Affichage des articles dont le libellé est ville. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est ville. Afficher tous les articles

dimanche 22 juillet 2018

Souvenirs d’Albi et envie de vacances

Un billet d’un dimanche où je commente en zappant entre piscine, tour de France et grand prix de formule 1. Un tour de France qui passe par le Tarn et pas loin d’Albi, qui est pour moi une des plus belles villes de France. 
Et un merveilleux souvenir de mes vacances d’Avril


 Ces photos me rappellent que j’ai vraiment besoin de vacances. Chaleur qui épuise les corps. Beaucoup de soucis au travail. Et une santé bof, avec une douleur entre les omoplates qui me donne mal à la tête. Je vieillis. 



Alors en attendant les vacances, je regarde des anciennes photos. Je le classe sur mon iPad. Non sans passer sur plus de places pour iCloud. J’en prends beaucoup.



Regarder le Tarn m’évite de regarder les chaînes informations. J’ai déjà dit dans mon billet précédent ce que je pense de « l’affaire ». Le pire est ce que je pense de cette majorité En Marche, et de me dire que certains députés auraient quand même pu l’être sous étiquette socialiste ou républicain. Cet opportunisme LREM c’est incroyable...

Et comme j’ai dit, ce nouveau monde politique nous fait regretter l’ancien. Hollande et Sarkozy n’étaient pas si mauvais que ça... le PS et l’UMP me manque quand je vois LREM et France Insoumise. 



Mais ça me manque moins que des vacances. J’en ai besoin.



Sinon Albi c’est juste très très très beau...

dimanche 4 février 2018

Paris de nuit

J’ai failli titrer « Paris by night », ce qui aurait été laid. Pourtant la semaine dernière ça faisait très « night » nos promenades après le repas. 


Le samedi soir entre Champs Élysée, Louvre et Opéra. 


En passant par l’église Saint Augustin (dont je me suis souvenu une connotation politique qui peut en émouvoir certains). Mais qui en elle même est très jolie, avec une statue de Jeanne d’Arc qui mérite mieux que d’être un symbole politique. 

Avec 30 kilomètres de marche par jour, nous étions en marche avc Falconette. Qui a souffert. Nous aurions pu être invité à manger par Emmanuel et Brigitte. Mais nous avons mangé à deux pas, dans une échoppe corse qui touchait la Place Beauveau. Une table magnifique.


Après le repas nous avons pris nos jambes direction une avenue cher aux amis de Michel Drucker et de l’histoire de Paris. Mais pour nous, c’est juste notre rue à nous et à notre premier fils que j’aime profondément.


Les photos du début Place de la Concorde. Passage par les tuileries. Avec toujours cette gêne devant des hommes, parfois avec des enfants, qui vivent à même le sol. Gêne et malaise. 
Puis on arrive au Louvre. Falconette était épuisée à ce moment là. 



Puis avec la musique de Hans Zimmer, tel un Robert Langdon, je me suis agenouillé devant la pyramide du Louvre, imaginant la femme de Jesus Marie-Madeleine enterré dessous. Une des scènes que j’aime beaucoup cette scène de film.


Puis le retour à l’hôtel, devant l’opéra.


Puis le square saint Étienne d’Orves qui accueille aussi une église superbe.


Paris est belle aussi de Nuit. Nous en avons profité la semaine dernière. J’avais envie de partager un petit peu...

mardi 30 janvier 2018

Carte postale de Paris en janvier

Un weekend sur Paris. Tous les deux, en laissant les enfants en bas chez papy et mamy. Pour profiter, pour marcher (beaucoup, presque 90 bornes...). Et revoir des quartiers, des endroits qu'on a vu pleins de fois. Mais qu'on redécouvre, avec un ciel bas et gris, tout bas. Et avec une Seine qui déborde de partout.


Quelques photos d'un provincial qui monte à Paris et veux voir certaines choses. Bien sur les alignements de l'Elysee. 


La Tour Eiffel même si les travaux sont penibles.

Les Champs Élysées. Le Fouquets était derrière moi quand je prenais cette photo.



Puis rive gauche, après avoir rit en passant devant Solférino. Quelques endroits supers. La Sorbonne,


L'église Saint Sulpice que le Da Vinci Code avait remis en avant.



Et des grandes rues où on Marche dans ce Paris du soir, de la fête mais pas que. Ici la promenade à Pigalle.



Passer du sexodrome au Senat c'est le charme de Paris.


Puis Notre Dame des Champs, une église au milieu du boulevard qui fait façe a Montparnasse, et doit se dire que les Champs s'était y a longtemps 


Fin de ce long billet par la pyramide. Oui elle a une symbolique qui insupportable certains, et oui même Macron s'en est emparé. Mais je trouve qu'elle est une fantastique image de la France que j'aime.


J'ai trop de photos à partager. Je ferai d'autres cartes postales, peut être plus longues. Ce soir je suis crevé...

vendredi 19 janvier 2018

Carte postale de Nîmes à Noël

Quelques photos prises une des dernières soirées de décembre 2017, dans ma capitale gardoise. Une carte postale de chez moi. 
Nimes est superbe. La Ville est candidate à l'Unesco et ca se voit dans les rues, dans l'ambiance. L'héritage chretien et Romain est magnifiquement mis en valeur, et Noël sublime l'ensemble.


J'étais à Avignon le lendemain et c'est terrifiant de voir le fossé qui se creuse entre les deux villes. La capitale vauclusienne, sous l'impulsion de sa majorité socialiste bien à gauche, a décidé d'avoir honte de son passé chretien. Et l'agglomération de droite fait elle n'importe quoi. 

Plus a l'Ouest, Nimes grandit, se développe, s'embellie. Avec l'âge elle est de plus en plus belle. Et l'hiver lui donne une autre teinte, chaleureuse. Romaine et provençale. 



Les enfants (les nôtres et ceux d'amis à nous) ont adoré gambader dans la Ville. Nous avons même découvert de nouveaux endroits. Plutôt des endroits que je ne connaissais pas. Nimes est plein de surprises. 




Les jardins de la fontaine sont forcément plus austères en hiver qu'aux beaux jours. Mais ils restent un endroit fantastique.



Billet "carte postale". J'adore les écrire. Et les cartes postales de chez moi sont très agréables à écrire aussi.



Nimes est belle.



dimanche 22 octobre 2017

Carte postale panoramique de Dijon

La place centrale de Dijon. Un endroit fascinant. Une petite place Saint Pierre.

J'ai beaucoup aimé Dijon

Sinon l'application Blogger pour iPhone et iPad est formidable et simple. Bordel, passez la en 64 bits Google !

jeudi 7 septembre 2017

Carte postale des hospices de Beaune (hôtel Dieu)

C'est difficile de prendre des jolis photos de cet endroit délicieux, pour deux raisons. Le soleil : y être un 14 Août à 15 heures, c'est avoir un fort soleil dans l'objectif. Le HDR ne fait pas tout...

Deuxième raison, c'est la difficulté à prendre des photos convenables en mode paysage. C'est endroit tout en long et en haut se prête au portrait. Sans doute un photographe expérimenté pourrait se débrouiller avec ces deux écueils. Mais moi non...

Mis à part ça c'était sympa et obligatoire de s'arrêter à l'Hotel Dieu de Beaune. Rebaptisé Hospices après le passage de révolutionnaires un peu obscurantistes sur les bords qui voulaient éradiquer (pensée insoumise) tout signe de chretienneté. Nos églises ont eu de la chance, en URSS les ancêtres des disciples soumis à Melenchon les ont brûlé et detruites...
C'est un joli endroit les hospices de Beaune. Je poste quelques photos de cartes postales pour marquer et partager ce passage. L'histoire est jolie, d'un couple de noble qui voulaient mettre leur fortune aux services des malades et des modestes. Wikipedia expliquera sans doute bien l'histoire.

La visite est agréable. On passe sur des orthographes anciennes qui peuvent faire drôles.

Et puis dedans on voit les hôpitaux dans une chapelle impressionnante. L'endroit est particulier...

Quelques photos rapides, postées en regardant les actualités. C'est terrifiant ce qui se passe chez. Oui aux Antilles. Je me souviens des inondations dans le Gard, qui furent des moments terrifiants en 2002. Je me souviens de ceux qu'ont vécu dès proches pendant les incendies cette année et l'année dernière.

Et pourtant j'ai l'impression que ce n'est rien par rapport à ce que vivent nos compagnons guadeloupéens...

La vie continue pour les autres. J'ai une modeste et personnelle 
pensée pour ceux qui ont vécu cet enfer climatique...





mardi 5 septembre 2017

Carte postale de Beaune

La semaine de rentrée me donne cette jolie occasion de revenir sur les beaux moments d'un délicieux mois d'Aout. Beaune était un de ces moments délicieux, dans un écrin chaleureux. Ecrin est un joli mot définir cette ville que enveloppe, qui serre contre elle, presque qui protège.

Dans toutes les villes et les villages, le républicain et le chrétien que je suis se télescopent. Je cherche toujours l'église et l’hôtel de ville. La croix et le drapeaux. C'est ma façon à moi d'être un homme et de me construire en construisant une société que je pense la plus top possible. 
Des églises à Beaune y en a pas mal. Et l’hôtel de ville est vraiment très joli. Pendant la révolution française les amis de Robespierre (et aujourd'hui de Mélenchon) aimait le sang et couper des croix. Il ne faut pas rejeter la République pour autant, et église et république vont bien ensemble.

Même si à Beaune, pour y revenir, des révolutionnaires zélés ont voulu éliminer tout signe de religion chrétienne de l'Hôtel Dieu, rebaptisé par leur soin "hospice de Beaune", parce que Dieu vaut mieux pas en parler quand on génocide la Vendée. 

Les Hospices de Beaune... Non elles ne sont pas dans cette carte postale. Cet endroit particulier mérite une carte postale juste pour lui.
Alors on continue à se balader dans Beaune. Et à voir des rues qui m'ont évoqué la Bretagne et Dinan. Cette place par exemple...

Je ne sais pas le prix de la bière sur cette place, mais sur une autre j'ai payé mon 50 cl de Leffe au prix exhorbitant de 10 €. Ca fait juste 20 € le litre de bière, et c'est un peu honteux. Bon, le touriste que je suis l'avais payé. J'en avais discuté sur mes résosocios persos avec des amis qui connaissent le cours du houblon, et ils m'avaient confirmé que décidément c'était un pur scandale.

Ce qui m'avait gonflé sur ce moment d'apéritif et de bière, c'était aussi les deux jeunes trous du cul à mèches qui devaient à peine excéder les 20 ans, qui nous ont sorti deux cigares gros comme le chibre à Makélélé, et qui nous ont empesté la terrasse. Le pire est que le papa, une table à coté, a donné le briquet pour allumer leurs gros goumis. Une famille riche de Bourgogne qui venait étaler leur richesse en emboucanant une table de bistrot ? Aucune idée, mais c'était le laid moment de mes vacances.

Alors autant continuer à marcher. Le ciel était très bleu ce jour là, et il faisait une chaleur incroyable ce 14 Aout. 

Ici l'église principale de Beaune. Mais il est tard, je donne demain un cours à St Etienne (donc je me lève tôt), j'ai la flemme de rechercher le nom de l'église. Mais elle est joli. Un peu bizarre et dure à prendre en photo, mais elle rend bien.

Et dans les villes l'été, y a le moment où le soleil est plus bas. A la mi Août, c'est mieux que début Juillet car arrive plus tôt. Alors à ce moment les lumières s'allument, les monuments prennent une teinte différente. Les places ne sont plus les mêmes. L'ambiance change. 

A Beaune, les bars à vin font sortir leurs clients. Oui, ça fait très bobo qui boit son verre de blanc payé hyper cher dehors, avec son pull sur les épaules. Mais c'est sympa. Et en vacances, quand on a bossé toute l'année pour quelques moments sympas de détente avec ceux qu'on aime, et bien c'est bien. 


Le reste c'est que la rentrée c'était hier. Après deux jours je suis presque épuisé, et j'ai deux jours de route (Professeur Faucon va professeur à St Etienne et Montpellier : ça tombe bien c'est à coté). Bah j'ai une semaine de podcast du Moscato show à écouter, je le ferai pendant mes heures de route.

Mais à Givors demain je tournerai à gauche et ne monterai pas jusqu'à Beaune. Tant pis...

mercredi 26 juillet 2017

Carte postale de Nîmes

Ce n'est pas parce que c'est chez moi et que mon chef lieu de département est fabuleux qu'il,ne faut pas pour autant photographier, et partager.


Les photos avaient été prises jeudi dernier. Les jeudis de Nîmes sont chouettes.

Sinon y avait Téléphone (pour les -30ans les Insus) le soir aux arènes de Nîmes. C'était bien.