Le clip de ce dimanche mélange des images d'un villge à côté de chez moi, Rochefort du Gard, et ma chanson préférée de Johnny Hallyday : "je te promets". Je pourrais écrire pleins de mots sur cette chanson, et sur cet album où finalement il y a mes deux chansons préférés de Johnny. "Je te promets" et "l'envie". Je n'ai pas des goûts détestables.
Guere plus à dire.
Je voulais poster ce clip, pour un peu "animer" ce blog. Et me changer les idées. Ce dimanche soir me fait mal au ventre. Demain sera une journée qui m'effraie, et ça faisait longtemps que je n'irai pas au boulot avec autant de mal dans le ventre.
"L'attente" est le titre d'un des meilleurs album de Johnny Hallyday. Un de ses derniers de son vivants. C'est aussi le titre de sa chanson phare, qui est magnifique. D'autres chansons sont géniales. "L'amour à mort" est une chanson de concert, à Nîmes c'était génial. "Le Tableau de Hooper" et "n'en vouloir à personne" sont des titres peu connus.
Mais y a un tube dans son album : la chanson "20 ans".
Ce billet n'est pas là pour parler Johnny Hallyday ou musique. Quoique que cette playlist est sympathique. "N'en vouloir à personne" est une belle chanson. Mais aujourd'hui, notre société n'est pas à ce stade là de sérénité. Jamais elle n'a été aussi tendue.
L'attente de ce qui sortira du conseil constitutionnel. Et du résultat.
Le jour du vote, jamais nous n'aurions imaginé un tel scénario. Les syndicats devant l'assemblée, le 49.3, improbable à 9h, qui pointait son nez à 14h et qui a été sorti quelques minutes avant 16 heures. Ces pitres de LFI qui bordélisaient l'assemblée, une censure qui est passé ric rac... Nous voudrions faire un film, nous n'aurions pas un tel scénario.
Surtout en rajoutant une interview du président provocatrice au 13 heures, et en même temps dans Pif Gadget. Pendant qu'une de ses ministres fait la une de Playboy. On a un Kamoulox.
Oui, nous sommes l'attente. Elle est assez oppressante je trouve.
Mais quoiqu'il en soit, notre pays est fracturé. Le Macronisme aura donné ce résultat. La mort des deux partis de gouvernement à gauche et à droite, et à par lui le déluge. Mélenchon ou Le Pen. Mais serait ce pire ? (je pense oui pour Mélenchon, pour le Pen le pays serait aussi fracturé, sans dialogue possible, pour d'autres raisons).
Comment en sommes nous arrivés là ? La faute aux frondeurs de Hollande (dont certains sont aujourd'hui chez Macron, miam Burger King) ? Au Canard Enchainé qui aurait du sortir les infos au moment des primaires de la droite ?
Reprendre l'interface Blogger a quelque chose de particulier. Je me rends compte combien le silence et le fait de ne plus écrire a quelque chose d'inversement proportionnel à l'adrénaline que propose l'écriture.
Je vois aussi que peut être je ne suis pas bien gaillard. Mon fils de 10 ans me rappelle des soirs à 20 heures, me disant sa peur de la mort. De nos morts. Mes docteurs ont des doses à injecter et dans mon équipe deux personne ont depuis deux semaines un Covid à 40°...
Mais j'entends les démons de mon fils. Ils me rassurent : il est bien mon fils. Il va déguster mon pauvre bébé... J'aimerais que mon ami Guy vienne à la maison. Pas que pour moi... Je deviens un peu sans arme face à un enfant (son petit frère aussi) qui ont des questions que bon...
Nicolas j'aurais besoin de toi aussi. D'autres personnes qui n'ont pas de blogs.
La loi du silence était un film. Que je n'ai pas vu. Par contre Johnny change tout. La dernière séance reste dans mon coeur. Mais en revenant sur mon début. A titre personnel je peux aller vers la destruction. A titre de mari et de père, puis je rester avec un verre de rosé à regarder Monaco ?
J'écris ça, ce n'est pas ce que je fais. Et ce que j'ai fait. J'ai inquiété les trois personnes qui m'ont lu ? Je les rassure. Le chef du gars au Covid long a fait son devoir de chef, de manager, d'ami et simplement d'homme. La mari a respecté le contrat. Le père sera toujours au délà.
Par contre j'ai besoin de parler. Même en restant silencieux...
La Chromecast est un des objets qui aura changé nos vies. Il y a les tablettes, qui fait que ma grand mère, mes parents, nous et mes enfants utilisons le même objet récent. Qui a changé nos vies. Le smartphone : quand en 2010 j'étais aux urgences de Bagnols avec un téléphone à la con, la cheville dans la boite à gants et tout le programme de TF1 qui défilait sous mes yeux, j'ai pris la décision d'acheter l'iPhone. Je ne le regrette pas.
La Chromecast, c'est l'ane Trotro ou le générique de Bioman qui passe à la télé facilement. C'est aussi pour moi mettre mes clips, mes chansons.
Le samedi soir, avant qu'arrive the Voice (y a pas longtemps c'était Ninja Warrior mais je ne me bats pas le samedi soir... Le Lyon Montpellier je m'en fous, et j'adore voir mes enfants adorer une émission qu'on regarde en famille), j'ai des chansons qui me viennent en tête.
Ce soir, c'est la chanson (encore) de Johnny "quelques cris". Elle n'avait pas de clip. "Partie de cartes", du même album, j'ai déjà posté. Ce clip Jean Réno Johnny, il est superbe. Mais la chanson "quelques cris", la troisième de l'album de 1999, est superbe. C'est son fils David et Françoise Sagan qui l'ont écrite (David je savais, Sagan j'ai mis Wikipédia pour être sur).
Johnny nous manque. J'aimerais qu'il vienne manger à la maison (mais ça risque d'être difficile)
Le premier cri que j'ai poussé C'était un cri de nouveau-né Le jour où ma mère me mit bas Nu, sanglant, entre des draps
L'éclat du soleil me fit peur Oh, me ft peur
La deuxième fois que j'ai crié Ce fut un cri de volupté Lorsqu'une femme m'attira Nu, tremblant, entre ses bras
L'éclat du plaisir me fit peur Oui, me fit peur
J'avais le regard affamé L'air égaré du mal-aimé L'air du garçon qui ne sait pas Que deux corps parfois se foudroient Que deux corps parfois se foudroient
Le troisième cri que j'ai lancé Fut celui de l'homme comblé Lorsque la foule me rappela En scène, pour la dixième fois
L'éclat du succès me fit peur Oh, me fit peur
Si aujourd'hui, je ne crie plus C'est qu'une autre a pris le dessus Elle parle peu, elle parle bas La solitude brise ma voix
L'écho de ma vie me fait peur Me fait peur
J'avais le regard affamé L'air égaré du mal-aimé L'air du garçon qui ne sait pas Que deux corps parfois se foudroient Que deux corps parfois se foudroient
La dernière fois Dernière fois
J'avais le regard affamé L'air égaré du mal-aimé L'air du garçon qui ne sait pas Que deux corps parfois se foudroient J'avais le regard affamé L'air égaré du mal-aimé L'air du garçon qui ne sait pas Que deux corps parfois se foudroient
L'air du garçon qui ne sait pas Que deux corps parfois se foudroient Que deux corps parfois se foudroient
Pascal Obispo l'a écrite... Le symbole est particulier. Je prends.
On a beau parader et sourire Parler de tout pour ne rien dire Ce n'est que se livrer en pâture À des gens qui croient vous séduire
Bien sûr, on attire Les regards On a pour vous Tous les égards On vous invente Des aventures Mais on s'étonne de vous savoir
Seul On est partout et toujours Seul Des gens vous aiment, vous entourent On se retrouve quand même et toujours Seul Avec un trop plein d'amour Que l'on donne à une personne Une seule Mais qui au petit jour, au petit jour Vous abandonne, oh Vous abandonne
On vous croit solide Comme un roc A l'abri des coups Et des chocs Parce qu'on ne vous voit Qu'en vitrine Blindé aux envies Qu'on provoque
Mais épuisé On rentre le soir On démaquille Son désespoir Dans un miroir Sans complaisance A qui on ne raconte pas d'histoires
Seul On est partout et toujours Seul Des gens vous aiment, vous entourent On se retrouve quand même et toujours Seul Avec un trop plein d'amour Que l'on donne à une personne Une seule Mais qui au petit jour, au petit jour Vous abandonne, oh Vous abandonne
Seul On est partout et toujours Seul Des gens vous aiment, vous entourent On se retrouve quand même et toujours Seul Avec un trop plein d'amour Que l'on donne à une personne Une seule Mais qui au petit jour, au petit jour Vous abandonne Oui, vous abandonne
Avant d'en parler à ma psy, j'en parle sur mon blog...
Souvent, dans mes rêves, j'écris un texte. Une chanson. Je me réveille, et je n'ai que deux, trois phrases... C'est frustrant. Autant faire des rêves cochons. Mais visiblement à 43 ans on ne fait plus de rêves qui font que les draps s'en souviennent, puisque je ne me souviens plus des textes que j'écris et qui me paraîtraient pas si laids que ça...
Avec mon ami Nicolas nous moquions souvent ceux qui se croyaient "influents" et pensaient que leur blog changerait le cours d'une élection et de la République.
Je me rends compte qu'en fait je suis pire. J'aimerais écrire...
J'ai le livre des chansons de Serge Lama à côté de ma souris, et lui ne fait qu'écrire. Je pense que côté Solfège il n'est pas brillant. Goldman écrit beaucoup, mais il connaît la musique...
Je suis frustré de l'écriture. Mais écrire un livre comme Daniel Riolo m'intéresse moins qu'écrire une chanson. Un homme qui a vécu des choses que j'ai connu de très (trop près), Philippe Labro, aura fait les deux. Ecrire des livres formidables, dont un relu il y a peu qui m'a fait comprendre deux trois choses. Et il a écrit des chansons fantastiques.
"Une partie de cartes"...
C'est encore Johnny. Mais cette chanson, ce clip, c'est un film.
Je ne suis que moi. C'est déjà bien de l'accepter. Mais je vois les limites et la frustration...
Non Johnny... Déjà tu n'es plus là et tu nous manques.
Mais non, tu ne la croiseras "plus tous les matins, à 5h40, elle prend son train, et toi tu rentres". On est dans le couvre feu... Tu ne rentreras pas, elle ne partira pas...
Jean-Jacques nous manque aussi. La lumière te fait peur Jean-Jacques, mais tellement de gens t'aiment et ont perdu des lumières.
Ce soir je peux encore sortir. J'ai pas envie. En pyjama. Envie de regarder un concert de Johnny avec les enfants.
Je la croise tous les matins, cinq heures quarante. Elle va prendre son train et moi je rentre.
Elle commence sa journée toujours à l'heure. Moi, la lumière me fait peur. Elle a cette assurance inaccessible De ceux qu'ont de la chance de naissance.
Elle est belle comme les filles du jour Comme celles qui n'ont rien à cacher Et moi j'attends toujours, avant de rentrer, juste pour la regarder.
A la voir on devine des enfants coiffés, un homme, l'odeur du café La vie qu'on imagine, avant de plonger, celle que je n'aurai jamais
Et moi je me sens misérable, sali des fumées de mes nuits. Moi je suis né coupable, coupable d'envies, son monde est interdit.
Je maudis les fins de semaine quand les autres me l'ont volée Jusqu'au lundi matin, cinq heures quarante. Elle va prendre son train, et moi je rentre.
De sa vacuité aussi. Les nouveaux élus écolos verts rouges un peu bruns et communautaristes sont fascinants de connerie.
J'avais du mal à me remettre sereine de cette attaque contre le Tour de France macho et polluant. Oui, il est populaire et rural le Tour de France. Les bobos urbains ont hurlé que la une de l'Equipe soient consacrés au héros national Alaphilippe plutôt qu'à une équipe féminine de football dont on se fout complètement.
Ces ploucs qui aiment le Tour de France, le rosé, qui roulent en diesel parce qu'ils n'ont pas les moyens de se payer une Tesla électrique et pour qui le Vélib ou la trottinette à la con n'est pas une option possible.
Aujourd'hui, j'apprends qu'il faut discuter d'une "charte de l'arbre", et bien sur cesser l'arbre de Noël.
Demain, pour la paix entre les communautés, les élus verts de Paris ou de Marseille demanderont t'il de fermer Saint Sulpice ou la cathédrale de la Major ? Remarque, Notre Dame de Paris a bien brûlé... En URSS les amis de Mélenchon avaient bien brûlé des églises.
Et pendant ce temps, ça polémique. Les verts sont progressistes, mais Sarkozy est (forcément racistes). Les 10 petits nègres changent de titre. Demain, la chanson "Noir c'est noir" sera probablement interdite.
Le Parc des Princes 1993, je crois que c'était les 50 ans de Johnny. Un des concerts que je préfère
C'est le progrès. Pendant ce temps le Covid reprend. Je tousse et n'ai plus de voix, et je me fais hospitaliser mardi pour un truc prévu. D'ici qu'on me dise que ça sera reporté...
Une magnifique chanson de deux de mes idoles. Johnny Hallyday, et Laura Pausini. La loi du silence.
Laura avait retourné le Zénith. Elle était fantastique. Dans mon top 5 elle y est, avec Serge, Johnny, Yuky et sans doute Muse.
Je met le clip officiel. Sans Laura Pausini.
Après je ne valide pas pour autant un avocat comme garde des seaux.
Mais aujourd'hui je m'impose cette loi. Je n'ai pas envie de parler, de partager. Je suis toujours vivant, même si j'ai eu des mauvaises nouvelles côtés santé. Normalement je devrais pouvoir voter contre Macron en 2022. Ou alors j'ai pas compris les conclusions du docteur.
J'aime cette chanson. Je pense à notre ami de la radio des blog de l'été. Comme je pense que ce blog va se taire un moment, je laisse Johnny.
Le 6 décembre 2013 la route était déserte pour aller à la maternité d'Orange. A 4h30 du matin, il fait déjà un froid glacial, mais la route est tranquille. Juste faire attention au radar positionné à l'entrée, mais Falconette me fait remarquer que je roule bien doucement...
Vers 7h30 je serai papa pour la deuxième fois. Le premier avait le prénom d'un ange, le deuxième d'un apôtre. Ils sont pour moi des saints. Mes bébés.
Le deuxième sera né le lendemain de la mort de Nelson Mandela. Il y a trois j'ai reçu une nouvelle douloureuse personnellement le jour de son anniversaire. Et y a deux ans mourrait Johnny Hallyday. Il sera né une date particulière, mais c'est une personne particulière. C'est mon fils et je l'aime.
Je me suis mis en télétravail aujourd'hui. Loin d'un enfer quotidien qui aujourd'hui me ronge l'âme. J’ai pu les amener à l'école mes deux bébés.
Après on verra. La journée n'est pas finie, je me dis bien qu'une bombe pourra bien tomber. Tout est possible.
Alors que les bébés se couchent je mets le « 20 ans » de Johnny. Il y a un an les 4 ans de bébés 2 était horrible. Je le souviendrai longtemps de la cérémonie de la Madelaine.
Le 6 décembre est un jour personnel fort. Demain on fêtera Falconette.
Le fil Twitter est ici, et mon que nous sommes déjà pas mal à avoir participé à l'action.
Tous les ans, j'aime bien écrire mon billet radio blogueur avant de partir en vacance. C'est donc pour ce soir.
Et comme tous les ans, je triche un peu. La règle du jeu indique qu'il faut proposer une musique qui a accompagné un été, et expliquer pourquoi. Moi, j'aime bien mettre plusieurs chansons. Qui me rappellent (ou non) l'été, en tous cas qui m'évoque quelque chose au moment où je poste le billet.
Hier je pensais naturellement à une chanson symboliquement évocatrice de bien des choses. "20 ans" de Johnny Hallyday m'arrive naturellement. C'était un album fantastique ("l'attente" en 2013 je crois), et cela me rappelle son concert un début Juillet aux arènes de Nîmes. C'était fantastique, même avec le monsieur qui n'avait pas de cheveux devant nous.
Le clip est merveilleux. Et Johnny est mort, et je pense souvent à lui, ou plutôt aux souvenirs que j'ai avec lui. Les concerts d'été dans les stades, les chansons qui me rappellent l'été ("Je te promets", mon premier amour de vacances..., l'album "Lorada", et tellement d'autres chansons...).
Bref, Johnny Hallyday, parce que c'est le premier été sans lui, c'est naturel d'écrire en pensant à lui. Et 20 ans, c'est la moitié des 40 ans que j'ai fêté cette année.
Sinon autre classique. Laura Pausini a sorti un nouvel album qui est fantastique. Et tourne en boucle dans ma chaude 308. Fatti Sentire est le titre de l'album. Plusieurs extraits sont sortis. Elle passera le 20 Octobre à Paris, mais je ne pourrais pas aller la voir (j'en déprime).
Je poste un clip qui m'a marqué : "Frasi à metà". C'est classique. D'autres chansons ont tout pour être des tubes.
Sur celle là de chanson, le clip est très beau. Et le thème est touchant. Une chanson sur une amitié déçue. "Une colère sur une personne que je pensais être une amie et qui s'est révélée être tout le contraire" explique la chanteuse. La trahison, celle qu'on a tous vécu, que cela soit au bord du Lac Léman ou ailleurs.
La chanson m'a touché en tous cas.
J'aurais pu mettre la chanson "Non é detto" qui me fait sortir des larmes à chaque fois que je l'écoute et que je vois le clip, mais mettons plutôt du joyeux... Quoique ce billet l'est peu, joyeux...
Il l'est peu car j'arrive sur la jante en cette période estivale. Je sais que Septembre sera affreux. Professionnellement, personnellement, familialement, j'arrive à un moment qui me fout un peu la trouille. La santé a eu une petite alerte fin mai, après ma pause de printemps. Et bon...
Essayons de couper un peu. Avec un générique d'animé estival pour moi, pour rester dans la tradition.
Un vieil animé : Fate Stay Night, qui a fait pleins de petits depuis. Mais le générique de la série originelle (2005 je crois) était une merveille...
J'ai découvert cette semaine sur RFM TV ce clip de cette merveilleuse chanson d'Eddy Mitchell, chanté avec le regretté Johnny Hallyday. On veut des légendes.
J'ai la chanson en tête et la musique en tête. Je suis même allé récupérer l'album "Jambalaya" de Eddy Mitchell (qui est super).
C'est con mais c'est la chanson que j'aime. Et j'avoue encore, quand j'ai entendu la voix de Johnny sur une chanson que je ne connaissais pas, j'ai eu la larme à l'oeil. Il me manque.
Eddy est un cousin un peu plus éloigné, mais Johnny, c'était Johnny. Et les voir se serrer dans les bras, les vestes pleines de poussières, c'est chouette. C'est deux potes qui s'aiment, franchement en plus, et c'est beau. Moi ça me touche.
En tous cas ceux sont des légendes. Et j'ai plus envie de parler de ça que de Wauquiez ou de la facture de gaz que je viens de recevoir.
Et la chanson est belle en tous cas.
L'ex Beatles John Lenon disait
Que le rock and roll était mort
Le jour ou Elvis Presley
Faisait l'GI prêt de francfort
Certain disent que le King vit et dort
Dans une île cachée un endroit sur
J'espère pour lui qu'il est bien mort
28 ans sous terre c'a s'rait trop dur
Ont veut des légendes des légendes
a consommer toutes prêtes sur commande
les mythes nous nous mangent tiennent nous rongent