Je reprends ce dimanche le "rituel" de la vidéo du dimanche soir sur mon blog. Vidéos de ma chaine Youtube, qui grandit, fait avec un peu Capcut, un peu l'application "souvenirs" sur iPhone ou Tablette. J'arrive à faire des choses parfois sympas. Ca me permets de mettre sur des musiques ou des chansons que j'aime les photos que j'aime prendre.
Non, je ne suis pas un grand photographe, pas plus que je ne suis un artiste. Mais j'aime bien ce que je fais. Sur mon grenier du Faucon, je mets en ligne mes photos, mes souvenirs. Comme ça, si mon disque dur tombe en rade avant une sauvegarde, j'aurais quelques endroits de collecte.
Mon épouse Forézienne m'a fait aimer son village, sa région. C'est marrant mais c'est aprés coup que je me suis rendu compte du côté symbolique de la chanson que j'ai pris pour des photos d'un été dans le Forez. "Quand j'irai vers l"or", de Serge Lama. Quelque part en allant dans ce qui était pendant mes études le village d'un copain de promo, j'ai trouvé de l'or...
A part ça (j'aime bien le dessous de la vidéo quand je commence le "à part ça" où tout ce que je n'ai pas écrit peut sortir du clavier), weekend calme. Bébé Faucon, 14 ans, a fait un joli match dans les cages de Roquemaure. Les -15 ont gagné leur adversaire 40-20 et mon fils a fait vibrer le gymnase. C'est chouette de le voir épanoui et aimé. Il écrit "papa" avec 3 p mais ça s'arrangera.
Bébé 2 m'a demandé, alors qu'on était que tous les deux vendredi soir, que je lui parle de l'Histoire avec un grand H. Il détestait cette matière au primaire, il l'adore en 6eme. Je lui ai parlé du moment du début de l'histoire (l'écriture, il a bien appris). Et des 4 grandes époques. Il m'a demandé mes dates favorites, on a discuté, c'était chouette; Discussion entre hommes.
Le reste pas grand chose.
Ah si. Je souhaite mes voeux de bonheur à mon ami Julien Aubert, papa pour la deuxième fois. Et je lui souhaite d'élever ses enfants en administrant ma ville de naissance, Avignon. Félicitation Julien, c'est la plus belle des choses.
Et non, je n'aime toujours pas les dimanches soirs...
A un moment de ma carrière, un chef (que j'estime beaucoup) m'a dit que pour être manager, il fallait que je travaille sur mon leadership. Mot qui ne veut rien dire pour moi, et les exemples ("arrêter de dire s'il te plait et merci') ne m'avaient pas touché. Du moins ils ne m'avaient pas touché à être un "leader".
Le sport (mais pas que, des films, des animés, des séries...) sont des leçons de vie. Et sont les meilleures séances de coaching.
Jeudi, l'Equipe de France de foot a joué dans une ambiance de tension (géopolitique), mais aussi de bof... Plus de leaders, le capitaine est abandonné, et rien. Vraiment rien. Des joueurs sans saveur. "le Groupe" pour reprendre un Didier Deschamps usé et fatigué.
Plus d'idole, plus de référence, rien... Un match qui s'est joué comme la Ligue 1, anonymement.
Les vieux penseront à 98', ou plus à 84'. Mais restons juste à 2018. Des leaders. Pogba, Griezmann, Giroud, Pavard, un capitaine silencieux, Lloris. Une défense Varane Umtiti, deux Milous qui jouaient avec des Tintins dans leurs clubs, qui sont devenus des Tintins dans équipe de France.
Je pense à l'équipe de France 1998. Le leader était sans doute le moins bon footballeur : Deschamps, qui a, avec Zidane (la star et le talentueux), le plus beau palmarès. Mais Zidane a réussi à être à la fois star et leader. Et que j'aimerais le voir sur le banc de l'équipe de France.
D'autres grands footballeurs ne l'ont pas été. Cruyff a été une star et un leader qui a changé le foot. Zidane a été un maestro et un meneur d'homme. Van Basten n'a pas réussi.
Et à côté Deschamps a été un numéro 2 aujourd'hui numéro 1. Qu'en sera il d'M'Bappé ? J'ai l'impression qu'il est devenu la caricature qu'en fait le talentueux Julien Cazarre.
Le sport est chouette. Peut être qu'on a besoin, dans nos collectifs, qu'une pas stars mais qui inspire et qui rassure. Un Griezmann.
Rendez nous Griezmann, comme le hurle Julien Cazarre, dans une délicieuse reprise d'Europe.
Hasard de mon calendrier et de ma chaine Youtube. Ce soir je vais vous ammener avec moi dans des grottes. Enfin, une grotte (la Salamandre) et un Aven (Orgnac). Entre Gard et Ardèche. Sur une musique de Fullmetal Alchemist Brotherhood.
Le syndrome de la grotte était une... "pathologie" n'est pas le bon terme mais un phénomène dont on a souvent parlé à la sortie du Covid. Le mal de certains de retrouver le monde, revoir les gens. J'en souffre, Ou plutôt je vis avec et ça ne me dérange pas.
Un peu plus Falconette des fois (hier soir j'ai refusé une invitation, mais je lui ai fait remarqué que lundi nous étions à Paris et que nous avons vu beaucoup de monde...).
En Process Communication Model (PCM, un truc de coaching mais auquel je crois beaucoup), c'est la couleur de ma phase. Marron, "imagineur". Besoin de solitude. Ma base est empathique (besoin de voir du monde et de "faire plaisir"), ma phase est l'opposé contraire. Ca me coute des fois, je sais que je loupe des opportunités. Mais je m'en fous. C'est comme ça.
Pour parler de moi, j'ai déjà expérimenté 4 couleurs, j'en suis à ma 5eme. Et dernière, je ne serai jamais "rouge" promoteur. Je serai toujours un second.
Un très beau clip de Eddy Mitchell en hommage à son ami Johnny. Il vaut mieux être un brillant second qu'un piètre numéro 1, un bon Waddle ou Djorkaeff qu'un piètre M'Bappé.
A part ça Cyril Linette, malheureux candidat à la présidence du football français, met des mots forts sur ce que j'écris plus modestement. Le football français est en danger de mort. Avec indifférence. Mais quand il est plus simple de voir PSG Montpellier en handball que PSG OM, il ne faut pas s'en émouvoir.
Ce qui s'est passé en Espagne est horrible. J'ai connu 2002 et 2003 les grosses inondations dans le Gard. Mais là c'est incroyable, et choquant.
Mardi (ou plus tard) nous connaitrons celle ou celui qui succédera à Joe Biden aux USA. Ca me fait penser que lundi à Paris tout les accès à l'ambassade des Etats Unis étaient bloqués, sauf aux américains qui sont allés voter en nombre.
Et content du retour dans de bonnes tables de mon ami Nicolas.