Je dis souvent que l’actualité de l’Olympique de Marseille le week-end dicte le ton que va prendre ma semaine.
Heureusement qu’il y a un match en semaine pour tenter d’éviter qu’elle ne soit totalement pourrie, vu comment elle a commencé.
À la machine à café, j’étais fatigué. Hier soir, je ne dois pas avoir vu beaucoup de tours du GP du Mexique.
Mais j’étais convaincu que j’aurais trois jours en fin de semaine pour finir d’hiverner ma piscine.
Pourquoi trois jours ? Parce que ça doit faire depuis le début du mois que je vis dans une erreur magistrale,
qui ce matin m’est tombée dessus comme une baffe dans la joue droite.
Quand quelqu’un me dit : « Pourquoi tu parles de semaine de quatre jours ? Tu poses un jour de vacances ! »
Et moi de rigoler, avant de réaliser que le mois d’octobre compte bien 31 jours.
J’étais persuadé que le 1er novembre tombait un vendredi. Et non… Dégringolade dans l’escalier du réel.
Je me préparais depuis un moment à une semaine de quatre jours.
Chute à l’arrière du peloton.
Un moment de vie. Il y en a eu d’autres aujourd’hui, moins amusants.
Mais dans le monde dadaïste de l’entreprise, autant sourire de ses conneries.
Elles permettent de relativiser d’autres moments qui ne sont « pas graves »,
mais qui pèsent quand même un peu sur les gonades.
Même s’il reste encore quatre jours avant de fondre sur le canapé, je sens que la piscine va attendre.
Encore quatre jours avant le week-end… (et non trois)
(Espérons que mercredi, Marseille fasse un bon match contre Angers. Ce sera déjà ça.)
J'ai posé mon jeudi et mon vendredi après-midi pour supporter cette semaine !
RépondreSupprimerIl y a bien longtemps j'ai eu une blague avec mon dentiste qui me proposait un rendez-vous le 29 février. Pendant un instant j'ai cru qu'il se fichait de moi (c'est un rigolo qui blague souvent), ou se trompait, avant de me souvenir que c'était une année bissextile :o)
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