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vendredi 10 mars 2017

Point cerisier

J'aime ces billets de cerisier. J'adore mon cerisier, celui qui reste. 


Sinon je remercierai presque Vincent Peillon d'exister et de parler. J'ai moins honte de ma droite quand je vois que la gauche vivote avec ce type de personne abjecte.

Mais je préfère contempler mon cerisier...

dimanche 15 janvier 2017

Et Vincent Peillon qui parle de respect...

Délirante interview du candidat Vincent Peillon dans Le Parisien. Avec la phrase choc : "la culture du respect ferait du bien à la France"

Il a raison. 

Sauf que ce donneur de leçon mène une campagne et une carrière politique basée sur l'outrance et l'insulte. Vis à vis des chrétiens et des catholiques, vis à vis des gens de droite (la droite, c'est des gens qui considèrent : 'Il est noir, il n'a pas le droit de vote'. C'est ça notre histoire depuis deux siècles). Et qui a eu ces paroles abjectes pour draguer l'électorat musulman. Malheureusement une vision partagée par une partie de la gauche, aussi sectaire que cet homme. 

Insultant et blessant Vincent Peillon.

Vis à vis de la politique aussi : élu parachutée dans une circonscription européenne lui offrant un poste de député qu'il insulte avec son absentéisme récurrent et souvent condamné. 

Et cet homme vient nous donner des leçons de respect ? Philosophiquement c'est abject.

dimanche 8 janvier 2017

Vincent Peillon ou la campagne abjecte

Vincent Peillon a choisi sa manière de faire campagne. En étant abject et insultant.

Dernière en date, ses déclarations immondes sur les gens de droite : "la droite, c'est des gens qui considèrent qu'il y a des différences entre nous qui font que, par exemple, si nous n'avons pas la même orientation sexuelle : 'Moi j'ai le droit de ma marier, lui n'a pas le droit de se marier. Il est noir, il n'a pas le droit de vote'. C'est ça notre histoire depuis deux siècles".
Cet homme, qui prétend représenter le parti socialiste à l'élection présidentielle, m'insulte. Comme il a insulté hier les juifs, et avant hier les chrétiens. Cet homme est indigne.

Vincent Peillon a été ministre de l'éducation de ce gouvernement de gauche. Il est soutenu par des personnalités importantes comme le maire de Paris. Et il est donc candidat à une primaire organisé par un Parti Socialiste qui a maintenu comme président de l'Assemblée Nationale un Claude Bartolone qui avait également fait une campagne abjecte et insultante.

Je me demande comme la société pourra être apaisée et rassemblée. La droite répondra à ses insultes institutionnelles, comme elle a répondu aux déclarations ordurière de Bartolone aux régionales. Ca ne sera pas beau. Et le pays continuera à se fracturer, à se diviser.
Mais le philosophe opportuniste et parachuté Vincent Peillon aura été candidat. Lui qui n'honore pas son mandat de député européen. Il aurait mieux fait de rester dans son silence politique, car quand il est présent, il lui fait mal, à la politique...

Inquiet pour la suite.


jeudi 5 janvier 2017

Drague au vote religieux musulman à gauche

Souvenir d'une une de Libération "au secours Jésus revient". C'était pendant les primaires de la droite. Avant que ces primaires de la gauche ne soit le terrain, pour certain, d'une course derrière l'électorat musulman. Qui existe sans doute autant que n'existe l'électoral chrétien.

J'ai beaucoup apprécié le long article de Cécile Pina sur cette drague ouverte à l'électorat musulman de la part de Vincent Peillon et Benoit Hamon. Le premier a d'ailleurs franchement dérapé en assimilant critique de l'islam et nazisme contre les juifs. C'est simplement abject.
L'ancienne conseillère régionale socialiste, qui a déjà exprimé son dégoût devant cette complaisance et cette drague de l'électorat musulman, a écrit ce très bon article. Qui mérite d'être lu. Pour apporter une pierre à une réflexion importante.

Quand on est un citoyen engagé, la primaire du PS peut laisser pantoise. Le «Tout Sauf Valls» entraîne les candidats les plus à même de les remporter à faire assaut de relativisme sur deux points essentiels de notre contrat social: l'égalité entre les femmes et les hommes d'une part, la laïcité d'autre part. C'est vendredi, sur BFM-TV, Vincent Peillon qui explique à Ruth Elkrief que la laïcité est utilisée pour attaquer «un certain nombre d'identités historiques et culturelles» et notamment les musulmans. Et dimanche, sur France 3, Benoît Hamon qui relativise le scandale que représente l'exclusion des femmes des cafés et de l'espace public à quelques kilomètres de Paris (même si le député de Trappes a cherché à relativiser son relativisme sur BFM-TV le lendemain...).
Marwan Muhamad, leader islamiste et président du CCIF (Comité contre l'islamophobie en France) doit exulter. Les deux hiérarques socialistes font son travail de propagande et relaient ainsi les principales thématiques des frères musulmans. La première vise à présenter comme une agression et une oppression le fait de demander à l'Islam d'accepter le régime qui s'applique à toutes les religions dans notre pays et qui fait de la loi que se donnent librement les hommes la règle d'organisation de notre sphère publique et non la soumission à un dogme soi-disant décrété par un dieu. La deuxième présente des revendications intégristes et obscurantistes, utilisées par les islamistes pour faire reculer les principes et idéaux de nos sociétés, comme des revendications liées aux musulmans. La troisième a pour but de faire de la laïcité une forme d'intolérance religieuse quand elle défend en fait l'exercice des libertés. La quatrième fait du recul des droits des femmes et du refus de les défendre, une des marques de la propagation de l'influence des islamistes chez les Français de confession musulmane et au-delà.
Quand de surcroît, l'un des deux anciens ministres de l'Éducation nationale fait également porter la charge symbolique de la violence sur les défenseurs de la laïcité sans adjectif, on s'interroge. Et tandis que l'on cherche en vain les massacres commis par les laïques, on peut égrener la sordide liste de ceux commis en France par les islamistes, de Toulouse à Saint Etienne-du-Rouvray, en passant par Charlie, l'hypercasher, Saint Quentin Fallaviers, Paris, Magnanville, et Nice. 
La suite est à lire sur le Figaro.fr, qui met en avant une bien pertinente tribune...


mercredi 7 décembre 2016

La France est sauvée

L'apparatchik Peillon est candidat ! La France l'attendait...
Il ne manquerait plus qu'on nous dise que l'autre apparatchik Le Roux est nommé Ministre de l'Interieur, et que Royal et Placé sont au gouvernement, et la blague serait totale.

Le jeune parent d'élève (et ancien élu local) que je suis a vu les ravages des rythmes scolaires, dogmatiques et pénalisantes pour les familles, les enfants, les profs et les communes. Mais tellement socialistes...
Et puis je retrouve quelques vieux billets où je me revois tout ce que représente Peillon. Opportunisme politique, dogmatisme, haine. Et positionnement idéologique que je trouve abject et dangereux. Et en plus, c'est un prétentieux notoire... 

Soyons sérieux et arrêtons d'insulter la politique et la république.

Sinon Ségolène Royal est toujours ministre. On est peut être en train d'avoir un scandale d'état (en plus d'être moral). Ses dernières déclarations à l'Assemblée Nationale devrait suffire à la disqualifier et à l'exclure du gouvernement de notre République. 

mardi 28 mai 2013

Vincent Peillon et la réciprocité...

Interview du très caricaturalement humble ministre Vincent Peillon. Que j’ai trouvé politicienne, et assez médiocre.

Une phrase, qui a été mise en avant par le journal, a relevé mon attention. Un théorème dont la réciproque est évidente :
A l’UMP pendant 10 ans, ils ont été de mauvais gouvernants. Depuis un an ils sont de piètres opposants.
Vincent Peillon ne va pas assez loin. Il aurait dû ajouter
Et au PS, c’est le contraire. Pendant 10 ans, ils ont été de mauvais opposants. Depuis un an ils sont de piètres gouvernants.
Je me moque un peu. Mais Vincent Peillon a un pédigrée politique assez consternant, pour ne pas dire plus. En matière de « mauvais » et de « piètre », il sait de quoi il parle…

Pendant ce temps, jamais le moral des français n’a été aussi bas depuis 2008. C’est drôle, mais je n’en suis pas surpris…

vendredi 7 décembre 2012

Vincent Peillon et son gros melon

Vincent Peillon a la tête comme un gros melon. Je n'ai jamais ici caché les profondes réserves que j'avais pour ce personnage, aux pratiques politiques parfois contestables...

L'histoire narrée par le Lab d'Europe 1 m'a amusé.
Vincent Peillon ne se déplace pas pour rien. L'anecdote est rappelée ce 5 décembre dans les confidentiels du Figaro. Invité par l'Ecole supérieure de commerce de Paris le 30 novembre à l'occasion d'un débat ayant pour thème "Sortir de l'école de la défiance", le ministre de l'Education nationale a préféré tourner les talons ... voyant que seule une cinquantaine de personnes étaient présentes pour l'écouter. Au lieu des 400 prévus.

Blasé, le ministre aurait lancé à ceux qui semblaient l'oublier :

"Je suis quand même numéro trois du gouvernement !"
Ben oui...

Apparemment, la journaliste de Libération Véronique Soulé, présente (et qui a narré la scène sur son blog), s'est retrouvé "sidéré".
Bah, c'est le numéro trois du gouvernement quand même... Avec un gros melon à la place du carafon, mais ça c'est une autre histoire, l'histoire de Vincent Peillon et son gros melon...

dimanche 4 avril 2010

Les blablas politiques du weekend de Pâques...

Les donneurs de leçon politique ont été brillants ce dimanche... Deux phrases qui ont attiré mon attention endormie...

L'ineffable Christian Estrosi, s'il n'en reste qu'un de sarkozyste ça sera lui, a eu sur ITélé cette phrase incroyable : "Tout le monde était contre la Taxe Carbone !". On lui rappelle que Nicolas Sarkozy himself, ou c'est pas la peine ?

Sinon l'insupportable le donneur de leçon parachuté Vincent Peillon nous a fait de belles leçons de morale également... Passons outre son concours de zizi le plus long avec Arlette Chabot ("c'est à elle de m'appeler c'est pas à moi", ils sont mignons..), mais j'ai trouvé cette phrase là marquante quand il parle d'une "France nauséabonde".

Il a raison Vincent Peillon, le climat n'est pas bon. Et quand ce climat est entretenu par des personnalités aux pratiques politiques contestables, élus un jour dans la Somme et le lendemain dans le Var, ça n'arrange pas les choses. Et combattre le nauséabond par le nauséabond...
Vincent Peillon a son immense part de responsabilité dans le fétide de l'ambiance actuelle... Plutôt que de le critiquer, il pourrait essayer déjà de changer sa manière d'être...

Difficile d'avoir de l'espoir quand droite et gauche sont toujours habités par la mauvaise foi et la crasse hypocrisie...

vendredi 26 février 2010

Ne pas écrire sur Vincent Peillon...

Quand j'ai entendu la nouvelle sortie de Vincent Peillon, qui prend lui aussi sans honte des boules puantes pour faire de la politique, j'ai soupiré... Profondément. Envie d'écrire un article. Et puis se souvenir de ce que représente vraiment Vincent Peillon...

Mon opinion personnelle sur ce personnage quand même... Vincent Peillon, j'avais un à priori très favorable sur lui. Puis de parachutage en coups d'éclats, simplement pour exister, il est tombé bas, très bas, dans mon estime. Au niveau d'un Jack Lang... Non, plutôt d'un Frédéric Lefebvre, car sous ses aspects de gendre idéal, Vincent Peillon fait et conçoit la politique visiblement de la même façon...

Quand la droite, théoriquement mon camp, fait des choses qui me déplaisent, je le dis. De même quand la gauche se comporte de manière indigne et déshonore la politique. Vincent Peillon n'a rien à envier à l'UMP officielle d'Ile de France.
Il ne faudra pas pleurer si les gens s'abstiennent en masse aux élections européennes. Quoique les vainqueurs du jour n'en auront rien à faire... Et puis reviendra un 21 Avril, et tout le monde redira "plus jamais ça", jusqu'à la prochaine fois...

Soupir... (heureusement, c'est le weekend...)

jeudi 14 janvier 2010

Triste Vincent Peillon...

Je ne regarde pas la soirée spéciale Eric Besson ce soir. Parce que je m'en fous, le soir j'ai envie d'autre chose que de politique. Falconette et 07 Ghost, c'est très bien. Mais quand même...

Je trouvais, avant, beaucoup de qualité à Vincent Peillon. Celui du courage, dans une circonscription picarde difficile pour lui. Celui d'une certaine intelligence. Celui aussi d'être un socialiste modéré et respectueux des idées des autres. Ce que je reproche à une certaine gauche sectaire, j'avais du mal à lui reprocher à lui...
Et puis est ce le fait de s'être vu premier secrétaire du parti socialiste ? Son image a commencé à décliner dans mon esprit de petit gars de droite...

D'abord un parachutage en Provence. Je n'aime pas les parachutages... En plus de la part de personne qui ensuite viendront donner des leçons de morale, tranquillement assis sur un joli siège joliment préparé... Et puis l'épisode avec Royal, où la moutarde de Dijon lui ai monté au nez. Je n'aime pas quand on commence à s'attaquer à la prétendue "santé mentale" des personnes politiques... Qu'elles s'appellent Sarkozy ou Royal, je n'aime pas quand le débat arrive à ce niveau nauséabond.

Et ce soir donc. Peillon devait venir débattre avec Besson. Et à quelques minutes du début de l'émission, il pond ce communiqué de presse. Il jette l'éponge. Ses arguments se veulent pleins de hauteur ? Je le trouve pour ma part petit, très petit, très très petit. Et bien peu républicain.
Vincent Peillon demande la démission d'Arlette Chabot ? Je le trouve tellement minable que je n'ai même pas envie de lancer un "No Peillon Day" en grande région Sud Est, pour demander la démission de son poste d'élu français à Strasbourg.

Je me demande des fois s'il serait possible de voir un syndicat patronal ou autre, ou un élu non de gauche (UMP, Nouveau Centre, Modem...) s'insurger devant la tenue d'un débat entre les très respectables Mélenchon et Besancenot... Et je me demande si ceux qui prétendent défendre la République et la démocratie la servent vraiment, ou ne s'en servent pas pour des desseins qui des fois me font un peu frémir... Et ne me donnent surement pas envie de voter à gauche...

Non, triste Peillon. Triste démocratie. Vraiment... Et non, je ne regarderai pas le débat ce soir. Peillon contre Besson, cela aurait pu être intéressant, et m'aurait peut être fait me relever. Mais là, non. Je lirai les dépèches et le compte rendu demain.
Mais bravo Vincent Peillon : fuir comme ça le débat, sur des prétextes aussi petits, c'est... Non, je vais me coucher...

(Mon copain (de blog, de Fifa, et tout court) CaRéagit partage mon avis sur Peillon...)