mercredi 20 août 2025

Sois gentil parfait et fais des efforts (les 5 drivers d'Eric Berne)

Eric Berne est un mec génial
. Il m'a changé ma vie. Il est le fondateur de l’Analyse Transactionnelle.

Freud a montré des choses. Lui a montré combien notre enfance influence notre façon d’agir, de penser et de ressentir. Parmi ses apports, on trouve les drivers (ou messages contraignants).  J'ai bientôt 50 ans et je suis toujours prisonnier de ses drivers, même si des gens (des psy, des docteurs, des proches, des amis...) m'ont permis de me rendre compte du gouffre (car ça en un) dans lequel tu tombes si tu... Si tu je sais pas. J'allais dire "conscient" mais je pense que c'est même pas ça. 
C'est une version pas évidente de la vie car elle nous rammene à l'enfant, au rôle enfant parent. Et à 47 ans, quand on (mes parents ou d'autres) viennent appuyer sur le morceau du dos qui fait mal, ça fait "ouille". Et tu tombes. Mais personne de t'entendra, personne ne te rammassera... 

Les 5 drivers : 
1/ - "Sois parfait". Donc rammène moi un 18/20 sinon puni de Club Dorothée,
2/ - "Fais des effort". Sans effort le résultat n'est rien donc combien de calories as tu dépensé ? 
3/ - "Fais vite". Tu es sympa mais le monde tourne donc bouge toi le cul
4/ - "Sois gentil". Sois sympa avec les gens et montre qu'on a envie de toi.
5 /- "Sois fort". Si tu pleures t'es un pédé, donc tu as des couilles tu es fort. 

A titre perso le 5 j'ai vite laché. 
Le 1 aussi. Le 3 jamais eu. J'ai toujours eu le 2 et le 4. Le 4 me guide, j'ai envie d'aider et envie (besoin) d'être aimé. Si je vais plus loin dans les questions fondamentales, d'être accepté, voulu. 

C'est horrible car quand on commence à bosser, sauf à etre méga conscient, on part avec ces 5 boulets.

Je donne des cours industriels et scientifique (Maitre de Conférence, Hastag jemetouche). Mais j'aimerais donner un cours sur ces 5 drivers. 

Je laisse la main à des gens compétents. Merci Juliette. 

Par contre je connais le danger de l'analyse transactionnelle. Lire Eric Berne, le Professeur Peter, connaitre Kalpsman et le PCM ne font de nous des super-héros, ou simplement des conseils. 
Et certains connaissent ces éléments. Et s'en servent pour eux, et faire du mal aux autres. J'ai été une victime d'une pro du triangle émotionnel. Elle s'en ventait.
A titre perso, ces connaissances me servent à aider des gens que je considère comme bien. Et je le fais avec la connaissance que j'en ai. 

Mais je peux dire que mes années de boulot m'ont ammené à ses connaissances. Je n'ai peut être pas envie d'être dans ce bordel de Peter. Où j'ai atteint mon niveau et de compétence, et d'acceptation.

Les vacances sont des moments pour réfléchir à tout ça. 

mardi 19 août 2025

Pélerinage au Stade Vélodrome



Ce matin, nous étions debout tôt. Départ Marseille, passage par l'Estaque et stygmates de cet incendie. Puis le Tunnel Prado Carrénage, et des rues que je connais par coeur. Pour visiter deux cathédrales, avec les enfants. 

Le premier le Vélodrome, le stade. Qui ne sera jamais Orange. J'en ai connu trois de Vélodrome. Celui de Papin, celui de la Coupe du Monde 1998' (un raté) et le dernier, fantastique.
La défaite contre Rennes, le mélodrame sur Rabiot et Rowe liste des transferts, on s'en fout. Marseille a réussi à faire de son stade un musée.

Ensuite le bus pour faire le Vieux Port Notre Dame de la Garde. Avec quand même, une vue sur la tour où j'ai vécu, et le Stade Vélodrome.

Je pense que j'ai le sang bleu et blanc. Mes enfants aussi, même s'il y un peu de vert. 

Morceau de vacances.  

dimanche 17 août 2025

Panne du blues du dimanche soir.

Je viens de finir un nouveau Connelly aujourd'hui sur la piscine. "Jusqu'à l'impensable". Bosch et Haller ensemble. J'ai grillé au soleil, mais quel bonheur. 

Demain je vois mon kiné. Le dos va bien et la cheville aussi. Preuve la balance : poids qui baisse, taux de muscles qui montent. Youpi.

La suite ? Visite de Marseille avec les deux bébés, le Vélodrome, Notre Dame de la Garde, et je les ammenerai à mon coin à moi. Les Goudes.
Puis le Forez. Ils veulent visiter St Etienne. On le fera. On fera le musée d'Art Moderne, pour rire. Et on déambulera dans la ville. Si on a le temps, les mines. 

Avec Falconette, nous avons prévu nuit à Macon avec avant / après musée Duboeuf, Roche de Solutré, Tournus. Bref, le coin.

Ce soir il fait chaud, très chaud. Fête à Roquemaure. Je laisse à Chat le soin de l'image. 

Pour autant je pense à mon stagiaire et à des amis qui reprennent demain le boulot. Mais ma chef m'a dit que au boulot, nous n'avions pas d'amis. Nous sommes PCM base Orange, mais je crois qu'y a un soucis... (je n'adhère pas à cette injonction, je continuerai à appeler tous les 15 jours celui qui m'a recruté). 

PS : je ne prends pas les remarques de Chat GPT sur mon écriture. J'ai un style, il est pas forcément génial. Mais j'aime, en lui rappelant mon tropisme animé / manga / film / jeux vidéos / pop culture, une image. Elle me plait celle là
Mais je vais laisser un peu Sangoku tranquille.

samedi 16 août 2025

Ca chauffe déjà

Retour d'une semaine à 2000 m d'altitudes. Joies de marches avec l'After foot dans les oreilles en montant, avec la cheville et le dos qui tient. 
Joie des moments de rien, juste lire en deux minutes Aujourd'hui en France pour faire le mot croisé.

Joie de se faire baiser à Uno par la famille, mais de leur mettre des branlées au Petit Bac. Je vais acheter un Trivial Poursuite post je ne sais plus bien quand, celui que j'ai date de l'URSS (mais est il démodé vu l'actualité). 

Hier j'ai eu deux moments particuliers. Un appartement à la montagne c'est chouette, mais petit. Je me suis levé d'un endroit sacré (le poète l'appelera une cabane au fond du jardin) un peu vite. Un meuble. Bing, choc sur la tête. Des étoiles... Une journée hier par bien car un choc sur la tête, ça fait mal.

Et le soir... Rennes Marseille. J'ai Ligue1+, tout va bien. Rennes à 10, carton rouge. et à la 92eme minute coup de poignard. But de Rennes. Aie... Déjà crise à Marseille. 
Parlons foot, j'ai trouvé l'équipe mieux en défense. Mais en attaque rien, pauvre. Il faisait chaud ? Pour Rennes aussi. Rongier et Merlin m'ont donné des regrets...

Ce soir retour dans le Gard. Je viens de regarder le thermomètre : 31°C. C'est beaucoup. La piscine ne me rafraichit pas. Mais content d'être rentré. 

Je ne parlerai du fiasco diplomatique franco - russe. Nous avons des mauvais en France. Par contre quand on pense aux droits de douane où notre représentante Ursula Von der Leyen nous a fait qu'on a ouvert les fesses devant un brochet... 
Un brocher, dans notre langage, c'est une personne qui a une grosse bouche et une petite queue. Trump est un brochet. Fantastique, mais brochet quand même. Le petit russe est venu, il l'a tourné, retourné, re-retourné. Et retour à Moscou. Ca s'appelle le Rennes Marseille de hier soir. Sauf qu'en Ukraine des gens meurent. 

J'ai chaud. J'ai encore deux semaines de vacances. Je prépare la suite. Elle sera particulière (mes amis parlent de "vacances à la Faucon", le tour de sous préfecture. Quand j'irais à la présidentielle, je dirai que j'ai été élu, que j'ai travaillé, et que je connais la France, moâ). 

Ce soir coup de mou. Coup de chaud. 

vendredi 15 août 2025

Joyeux 15 Aout et bonne fête Marie


Y a des jours fériés festifs, et qui rappellent nos racines. J'aime le 15 Aout. Photo de la Vierge du Sapey, dans le Forez, que je rencontrerai dans une semaine.

Toujours dans les Alpes. il fait beau, presque frais. On est bien. On a Ligue1+, prêts pour Rennes Marseille ce soir. 

mercredi 13 août 2025

Repos à Notre-Dame de la Salette et quelques idées en réserve

Dans les endroits que j’aime quand je viens à Orcières-Merlette, il y a cette route de 1h20 qui nous mène aux portes de l’Isère. De préférence tôt le matin, direction Notre-Dame de la Salette.
Le sanctuaire est immense, mais à cette heure-là, même à la veille du 15 août et de la fête de la Vierge, on croise peu de monde. On profite alors d’un joli soleil, dans un calme rare.

La route est superbe. Bonne nouvelle : l’Arkana hybride automatique se comporte très bien en montagne. Souvent en électrique en descente et sur plat, avec de la pêche en montée. Elle surpasse sans mal nos anciennes familiales, Kadjar et 3008 diesel.

Juste quelques photos de vacances. 

Je parlerai plus tard de ce “partage” (annexion, redécoupage...) que les Américains proposeraient pour mettre fin à la guerre en Russie (et si la gauche pouvait s’offusquer autant de l’invasion russe que de celle de la Palestine, ça serait sympa).
De ces deux jours fériés supprimés qui ne passent pas, et des mesures contre les gens qui travaillent que propose Bayrou.
Je lui rappellerai qu’un bon projet s’appuie sur un objectif atteignable. 50 milliards d’économies sans toucher au gras de l’État, ça ne fonctionne pas. Mieux vaut viser plus modeste. Ce sera déjà difficile.

J’ai aussi une idée pour augmenter le temps de travail… intelligemment. Indolore, même, pour les cadres qui explosent déjà les 35 heures hebdomadaires.

Mais pour l'instant je suis en vacances. Et c'est bien. 

dimanche 10 août 2025

Un dimanche soir dans ma montagne

Orcières Merlette. Je garde un peu le PC allumé en cette fin de journée, avant d'attendre des amis de Roquemaure qui sont venus à Merlette (je crois pleins de gens que je connais à 3h30 de chez moi). Mais je suis serein. 
Des bières sont au frais (y en a moins qu'à la maison), ainsi qu'une paire de bouteilles de vin. 

Je suis peu l'actualité. J'ai vu que St Etienne a commencé par un match nul encourageant à Laval. C'est bien. On a regardé, en rentrant de marché, sur un site portuguais, un match amical de l'USAM Nimes contre Porto (du handball). 
Et je rentre de faire des mots croisés. C'est génial. 

Rien de plus à dire. Un billet à ne rien dire. 

A lire billet intéressant de Nicolas qui me répond. Il n'est pas d'accord avec moi mais pas de soucis : il a le mérite de remettre des éléments factuels à sa place. J'aime cette manière de bloguer : on n'est pas dans les blogwars à la con de la période Sarkozy, mais dans une discussion adulte. Nous le sommes tous, adultes et amis. 

Je vais cliquer sur "envoi" avant que les personnes arrivent. Bloguer pendant les vacances c'est bien, surtout quand on est cool. 

(Par contre pas de blues du dimanche soir, c'est bien)

vendredi 8 août 2025

Vacances et conseil constitutionnel

Je suis en vacances depuis hier soir.
Content, serein. Ce matin, je suis allé courrir à la fraiche. 5 km, pas plus mais c'est bien. Le dos et la cheville tienne. Nettoyage de la piscine, préparation des affaires pour partir demain à la montagne. Deconnecté, mais pas trop quand même. Juste ce qu'il faut.

A l'époque bénie des blogs nous avions une question "faut il bloguer en Aout ?". Bien sur, si le coeur nous en dit. Sans doute que la semaine prochaine, l'appli Blogmachin que j'ai sur l'iPhone ou sur l'iPad sera remise en marche. Pour vous envoyer des cartes postales de paysages de montagne. Ou pour gueuler si j'ai mal au dos ou à ma France.

D'ailleurs gueuler j'ai failli hier. Le conseil constitutionnel censure la réintroduction de l’acétamipride. Elle valide le reste de la loi, mais quand même le symbole est fort. Quand les tribunaux ou le conseil constitutionnel fait de la politique, ça me gonfle.
Je suis scientifique et je lis des choses qui ne me font pas tomber de ma chaise. Un produit utilisé dans toute l'Europe, mais parce qu'une Sandrine Rousseau ou une gauche se fout que des filières agricoles meurent pour des raisons idéologiques, une institution politisée tue une profession. C'est grave.
Si les agriculteurs rebloquent les ronds points à la rentrée, ça ne me dérangera pas. 

C'est quand même fou cette gauche qui se bat contre ceux qui les nourrit. Qui va signer une pétition et ira manger des betteraves et des légumes importés de pays qui, eux, utilisent l'insecticide. Comme je disais chez mon ami Nicolas, ces bobos feraient mieux de manger une bonne viande française. Mais la viande, c'est mal aussi... (Dur d'être de gauche, c'est pourquoi j'ai jamais essayé... Pas la force morale et mentale)

A part ça rien. Content de me poser...

jeudi 7 août 2025

Face au feu : un souvenir qui brûle encore

J’ai été élu local de 2001 à 2014. J’ai commencé jeune, et j’ai fini jeune. En 2002 et 2003, j’ai connu les grandes inondations qui ont frappé le Gard. Je me souviens avoir traversé le village en barque pour apporter de l’eau potable aux sinistrés. C’était particulier, surréaliste même.
En 2010, autre épisode marquant : une neige incroyable s’est abattue sur la région. J’étais alors vice-président de la communauté de communes, en charge des personnels, dont les équipes techniques. Cet épisode s’est soldé pour moi par une mauvaise chute, une entorse, et un mois d’arrêt. Ce fut aussi l’occasion de découvrir Assassin’s Creed et Uncharted. Un drôle de souvenir.

Mais l’épisode qui m’a le plus marqué, reste un incendie, dans mon village d’enfance. Le feu est parti vite, et il a rapidement menacé l’école communale, installée sur une colline de chênes. On a évacué tous les enfants à la mairie.
Puis un fonctionnaire de l’académie est venu nous reprocher notre décision. Il a dit que nous avions été imprudents. Le maire – médecin de profession – l’a très mal pris. Il était furieux. Et derrière cette colère, il y avait la peur, bien réelle : celle de perdre le contrôle.

Les inondations, c’était statique. L’eau monte, lentement, on peut gérer. En 2002, il y a pourtant eu des morts, emportés par les eaux de ruissellement.
Mais le feu… le feu, c’est autre chose. C’est incontrôlable. Ça va vite. C’est le vent, c’est la panique, c’est le risque immédiat.


Hier soir, en rentrant du boulot, je suivais un utilitaire qui roulait à fond, puis le type a balancé un mégot par la fenêtre. J’ai eu envie de le rattraper, de coller ma Mégane en mode sport, de lui faire une queue de poisson à ce connard. Mais bon… à quoi bon ?
Je pense aux pompiers de l’Aude, aujourd’hui, face à un front de feu long de 90 kilomètres. Un coin que je connais, que j’adore. À ces habitants qui ont perdu leur maison. En juillet, des amis ont vu les flammes arriver jusqu’à leur jardin aux Pennes-Mirabeau. Leur maison a tenu. Le feu n’a "fait que" brûler le jardin.

L'image est inspirée de Fire Force, un animé où des pompiers sont des héros, face à flammes démoniaques. L'ogre qui ravage les Corbières l'est assurément démoniaque. À l’heure où j’écris ces lignes, rien ne dit quand — ni comment — cette histoire se terminera.

Pensées émues pour les pompiers, et pour les habitants de l’Aude.

lundi 4 août 2025

Changeons les noms de nos partis politiques

Discussions intéressantes suite à mon billet d’hier, et quelques commentaires qui m’ont fait sourire.
Certains ont été hypés par mes images IA, d’autres se sont laissés embarquer dans les souvenirs de foot et de vacances. Puis il y a eu l’aspect politique.
C’est là-dessus que j’ai envie d’écrire ce soir, après une discussion avec Nicolas et Juliette sur les « changements de noms » en politique.


Renaissance, d’abord.
Gabriel Attal veut à la fois « tuer le père » en se détachant de Macron, et éviter la confusion Renaissance / Reconquête. Bref, il cherche un nouveau nom pour son parti — que je qualifierais, si j’étais moqueur, de Playmobil : l’Assemblée LREM 2017-2022, trop lisse, incolore, inodore… et pour beaucoup, battue en 2022.

Au mieux, une troupe d’opportunistes de 2017 qui ont couru derrière le vainqueur. 2022, c’était autre chose. Je vais l’aider, je suis gentil.
Gabriel Attal se veut rassembleur du bloc central. Un bloc central, donc « uni », et plutôt libéral.
Je lui propose donc : Centre Unitaire Libéral. 
Je suis convaincu que, dans une classe politique en quête de renouveau, le C.U.L pourrait faire son trou.

Plus sérieusement (ou pas), il faudrait aussi que LR change de nom.

Deux raisons : En finir avec l’héritage sarkozyste, qui a été un délire pour la droite. Rompre avec l’image même de la looserie politique.
L’UMP, c’était une marque, chiraquienne d’abord, puis préemptée par Sarkozy. Bon, il faudrait éviter de ressortir un lipdub aussi catastrophique que celui de 2010 (on bloguait déjà à l’époque…), mais la plupart des jeunes UMP d’alors ont depuis rejoint les macronistes. Aujourd’hui, c’est surtout l’aile RPR qui reste.

Or LR, aujourd’hui, reste d’essence gaulliste. Et je pense que la République est en danger. A cause de LFI principalement, qui devrait être notre adversaire politique prioritaire.
Je verrais donc bien renaître l’UDR : Union pour la Défense de la République.
Ou, pour remonter encore plus loin, le RPF : Rassemblement du Peuple Français.

Il reste des marques fortes. Le PS en est une : ce n’est pas de nom qu’il faut changer, mais de dirigeants. Si j’étais leur conseiller, je virerais Faure et je reviendrais à une social-démocratie ancrée dans la classe ouvrière.
Pour le reste : LFI et RN ont pris racine. Du chiendent ils sont là.
PC et EELV : rien à dire.

Modem… bon. L’UDI existe-t-elle encore ? Et DLF ? Mystère. 

Après changer de nom ne fait pas tout. Mais on en reparlera un autre jour. Là, j'ai du rosé sur la table.
(Chat m'a trouvé une image que je trouve marrante...)

dimanche 3 août 2025

Dimanche soir avant vacances...

Un dimanche soir avant trois semaines de vacances. Quel pied. Dans quelques jours je serais à 2000 mètres, et je laisserai l'iphone l'ipad et le PC pour un truc fabuleux. Les mots croisés de l'été du parisien. 

Dimanche soir... Je sais que la dernière semaine avant fermeture est dure.

Sinon, morceau de vie. Falconette est partie avec deux amies, écouter je n'ai toujours pas compris quoi aux théatre antique d'Orange. Profitez c'est génial. 

les deux enfants se battaient pour me demander une vidéo. Mon plus match était la question du deuxième. J'ai déjà le 5-4 du Marseille Montpellier où j'étais. France Brésil France Italie... Et je me souviens d'un Lyon Marseille 5-5. Gros match.
J'aurais du mal à ne pas oublier mardi et agressions d'une connaissance et de ma chef. Le dos est un réceptable, mais je pense qu'on est tous fatigués. 

Mon dos va mieux. J'ai un combo docteur kiné super.

A part ça...

A part ça de rie de voir de "Renaissance", un parti sans colonne vertébrale, veut changer de nom. Car trop proche du parti de Zemmour... L'opportunisme est souvent comparable avec l'incompétence. Qui nous dirige depuis 2017. Bientôt fini.

Le reste.. C'est le risque nucléaire de deux tarés, Poutine et Trump. Ca ne me fait pas du tout sourire....

samedi 2 août 2025

NostalJOie

À quelques encablures de mes vacances, je me surprends à replonger dans hier. Je suis comme ça : mélancolique incurable.

Je m’attendais à un été tendu, presque dramatique. J’avais tort. Les JO ont été une parenthèse enchantée… dans un pays sans gouvernement. C’est ironique, et ça ne m’empêche pas d’en vouloir encore à Emmanuel Macron pour sa dissolution, à un moment où la France avait besoin de calme.

En boucle dans mes oreilles : Kavinsky, Angèle, Parade… Et sur YouTube, je retombe sur Skyfall. J’adore. Ça me ramène à mon premier cinéma « en ami » — L’Arme Fatale 3 — avec la fille que j’aimais en troisième. C’était au cinéma de la rue de la République. Et c’était It’s Probably Me.

Le dos toujours en vrac, je m’installe dans le passé. Le maître de conférence que je suis (titre obtenu sous un Premier ministre gaulliste, merci le gouvernement Barnier) devrait sans doute donner une leçon ici — même si ce n’est pas mon domaine. Mais parfois, le maître de conférence, et l’homme de mon âge, se mettent d’accord : il y a du bon à s’asseoir dans le canapé de ses meilleurs souvenirs.

vendredi 1 août 2025

Pleins (et surtout mal) au dos

Un échange vif et désagréable avec une connaissance, tôt le matin, sur Twitter. De vieux souvenirs qui remontent, et et des souffrances qui piquent encore. Puis un mail au boulot de ma hiérarchie, mal pris. Résultat : deux blessures invisibles.

Dans l’après-midi, une douleur a commencé à descendre dans le bas du dos. Le soir, ça tirait, mais je tenais debout.

Mercredi, j’étais un petit vieux. À 9h, je marchais encore. À midi, j’étais bloqué. Merci la boîte auto pour rentrer chez moi. Le kiné devait s’occuper de ma cheville ? Changement de programme… Il a trouvé le noeud qui me faisait souffrir... Mais je n'arrivais plus à marcher le soir. 

Jeudi, passage chez le médecin. Consultation express : la position parlait pour moi. Lombalgie violente. Pas de nerf touché, donc « de la chance », paraît-il. Mauvais mouvement ? Non. Juste un corps qui dit stop. J’ai raconté mon mardi, ma fatigue. Le médecin a hoché la tête. Et m’a donné kiné + anti-inflammatoires. À moi de réparer ce dos et… de ménager le reste.

Vacances dans une semaine, à la montagne. En espérant que d’ici là, dos et chevilles se soient mis d’accord pour me laisser respirer.