraiment triste là...

1 commentaire:

  1. J'ai éprouvé exactement la même chose que toi.
    Ses romans étaient bien plus que des polars, on sentait y vivre la Suède.

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