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mercredi 7 février 2024

Indécente provocation politique de LFI


Désolé, l'article est pour les abonnés au Point. Mais le dernier édito de Sophie Coignard est d'une vrai justesse. A propos de l'hommage à la national aux morts français du 7 octobre, massacrés et assassinés par des terroristes du Hamas. "La présence d’élus LFI à une cérémonie où ils ne sont pas les bienvenus est, sous couvert de bons sentiments, une provocation de plus".
Le sujet est triste et grave. C'est pourquoi je met en illustration le tweet du délicieux Eddy Mitchell Sardou, qui est toujours drôle. 

Terroriste ? Pogrom ? Autant de mots que les dirigeants de La France insoumise ont toujours refusé de prononcer. Ils ont préféré, dès la première heure, renvoyer dos à dos agresseurs et victimes en évoquant des « crimes de guerre ».
Pourquoi rappeler leurs pitoyables évitements langagiers ? Parce que certains d'entre eux ont répondu présent pour assister à la cérémonie qui se déroule ce mercredi matin aux Invalides en présence des familles de victimes : Manuel Bompard, Mathilde Panot, Éric Coquerel, Et ce alors que plusieurs de ces familles ont adressé une lettre à Emmanuel Macron pour demander, précisément, que le parti de Jean-Luc Mélenchon soit exclu de la cérémonie : « LFI porte une très lourde responsabilité dans l'explosion de la judéophobie dans notre pays et est définitivement marqué du sceau de l'infamie », écrivent-ils. 
Toutefois, protocole républicain oblige, Emmanuel Macron n'a pu accéder à leur requête.

Les victimes ne s'y trompent pas. Les chiffres d'agressions religieuses vis à vis des juifs (et des chrétiens) explosent. La parole LFI, qui n'est plus trouble et ambiguë, y porte une lourde responsabilité. 
Il est de surcroît intrigant de noter que les présents LFI du jour étaient les bruyants absents à la marche du 12 novembre pour la République et contre l'antisémitisme. Ces intermittents de la vigilance se refusaient alors à défiler dans le même cortège que le RN. Ils n'expriment pas, aujourd'hui, les mêmes préventions, et fournissent à Jordan Bardella l'occasion de se dire, au micro de RTL ce mardi, « très mal à l'aise à l'idée de se retrouver à côté de gens de La France insoumise, qui considèrent que les atrocités commises par le Hamas en Israël ne relèvent pas du terrorisme mais de la résistance ».
Je serai un élu d'un parti républicain, je serai aussi mal à l'aise d'être, à cette occasion, à côté d'un parti qui revisité (pour ne pas employer le terme de révisionnisme que je ne sais verbaliser) le 7 octobre. Mal à l'aise d'être dans un moment républicain avec un parti qui ne l'est pas, républicain. 

A l'époque de Charly, le Front National était invité à ne pas venir dans les cortèges (invités... exclus en tous cas). Par des gens qui, aujourd'hui, ne sont plus Charly depuis longtemps. 

Il serait normal que de la même manière, la France Insoumise ait la décence de son absence. Mais non, c'est gens n'ont aucun honneur. 

mardi 10 octobre 2023

Soutien total à Israël et à ses enfants

De souvenirs je n’ai jamais vraiment du conflit israélo palestinien en ces lignes. Peut-être pour critiquer cette extrême gauche qui allait accompagner les fondamentalistes musulmans dans des manifestations prétendument pro-Palestiene, mais qui étaient simple anti Israël, antisémites, racistes, dégueulasses.

J’ai été effrayé samedi matin par les premières images de ce massacre terroriste contre la population d’Israël. Le Hamas n’est en rien une forme de résistance : cette inhumanité bestiale est abjecte. Du terrorisme qui ne mérite ni excuses, ni explications, une simple condamnation est tellement peu, mais c’est le moindre que l’on puisse faire. C’est abject ce qui s’est passé en Israël.

 

Après je suis désolé, je n’ai probablement pas de cœur (normal je suis de droite), mais j’ai du mal à m’émouvoir devant ce peuple « d’opprimés » qui a voulu faire un exemple en mélangeant 11 Septembre, Bataclan, en allant taper un peu de partout, non sans prendre des otages.

Quand la plus légitime des victimes devient le pire des bourreaux, c’est le bourreaux que l’on juge. Et l’histoire expliquera peut être comment l’un est devenu l’autre. Sauf que les explications n’intéressent guère les familles qui ont des leurs en otages, pris par des fous.

 

Je trouve fantastique la saine colère de la très sympathique Flora Ghebali devant la faute morale de la France Insoumise. « OK, on ne va pas employer terroriste car ça va déplaire à notre électorat fascisant ». Et oui, les Louis Boyard et Daniele Obono sont élus dans des circonscriptions avec un électorat fascisant.
Et non, l'Etat légitime d'Israël et les groupuscules terroristes du Hamas ou assimilés ne sont pas à mettre au même niveau. Ne mettons pas l'humain au même niveau que la bête immonde. Respectons nous en tant qu'humain. 

Oui, le CRIF a raison, la France Insoumise est Infréquentable.

 Mais ça, c’est de la politique politicienne. Le reste, ceux sont des morts, des populations qui vivent dans la peur.

Soutien total à Israël. Soyons clair des fois, ça fait du bien.


jeudi 29 octobre 2020

Reconfinement et période de merde

Comme un symbole, ma piscine aura été reconfinée le lendemain de l'annonce d'un reconfinement délirant. 



Je lisais l'article du Point "Reconfinement - Emmanuel Macron chef de guerre en déroute". Oui, il est totalement en déroute. 
Elle est terrible l'interview du 14 juillet où il assurait à Léa Salamé à la question "la France sera t'elle prête en cas de deuxième vague" que oui. Finalement ben en fait non... 

Je ne lui en veux même pas... J'ai l'impression d'un mauvais jeu où plus personne ne pilote rien. M. Déconfinement Jean Castex reconfine après un été où des "jeunes" auront tout cassé Palavas les Flots et sur les Champs Elysées, et où une sœur d'un délinquant faisait défiler des hordes de personnes contre la police et un état forcément raciste, où il fallait déboulonner les statues...

Entre temps, un professeur d'histoire a été assassiné par l'Islam. Ce même Islam qui nous demande de renoncer à notre liberté de caricature, et à qui le ministre des affaires étrangères est à deux doigts de s'agenouiller.
Entre temps, à Nice et à Avignon, l'Islam continue de tuer. Dans un lieu de culte catholique.

Il est bon de rappeler les chiffres : en 2019 les actes anti-chrétiens était 10 fois plus importants que les actes contre l'islam. Ceux qui jouent avec le concept d'islamophobie pour rafler un vote communautaire...

Pendant ce temps on reconfine. Quand comment je ne sais pas ? Mon entreprise, qui navigue aussi totalement en vue, m'a "mis" en télétravail.  

Année de merde

samedi 17 octobre 2020

Ne jamais citer cet ennemi qui tue...

Discours du ministre de l'éducation à midi, en hommage à ce professeur, ce simple professeur, qui pensait que savoir était un grand trésor. Et qui a fini décapiter à cause d'une pensée, d'une religion, que le ministre de l'éducation refuse de citer. Jamais les mots "islam", "islamisme", "musulman" n'auront été cité. Jamais.
 
"Les ennemis de la république" était le terme. Mais on va enfin avoir les couilles de les citer ces ennemis de la République ? Ce n'est pas le vieux monsieur qui promenait son chien pendant le confinement ou le catholique qui voit son fils se faire moquer à l'école car il fait le catéchisme

C'est qui le Bataclan, Charlie, l'hyper cascher, Nice, etc... ? C'est l'Islam, religion des lumières qui tuent ce qui la critiquent.

La ville de Paris avait inauguré un jardin Arnaud Beltrame, une autre victime de cet islam radical. Qu'est il écrit sur cette plaque ? Il a été "victime de son héroïsme"... Encore peur de citer l'ennemi, qui c'est vrai a un poids électoral fort. Mais je suis comme Muriel Cousin, je pensais que c'était le terrorisme islamique qui avait tué ce héros, et pas son courage...

Aujourd'hui les ennemis de la République ont un nom. Ils ont des complices aussi (l'islamogauchisme qui détruit la république). Mais taire que l'islam radical aujourd'hui est celui qui tue, pour conserver une clientèle électorale qui a un poids fort, c'est criminel.

Lire aussi le dossier sur la petite Mila dans le Point de cette semaine. Nausée totale. 

Le républicain que je suis ira peut être à l'église demain. J'ai en plus des gens de ma famille hospitalisé à cause du Covid...





jeudi 29 mars 2018

Vegane et néo-fascisme

L’intolérance de certains est terrifiante. Celle de la,catégorie des « vegan » est particulière, et à la limite du fascisme. Je n’avais eu conscience d’être menacé de mort parce que je mangeais un morceau de viandes...

Une militante vegane (quel mot laid en plus) a dépassé le mur des saloperies en se réjouissant de la mort du boucher du Super U de l’Aude.

 
Comparer un boucher et un mangeur de viande a un assassin, c’est déjà dérangeant. Et le beau-fils de boucher charcutier que je suis ne peut que être choqué par ces joies de voir un islamiste tuer une profession. Qui permet de faire manger des gens. 

Si le veganisme est une nouvelle forme de fascisme, merde. Ils elles mangent ce qu’elles veulent. J’aime les légumes. Mais je n’ai pas de leçons à recevoir de ces gens qui sont ravis de la mort d’un homme qui travaille pour nourrir ses semblables quand je mange un morceau de viande.

Ce neofascisme en plus très « mode à la con » m’exaspère. Mais il me fait peur : l’activisme de féministes qui voulaient supprimer « mademoiselle » des formulaires et voulaient féminiser la langue française a réussi son but (même LR a fait un tract en écriture inclusive...)
Il faut s’inquiéter de ces vrais menaces pour notre société.

En tous que cette folle soit condamnée est une bonne nouvelle.



mardi 27 mars 2018

Vrac villageois, personnel, Roquemaure et républicain

Bon, ne nous mentons pas. Mes derniers jours n'étaient pas très propices à la discussion politique, au blog et tout ça. J'ai subi comme beaucoup cet attentat dans un village à coté de Carcassonne, à coté de chez moi parce que l'Aude c'est chez moi. 



Ca m'a rappelé une discussion de fin de soirée avec mon beau-père premier adjoint de son village du Forez et quelques amis. Après le Bataclan, j'avais dit "si j'étais de cette bande de fils de pute qui tuent au nom de Mahomet, je tenterai un truc dans un petit village. Question de dire "on peut frapper de partout" ".
Samedi, pleins m'ont rappelé ma prophétie. Des fois on n'est pas heureux d'avoir "raison". Des fois on a mal.

Ce weekend a mis en avant un héros. Arnaud Beltrame, un policier fantastique, à qui il faudra offrir des rues, des places. Je le dis avec beaucoup de tristesse en moi : cet homme est fantastique et a donné une leçon à pleins de gens. 
La France s'est construit sur des héros. Plus modestement je disais un soir de fête de mes 40 ans à mes enfants qu'on se construisait sur des modèles, sur des gens qui nous donnent envie d'être plus grand, d'être plus fort. Arnaud Beltrame est de ces gens là, il est fantastique.



Derrière, nous avons eu antisémitisme qui a encore tué. La mort de cette mamie qui est plus jeune que la mienne m'a aussi touché. 
Je suis désolé de faire une digression politique en parlant de cette dame, mais ce n'est pas de mon camp, j'ai le droit. Je partage totalement les prises de positions de Manuel Valls. Il y a un islam antisémite, raciste, criminel. Il faut l'éradiquer. 
Eradiquer était un mot employé un jour par un Mélenchon, qui a fait aujourd'hui un discours fantastique. Comme quoi, mon billet est très éclectique aujourd'hui.



Il se terminera en pensant comme tous les ans à mon ami ancien Maire de mon village, mort soudainement un 26 mars. C'est l'anniversaire d'une amie chère, les symboles sont parfois plus que taquins.
Je pense toujours à lui. Même si le temps passe. C'était mon ami, il le restera. Son prénom est le troisième de mon premier. Il doit être malheureux de voir que 8 ans plus tard bien des choses se sont effondrées.

Mais c'est la vie. A 40 ans on le comprend, même si on ne l'accepte pas forcément.



Ce billet a beaucoup d'images de Roquemaure. C'est chez moi. 5000 habitants comme Trèbes. Et aujourd'hui une majorité qui veut détruire ce village en le faisant passer à 10000 habitants. 

Du délire, mais on y est à fond dans le délire...




jeudi 15 février 2018

Écœurant

Sans commentaire.
Cette blague de Jawad n’est pas drôle du tout. Et notre justice est vraiment malade.

Sinon l’histoire Maylis est écoeurante aussi. Et fait mal au papa et à l’homme que je suis...

vendredi 26 janvier 2018

Bienvenu chez Jawad saison 2

Le procès de Jawad, appelé aussi dans sa cellule "Century 21" ou "Stéphane Plaza", a commencé cette semaine. Il parait qu'il vit mal son moment de gloire et les moqueries qui s'en sont suivies, le pauvre garçon.

Revenons sur des francs moments de rire. Pour ne pas trop pleureur quand même, car le sujet est dramatique.


Mais Jawad, quel clown, quelle blague...









Avec en bonus track cette jolie soirée chez Jawad...

mardi 21 novembre 2017

Rien en soi n'est grave finalement

Lu sur les pages politiques au début du Point de cette semaine. Affligeant.



Cette personne, je ne la connais pas. Elle fais partie du clan Plenel, de cette gauche très Dieudonné et quenelle. Qui répond à une demande forte dans une partie de la société, et qui est une cible électorale. 
Cette gauche qui considère, comme le CCIF en 2015 après l'assassinat d'un patron par un islamiste que "le véritable danger n'est pas le djihadisme mais l'islamophobie".

Je suis à nouveau sur des billets de 2015. Je relis une partie d'un éditorial de Franz-Olivier Giesbert de février 2015. Qui est totalement d'actualité. Il s'intitulait « Islamo-nazisme et islamophobie ». 

Le terrorisme intellectuel ne peut plus rien, désormais, contre la vague de barbarie qui nous submerge et que rien ne semble pouvoir arrêter. A en croire les sophistes contemporains, elle favoriserait même l'islamophobie, qu'ils ont érigée en hideuse variante du racisme. Pensez, ils rêvent même de la criminaliser ! En attendant, ils comptabilisent avec plus de soin les actes islamophobes que les actes antisémites, qui, hélas, deviennent banal sen France.
Un formidable tour de passe-passe sémantique que cette Invention de l’islamophobie : s'appuyant sur l'inculture générale qui ne cesse de faire des progrès, elle permet d'interdire toute critique contre l'islam, religion qu'on n'a pas le droit de mettre en question sous peine d'être suspecté de tout, surtout du pire.
La christianophobie est un mot qui lui n'a pas droit de cité dans le langage usuel. Elle correspond pourtant bien à une réalité et on ne se lassera jamais de répéter qu'entre 150 et 200 millions de chrétiens sont persécutés à travers le monde, notamment dans les pays arabes. Quand ils ne sont pas purement et simplement assassinés par des sectes islamiques comme Boko Haram au Nigeria.
Pourquoi personne n'entend-il le cri des chrétiens martyrisés ? Apparemment, leur tragédie n'est pas politiquement correcte. Dans un excellent livre au titre évocateur, «Les hommes en trop» (1), Jean-François Colosimo a tout dit sur le chemin de croix des chrétiens d'Orient : ils sont bien plus maltraités en terre d'islam que les musulmans le sont chez nous.
(...)
Le déni est notre grande maladie nationale. Paralysés par un impensé raciste, une culpabilité diffuse et une méconnaissance du fait religieux, nous n'avons pas pris la mesure de ce qui est en jeu(...).
En tout état de cause, si la France veut rester la France, ce sera à l'islam de s'adapter à la République, non à la République de s'adapter à l'islam.

C'est grave ce que nous sommes en train de vivre. Je préfère être dans mon camp, celui des républicains, que dans celui des collaborateurs et révisionnistes du XXIeme siècle. 
Finalement des gens peu différents de ceux qui considéraient que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire, et auraient pu écrire que "le nazisme n'est pas en soi une chose grave", ou que "le racisme n'est pas en soi une chose grave".

Tout ça est grave. 

dimanche 1 octobre 2017

Je suis Marseille, triste et en colère

La première réaction quand j'ai appris que deux femmes avaient péri sous les coups d'un fou d'un Dieu auquel je ne crois pas et dont je pense le message maléfique a été de me revoir un matin de Mai. 
Avec Falconette, nous avions offert à Bébé Faucon son premier voyage en TGV pour ses 6 ans. Avec la destination de rêve, cette ville dont il a toujours entendu parler : Marseille. Vers 9h30 nous arrivions à Saint Charles, il faisait une chaleur de fou, et bébé qui n'en n'était plus vraiment un était fou de joie.



La journée à Marseille fut belle. C'était un vendredi avant les premières finales du Top 14 de rugby. J'avais revu ma tour du Grand Pavois au Prado, dans laquelle j'ai vécu 3 jolies années de ma vie. Nous avions fait la Corniche, sommes montés nous recueillir à Notre-Dame-de-la-Garde, et avions foulé le parvis du Stade Vélodrome (qui ne sera jamais Orange dans ma bouche). 



C'était une journée fabuleuse.

Et comme nous avons en ce moment une recrudescence de petites merdes qui passent à l'acte, nous aurions pu être ces deux femmes égorgés par un fou de Dieu. Nous sommes tous des victimes potentielles de ces fanatisés élevés aux mamelles d'un islam maléfique, et nourris d'une haine pour l'Occident et la France. 


A coté de ça, j'écoutais d'une oreille distraite la député insoumise charismatique Danielle Obono ce midi. Continuant à nier le radicalisme islamiste de certains, comme d'autres nient qu'entre 39 et 45 des Hommes ont pu commettre les pires saloperies contre d'autres Hommes. Et puis je me suis dis "mais en fait c'est un troll". Les mêmes trolls qu'on a sur nos résocios à nous. Le troll qui nous fait réagir et dégoupiller en balançant un truc gros comme un cul de dinosaure.
Je me suis dit qu'en fait, elle est là juste pour que cette gauche de la gauche puisse pleurer contre ces forcément racistes et fascistes qui la critiquent, et de fait critiquent cette France Insoumise et leur Ducé Mélenchon. Je me suis dit qu'en fait elle est un piège redoutable, et que cette secte est franchement à féliciter, car ils arrivent à victimiser l'abject. 

Et puis après je me dis que non. Sans doute Mélenchon a dépassé son modèle Le Pen et mis son détail au niveau d'un simple détail. Mais quand même...
Aujourd'hui, nous avons une vingtaines de députés qui nient le radicalisme. Ils ne le minimisent pas, non. Ils le nient. Et ils font partis d'une gauche de la gauche complaisante vis à vis de ces gens qui sont forcément des victimes de cette France blanche, mâle, et aux diaboliques racines chrétiennes. Électoralement, cela permet de gagner des circonscriptions et des postes dans certains endroits. Mais c'est abject.

La semaine passé, le guide des insoumis a mis Juppé et nazi dans une même phrase. Donc si j'avais aussi peu de scrupule, je n'aurais aucune honte de mettre Pétain et France Insoumise sur une même ligne. Et de dire que le mot affreux de "collaboration" irait assez bien à coté de "France Insoumise". Je tomberai sans doute dans les pièges de ces trolls qui veulent faire dégoupiller les républicains. Sauf qu'il y a eu Marseille cette aprés-midi, et j'en ai marre d'allumer des bougies et de changer le fond de ma photo de profil à chaque saloperie de ces musulmans radicalisés qui sont choyés par une certaine frange de la classe politique.

Pour autant, Mélenchon, bien que "député de Marseille" (mdr), n'est pour rien. Lui et sa secte représentent pour moi le principal danger de notre République, mais ce n'est pas lui qui est aux affaires.
Nous verrons si notre exécutif est un peu plus couillu que le précédent. Je l'espère. 

Je suis Marseille. C'est une ville dont je suis proche, et je suis meurtri et en colère ce soir. Triste et en colère...

(billet avec des photos du Marseille que j'aime...)


dimanche 20 août 2017

Un dimanche soir sur la terre

J'ai adoré cette photo de Galia autour de l'aire de jeu de mon village forezien. Une des premières réalisation du papy de mes bébés en début de ce mandat. Une belle réalisation...
Sinon bien rentrés dans le Gard. Le vent souffle violemment. Le niveau de jeu de l'OM est lamentable et inquiétant, mais j'imagine (ou espère ?) une préparation physique difficile qui laisse des traces. 

Pas d'aurees commentaires de ma part sur Barcelone ou la Finlande. Les avis péremptoires de la vraie droite (qui a décidé sur Twitter de s'en prendre à Juppé, Pecresse et cette partie là) ou de la vraie gauche (qui voient du racisme et de l'islamphobie à chaque respiration) se suffisent à eux mêmes. Et m'offrent de nouvelles occasions de penser que la France a atteint un point d'intolérance et de ras le bol qui va rendre cette rentrée irrespirable. Le pire est à venir.

Alors je reste avec mes souvenirs d'une semaine dans le Forez. C'était bien

vendredi 14 juillet 2017

Ne pas éteindre la lumière

Un certain islam veut détruire notre république. Nous avons eu des penseurs et des intelligences qui nous ont construit un socle de valeurs à défendre. La Fayette est allé les porter au delà des mers ces valeurs et cette lumière qui fondent notre société.

Je n'ai jamais caché ici ni mon attachement évident a ces valeurs républicaines (qui fondent mon intransigence sur des comportements politiques qui rapprocheraient la droite de Gaulle avec celle de Le Pen), ni mon attachement à mon baptême et à ces valeurs chrétiennes que je considère républicaines. Et qui sont de toutes manières mon identité, et sont ce que je suis.
En tous cas en phase les trois notions qui fondent notre socle de pensée. 

Le 14 juillet doit rester notre fête. Un connard islamiste ne doit pas nous le dezinguer. Et je le dis d'autant plus facilement qu'il fut un jour difficile affectivement pour moi. Même si 15 ans et deux beaux bébés plus tard, je n'ai que des pensées positives pour les Eurydice qui passeraient par là.

Pour autant il ne faut pas oublier Nice. Ni Charly, ni le Bataclan, ni les égorgements sur les plages de Lybie. Même si notre nouveau président continue à avoir du mal à nommer l'adversaire de nos valeurs, je le soutiens à 100% sur cette lutte.
D'autant plus que l'assemblée nationale a vu éclore en son sein des "anti Charly-friendly" qui quelque part m'effraient terriblement...

Pensées à Nice. Et à nos valeurs. Et à la république, qui est si belle.


mardi 23 mai 2017

Salopards

Évidemment que je suis Manchester. À fond. Douloureusement.

Les islamistes attaquent maintenant des enfants. C'est le public de ce concert. Après avoir tué des caricaturistes, des chretiens, des prêtres, des familles, des policiers, c'est maintenant les enfants qui sont pris pour cible par ces fous de l'Islam.
Je suis choqué, en tant que père, en tant que républicain. En tant aussi et merde si ça choque en tant que chretien. Dans mon dernier billet je parlais de cette messe en Provençal. Le prêtre a fait 10 minutes sur l'amour, sur la fidélité, sur le respect, sur la main tendue vers l'autre. C'est ça que prône cet islam qui tue des gosses. 

Des salopards, des merdes. Je suis Manchester, mais je suis surtout en colère qu'on doive toujours pleurer. En refusant de dire que les ennemis de l'humanité sont des islamistes. Pas des terroristes, des islamistes.

Et oui je prendrai du padamalgam ce soir, promis.

jeudi 26 janvier 2017

La classe à la française... (rions avec Jawad)

Aujourd'hui s'est ouvert le procès de Jawad. Ce dernier a commencé de manière brillante...


Du grand, du beau, du fort. Humilité, grande classe internationale.

L'occasion de se souvenir. Pas uniquement du drame du terrorisme islamique (le deuxième mot est important), et de la complaisance coupable d'une partie du spectre politique. Mais aussi l'occasion de sourire avec Jawad, et les détournements qui nous ont bien amusé.
L'occasion chez moi de plusieurs billets, qui me font toujours sourire. Même si c'était dramatique. Mais rire, c'est bien, et important...



J'avais bien aimé cette soirée chez Jawad...
Après que la justice se fasse. J'espère qu'elle sera impitoyable avec ce type de personnage. Malheureusement soutenu par encore trop de personnes...

mardi 26 juillet 2016

Ecœurement chrétien et républicain

Il y a une dizaine de jours des enfants étaient écrasés par une merde. Aujourd’hui c’est un prêtre. Les limites morales ont explosé. Dégout.

J’ai quelque fois écrit ici devant mon écœurement et mon inquiétude devant une partie de l’islam qui prennent les chrétiens pour cible. On parlait souvent des chrétiens d’Orient qui sont massacrés à cause de leur religion (on en parle moins d’ailleurs)
J’avais écrit un billet (que je ne retrouve pas) sur mon émotion devant ces chrétiens égorgés sur une plage, avec leurs bourreaux qui pointaient leurs doigts vers Rome.

Dégouté je suis, mais ébranlé non. Cela fait trop longtemps que je les vois, ces attaques contre ma société, ma culture, ma religion aussi. Et que je condamne cette indifférence face au piétinement,  dans mon pays, de nos cultures chrétiennes et des chrétiens eux même.

« Aucun acte anti-religieux ne doit être toléré » avaient proclamé nos plus hautes instances politiques en Mai, après une tête de cochon mise devant une mosquée. J’avais dit qu’il avait raison, mais que j’aurais aimé de telles déclarations aussi quand partout en France, des églises et lieux de cultes chrétiens sont attaqués.  Combien de chapelles et d’églises profanées, taguées, vandalisées, sans aucune réaction officielle ?
Comparaison n’est pas raison, mais j’ai encore été choqué et écœuré de voir la semaine dernière un préfet de région accourir dans une mosquée qui avait été taguée, alors que le silence des autorités de la république est assourdissante quand des lieux de cultes chrétiens sont vandalisés. Ce deux poids – deux mesures m’insupporte.

Aujourd’hui, un jalon a encore été franchi. Symboliquement, la religion chrétienne a été directement attaquée. Guerre de religion, guerre de société, tout y est, tout est mélangé. Je parlais de cette christianophobie de complaisance, et de l’indifférence du pouvoir et de la classe médiatique devant les attaques contre les symboles chrétiens, contre les chrétiens eux même. Quand ce n’est pas de la négation.

J’avais été choqué l’année dernière par une déclaration d’une haute personnalité de l’islam en France, Dalil Boubakeur. Dans une indifférence générale, il avait, de manière toute à fait naturelle, émis l’idée suivante : « pourquoi ne pas transformer les églises vides en mosquée ». C’est juste symboliquement scandaleux. Cela induit l’idée de victoire d’une religion contre une autre, en lui prenant ce qui est le plus symbolique, le lieu de culte. Et cela conforte l’idée de certaines d’une guerre de religion qui ne dit pas son nom.

Personne n’avait réagi à cette déclaration. J’en reste toujours ébahi…

Dans le même genre de déclaration insupportable, il y avait l'année dernière la déclaration le président d'une association prétendant représenter une partie de l'islam en France qui avait déclaré que "le véritable danger n'était pas le djihadisme mais l'islamophobie". Cette déclaration avait été faite après qu'un patron ait été égorgé par un de ses salariés musulmans. Quelques tueries plus tard, on voit le côté de la déclaration du président du CCIF...

Mon billet est décousu. Longtemps que je n’ai pas écrit, cela se ressent dans ce billet. Mais il a été écrit avec beaucoup de colères, de dégoût. 
J’en ai marre. Le père de famille, le citoyen, le chrétien, le républicain, l’homme que je suis, tout ce que je suis est attaqué, agressé. Je ne peux pas dire que j’ai peur.

J’en ai marre de ces barbaries, de ces saloperies. J’en ai marre d’attendre la prochaine fois. Et me dire que cela pourrait être mon tour ou celui de gens que j’aime. Si ce n’est plus Paris ou Bruxelles, cela pourrait être une plage à côté de chez moi, en centre commercial, pourquoi pas un village ? J’en ai marre…


Aujourd’hui est encore un jour de merde. Chez moi, à côté des drapeaux français et des symboles de la République, il y a quelques symboles chrétiens. Je les regarderais avec émotion. 
Je ne verrais pas enfants qui sont avec papy et mamy à la montagne, mais je penserai à eux aussi : ils vont vivre dans un monde de merde…

mardi 14 juin 2016

Journée abjecte

Journée de merde. A vomir diront certains. Journée de merde...

Ça commence par un enfant qui voit ses parents assassinés par un connard fou de l'islam. Un animal. Le summum de l'insupportable. C'est chez nous, en France, que l'on égorge une maman devant son enfant. 
J'ai appris ça comme beaucoup ce matin. Avec un dégoût dans la bouche. Une haine aussi forte que la peine que j'avais pour cet enfant. Haine, c'est bien le mot...

Un couple de policier abattu par une merde qui suit ses ordres de fous de l'islam. J'ai pensé brièvement aux salopards qui ont hurlé dans des manifestations des slogans "tout le monde déteste la police". J'ai pensé à la CGT et à ses tracts abjects et infâmes contre les forces de l'ordre. 
Et ce matin, un couple de policiers abattu.

Si certains ont fait ces derniers jours un parallèle rapide entre la Manif pour Tous (pour qui je n'ai vraiment aucune sympathie...) et ce salopard d'Orlando, est ce que d'autres ont le droit de faire le parallèle entre l'extrême gauche qui hurle son dégoût pour la police et le drame de ce matin ? Une question comme ça, juste pour savoir. 
Je sais que certains à gauche refusent de dire que ceux sont des islamistes qui tuent (islamiste avec islam dans le mot), mais on peut nommer ceux qui menacent notre société ? 

Après, la journée a continué à déverser son lot d'abjection et de merde. L'extrême gauche toujours qui vient casser l’hôpital Necker, qui s'occupe d'enfants. Aucun respect, juste de la haine ces gens là. Et après, un fou de Dieu qui fout le bordel à Rennes pour offrir un sacrifice humain pour le ramadan
Pas d'amalgame, surtout pas, mais merde...

Les gens de voyage qui viennent annexer à Marguerittes une aire de jeu pour enfants devient anecdotique, même si hier elle m'avait choqué. Je connais des parents qui sont privés de terrains pour leurs gosses à cause de certaines personnes égoistes qui ne pensent qu'à eux (mais qui ont les pouvoirs publics avec eux... Certains sont plus solvables que les délinquants qui mettent vraiment à mal notre société, mieux vaut faire des contrôles de vitesse à la sortie du travail...)

Notre société est en train d'exploser. Plus de pilotes. Et nous sommes, parait il, en Etat d'Urgence.

Journée abjecte. Mais tout va bien parait il... Par contre, on a le droit d'être écœuré ?

lundi 13 juin 2016

Juste envie de silence, dont le mien

Seul devant Belgique - Italie. Envie de dormir, deux jours que je n'ai pas dormi... Et pourtant...
Parfois, envie du silence, simple silence. Chez soit, avec madame, ses enfants, même bruyants, même énervants. De ne rien dire, ne pas polémiquer. Ne pas échanger.

Je le vois, hier j'étais élu. Aujourd'hui je fuis les festivites. Bodega dans mon village d'enfance ? Je fuis. Fête des écoles ? Une fois le spectacle fini, je prend bébé et me réfugie sur ma terrasse. Ce soir un truc au boulot ? J'ai préféré allez courrir seul sur un tapis de course après une séance de musculation pour mon dos. 
Et ce soir, devant Belgique - Italie, j'ai envie de dormir. Je ne tarderai pas.

Bien sûr Orlando m'a horrifié. Je n'arborerai pas un #jesuisgay qui ne serait pas sincère, et qui devient un peu commercial. Mais là encore, ce que je ressens, j'ai pas envie de l'arborer sur Facebook. J'ai du respect pour certains de mes proches qui ont trouvé l'amour avec des gens du même sexe. Respect est faible : j'ai de l'affection parce que je les aime en tant que gens que j'aime. Je ne le considère pas gay, lesbienne, en tous cas pas différents de moi qui aime une douce paire de seins et un regard féminin. 
Je suis pas gay friendly, je suis ce que tous devraient être : indifférent. 

Orlando m'a choqué car une nouvelle fois un musulman illuminé a décidé de tuer ce qu'il considère être le mal. D'abord, j'ai vu des jeunes qui étaient abattus par un salaud qui trouve que le message d'Allah est cool quand il s'accompagne de sang impur. J'ai su après que ces jeunes étaient gays : cel n'a pas donné pour moi plus de douleur, plus de violence à cet acte Innaceptable. Avant d'être chrétien, juif, blanc, noir, jeune, vieux, pédé ou gros con, on est avant tout des êtres humains. Et c'est ca que ces salopards abattent. C'est insupportable.

Là encore, j'ai envie pourtant de rester dans le silence. Les mots, nos mots, nos indignations, ça ne sert à rien. Alors je vais coucher mes bébés. Je les aime. Demain soir j'irai voir mes parents. 

Et peut être faudrait il garder ces mots pour moi. Ce blog est ma deniere fenêtre avec le dehors, je l'ouvre peu. 
J'essaierai de comprendre pourquoi ces sentiments en ce moment. Mais demain. La je vis coucher les bébés et dormir.

Et quel but de l'Italie... (Même si Di Meco me manque sur Beinsport : c'est les meilleurs consultant football)

mardi 22 mars 2016

Une bière au goût particulier ce soir...

Je regarde aux informations les nouvelles en provenance de Bruxelles et de la Belgique. J'ai ouvert, comme souvent, une bière de là bas...

C'est le point de sourire de ce billet. Du sourire je n'en hais pas.

Pas de faute d'orthographe dans la phrase prédécente. J'ai écrit "hais" de manière naturelle, car je confesse que ce soir c'est la haine et la colère qui m'anime. Je suis tolérant et humaniste, mais ça fait un moment que mes capteurs ont sonné. Et qu'on a dépassé la limite du raisonnable et de la raison. 

Allez, ce soir je m'en fous des amalgames. Hier soir, les clips pseudo anti-raciste m'ont écœuré. "Pas d'amalgame" que beaucoup ont ressorti aujourd'hui alors que des cœurs terminaient tout juste de battre, mais merde. 
A quelques jours de Pâques, ceux ne sont pas les chrétiens qui ont tué et fait couler du sang au nom aujourd'hui d'un pseudo Dieu et d'un prophète qu'on n'a pas le droit de dessiner. Clips insultants qui oublient le racisme anti-blanc, anti-chrétien, anti-athée aussi. Et qui nous insultent avec des fonds publics de fait, en plus de nous mépriser et de nous culpabiliser.

Je mélange, mais j'en ai marre. Aujourd'hui y a encore eu des morts. Et on ressort le padamalgam plutôt que de véritable dire que l'ennemi de notre civilisation et de nos valeurs, c'est l'islam radical et haineux. Certains ont peur de le dire et préfèrent se réfugier derrière un confortable "anti-racisme" qui permet d'accepter que certains veulent nous tuer de l'intérieur. 
Et en plus on fait des clips gouvernementaux insultant en sous-entendant que c'est le petit blanc français moyen qui doit être celui qu'on doit montrer du doigt, parce que forcément raciste et intolérant. Et on veut, par une loi "travail", faire accepter ces religions de haine au sein de l'entreprise ? Mais on délire à plein tube...

Je suis Paris, je suis Charlie, je suis belge aussi. Mais surtout je suis vraiment en colère. Triste aussi.

Et ma bière a un goût amer, parce que ce soir je ne vois comment nous pouvons sortir de cette ornière...

mercredi 3 février 2016

Carte postale d'Aigues-Morte #30

Billet que j'aurais dû écrire il y a un an. Tous les premiers dimanche d'hiver, la ville d'Aigues-Morte ouvrait gratuitement ses remparts au public. Je ne sais si c'est aussi le cas cette année, mais si ca l'est, allez y dimanche les amis. Cette ville est délicieuse.

Bébé 2 commençait juste à marcher en janvier dernier. Mais bébé Faucon était déjà bien en jambe, et heureux comme tout de gambader le long des remparts.

Ces photos datent du 4 Janvier 2015. Le bébé avait fini une varicelle que le fane n'avait pas encore commencé. Et la France était belle et heureuse. 
Et nous, tranquillement, profitions de ces photos de toits d'une ville. Je ne sais pas si j'ai déjà décrit ma fascination que j'ai pour les toits de villes et de villages : j'aime cette vue de haut.
 C'était le 4 janvier 2015. Le soir, nous apprenions la mort du Musclé Framboisier. Je le dis sans rigoler, elle m'avait touché, car c'était la mort d'une personnalité de mon enfançe.

Et puis trois jours plus tard, c'était Cabu qui tombait sous les balles de salopards de l'islam radical... 
Bizarrement, cette journée a Aigues-Mortes me rappelle ce moment. Ce mois de Janvier où, normalement, nous aurions du "ouvrir les yeux". Ou simplement etre plus dignes, plus adultes, plus matures.

Penses tu... Le combat reste politique, cf les atermoiements sur cette délirante histoire de modification constitutionnelle.
Et pendant ce temps, notre République se met à genoux en invitant à manger à l'Élysée le frère Castro, Mélenchon et le chef du parti communiste français. Du pas bien républicain...

Je repense avec émotion à ce dimanche de janvier. Un dimanche où je marchais, mais l'esprit léger. Depuis, je me demande si nous avons vraiment évolué. Je n'en suis pas convaincu.

Mais Aigues-Morte reste une ville magnifique. Un écrin gardois hors du temps. Et c'est bien...