mercredi 25 mai 2022

vendredi 20 mai 2022

Comme une envie de vomir

La phrase de Vahid Halihodzic quand Fabrice Fiorèse a quitté le PSG pour aller à l'OM le dernier jour du mercato : "je suis rentré chez moi et j'ai vomi".

Entendre l'ancien chef de mon groupe parlementaire, que j'ai rencontré aux universités d'été d'Oser la France tenir un discours très digne, trahir sa famille et entrer au gouvernement. Moi aussi j'ai vomi.  

Damien Abad, Eric Woerth... La trahison s'appelaient hier Le Maire (le renouveau c'est Bruno) et Darmanin. Tout se paie un jour... 

mercredi 11 mai 2022

mardi 10 mai 2022

Continuons à jouer

Donc aujourd’hui, en quelques mots. Ma sœur fait un truc qui ressemble à un AVC. Au boulot on me propose pire qu’un placard. C’est indécent. Et sur le boulot, le reste, on continue à m’emmerder avec plaisir. 

Point positif. J’étais à un audit à Marseille. Dans les nouveaux quartiers des Docks

Point négatif demain j’y retourne pour 8h. L’entreprise est sympa. 

Sinon j’attends la suite…


vendredi 6 mai 2022

On n'y peut rien (mais librement)

Je finissais mes études quand JJ Goldman avait sorti son dernier album, "chansons avec les pieds".  On y peut rien est une chanson sur l'amour.

L'amour, je l'ai connu. Mon foyer en est l'exemple type. Il propose des pates aux thons ou du riz au dés de jambons.

On y peut rien quand on tombe sur un ami qui est un modèle. On n'y peut rien quand on a une personne que l'on imagine député et chef politique du coin.

On y peut rien, mais on est libre. Et c'est ça qui est beau : nous sommes trop intelligents pour être des moutons.

Le Rhône sépare Julien Aubert et Blandine Arnaud. Vous méritez qu'on se donne pour vous : vu ce que vous nous avez rendu. Merci. 


lundi 2 mai 2022

Déambulations dans Gréoux les Bains et pensées du lundi

Malgré le running gag de la fuite dans le liner de la piscine au début de la saison, la semaine de vacances a été superbe. Et j'ai cette chance de ne pas avoir eu hier ce blues du dimanche soir, aujourd'hui je suis encore en vacances. Mais j'ai le blues du dimanche matin, c'est con non ? 
Ce soir j'aurais le temps de soupirer dans mon verre de whisky. Mardi, je vois la médecin du travail : je suis un de ses fidèles clients. Ca ne plait pas à ma chef de département, mais elle pense que je ne suis qu'un "RPS" avec R comme Risque. Malheureusement je suis une Réalité, et pas le seul dans son département.



Elle s'est vantée d'avoir mouché un délégué syndical. Ben ce dernier va partir en tendant l'autre joue, et comme on dit dans Jésus 2 le retour il y aura le match retour.

Revenons à Gréoux les Bains. 4 ans que nous n'y sommes pas allés. Le temps est passé à une allure folle.



J'ai, pour reprendre un terme très "chaine info", déambuler dans Gréoux. Je n'avais pas une horde de journalistes qui me suivais, pas de foule qui m'applaudissaient, m'insulter, voulaient un selfie ou discuter avec moi. Non, au mieux j'étais avec Falconette et les enfants, au mieux aussi seul avec moi même. Je marche souvent seul.

Parfois je me perds. Falconette m'attendait au marché, j'ai voulu prendre un raccourci dans les collines et me suit perdu. Voilà la photo que j'ai prise quand j'ai reçu les insultes de on t'attend au marché et tu fais chier.



Gréoux les Bains est une porte vers tous les beaux coins de Provence. Les gorges du Verdon (j'en écrirai des billets, des photos superbes) et la mignonne Castellane. Manosque Forcalquier Lurs Sisteron et plus haut, en remontant la Durance, Gap et le Lac de Serre Ponçon.
Digne les Bains à deux pas. Aix en Provence. 

Et sur la route, on peut "déambuler" dans la circonscription de mon ami Julien Aubert. Les villages perchés, Gordes, Lauris, Lourmarin, Cadenet, Pertuis. "La plus belle circonscription me dit il". Je lui dis souvent "il te manque le Pont du Gard, je te l'apporterai". Pas en mettant ma tête sur l'affiche, mais en aidant ma candidate qui est une fille superbe. 


Gréoux les Bains, c'est les thermes. Le Verdon qui coule paisible. Et le château. 



Un point quand même. Gentillesse des gens. Le Covid a été dur pour eux. La pizzéria nous a offert les desserts, le traiteur un paquet de chips maison pour mon petit garçon. Au bar de mon club de vacances, j'ai du avoir 6 bières et 3 cafés offerts. A la fin je voulais offrir à boire au barman mais il n'avait pas le droit. Ca a été le bon pourboire qui fait plaisir à celui qui le donne. 
Mais quelle dureté ce Covid. Les gens reprennent vie. Des commerces ont fermé.

Et donc 15 minutes après la réélection de Macron, qui était une des deux mauvaises choses possibles de la soirée (Le Pen aussi, mais il fallait un vainqueur), nous avons fait la boom des enfants. Byoubi. Et Marseille est allé gagner à Reims. Perdre à Rotterdam aussi, mais je sens le retour très Marseille Leipzig ou Marseille Newcastle, un de mes plus beaux souvenirs.


Allez, ce soir je serai triste.

Ps : ce matin la voiture n’a pas démarré. L’assurance apporte un camion. J’en ai marre…