J’avais écrit ce dimanche un billet « j’espère
qu’ils ne sont pas en train de gagner ». L’Islam radical contre notre civilisation,
contre nos valeurs. Je suis servi…
Les exemples continuent, et viennent de partout de dans le
monde. Aujourd’hui, le
Japon, ce pays que j’aime…
Ce qui me fait le plus mal, c’est que j’ai l’impression que ce
n’est même pas une victoire de cet islam radical et violent. Non, je crains que
ça soit « nous » qui perdons. Par forfait. Parce qu’on a décidé de ne
pas lutter, de ne plus lutter. De s’écraser.
Je reprends souvent mon exemple de Marseille
cet été. La police contrôle une femme en burka. Des jeunes s’agacent et
tabassent les policiers. Le procureur de la république demande que tout le
monde soit relâché, et qu’aucune poursuite ne soit engagée, dans « un
soucis d’apaisement en plein ramadan ».
Et je reprendrai l’interview
de l’ancien maire socialiste de Conflans-Saint-Honorine en exemple : « …
J'ai reçu la visite du procureur de la République qui m'a confié que des ordres avaient été donnés pour qu'on
ferme les yeux sur le port de la burka afin de ne pas reproduire les
émeutes qui, à la suite d'un contrôle de police, avaient mis le feu à Trappes à
l'été 2013 »
Et sur les derniers exemples, on a Facebook, qui indique que
son réseau
social censurera les caricatures de Mahomet selon les pays qui le demandent.
La Turquie par exemple, qui veut toujours faire son entrée dans l’Europe.
Après que notre Président de la République soit allé s’agenouiller
en Arabie Saoudite pour rendre un hommage plus que symbolique à un Roi grandement
critiquable est une anecdote (ou une faute) de plus…
L’après 7 Janvier est une somme de signaux inquiétants, qui
viennent d’un peu de partout dans le monde. Inquiétant, vraiment…
Putain de bordel ! Juppé aurait été président de la République, il aurait été aux cérémonies pour l'autre guignol et tu t'en serais réjoui.
RépondreSupprimerA part ça, c'est nippon ni mauvais.
Non, pas de procès d'intention à mon égard s'il te plait (merci). J'aurais trouvé ça aussi scandaleux, et j'en aurais probablement consacré un billet entier pour le dénoncer.
SupprimerComme les billets que j'écrivais quand les positions de Sarkozy ou de Chirac me navraient. Celle là fait davantage que de me navrer : c'est une faute.