Y a 15 ans, en 2010, j’avais une page Google où j’avais toutes les flux RSS de sites d’information. Je ne me souviens comment ça s’appelait (c’était pas Google Reader mais autre chose, bref pas d’importance). Je l’ai remplacé à uStart qui marche bien.
Bref, à l’époque pas de smartphone (j’en aurai un en 2020 2010 après avoir passé une journée aux urgences avec une cheville cassée, vive la neige) pour avoir les informations en direct.
Longue introduction pour lire ces mots : « Philippe Seguin est mort ». J’avais écrit un billet, que je relis avec nostalgie. C’était la belle époque des blogs. On parlait HADOPI, et pleins de choses.
Philippe Seguin, c’était la politique des convictions plus que des postes. C’était un humaniste réel, bienveillant mais force de conviction. Un gaulliste républicain attaché à la souveraineté de la nation.
C’est mon ami Julien Aubert qui m’a rappelé, par son tweet que je mets en illustration, cette nouvelle pas rigolote. Mon copain gaulliste vauclusien (à qui je souhaite une belle année 2025, et une 2026 encore plus belle, une ville où je suis né à besoin de quelqu’un de bien à sa tête) n’a pas oublié. Notre Seguin Jr :)
Pensée à Philippe Seguin, à Charles Pasqua, et aussi à Jacques Chirac. Ces trois-là étaient comme chiens et chats, mais c’était une ancienne politique où ça clopait et où y avait quand même un réel attachement à la nation.
Et où on respectait l’adversaire, même si on le combattait avec conviction. Et on ne dansait pas sur un cadavre : un autre temps, d’autres valeurs, d’autres personnes.