vendredi 1 août 2025
Pleins (et surtout mal) au dos
dimanche 29 juin 2025
Un dimanche soir sur ma terre
L'homme est une secte à lui seul, et il est plein de contradictions. Tiens, celle là.
Cette aprésmidi, chez un ami vigneron (qui m'a mis en garde mais j'étais en mode "professionnel", quand je suis dans des terrains pro je ne bois pas, un demi verre et à côté pleins d'eaux. Je gagne à la fin). Oui, quand je me sens en terrain sympa, je lache la bride. Cf ensuite quelques billets plus bas, un peu trop de verres. Mais aujourd'hui, quand il fait 40°C, le meilleur rouge du monde ne me disait rien.
Mais ce soir, j'écris ce billet avec une Goudale ambrée pas loin. Parce que j'ai soif, parce que j'ai envie. La fameuse contradiction
Parce que après maigrir me ferait du bien. Mais j'aime les moments du soir. Certains diront "alcolisme mondain". C'est sans doute ça.
Alors oui j'en parle beaucoup. Peut être parce qu'on m'en parle beaucoup. Après... Je ne fume pas et je ne bois pas de pastis, donc bon...
A part ça ? Ben je ne mets pas de vidéo. L'image que je mets est une création ChatGPT d'une place de Roquemaure. J'essais de découvrir des styles artistiques. C'est con mais tardivement je me suis mis à aimer l'art, les courants, les inspirations.
J'écrirai dans la semaine le mal que je pense du coup d'esbrouffe de Bayrou. Un homme politique qui n'a jamais rien fait sinon du vent. La proportionnelle... Depuis 2022 on voit le bordel, une personne veut l'amplifier. Heureusement qu'il reste deux endroits politiques, historiques faibles mais fiables, qui restent droits et lucides. La parti non LFIste du PS, et LR.
La 5eme république n'est pas morte. Par contre la classe politique est lamentable. Ce n'est pas la faute des règles du jeu et du terrain si les joueurs de foot ont les pieds carrés. Et là on a des très mauvais...
samedi 28 juin 2025
Et la balance dit...
samedi 12 avril 2025
Vacances à la maison avec béquilles...
samedi 2 décembre 2023
Etat des lieux sanitaire
Ma première action lundi matin sera de voir mon médecin du travail, et de poser des télétravails.
A part ça, Falceonette et les enfants ont pris la suite. Quoique le grand est le plus résistant de la bande.
La reste ? J'aurais eu plein d'occasion pour écrire, pour blogguer. Mais j'avoue que l'actualité est vraiment trop lourde, je n'arrive plus.
Je vais voir le tirage de l'Euro 2024.
samedi 18 novembre 2023
C'était pas le Covid mais putain...
Ca parait pompeux, mais 5 jours entre 40 et 41°C, à passer ton temps à tousser, à ne plus avoir la force de regarder son iPhone, et voir sa fréquence cardiaque au repos s'envoler (ça m'amuse), j'aurais passé une semaine comme rarement. Horrible.
Tests négatifs, mais sans doute j'ai eu la version béta du Covid 23 ou 24 qui sortira quand le grand complot mondial le décidera ?
Je ne crains pas trop la fièvre. Mais là, je suis à 39°, je tousse moins, mon arrêt de travail s'arrête lundi. Mais j'ai la force d'écrire un billet, d'aller écouter sur Youtube le dernier Johnny (et bof, autant j'écoute en boucle le "Georgia" de Sardou découvert y a peu), autant là je suis pas emballé.
Mais je suis crevé. Je vais essayer d'avoir un rendez vous au cabinet médical de mon village ce lundi matin, sans doute me prolonger l'arrêt. A ce titre, je suis ultra favorable à des fortes sanctions sur les connards qui n'honorent pas leurs rendez vous médical. J'ai perdu un jour de traitement (et le médecin m'a dit que la veille trois lui ont mis un lapin, bien les boules).
Points positifs, quand j'allais pas trop mal, je lisais. J'ai dévoré un vieux bouquin que j'avais dans ma bibliothèque, "la Surprise du Chef" du très sympathique Joseph Macé-Scaron. Là, j'attaque Lucia de Bernard Minier (autre ambiance).
Par contre, ce soir pas de visite annuelle dans une cave que j'aime bien pour le primeur. D'ailleurs, je n'aurais pas bu cette semaine (que cette semaine soit sainte ou maudite).
Et être malade un weekend sans championnats de foot européens, avec juste un France Gibraltar à se mettre sous la dent, c'est vraiment dur.
mardi 11 juillet 2023
Ne pas se laisser abattre (plancha poisson et légumes provençauxà
mardi 29 novembre 2022
Mon bureau
dimanche 9 octobre 2022
C'est la zone à moi
Décidément cette année j'aurais connu beaucoup de chose. Le pire est qu'elle n'est pas finie.
vendredi 19 août 2022
Un petit déjeuner à Saint Gilles, dans le #Gard
Je vous ai parlé de mes vacances CO2 low cost... Le plus que j'aurais dépensé aura été l'hotel à Arles, la veille de ses prises de vue.
Pourquoi Saint Gilles ? Et pourquoi pas ? Envie d'une terasse avec un café long, des croissants, l'Equipe en vrai (pas la version que j'ai numérique, pour pas cher par mois mais ça ne vaut pas le papier). Et parce que Saint Gilles, avec son canal, sa vieille ville, au milieu de rien (de la Camargue), c'est un joli village.
mardi 14 juin 2022
Etat des lieux mi Juin
J’aurais beaucoup écrit ces dernières semaines. Pas pour moi mais pour d’autres. J’ai délaissé mon blog, pourtant j’ai écrit (ou contribué à l’écriture car c’était une aventure collective) des textes que je trouve super. Soutenir quelqu’un sur une campagne législative, même si je vais être tranquille pour cette semaine car élimination au deuxième tour, est une aventure intéressante.
Je remercie Nicolas d’avoir mis en avant un texte projet surle nucléaire sur lequel je me suis beaucoup investi. Sur d’autres sujets comme
l’éducation, la santé, le patrimoine, je me suis régalé. J’ai travaillé avec
des plumes qui m’ont obligé aussi à repenser certaines choses, à non pas
changer ce je pense, mais comment je le pense.
Sur la sécurité par exemple : je me suis rendu compte
que la position de LR, quand on va dans le fond du sujet, n’est pas cette
caricature qui fait que certains ont préférer fuir vers la victoire (LREM) sur
des motifs fallacieux. Au risque de tuer la droite républicaine : la
région PACA est une morne plaine où j’ai perdu un ami député (j’ai quand même
gardé l’ami qui va bien). J’en veux à Renaud Muselier, à Hubert Falco, à
Martine Vassal, à Christian Estrosi, parce qu’ils ne sont pas partis pour des « idéaux »,
mais parce que des places étaient à garder. C’est plutôt moche mais c’est parmi
les côtés laids de la politique.
Puisqu’on est entre nous, je vous confirme que la vie n’est
qu’un cycle. J’en voulais jeune à Sarkozy d’avoir trahi et Pasqua, et Chirac,
et les français qui ont voté pour lui en revenant sur le référendum européen. D’ailleurs
pendant les belles années de ce blog, je ne l’ai pas épargné Sarkozy. Je lui en
veux d’avoir tué « son » parti, « sa » famille. L’histoire
le jugera. Le gaulliste que je suis le mettra derrière son prédécesseur, pourtant
pas avare de conneries, et son successeur, pas avare de connerie non plus et
pas de mon camp, mais grandement à la hauteur pendant les attentats.
J’ai commencé par de la politique. Je continue à me
demandant si j’ai envie de continuer à écrire sur ce blog. Cette année, une
production lamentable. 6 billets en Mai, c’est vraiment peu. Et pourtant en
Mars j’en ai écrit que 5. Pourtant, vu mon état de santé et de fatigue (j’avais
fait ce joli malaise cardiaque qui m’a fait découvrir un nouveau service
médical…), j’aurais pu écrire. Mais non, la grotte…
Moralement je vais mieux. C’est pas moi qui le dit mais mon
médecin d’enfance qui hier m’a trouvé de meilleures couleurs. Bon, quand je
vois ma N+2, qui me demande à chaque fois que je la vois « tu pars quand ? »
(oui c’est pénible et lourd), je suis pas très en forme. Mais cette « pause
politique », même si je savais qu’elle ne mènerait pas à la victoire et qu’elle
était quand même épuisante, m’aura fait du bien.
Physiquement, ça va. Bon, la « plume caniculaire »
(plume… notre gouvernement est fantastique…) rend tout effort épuisant. Mais c’est
le jeu. Je n’irai pas courir après 9 heures (mais le cardio m’a dit de faire
gaffe).
Reste le boulot. J’aurais à écrire sur le boulot. Cette année
aura été une anus horribilis. La mort de Galia et de ma tortue auront été des
épisodes supplémentaires. Je me dis qu’on arrive bientôt à la moitié de l’année
(qui a commencé le 1/1 par un Covid assez carabiné, moi le vacciné). La
descente sera peut-être plus douce ?
ON verra ce qu’il adviendra. A la rituelle « après la
pluie le beau temps », je préfère le réalisme de Montaigne "Un bien ne succède pas forcément à un mal, un mal encore pire
peut lui succéder"
Il se trouve que la période politique actuelle prouve qu’en
effet le pire n’est jamais pleinement atteint. Corbière et Obono élus au
premier tour, si c’est pas une preuve qu’on peut toujours faire pire…
vendredi 31 décembre 2021
Il était tant que l'année s'arrête... (et point Covid)
Le neveux s'est réveillé avec 40° de fièvre le 26/12. Moi j'avais mal à la tête mais ce que j'ai bu était normal. Bébé2 adore son cousin, ils ont dormi ensemble.
Et la suite ? Ma belle soeur, mon beau frère et le neveux sont partis à 9 heures pour fêter Noel avec leur famille. Mais sur la route, en récupérant la copine de mon neveux (une adorable infirmière), elle lui a quand même fait un antigénique... Aucun doute sur la positivité.
Ambiance, vous imaginez. Ma soeur enceinte de 8 mois, les enfants, ma grand-mère de 90 ans... mes parents et beaux parents... Ambiance.
Jeudi matin, on va faire tous les trois un antigénique. La veille, Falconette avait une fièvre et une toux d'enfer. Que j'ai eu depuis hier.
Il me met d'office au mieux en télétravail au moins le deux prochaines semaines (je dois être isolé 17 jours, et faire ma troisième dose le 10). Par contre, il envoie à ma chef de département demande qu'elle arrête de me gonfler.
Conseil : refaire un PCR demain (si un labo est ouvert) ou au pire lundi. Pour lui c'est pas normal.
dimanche 10 octobre 2021
Point d'étape du dimanche soir, d'une semaine d'anniversaire
mercredi 17 juin 2020
Just a dog
dimanche 14 juin 2020
La mort du hamster
lundi 20 avril 2020
Morceau de vie et de péro
Bébé 2 : « il est où ma péro ? »Moi : « hein ? »
Maman : « il parle de La Péro... »
mardi 31 mars 2020
Confiné mais ça travaille
samedi 1 juin 2019
Un drôle d'anniversaire personnel...
mercredi 5 décembre 2018
Morceau de vie et bisous judo-boy
samedi 22 septembre 2018
Début d’automne
C’est un morceau de vie, ou un « billet de rien », dans le sens où je l’entend. Pas péjoratif, car ceux sont les billets que je préfère écrire, ceux ou je partage des morceaux et moments de bonheur.