Affichage des articles dont le libellé est dimanche soir. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est dimanche soir. Afficher tous les articles

dimanche 15 juin 2025

Un dimanche soir presque comme les autres...

Il y a des semaines comme ça, où la vie vous bouscule sans prévenir. Des coups reçus en pleine poitrine, d’autres plus sourds, qui s’accumulent. Ce billet n’aura pas la légèreté des dimanches heureux. Il sera un peu en désordre, un peu cabossé. Comme moi.

Cela avait commencé par ce "repas de famille" qui m'a blessé. Mardi mercredi déplacement à côté de Bordeaux, très agréable. Sauf qu'au retour, en sortant de ma voiture, je me foule la cheville...

Vendredi, mon meilleur ami, témoin de mariage et témoin de ce repas de famille, m'appelle pour savoir comment je vais (je boite). Il me demande comme j'ai trouvé ma précédente Mégane (?). Je lui dit "très bien". Mais why this question ? Ben en fait parce que sa voiture a fini dans un platane et est morte pour cause de décès. Sauf que mon ami s'est endormi, et il a failli finir dans le même état que la voiture. Frissons...
Je lui ai dit de passer des examens. Que mon presque burn out de 2022 m'avait fait m'endormir sur la route et presque prendre un rond point tout droit. Que c'est grave. Que tout ça. 

Et hier. The last but the best. Dernier anglicisme promis. 
Ma meilleure amie d'enfance, qui me considère comme son grand frère, m'envoie une photo d'elle à l'hopital. Elle se fait soigner un cancer pas marrant. Elle ne m'avait rien dit parce qu'elle sait que je continue à être malheureux de la mort de mon ami, de mon frère, de mon président de promo que j'ai refusé de remplacer ne me considérant pas légitime et pas capable. J'ai fini la journée d'hier pas en forme. 

Demain je vois mon médecin, ami. J'aurais des choses à lui dire. Là, j'ai mal à la gorge... Et au ventre aussi, le blues du dimanche soir. 
Vous m'excuserez de boire quelque chose ce soir...

On parlera du député Delogu qui attends l'estimable Jérome Guedj à l'Assemblée nationale pour lui casser la gueule un autre jour... (la classe de LFI...)

dimanche 1 juin 2025

Le blues du dimanche soir commence tôt…

Demain, je retourne au travail. L’ai-je seulement quitté cette année en Mai ?

À 8h, j’accueille un stagiaire. À 12h, je file à Nîmes donner un cours. Et ce soir, en rangeant mon cartable mental, je réalise que j’ai oublié de corriger les copies du Master… Copies auxquelles j’ajoute un examen cette semaine. À corriger, donc.

J’ai en travers de la gorge ce séminaire que je viens de vivre. (pas trop vite, ni trop fort ni trop vrai et surtout pas de vagues).

Il a mis en lumière quelque chose que je n’osais pas nommer : j’ai un vrai problème avec ma N+1. Et ce n’est pas nouveau. 
Je l’ai défendue et je la défend encore et toujours. Je l’ai aidé à obtenir ce poste. Mais je n’y arrive plus. Elle accumule les erreurs de management, me materne, m’infantilise, m’ajoute des contraintes délirantes, et me met en conflit avec des collègues avec qui je dois au contraire entretenir de bonnes relations. Par maladresse et inconsciemment sand doute. Mais à force, c’est dur.

Un ami à moi, pourtant bienveillant à son égard, me disait n’avoir pas réussi à travailler avec elle. Je comprends. J’en suis là aussi.

Et puis, plus largement, je me rends compte que je suis un radical. J’ai du mal avec les gens qui disent une chose et en font une autre. « Faites ce que je prône, pas ce que je fais. »
Je ne supporte plus les discours en façade, les chartes de valeurs qui décorent sans guider, les postures de bienveillance qui masquent des logiques de carrière. Dire qu’on s’inquiète de son équipe (sincèrement peut-être) tout en gardant les yeux rivés vers le haut, ça m'est insupportable. 
Je préfère qu’on me dise franchement les choses. Je suis un adulte. Je peux entendre.

Ce que je ne supporte plus, ce sont les doubles discours. Les injonctions contradictoires. Les décisions qui désorganisent. Les contraintes qui infantilisent. 

Et pourtant, malgré tout ça, je continue de la défendre. Pourquoi ? Jusqu’à quand ? Par amitié, loyauté, fidélité ? Par choix ? 
Ou parce que j’ai déjà manqué de fidélité envers un chef qui était un ami. Et que ça me fait toujours mal aux entrailles.

Mais ce n’est pas qu’elle. C’est aussi le système. J’appréhende cette période jusqu’à l’été. Période floue. Tendue. Je ne sais même pas quand sont les vacances.
Chez nous, les vacances sont devenues un sujet de conflit. La hiérarchie se méfie de ceux qui voudraient respirer un peu. Il y a toujours à faire et bien sur "c'est urgent". Iinfantilisés mais indispensables : injonction contradictoire 2eme.
Avec un stagiaire, pas de télétravail possible, dit-elle. Même si ce n’est écrit nulle part.

Le conflit est latent. Il viendra.

Ce dimanche soir, ce n’est pas la finale PSG - Inter Milan qui me rend lourd. Le match était à sens unique. Paris n’est pas mon club, mais je suis (sincèrement) content pour ceux qui sont contents. J’aurais été triste pour eux s’ils avaient perdu. 
Je n’étais pas impliqué. Ma joie à moi, elle date de 1993. La tête de Boli. Celle-là, personne ne me l’enlèvera.

Non, le blues du dimanche soir a commencé dans la nuit de samedi à dimanche. Un rêve. Un cauchemar de boulot. Le genre de rêve où l’esprit, même endormi, ne trouve pas la paix. Et ça, c’est mauvais signe.

Le médecin du travail m’a convoqué. J’ai une prise de sang mercredi. On verra…

Je sais que je ne vais pas très bien. Et je sais que ce n’est pas rien d’avoir des mots pour le dire.

Blog en mode exutoire... Je vais aller boire un coup... (ma prise de sang)

dimanche 11 mai 2025

Résistance du dimanche soir (quand Muse enflammait le Stade Vélodrome)

Le 9 juillet 2017, dans une chaleur étouffante, je découvrais le nouveau Stade Vélodrome et ses alentours. Ce coin où j’avais vécu, dans la tour du Grand Pavois au rond-point du Prado, avait totalement changé. Le boulevard Michelet et ses boutiques chics. Et ce stade où, depuis, le Pape François est venu (lors d’une saison d’ailleurs horrible pour l’OM).

Le 9 juillet 2017, Muse venait chanter. J’ai utilisé la fonction “souvenir” de l’iPhone pour proposer ce clip. Avec ma chanson préférée du groupe, Resistance, qui… n’était même pas dans le concert.
En ce dimanche soir, je vous propose donc cette vidéo. Plus qu’un souvenir de live : une clameur, une image, une pulsation. Dans la cathédrale marseillaise.

Resistance. Dommage qu’elle n’ait pas résonné ce soir-là. Alors je l’ai fait à la place de Muse.
J’y ai vu quelque chose de plus grand que moi. Et dans le montage, j’ai voulu garder ce souffle. Ce soir, la vidéo est là : pour le plaisir des yeux, des oreilles… et de la mémoire.

Resistance, ça va bien avec l’époque, non ?


À part ça, que dire ?
Demain, c’est la reprise. Après dix jours à tailler, marcher, lire. Une parenthèse.
Trois jours de travail m’attendent. Mais trois jours denses. Une négociation mardi qui laissera des traces. Qui en laisse déjà, d’ailleurs, avec une hiérarchie dont la confiance en ses équipes ne va pas de soi…


Et puis le monde. Ce soir, sur BFM TV, Laurent Wauquiez débat avec l’ignoble Manuel Bompard. Je n’écouter pas. Laurent me fatigue, LFI m’insupporte. Mais Laurent Wauquiez a raison sur un point : il faut un cordon sanitaire vis-à-vis de LFI, comme ma famille gaulliste l’avait fait vis-à-vis du FN du Mélenchon borgne.
Résister, là aussi, c’est garder l’intelligence dans le débat. Et dans l’action publique.
Résister contre ce que représente LFI : violence, intolérance, instrumentalisation de la délinquance, communautarisme, racisme.

Et puis cette brutalité insupportable : ce pompier agressé volontairement à Evian, ce chauffeur sans permis qui roule et crache sur unhomme qui est là pour sauver des vie. Ça glace. On ne doit jamais s’habituer à cette sauvagerie. Résister, c’est aussi ne pas banaliser l’inhumain.
Bruno Retailleau a eu des mots des forts. Oui, il y a une brutalisation de la société. Ce connard qui a roulé deux fois sur le pompier et est venu lui cracher dessus ? Un sous homme. Il faut des sanctions fortes. 


Plus légèrement, Marseille a réussi son pari. Reste à transformer l’essai, terminer deuxième. Ce serait beau.
Saint-Étienne jouera sa vie la semaine prochaine. Il faudra gagner. Et nous serons tous Toulousains, le temps d’un match contre Le Havre.
J’aime les multiplex. Ça grouille, ça vibre, ça vit.


Et moi, je suis gaulliste chrétien. Pas dans la nostalgie, mais j'ai une boussole qui ne donne pas le sens du vent. Résister, c’est choisir. C'est tenir. C'est être aligné avec ses valeurs. 

Bonne fin de week-end à tous. Merci pour vos messages sur le billet précédent. J’aime bien, en ce moment, nos échanges et le retour de certain(e)s. C’est très agréable.
Et ça donne envie de réécrire

dimanche 4 mai 2025

Rivesaltes, dimanche de pluie & conclaves

Il pleut sur le Gard aujourd'hui. Une pluie fine, insistante, continue, comme si le ciel avait décidé de reprendre son souffle, lentement, après une semaine estivale. Une pluie douce qui pousse à ralentir et à se laisser tomber dans le canapé.
J’ai laissé tomber les grands projets de taille de mes lauriers sauces qui dépassent en hauteur la maison. et j’ai laissé "Souvenirs" de l’iPhone me suggérer cette vidéo, tournée un jour de sécheresse, mais sous un ciel pareil — lourd, blanc, opaque. C'était y a deux ans à Rivesaltes, à la fin d'une semaine pas des plus géniales à Argeles sur Mers. On s'est arrêté, sur le chemin du retour, dans ce village dont le nom sent bon le muscat.

Rivesaltes un vendredi matin. Des rues calmes. Des volets clos. Un village du Roussillon qui attend ou qui se souvient. La musique vient de l’animé Fairy Tail, un morceau étrange, un peu inquiétant.  La musique, Toki no Meikyuu, ajoute un quelque chose d’étrange
Ce n’est pas triste, ce n’est pas vraiment mélancolique non plus. J’y vois un écho à ce qu’on nomme parfois "romantisme noir" (oui, je suis dans un trip art pictural en ce moment). Des paysages simples, mais une ambiance voilée, où l’ombre semble douce et complice.   
C'est ce mélange-là qui m’a plu et que j'ai voulu mettre dans la vidéo. Un village sans drame, sans éclat, mais pas sans âme. Le village du Maréchal Foch tout de même.

Voici la vidéo, tirée de ma chaine Youtube


À part ça, il y a des conclaves en ce moment. 

Je ne parle pas de celui d'Europe Ecologie les Verts qui étaient une vaste blague (pauvres militants verts qui ont été LFIsés à fond les ballons). Ni celui des retraites de Bayrou dont plus personne ne parle.

Y aura celui des Républicains. L’image est pleine d’ironie. Mais pas de fumée blanche à l’horizon, pas même de cendre tiède. Mais il risque d'y avoir des braises. Je ne sais pas si la COCOE existe toujours, mais Wauquiez a été élevé au biberon Sarkozy, et le militant est impossible à prévoir.
Je sais pour qui je voterai mais les dernières fois mon candidat a perdu donc je me tairai.

Le vrai conclave cette semaine papal sera un grand moment. Il faudra que je me renseigne sur les favoris. Mais comme pour François, ça sera un grand moment d'histoire. 

À gauche, c’est l’inverse : des feux, des exclusions. Un élu socialiste, Jérôme Guedj, viré d’une manif du 1er Mai, parce qu’il était trop républicain… ou juste pas assez dans la bonne chapelle. Triste époque où les colères dévorent les nuances. 

Et moi dans tout ça ? Je regarde, je me tiens en retrait. J’ai déjà donné, et parfois je me dis que j’ai donné trop tôt. 

Aujourd’hui je me tiens dans l’entre-deux, comme à Rivesaltes, entre le mur du caveau et le ciel chargé. C’est là que je me retrouve, un peu. Pas dans le passé, pas encore dans demain. Juste ici, avec ce que j’ai à dire, sans rien forcer. 

Un dimanche soir où ça sera très dur pour Marseille à Lille. Mais je suis en vacances cette semaine : pas de bêbête dans le ventre qui me fera mal. Et c'est mieux comme ça. 

dimanche 20 avril 2025

Dimanche soir avec Nolwenn Leroy (a Dream) et le Champsaur

Ce que j'aime bien le weekend de Pâques, c'est que ne j'ai pas le stress du dimanche soir. Marseille a gagné hier contre Montpellier, l'USAM se fait tarter à Nantes, et j'ai terminé une semaine de "vacances" à la maison, en regardant la pluie tomber. Si, un jour on est allé visiter le circuit du Castellet. 
Bébé Faucon (que je devrais appeler Falconhill_Jr comme il s'est lui même surnommé) se répare sa cheville. J'attends le remboursement de la semaine de vacances que nous aurions du passer en Côte d'Azur (vive les assurances... :( ). 

Sinon prenons un peu de hauteur. Je reprends un peu les vidéos de ma chaine Youtube et Capcut. Je m'amuse énormément avec ChatGPT mais j'ai quand même pas envie d'arrêter de partager quelques vidéos de paysages qui me plaisent bien. Avec des musiques que j'apprécie.

Souvent la playlist sur l'iPhone. Je tombe sur une chanson qui me plait. Ca été le cas avec cette chanson de Nolwenn Leroy que j'ai découvert. "A dream", elle est douce et agréable. J'aime bien Nolwenn Leroy, j'avais adoré son premier album.
Les photos sont une balade dans le Champsaur, dans la vallée de Champoléon au dessous d'Orcières Merlette. L'été, l'endroit est délicieux. 
A part ça je parlais de Chat GPT. Je lui ai envoyé une photo de moi, et le résultat, bon... J'aime pas mon physique donc aucun résultat ne me plaira. Mais ChatGPT c'est fort. Dommage que pour avoir un dessin style Toriyama il faille gruger, visiblement il n'a pas les droits de Dragon Ball. 

Et à part ça, j'ai trouvé assez délirant de commencer politique un débat sur le budget 2026 alors que 2025 a juste commencé. La France a besoin de calme.

Je reprends le boulot mardi matin. Je stresserai demain soir. Là je vais boire une bière ou un whisky sur ma terrasse. Il faut beau. 

dimanche 16 mars 2025

Argeles/Mer, Athéna et moi

Pas de temps pour bloguer cette semaine. Pas envie non plus. Pour autant, je sors d'un dimanche de torpeur à lire le dernier Chattam (je me suis levé à 5h pour le grand prix, mais comme je suis grippé je n'ai pas trop dormi...) pour un billet du dimanche soir. Avec un clip, issu de ma chaine Youtube

La promenade nous ammène, toujours avec de la musique de Saint Seiya (les chants d'Athéna), à Argelès/Mer. Je ne prétends pas connaitre le franquisme en une semaine de vacances en Catalogne, mais j'ai visité un musée qui m'a donné envie d'en savoir plus cette période. Un de mes meilleurs amis est Catalan, un nom qui vient de Gérone, et il m'a invité à en savoir plus sur cette période trouble.

Le football est souvent politique. Fred Hermel sur RMC parle souvent que les clubs de foot sont politiques. Et l'histoire de l'Espagne est présente dans les stades à Madrid, en Catalogne, à Bilbao...

A part ça en ce moment se joue un triste Montpellier Saint Etienne, capital pour les deux. Je suis stéphanois par alliance.
Et Marseillais par le sang. Mais je pense continuer la défense Lincoln ce soir sur Netflix. En tous cas je suis crevé...

dimanche 9 mars 2025

Entre Vers et le Pont du Gard, avec Saint Seiya

Une promenade printanière pour ce dimanche de pluie qui est un dimanche d'anniversaire. Anniversaire de ma première petite amie, et meilleure amie. Anniversaire d'une victoire écrasante aux municipales à Roquemaure en 2008. Anniversaire d'un de mes frères de l'ECAM.
Il pleuvait comme aujourd'hui le 9 Mars 2008, un des plus beaux jours de ma vie.

Revenons à cette vidéo. Une promenade que je fais annuellement dans ses périodes. Avant, je prenais ma voiture pour découvrir mon département. Maintenant je reste sur des sentiers habituels. Cette promenade m'avait ammené du village de Vers - Pont du Gard (célèbre pour ses carrières) et le Pont du Gard, en passant par Castillon du Gard (un autre clip).

La musique est un chant de Saint Seiya. Pensée aux Chevaliers du Zodiaque, et à Akira Toriyama mort y a un an (oui c'est le papa de Dragon Ball mais les billets du dimanche je mélange tout)

A part ça, le monde ne tourne pas bien rond. L'élection de Trump a montré que le wokisme pouvait engendrer le pire : les manifestations pseudo féministe en fait pro Hamas à Paris m'ont donné le dégout.
Le but de Lens en fin de match à Marseille m'a empêché de dormir.

Et arrêtons d'être gogo. C'est le Hamas qui a commis les massacres à Israel le 7 Octobre sur des civils. C'est la Russie qui a envahi l'Ukraine. 
Et est ce la France est ou non l'allié des Etats Unis ? Réécoutons De Gaulle

dimanche 2 février 2025

Nous nous reverrons un jour au l'autre à Roquemaure (2024)

Parmis mes chansons préférées, il y a celle là. "Nous nous reverrons un jour ou l'autre" de Thierry  Le Luron. Elle me met des larmes aux yeux. Il y a son duo avec Aznavour (dispensable). Mais Charles Aznavour, son grand ami, l'a repris dans un album quelques temps plus tard, changeant quelques paroles.
Deux immenses artistes, que je ne verrais pas en concert aux Arènes de Nîmes malheureusement...

Une année à Roquemaure en 2024. Chaque saison est une saison d'aimer disait Aznavour, et Roquemaure et ses environs, c'est joli quelque soit le mois, la saison. Une année qui a été difficile, j'ai parlé du calice d'amertume que j'ai bu totalement en fin d'année. Moi qui ne suis pas du tout Suze... Revoir l'année qui passe m'a rappelé des moments pas bien rigolos. 
A part ça pas grand chose. C'est bien de couper du bois mais je sens la petite pique dans le coude. J'espère ne pas m'être fait une tendinite car je risque d'en souffrir (la dernière fois, ça a duré 4 mois)

Politique Bayrou, grand strratège, dégaine le 49-3. On va s'amuser. Et le petit président Macron pense à son copain Ferrand, battu aux législatives, et qui ne se prive pas de faveurs que peut lui offrir son poste si ça aide à sa famille, à la tête du conseil constitutionnel. Rien que ça.
Ca pourrit par la tête...

dimanche 12 janvier 2025

Rétrospective 2024 en musique du dimanche soir

Nous sommes encore au début de l'année, donc je peux poster, en billet du dimanche soir, une vidéo sur ma rétrospective personnelle de 2024. Une année riche, où le nouveau Maitre de Conférence que je suis a certes arpenté des chemins connus (Orcières Merlette dans les Alpes, le Forez, le Gard). Et des endroits fantastiques, très sud. Côte d'Azur, Monaco, Marseille, le Lubéron et les Alpilles.
L'année a été difficile sur la fin, mais au final elle aura été belle. 

La musique est le générique d'un dessin animé du début des années 2000. Witch Hunter Robin. J'en garde un souvenir remarquable de ce dessin animé. 

A part ça, on attendra le discours de politique générale de Bayrou. Je préférais largement Barnier, qui avait de la hauteur et de la dignité, mais je serai malhonnête de ne pas reconnaitre une certaine habilité. Même si pour moi cela passe aussi par une insincérité très Darmanienne... 

Sur l'histoire de l'Algérie qui a refusé un délinquant venu de France qui appelait au terrorisme... Bon, commençons par le "pas d'amalgame" classique. Ne faisons pas comme la gauche radicale qui danse sur un cadavre et amalgame "juif = gouvernement Netanyahu". Les algériens ne sont pas tous en phase avec la position officielle de l'Algérie, qui a vis à vis de la France des comportements assez scandaleux. Oui, y a eu la guerre d'Algérie et les français n'ont pas fait que des choses de bien. Mais les pieds noirs pourraient témoigner qu'en face non plus c'était pas très joli joli. Y a pas un gentil et un méchant. 
Et la repentance y en a marre. Macron, président qui aura été le plus à genoux de la Veme République, s'est agenouillé à de nombreuses reprises devant l'état Algérien. "Fouette moi, fouette la France, je suis vilaine". Et l'Algérie de lui répondre "ché". Avec un doigt.

Que la France soit la France, et qu'elle muscle ses relations. Macron a été naif avec Trump, Poutine... Mais avec l'Algérie, stop. On revoit les accords, on tranche. Oui, des algériens seront sans doute victimes collatérales. Ils verront avec leur pouvoir qui, telle une dictature pas très éclairée, a une attitude scandaleuse avec l'écrivain Boulem Sansal. 

Allez, dimanche soir...

dimanche 22 décembre 2024

Soupir de fin d'année et Pause en Touraine

Ne parlons pas de mon activité de blog. Encéphalogramme plat, pas mort clinique mais cette fin d'année je n'aurais pas eu envie d'écrire. Cette année je n'ai pas eu envie d'écrire. 

Pourtant j'aurais eu des choses à dire. Un gaulliste a été, éphémèrement mais ça faisait longtemps, premier ministre. Un premier ministre digne. Et mon année professionnelle et personnelle m'a mis en face de grands moments de joie et de satisfaction, à côté de moment d'amertume où j'ai vu... Positivement de l'ingratitude, factuellement une forme de trahison. 

La vidéo de ce dimanche, après la belle prestation marseille à St Etienne et en attendant le gouvernement, nous ammène en Touraine. J'ai bien aimé la ville de Tours. En été. La Loire n'était pas haute. La musique vient d'un dessin animé qui s'appelle Code Realize et qui ne mérite pas grandes discussions. 

A part ça, rien. Je finis l'année épuisé. Je vais me servir un whisky. 

dimanche 8 décembre 2024

Io le canto per te à Collioure

 Io le canto per te est une des chansons de Florent Pagny que je préfère. J'adore l'italien, cet album qu'il avait fait été fantastique. Autant que le concert de Laura Pausini mardi soir au Dome de Marseille. 

Clip printanier alors que nous entrons dans l'hiver, dans le village délicieux de Collioure. 
A part ça... Je ne blogue plus. Manque de temps, manque d'envie. Les sujets ne manquent pas eux, la France n'en peux plus de s'enfoncer dans la crise, le pire n'est jamais atteint. 

Le reste, c'est que le weekend d'anniversaire de Falconette (hier) et bébé2 (vendredi), y a le Falconico St Etienne Marseille en foot. Que je ne verrai pas, toujours pas de DAZN.

Le reste personnel et professionnel est aussi une semaine qui va être éprouvante et décisive sur la suite de ma carrière. Et un choix que j'ai fait de me mettre en retrait syndical. Retrait politique, retrait syndical, je me retire beaucoup en ce moment...

Je préfère écouter Florent Pagny et Laura Pausini

dimanche 13 octobre 2024

Le Forez sous la neige (Winter) et billet de dimanche soir

Il ne neige pas encore. Même aujourd'hui l'aprésmidi était estivale. Mais ce dimanche, la vidéo que je mets en avant est une vidéo que j'avais faite du Forez sous la neige. Avec une chanson que j'aime beaucoup. Yuki Kajiura encore, avec "Winter", tiré de l'animé "Noir" qui était une chouette découverte à l'époque. 


J'aurais pu mettre comme chanson "je ne suis mort je dors", vu mon absence réelle sur ce blog. Ais je écrit un billet politique depuis la nomination de Barnier à Matignon. Non... Et pourtant, sortir vainqueur une élection qu'on a largement perdu, avec un président qui a trahi ses troupes en début de combat. C'est particulier. 
Moins entendre Macron fait quand même du bien. LFI est toujours aussi abject mais bon. 

Le reste, oui nous allons souffrir. Mais être dans les trois pays européens les plus endettés... Le meilleurs d'entre nous, le renouveau c'est Bruno Lemaire, nous a mis dans une sacrée merde. Barnier veut tenter de remettre le petit bonhomme droit. Bon courage à lui... 

Par contre, heureux aussi de ne plus avoir à l'intérieur ce petit opportuniste suffisant de Darmanin. Le Point lui offre sa une, mais Bruno Rettailleau je préfère. Je reconnnais à Darmanin que les JO se sont bien passés. Mais un ministre de l'intérieur qui aura joué du menton en laissant la France devenir un narco-état et fout le bordel dès qu'il n'est plus dans le gouvernement,.. Piètre politicien. 

Dimanche soir. Il ne neige pas mais je n'ai pas envie d'être lundi...

dimanche 29 septembre 2024

Estezargues, Saint Seiya et tranquility mais pas trop

Assez dingue comme la musique va assez mal avec mon moral un peu gris qui s'assombrit et se raffraichit comme le temps. Ce clip du dimanche est touné à Estézargues, un petit village entre Remoulins (le Pont du Gard), Avignon et Roquemaure. Son vin est super bon. 

La musique est tirée d'un moment tranquille dans Saint Seiya. D'où le titre, "tranquility"


J'ai beaucoup de mal à écrire en ce moment. Du boulot, et le temps disponible, je suis retombé dans un vice : Football Manager. Mon fils m'a dit qu'il était gratuit sur Epic Game, je suis replongé dedans. Mais c'est bien.

Car du foot je n'en vois plus. Saint Etienne joue en ce moment, mais c'est sur DAZN, et je refuse de payer DAZN. Et j'en ai un peu marre de chercher les liens streaming. Ce soir, je ne verrai pas Marseille...

Le reste, Barnier, la politique, je m'en désintéresse. En fait, je suis en mode "je m'en fous". Je vais aller boire un coup, ça fera passer le blues du dimanche soir. 

dimanche 15 septembre 2024

Pensées gardoises d'un dimanche soir

Message de service : la musique guillerette tirée de Saint Seiya est à l'opposé de mon moral actuel. Marseille va très bien, la Droite Républicaine a décroché Matignon et quelque part une recomposition sympa (mais pas évidente) se met en place. Mais la rentrée est terrible.

La vidéo d'abord. Estezargues est un village gardois délicieux, à côté de Rochefort du Gard, pas loin de Villeneuve les Avignon. Un vin sympa. Une promenade printanière. 

Le reste, c'est le blues du dimanche soir qui revient. La rentrée de bébé2 en 6eme est difficile. Mes rapports avec certaines personnes au boulot sont délétères : des gens qui hier m'ont sauvé deviennent mes bourreaux. Sacré triangle... Falconette a été aussi sali, de manière hideuse, dans son travail. Bref, semaine difficile. 
Je ne parle pas de la mort de Didier Roustan... 

Des jours meilleurs arriveront. En attendant, le froid est arrivé, le vent aussi. Le chauffage s'est déclenché ce matin, on est en été.

Et je pense à mon ami Nicolas qui passe pas des chouettes moments. 

dimanche 1 septembre 2024

C'est la rentrée..

Un billet de rien. Une pensée pour mon cher Nicolas, Ce gars généreux et gentil, qui ne vote pas toujours comme moi mais que j'aime beaucoup, a trouvé une activité conne fin Aout. Les hopitaux

Je te souhaite le meilleurs Nicolas.

Fin de vacances. Demain on retournera au boulot. Avec quel premier ministre ? Mais qui s'en inquiète ? 


dimanche 4 août 2024

Ne t'enfuis plus

Avant de suivre un haletant France Hongrie au JO en handball, je terminai sur ma piscine un Harlan Coben qui s'appelle "ne t'enfuis plus".

Je ne vais pas devenir critique littéraire du dimanche. Mais Harlan Coben, ça commence, puis on lit, puis à la fin on se dit qu'on n'avait pas vu venir le truc. En tous cas moi, ça marche toujours.
Il y a des personnages récurrents, et des clins d'oeil à Myron Bolitar et son ami Win. 

Ce livre m'a mis mal à l'aise à la fin. Même, il m'a rendu triste. Mais un malaise et une tristesse saine, qui font du bien. C'est le genre de livre formidable à lire. Sur la confiance, sur un père et ses enfants, sur nos passés. Et de bien savoir au début qui sont les véritables héros.

Je ne m'enfuirai pas pour ma dernière semaine avant la pause estivale. Côté boulot, ce n'est même pas calme. Ce soir, nous recevons des amis et nous boirons du whisky. Et je m'enfuirai pas devant le rosé.

Vraiment un super bouquin d'été. 

dimanche 5 mai 2024

Mon automne-hiver 2024 avec Bon Jovi, et quelques soupirs

Semaine dernière je me suis amusé. Sur une musique de Bon Jovi qui s'appelle "Next 100 years", j'ai fait une composition qui mélange le logiciel de montage Capcut, et la fonction "souvenir" de l'iPhone. Elle était chouette quand elle permettait de mettre une musique.

Le thème ? Ben c'est mon automne hiver tel que je l'ai vécu, des paysages, des bouteilles, des matchs de hand, ma maladie pulmonaire (je fais 5 kg de plus qu'à la fin de l'épisode, mais j'ai pas envie d'en rechoper une de pneunopathie...). Et puis Bon Jovi, j'adore. 



Ca me rappelle mes années d'étude.
Je revois ce weekend ma bande de l'ECAM. On a un ami commun, un frère, qui est atteint d'un cancer assez vilain. C'est l'occasion de se voir. Je m'occupe du vin (j'aurais pu m'occuper faire le gateau mais chacun ses compétences). 
Cet ami a perdu son papa dans la semaine. Quand ça veut pas, ça veut pas... On essaiera de passer un bon moment.

Et puis no stress : Marseille ne joue pas ce weekend, et Nîmes va mieux. Et trés bien en Hand.

Une frustration tout de même (enfin, deux). Je fais demain et mardi mes deux jours de travail de Mai (peut être un cours en milieu de Mai). Et le Grand Prix qui part à 22 heures (je me serai déjà endormi depuis longtemps...)

Un dimanche cool. 

dimanche 4 juin 2023

Carte postale du Forez avec Bon Jovi

Oui, y a Kamouloux. Pourtant j'écoutais dans ma ZX avec chargeur CD à l'arrière cet album de Bon Jovi, avec le live "Always", en montant dans le Forez pour allez faire des fêtes et me prendre des charges le weekend. Sans savoir que ça serait une partie de chez moi, par alliance, par le mariage. 

Aujourd'hui, nous fêtons les 12 ans de bébé Faucon. Ce soir sa maman. Et je me dis que c'est lui qui m'a donné envie de faire des clips vidéos. Ou d'en refaire, avant avec Picassa, maintenant avec CapCut.

A part ça rien. Le dimanche se termine une nouvelle fois par un orage électrique. Nous allons ouvrir les cadeaux pour Falconette. Et demain une nouvelle semaine commencera, qui m'inquiète alors que je sais que rien ne sera aussi pire que ma période 2019-2022... Et pourtant je pense que quand on a pris l'électricité on craint les prises électriques. 

J'ai bien aimé les échanges ici sur ces derniers billets de blog. La proposition de la gauche zadiste de vouloir rayer les jours fériés chrétien, et sur le travail. Ca fait plaisir et j'aime ces discussions sereines. 
Je pense qu'il est bon d'avoir viré certains qui n'ont pas saisi l'essence des blogs et du débat. Mais quand je vois ce weekend de foot et la violence bête, je me dis qu'il n'est pas anormal que la connerie déborde aussi dans nos blogs. Il n'y a qu'à voir Twitter. 

Bon dimanche soir

dimanche 5 mars 2023

Un dimanche soir de Mars

Le mal de ventre du dimanche revient. Il est douloureux et pourtant... Tellement peu de choses. Marseille jour de soir, ils m'ont fait mal contre le club de ma ville doudou, Annecy.


Je ne suis pas à pleindre. Deux enfants joyeux. Une épouse adorable. Mes parents sont là, même ma grand mère. Et mon seul fait d'arme, en plus de perdre les paris Ligue 1, a été d'aller m'occuper de la maison de ma tante.

J'ai une pensée à un ami. Ce dimanche lui sera différent des autres. 

Je vais continuer à écrire et à faire des trucs sur Youtube...

dimanche 13 novembre 2022

Un dimanche de Novembre

Tout va bien, mais... Ce petit mais est comme entêtant. Ca va bien, mais...

J'aurais passé ce weekend de trois jours comme un fantome. En short. Chaud le jour, puis climatisation à 16 heures quand tombe le soir. Avec une fatigue épuisante. Nous aurions du voir Black Panther jeudi soir, mais en allant au cinéma une fièvre, pas énorme, m'a étreint dans la voiture. Nous avons fait demi tour et avons regardé le Bluray de Pentagon Papers (deux salles, deux ambiances) pendant que je grelottais sous le plaid. 
Mardi soir, pendant que Falconette était au sport, je me suis effondré sur le lit et me suis endormi. Même pas 20 h 30...

Les photos sont des prises de vue d'aujourd'hui. Ce matin alors que j'allais faire mes paris sportifs (et un conseil : ne pariez jamais à une semaine du séduisant Qatar Equateur qui ouvrira cette coupe du Monde d'hiver... Les surprises vous niquent vos paris), je me disais que j'aurais passé l'automne comme une ame en peine. 




Le zona m'aura fait moins mal que prévu. Mais que de dégats... Cette fatigue m'épuise. Pourtant, tout va bien. Oh, j'ai une semaine de boulot qui m'effraie un peu, et des soirs pas évidents à gérer. Mais je tenterai d'arriver au bout de la semaine... J'y arriverai. 
C'est le contre coup du zona. Mon médecin me le dit, les antiviraux ça épuise. Oui, il a raison. Et l'année a été épuisante. Je ne prévois pas de prises de sang mais j'imagine que les résultats seraient catastrophiques. 

Alors je regarde la "séquence" politique en badaux. Pas d'avis sur l'Ocean Viking. Sinon que les vikings ne viennent pas d'Afrique et que la Méditérannée n'est pas Océan (donc je sens l'arnaque). Pas d'avis sur le "débat" du petit Louis et de Baba, un député de la France Insoumise qui ne sait pas parler sans hurler et sans mettre le mot "raciste" dans toutes ses phrases, et la "star" du PAF qui se baladait à poil sur Comédie à la fin du siècle dernier. 


Il parait que je dois voter pour la présidence des républicains mais je ne sais pas quand c'est et comment on vote. Et honnêtement je m'en contrefous un peu. 

Ce soir, je zapperai entre un Grand Prix de Formule 1 qui n'a que peu d'intérêt (mais Falconette adore) et Monaco Marseille (qui m'inquiète). 
Et j'avoue, le stress du dimanche soir ne m'avait pas manqué : il est de retour.

Demain matin télétravail. La CGT locale a décidé que le bruit et la fureur seraient leurs mots d'ordre. Sans moi.
A demain...