Après changer de nom ne fait pas tout. Mais on en reparlera un autre jour. Là, j'ai du rosé sur la table.
(Chat m'a trouvé une image que je trouve marrante...)
Bienvenue chez moi
Je n'ai jamais caché mon aversion pour la bande à Macron. Casa del papel est une blague, quand on voit combien cet homme et ce clan ont volé l'élection de 2017 et kidnappé le pouvoir. Merci les frondeurs et le Canard Enchainé.
Au final pourquoi ? Pour avoir un ministre "socialiste", Le Drian, qui dit que les Talibans bon... Peut être pas des méchants. On a un électorat local à ne pas trop froisser. Et que bon...
Pour avoir un ministre de l'intérieur qui vient de la droite et qui est excellent en communication. En actes c'est zéro plus zéro, pas la tête à Toto car Toto mérite du respect. Le traitre Darmanin, qui a échoué dans tout, non....
Alors si. Il tweete. Il porte plainte contre une association. Il s'insurge. Souvent. Il ne fait rien.
Si. Quand un prêtre se fait assassiner par une personne qui est judiciairement pas nickel, il fit pouce. Je suis en vacances en Berck sur Mer. Et nous n'avons honte de rien à LREM. Envoyons le garde des Sots. Faute d'orthographe assumée. Et vraiment faisons un doigt, à défaut de montrer notre cul, à ceux qui ont été choqué par notre système judiciaire...
Abject. Jusqu'au bout.
Et sur le Covid, lançons le petit Attal, qui se "félicite" d'un peu tout. Lui, le melon est arrivé et il faudra lui rappeler un jour qu'il n'est ministre de rien, sinon l'interprète de ces éléments de langages dont on ne peut plus.
Ils sont heureux. Ils ont pris le pouvoir par une effraction. Non, ceux ne sont pas des Talibans, n'exagérons pas. Mais j'aurais aimé une élection saine.
Aujourd'hui, nous avons des satisfaits. Nous souffrons. Marre. Nous nous faisons insulter par ces personnes au pouvoir.
Macron s'énerve quand on n'est pas d'accord. Que 2022 soit un moment normal. Un Roi Soleil et sa cours, décidément je ne peux pas.
Un mot pour dire que je ne suis pas mort, je dors...
Joli weekend. Un restaurant que nous aimons. Des amis proches. Un Grand Prix fantastique, même si le vainqueur ne le mérite pas.
Des enfants adorables
La crainte d'un lundi matin au boulot, en présentiel. Mais bon, le Gard remonte...
Je n'ai pas pris de positions suite aux annonces de Macron. Pour deux raisons. La première est que mon avis ne vaut rien et on s'en fout. La deuxième car mes amis chez LR ont fait le boulot, en mettant en avant que la forme était forte, mais sur le fond tout le monde est dans la merde. Inapplicable. Sauf à accepter que nous sommes tous le gendarme de l'autre.
Epoque où on dénonçait...
A titre personnel, j'ai de la chance d'avoir un ami médecin. Si j'avais du passer par la voix normale, je serai con. J'ai eu droit d'être vacciné il y a 6 semaines, et mon ami m'a mis au début.
Je suis fasciné de voir ce jeune président élu grace au Canard Enchainé venir me faire la leçon, alors que ça fait 7 mois qu'il m'empêche d'être vacciné.
Et malgré lui je le suis. Je suis de ceux des vaccinés, qui trouvent que son intervention était insupportable et insupportable.
Je reste de ceux qui pense que En Marche (En Mentant disent d'autres) ont volé l'élection de 2017. L'an prochain régularisons les choses.
Tout le monde perd son calme... Au boulot, dans la vie de tous les jours... Je ne sais plus quel est le "mois des fous", mais je me demande si ce n'est pas Novembre.
Laetitia Avia est l'une des femmes en pointe du macronisme. Porte-parole et présidente du bureau exécutif de La République en marche, députée de Paris, très proche du président, elle entend ne rien laisser passer, ni le racisme, ni la haine, ni les campagnes de harcèlement. Vaste programme, avait dit de Gaulle en découvrant l'inscription figurant sur une Jeep de la 2e division blindée de Leclerc : « Mort aux cons ».
Raisonnable et compétente sur la plupart des sujets, Mme Avia, régulièrement prise pour cible par la merdaille raciste, semble sortir, avec ses tropismes religieux, de l'avant-dernier roman de Michel Houellebecq, « Soumission ». On ne peut certes que l'approuver de partir en guerre, avec un projet de loi discuté ces jours-ci, contre la cyberhaine que déverse une certaine populace sur les réseaux sociaux. « Il n'y a aucune raison, déclare-t-elle, que nous tolérions sur Internet des propos que jamais nous n'accepterions dans un bus ou dans un café. » Louables intentions.
Mais quels propos haineux faut-il, au juste, sanctionner ? Toute la question est là.Dans une première version, la proposition de loi intégrait, parmi les délits, l'islamophobie, mise sur le même plan - quelle incongruité ! - que le racisme, l'antisémitisme ou l'homophobie. Pourquoi ne pas criminaliser aussi, pendant qu'on y était, la christianophobie, la judéophobie, la bouddhistophobie, l'hindouistophobie, qui ne figuraient pas sur la liste noire de Mme Avia ? Pourquoi deux poids, deux mesures en faveur d'une seule religion ?
Selon les statistiques du ministère de l'Intérieur, il y a eu, l'an dernier en France, 1 063 actes antichrétiens, 541 actes antisémites (+ 74 % en un an) et 100 actes antimusulmans. Au nom de quoi, alors, faut-il privilégier l'islam ? L'interdiction de le critiquer est une revendication obsessionnelle des Frères musulmans et du Collectif contre l'islamophobie en France. Sans parler de la mouvance islamo-gauchiste, surreprésentée dans les médias.
Cédant à leurs injonctions, LREM s'est donc exécutée bassement. Face au tollé provoqué, Mme Avia a finalement consenti, pour définir les propos délictueux, à troquer le mot d'islamophobie pour celui d'antimusulman. Le problème n'est pas réglé pour autant.
Les Français, qui adorent bouffer du curé, n'auront désormais plus le droit de bouffer de l'imam. Aux yeux de Mme Avia, l'islam doit bénéficier d'un statut particulier, comme si la France était devenue, excusez du peu, une République islamique. Quand sa loi scélérate sera votée, les antimusulmans ayant fauté sur Internet seront poursuivis par la maréchaussée, mais pas les antichrétiens, ni les antijudaïques, ni tous les autres qui, eux, pourront continuer à s'en donner à cœur joie en critiquant les religions non musulmanes sur les réseaux sociaux. Toujours deux poids, deux mesures. Tout ça dans une indifférence quasi générale.
Mais qu'arrive-t-il donc au pouvoir ? La macronie a-t-elle perdu la tête, la raison, le sens commun ? Ne se rend-elle pas compte qu'elle dessert l'islam en lui donnant des droits qu'elle n'accorde pas aux autres religions ? Si l'on veut faire baisser le niveau des haines de toutes sortes qui montent dans ce pays, ce n'est pas avec ce genre de discriminations stupides et démagogiques que l'on y parviendra. Pour complaire aux autorités musulmanes, le chef de l'Etat a souvent laissé entendre, dans le passé, qu'il était prêt à réformer la loi de 1905 de séparation de l'Eglise et de l'Etat, qui établit la laïcité à la française. C'eût été une insanité d'ouvrir cette boîte de Pandore. C'en serait une autre de favoriser, dans un texte bâclé, l'islam par rapport aux autres religions.
On n'ira pas jusqu'à dire que les pseudo-modernes de LREM rêvent de réinventer une nouvelle « dhimma », laquelle, dans le droit musulman traditionnel, place l'islam au-dessus des autres religions, abaissant les juifs et les chrétiens au rang de sous-citoyens ultrataxés, humiliés, offensés, vêtus de signes distinctifs. Ne galéjons pas. Mais convenons quand même qu'entrent en jeu, dans la genèse de cette loi anticyberhaine, beaucoup d'amateurisme, d'angélisme, de calculs électoralistes, de confusionnisme dangereux. Puissent nos législateurs se raviser et la réviser avant de voter la proposition de loi.
Ce n'est pas avec un texte comme celui-là que le pouvoir réconciliera les Français avec lui, avec les autres. Au contraire, il risque d'attiser les braises dans le feu qui couve