Le scrutin d’après mariage aura donné une demi-surprise. Demi, car comme j’avais écris samedi en lisant le dernier sondage IPSOS, il était possible de prévoir que la vague accoucherait d’une vaguelette. Et que la victoire de l’UMP soit moins un triomphe humiliant le PS qu’une victoire réelle de l’UMP, mais pas écrasante. Je trouve que c’est une bonne nouvelle.
Mon premier commentaire reste quand même celui là. Si le PS a gagné le deuxième tour après avoir loupé totalement le premier (et aussi les présidentielles), la victoire de l’UMP et du camp majoritaire reste incontestable. Première fois depuis 30 ans que la majorité sortante est reconduite, cela reste une belle victoire. Et si défaite de PS il y a, c’est plus sur cette incapacité à prendre le train de l’alternance qui devait s’arrêter dans à gauche de la gare.
Mon premier commentaire reste quand même celui là. Si le PS a gagné le deuxième tour après avoir loupé totalement le premier (et aussi les présidentielles), la victoire de l’UMP et du camp majoritaire reste incontestable. Première fois depuis 30 ans que la majorité sortante est reconduite, cela reste une belle victoire. Et si défaite de PS il y a, c’est plus sur cette incapacité à prendre le train de l’alternance qui devait s’arrêter dans à gauche de la gare.
C'est aussi un peu pourquoi la tendance du PS à célébrer des défaite (que ce soit Royal à 20h02 le 6 mai au soir, un peu avant d'aller feter la défaite à Solférino, ou le PS hier soir) me surprend un peu. Et je trouve même qu'il y a un peu d'indescence. Enfin bon, vive la politique.
On en vient à la deuxième analyse de ce second tour, en paraphrasant notre ami Claude Askolovitch hier soir sur ITélévision. Les éléphants sont de retour, et ça se voit.
La tactique de gauche menée par Ségolène Royal à la présidentielle s’est soldée par un échec. Tentative de campagne résolument jeune et moderne, pour ne pas dire people. Démocratie participative, internet souriant et insouciant, mise en avant du coté « femme ». Coté idées et projets ? « on verra plus tard, ce sera le rôle du premier ministre, pas du Président », répondait elle à Sarkozy au débat d’entre deux tours. D’où aussi ce sentiment de fourre très amateur de cette campagne. Cette tactique là n’a pas marché.
Autre tactique infructueuse, la diabolisation de Sarkozy. Je m’y suis opposé et cette diabolisation a, entre autre et personnellement, consolidé mon intention de vote du deuxième tour en faveur du candidat UMP. Là encore, pour les présidentielle, ce fut inefficace.
Enfin, discours caricaturaux et faciles avant et au soir du premier tour. « il ne faut pas que la droite aient tous les pouvoirs » ou « politique pour les riches ». Facile et combien de fois entendus ? Résultat du premier tour, mené par Royal et par une ambiance de mort par les candidats de gauche qui pensaient aller à l’abattoir : un échec et un début de vague bleue.
Et puis les Fabius, Strass-Kahn, un peu Hollande, bref, les éléphants, reprennent les choses en main. Les petits enfants de Désirs d’Avenir sont priés de retourner dans leurs chambres, les adultes reviennent ! Fabius a lancé la contre attaque sur un sujet de fond (quoique l’on peut en discuter la légitimité), la TVA sociale. Et pendant que Royal batifolait avec le Modem, Fabius, DSK, Hollande, Delanoé, tous ont ferraillé sur un sujet politique. On peut être pour ou contre leurs arguments, mais c’était politiquement brillant. Le résultat est là : la vague a été drôlement endiguée.
Que se serait il passé si la gauche avait vraiment fait de la politique en 2007 ? Avec un projet, sur des idées ? Si DK ou Fabius eut été candidat ? Si y avait eu une ligne claire et une campagne efficace ? Personne ne le saura, mais je pose la question.
Ensuite, troisième point, la non vague, ou plutot la simple brise marine et bleue. Je suis satisfait que la majorité ne soit pas écrasante. J’ai le souvenir de 2002. Grosse majorité. Et comme en 95’, Chirac se recroqueville sur ses amis et gouverne de manière autiste. 97’ est une branlée. En 2002 re-belotte, Raffarin gouverne sans écouter, tout seul avec ses amis qui sont plus nombreux. 2004 aux régionales : branlée bis. Je pense important qu’il y ait une majorité plurielle, pas trop forte, avec une opposition pour dire « attention ! ». Je suis donc satisfait du résultat.
Pour terminer, mes joies et mes déceptions personnelles. Un peu plus de 550 scrutins, tout ne peut pas être parfait.
Je suis triste pour Alain Juppé. Je suis, d’un degré moindre, triste pour le Professeur Dubernard à Lyon. Les anciens RPR gaulliste, ma famille, ont pris mal, et j’aime ces hommes, j’aime les gaullistes de haut niveau. Et j’aime profondément, personnellement, affectueusement, Alain Juppé. Donc je suis triste, humainement et personnellement triste. Bien que j’accepte le scrutin.
Ensuite, si on prohibe encore Juppé sur sa condamnation antérieure, dans ce cas il faut être cohérent et logique, que l’on soit de droite ou de gauche. Emmanuelli ne doit pas être réélu, il a eu le même type de condamnation. JeanPaul Huchon doit démissionner de son poste de président d’Ile de France et ne pas se présenter sur le plateau de France 2 pour représenter le PS en soirée électorale. On ne peut pas être incohérent.
Enfin, c’est très dommage pour le grand ministère de l’environnement. Juppé est un grand nom. Et plus qu’un grand nom, c’est un grand talent. Un homme d’Etat de premier plan pour une cause de premier plan. La défaite de Juppé qui fait tant plaisir aux Verts (qui sont autant écologistes que moi fan de rap) risque d’être un coup très dur pour cette cause.
Pour autant, je ne suis pas triste des défaites de Carignon, de Klarsfeld, même du juge Bruguière. Je suis triste de la défaite de mon ami Jeanny Lorgeoux à Romorantin, mais heureux de son bon score, et de son excellent dans sa bonne vile de Romorantin. Heureux que les candidats PS Dosière dans l’Aisne et Pinville en Charente aient bouté hors de leurs circonscriptions les candidats « officiels » du PS (dont le parachuté Boutih qui en plus a le toupet de cracher dans la soupe et sur Hollande, dommage c'est un mec bien). Triste que les parachutés professionnels PS Guigou, Lang (dont j’ai déjà parlé…) et Fillipetti, soient élus députés. Triste qu’à droite ce soit la même chose pour Perben à Lyon, ou à un degrés différent (mais une tristesse un peu plus violente), de la victoire de Gilles Vanneste dans le Nord.
Enfin, heureux, sincèrement heureux, que des personnalités importantes comme Bayrou ou DSK, et sympathique comme Lassalle, soient réélus.
Je termine quand même sur Ségolène Royal. Je trouve dommage (voire grave) qu’elle ne soit pas députée. Elle a respecté sa parole de non cumul, très bien. Sauf que si celle qui veut être leader de la gauche n’est pas à l’Assemblée enlève encore de l’importance à cette institution qui ne devient plus qu’une obscure chambre d’enregistrement. Si la vie se fait à Bruxelles, à Strasbourg ou à l’Elysée, ça sert à quoi un Parlement si en plus les figures importantes n’y sont pas ?
Enfin sur l’histoire entre Hollande et Royal officiellement finie hier soir. J’ai dis plus haut que c’est bien qu’à gauche les pros et les bons aient repris la main. Et puis les « choses sérieuses », le coté people reprend. Avec une question sur cette présidentielle, mise en relief par le livre « Femme Fatale ».
On en vient à la deuxième analyse de ce second tour, en paraphrasant notre ami Claude Askolovitch hier soir sur ITélévision. Les éléphants sont de retour, et ça se voit.
La tactique de gauche menée par Ségolène Royal à la présidentielle s’est soldée par un échec. Tentative de campagne résolument jeune et moderne, pour ne pas dire people. Démocratie participative, internet souriant et insouciant, mise en avant du coté « femme ». Coté idées et projets ? « on verra plus tard, ce sera le rôle du premier ministre, pas du Président », répondait elle à Sarkozy au débat d’entre deux tours. D’où aussi ce sentiment de fourre très amateur de cette campagne. Cette tactique là n’a pas marché.
Autre tactique infructueuse, la diabolisation de Sarkozy. Je m’y suis opposé et cette diabolisation a, entre autre et personnellement, consolidé mon intention de vote du deuxième tour en faveur du candidat UMP. Là encore, pour les présidentielle, ce fut inefficace.
Enfin, discours caricaturaux et faciles avant et au soir du premier tour. « il ne faut pas que la droite aient tous les pouvoirs » ou « politique pour les riches ». Facile et combien de fois entendus ? Résultat du premier tour, mené par Royal et par une ambiance de mort par les candidats de gauche qui pensaient aller à l’abattoir : un échec et un début de vague bleue.
Et puis les Fabius, Strass-Kahn, un peu Hollande, bref, les éléphants, reprennent les choses en main. Les petits enfants de Désirs d’Avenir sont priés de retourner dans leurs chambres, les adultes reviennent ! Fabius a lancé la contre attaque sur un sujet de fond (quoique l’on peut en discuter la légitimité), la TVA sociale. Et pendant que Royal batifolait avec le Modem, Fabius, DSK, Hollande, Delanoé, tous ont ferraillé sur un sujet politique. On peut être pour ou contre leurs arguments, mais c’était politiquement brillant. Le résultat est là : la vague a été drôlement endiguée.
Que se serait il passé si la gauche avait vraiment fait de la politique en 2007 ? Avec un projet, sur des idées ? Si DK ou Fabius eut été candidat ? Si y avait eu une ligne claire et une campagne efficace ? Personne ne le saura, mais je pose la question.
Ensuite, troisième point, la non vague, ou plutot la simple brise marine et bleue. Je suis satisfait que la majorité ne soit pas écrasante. J’ai le souvenir de 2002. Grosse majorité. Et comme en 95’, Chirac se recroqueville sur ses amis et gouverne de manière autiste. 97’ est une branlée. En 2002 re-belotte, Raffarin gouverne sans écouter, tout seul avec ses amis qui sont plus nombreux. 2004 aux régionales : branlée bis. Je pense important qu’il y ait une majorité plurielle, pas trop forte, avec une opposition pour dire « attention ! ». Je suis donc satisfait du résultat.
Pour terminer, mes joies et mes déceptions personnelles. Un peu plus de 550 scrutins, tout ne peut pas être parfait.
Je suis triste pour Alain Juppé. Je suis, d’un degré moindre, triste pour le Professeur Dubernard à Lyon. Les anciens RPR gaulliste, ma famille, ont pris mal, et j’aime ces hommes, j’aime les gaullistes de haut niveau. Et j’aime profondément, personnellement, affectueusement, Alain Juppé. Donc je suis triste, humainement et personnellement triste. Bien que j’accepte le scrutin.
Ensuite, si on prohibe encore Juppé sur sa condamnation antérieure, dans ce cas il faut être cohérent et logique, que l’on soit de droite ou de gauche. Emmanuelli ne doit pas être réélu, il a eu le même type de condamnation. JeanPaul Huchon doit démissionner de son poste de président d’Ile de France et ne pas se présenter sur le plateau de France 2 pour représenter le PS en soirée électorale. On ne peut pas être incohérent.
Enfin, c’est très dommage pour le grand ministère de l’environnement. Juppé est un grand nom. Et plus qu’un grand nom, c’est un grand talent. Un homme d’Etat de premier plan pour une cause de premier plan. La défaite de Juppé qui fait tant plaisir aux Verts (qui sont autant écologistes que moi fan de rap) risque d’être un coup très dur pour cette cause.
Pour autant, je ne suis pas triste des défaites de Carignon, de Klarsfeld, même du juge Bruguière. Je suis triste de la défaite de mon ami Jeanny Lorgeoux à Romorantin, mais heureux de son bon score, et de son excellent dans sa bonne vile de Romorantin. Heureux que les candidats PS Dosière dans l’Aisne et Pinville en Charente aient bouté hors de leurs circonscriptions les candidats « officiels » du PS (dont le parachuté Boutih qui en plus a le toupet de cracher dans la soupe et sur Hollande, dommage c'est un mec bien). Triste que les parachutés professionnels PS Guigou, Lang (dont j’ai déjà parlé…) et Fillipetti, soient élus députés. Triste qu’à droite ce soit la même chose pour Perben à Lyon, ou à un degrés différent (mais une tristesse un peu plus violente), de la victoire de Gilles Vanneste dans le Nord.
Enfin, heureux, sincèrement heureux, que des personnalités importantes comme Bayrou ou DSK, et sympathique comme Lassalle, soient réélus.
Je termine quand même sur Ségolène Royal. Je trouve dommage (voire grave) qu’elle ne soit pas députée. Elle a respecté sa parole de non cumul, très bien. Sauf que si celle qui veut être leader de la gauche n’est pas à l’Assemblée enlève encore de l’importance à cette institution qui ne devient plus qu’une obscure chambre d’enregistrement. Si la vie se fait à Bruxelles, à Strasbourg ou à l’Elysée, ça sert à quoi un Parlement si en plus les figures importantes n’y sont pas ?
Enfin sur l’histoire entre Hollande et Royal officiellement finie hier soir. J’ai dis plus haut que c’est bien qu’à gauche les pros et les bons aient repris la main. Et puis les « choses sérieuses », le coté people reprend. Avec une question sur cette présidentielle, mise en relief par le livre « Femme Fatale ».
Et si cette présidentielle n’avait été que le simple moyen pour une femme de régler ses comptes avec son premier secrétaire de mari ? Et nous, électeurs, citoyens, dans l’histoire, témoin d’un invraisemblable règlement de compte familial ? Enorme, trop pour être vrai. Et pourtant, que se serait il passé si au soir du deuxième tour, une Royal vainqueur nous avait dit que finalement elle était célibataire à présent, ou du moins pas avec « l’officiel » ?
Je ne réclame pas la « transparence à tout prix ». Mais quand il s’agit de choses aussi importantes, à mes yeux, que la France, qu’une élection présidentielle, et que les protagonistes sont la candidate du premier parti de gauche, et le numéro 1 de ce parti, je réclame, j’exige, la transparence.
Voilà, les élections sont finies. Enfin. En Octobre, les sénatoriales. Je ne voterai sans doute pas. Et en Mars de l’an prochain, des municipales. J’espère en être. J’en serai.
Mais en attendant la suite des évènements, je ferai comme le chien sous la photo de dessous, prise au mariage la semaine passée (quel chouette mariage, où je me suis senti apprécié… soupir…). Repos de politique. Oh, je continuerai à alimenter mon blog de mes états d’ame, je préparerai les municipales. Mais le prochain bouquin que je lirai à la suite des « infiltrés » sera un bouquin tranquille. Peut être le « Parfum d’Adam », un thriller écologique. Pour définitivement tourner la page de ma déception Juppé ?
Je ne réclame pas la « transparence à tout prix ». Mais quand il s’agit de choses aussi importantes, à mes yeux, que la France, qu’une élection présidentielle, et que les protagonistes sont la candidate du premier parti de gauche, et le numéro 1 de ce parti, je réclame, j’exige, la transparence.
Voilà, les élections sont finies. Enfin. En Octobre, les sénatoriales. Je ne voterai sans doute pas. Et en Mars de l’an prochain, des municipales. J’espère en être. J’en serai.
Mais en attendant la suite des évènements, je ferai comme le chien sous la photo de dessous, prise au mariage la semaine passée (quel chouette mariage, où je me suis senti apprécié… soupir…). Repos de politique. Oh, je continuerai à alimenter mon blog de mes états d’ame, je préparerai les municipales. Mais le prochain bouquin que je lirai à la suite des « infiltrés » sera un bouquin tranquille. Peut être le « Parfum d’Adam », un thriller écologique. Pour définitivement tourner la page de ma déception Juppé ?
Hello dear friend,
RépondreSupprimerIl y a qq temps tu avais eu un "coup de mou" et tu n'avais pas ecrit pdt qq temps. Cette fois, cela a été moi et je note que toi, par contre, tu as eu un rythme plus que soutenu pendant ce temps. Il va me falloir rattraper tout ça! ... et c'est un plaisir!
Je te laisse donc, il faut que je te lise :-)
@ + ...
Salut à toi,
RépondreSupprimerFine analyse de ce qui vient de se passer (je dis fine car j'ai le même sentiment que toi). Je suis content de voir tout de même une assemblée un peu plus nuancée que ce qu'on nous avait pronostiqué à la fin du premier tour (bravo les instituts de sondage, encore à coté... je me demande bien combien coute un sondage car vu le résultat, autant rien demander) et c'est tant mieux. Dommage que le Modem n'ai pas fait le score escompté et n'a, en définitive, pas de groupe parlementaire.
Concernant le "nouveau centre", j'attends de voir mais j'ai bien l'impression qu'il ne s'agisse que de la caution "centriste" de l'ump, votant benoitement les propositions du gouvernement.
A propos de la mise au placard de Juppé, je pense qu'il faut y voir un désaveu d'un certain nombre de français qui sont, à priori, rancuniers. De quoi? Là est le problème : de sa condamnation? de son "passage" en tant de 1er ministre?
Comme quoi, on peut être très au fait de la fonction et passer à coté d'une autre chose totalement essentielle : le communication.
Concernant la "moralisation" (je déteste ce mot, trop connoté judéo-chrétien à mes yeux) de la vie politique, cela me semble une bonne chose de ne plus voir à l'affiche des personnes ayant déjà été condamnées... exit donc les Huchon, Balkany, Emmanuelli, Chabert et consorts.
Sinon, à titre local, je suis content que Chabert soit défait sur villeurbanne... un peu moins concernant la reconduction de Roubaud (c'est villeneuve qui doit être ravie) mais faut au PS d'avoir mis en face un homme comme Pissas, peu connu et surtout peu apprécié alors que... ;o)
Merci du compliment Pecky,
RépondreSupprimerConcernant Pissas, merci aux militants socialistes locaux. Comme pour le référendum européen, comme pour Segolene Royal, c'est eux qui ont désigné le candidat. Pas le meilleurs mais le "plus ami" avec tous. Il y avait un autre candidat possible, qui n'avait pas toujours été tendre avec le PS mais qui était peut être capable de faire localement un score. Clap clap clap aux militants qui sont parfois aussi brillants que les huiles et les éléphants.
Il n'y a quand même pas eu des primaires?
RépondreSupprimerTu me fais peur
Passe en privé cher ami, je t'expliquerai (ou passe à la maison quand tu descends dans le Gard).
RépondreSupprimerMais oui, comme pour les Grands, en Septembre (ou Octobre), les militants ont voté... Et on les applaudit bien fort.
un peu même chose par chez nous. Nous avions le choix entre deux dames. Celle ci n'était pas mon choix. Et je ne sais si j'avais raison ou non, mais il y a un fait acquis et l'échec semble donner des droits aux élections futures.
RépondreSupprimerPour Ségolèe Royal je ne veux à aucun pris d'elle,et suis de moins en moins seule.
J'aime bien que les hommes politiques fassent de la politique, d'autant que cela semble marcher.
Que j'envie le chien, enfin pas tout à fait parce que maintenant il m'est très souvent loisible de l'imiter
à propos d'accord pour Emmanuelli, même si l'ampleur est nettement moindre et s'il n'a pas ajouté la désinvolture du choix de son logement; même si pour cela il n'y avait pas faute pénalement punissable. Pour Huchon, il pourrait se mettre en retrait en l'attente d'un jugement.
RépondreSupprimerMais tu ne peux demander à une parisienne de ne pas en vouloir au RPR