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dimanche 24 juin 2018

Interdiction de discuter ou de critiquer (surtout pas le président)

J'ai bien aimé ce tweet qui résume bien une partie de l'interdiction du débat ou de la critique, instauré par certains. 


Forcément "phobe" ou "facho" si on émet une critique, une opinion, une désapprobation. Et ça tombe. Et de tous les cotés.

Le tweet de Castaner, porte parole du parti présidentiel, est lamentable. "Raciste" ou "homophobe", rien que ça...



Mais là encore les serviles chiens de garde du président sévissent et sont là. Pour combattre ce qui est forcément soit des fachos ou de la lèpre, soit des ploucs d'arrière garde. 

La macronisme finalement, c'est être fort avec des faibles (un collégien que l'on va pousser à la dépression) ou qui ne foutront pas le bordel (salariés, retraités, ruraux...), et faibles ou serviles avec les forts (extrême gauche qui casse, zadistes, bloqueurs de fac, black block, terroriste) ou ceux qui servent la cause de LaREM.
C'est ça le "en même temps". On donne une leçon de morale à un enfant sur le prestige de la fonction présidentielle et en même temps on la moque en faisant entrer la vulgarité dans le palais de la république et en s'affichant fièrement avec.

Mais bon, les militants LaREM et les députés sont ravis. Donc ça ne doit pas être si grave que ça.