Tout le monde perd son calme... Au boulot, dans la vie de tous les jours... Je ne sais plus quel est le "mois des fous", mais je me demande si ce n'est pas Novembre.
"Sortez d'ici" lance un ministre à sa représentation nationale. Un ministre qui s'imagine investi d'un pouvoir divin, alors qu'il n'est là que pour servir des hommes, et qu'il parle à la République. "Sortez d'ici"...
Puisque le débat en est là, que cette République en Marche qui a volé l'élection en 2017 sorte d'ici. Et laisse le pouvoir à des gens dignes, responsables, respectables. "Sortez d'ici", quand on enlève les loisirs aux français, qu'on confine les personnes agés, et qu'on leur offre que pour seul espoir de travailler et c'est tout ?
Sortez d'ici. Jean Castex et tous ces opportunistes sont une erreur de casting. 2017 aura été catastrophique.
Après je dis ça... Humainement je comprends, tout le monde est à cran. Le gouvernement pilote à vue. Olivier Véran a été indigne de son poste de ministre, mais finalement tellement humain... Je lui pardonne presque cette attitude impardonnable...
Sinon il fait froid et nuit tôt.
Et aux USA une source informée me dit que le prochain président sera soit Trump soit Biden. Le pari "nul à la mi-temps" était le bon pari...
Véran n'est pas le pire...
RépondreSupprimerNon. Il est plus victime qu'autre chose sur ce coup là, victime d'un énervement et d'un ras le bol général.
SupprimerJe ne pense pas qu'il ne s'agissait que d'un énervement.
RépondreSupprimerOlivier Véran est un médecin hospitalier et à ce titre, il connait bien le fonctionnement d'un hôpital avec la masse de contraintes que cela représente.
A titre personnel et avant l'épisode Covid, j'ai vécu dans mon cercle familial au sens le plus restreint du terme deux épisodes dramatiques.
Le premier un membre a subi un coma provoqué de quarante jours dans un service spécialisé et à ce moment-là j'ai eu la possibilité d'échanger avec eux à la fin de leur service. Le deuxième s'est soldé par quatre épisodes de détresse respiratoires en six mois avec des passages en soins intensifs.
Pour chacun, les médecins ont prévenu du risque létal.
En dehors de la charge importante de travail liée à la surveillance attentive, il y a aussi les décès de patients.
Et pendant ce temps là, il y en a qui ergotent sur la restriction de petites libertés individuelles.
Je comprends très bien la colère d'Olivier Véran.
Je la comprends aussi.
SupprimerMaintenant la détresse que chacun vit (moi aussi j'ai des proches touchés) doit elle nous faire tout accepter ?
J'ai relayé l'interview de Renaud Muselier, qui est aussi un médecin. Il partage l'avis de médecins que je connais : enlever l'espoir et ne pas donner d'horizon est un remède qui peut être pire que le mal.
Aujourd'hui je ne suis pas toubib. Je fais confiance aux médecins.
Par contre, les libertés individuelles ne sont pas petites, ni à géométrie variable. Et en discuter c'est vital. Savoir jusqu'où nous sommes prêts à aller.
Aujourd'hui, même voir un virus qui vient proche de chez moi, je n'ai pas envie de faire comme en Mars et m'assoir sur toute liberté sans rien dire. Et j'ai envie qu'on puisse en discuter, calmement, intelligemment.
Cela n'enlève pas que oui, ce virus est dramatique. Et qu'on est tous plus ou moins touché maintenant. Mais non, je ne suis pas prêt à tout.
Et je comprends sur l'aspect humain la colère d'Olivier Véran. Je lui pardonne volontiers. Maintenant...
La plus grande des libertés, c'est de ne pas être contaminé par cette saloperie.
RépondreSupprimerQuelques libertés individuelles doivent pouvoir s'effacer devant.
Effarant et en colère devant cette dame, la petite quarantaine, qui affirmait dans un micro-trottoir que pour lutter contre cette pandémie, il n'y avait qu'à ouvrir des lits de réanimation.
Dans le genre pourri, difficile de faire mieux.
sur ta première phrase, je ne sais pas.
SupprimerTu es sur des exemples, je suis sur un principe. Pouvons nous réfléchir, simplement.
Même pendant le terrorisme dur j'étais pas fan de la privation de liberté. Pourtant je suis de droite que certains disent "radicales" ou "dures" (alors qu'à droite on me considère de gauche, la vie est merveilleuse...)
Tu parles de pourris. Mais moi je me demande si simplement on se respecte.
Je ne suis pas d'accord avec toi. Suis je un pourri ? Alors que des témoignages j'en ai aussi pleins, et des durs, qui font que je suis personnellement à plat ?
J'en ai marre de ce côté binaire. Simplement. Trop facile de nous sortir des témoignages quand à côté Bruno Lemaire dit "partez dans la mine et tant pis pour le coup de grisou".
Donc oui des témoignages, des lits de réanimations. Je suis à côté d'Avignon aucune leçon à recevoir des cliniques deviennent des centres.
Sauf que à coté le copain du Saint Véran nous dit d'aller bosser et de fermer notre grande bouche et de nous mettre notre liberté...
Donc bon... Non j'ai du mal. Pas convaincu. Et je resterai opposant. Car rien n'est clair, sinon des privations de liberté.
Des virus il y en a plein, je ne sais pas si celui-là est plus méchant qu'un autre, tout ceux que je connais qui l'ont eu n'ont pas été plus malades que lors d'une grippe mais peinent à s'en remettre.
RépondreSupprimerJe ne suis pas médecin mais je me fais ma propre opinion en regardant autour de moi. Les médias font un tel battage que je me demande ce qui se cache derrière... et comme toujours la question est : à qui profite le crime?
Il y a un virus dont on ne parle pas en France qui s'appelle le cyto-mégalo virus, qui est courant chez les enfants mais très très méchants chez les femmes enceintes qui sont rapidement contaminées par le pipi des petits si elles travaillent en crèche, en maternelle ou par leurs propres enfants aînés.
C'est la première cause de déficience mentale ou de surdité chez les enfants à naître.
On n'en parle jamais alors ce n'est pas grave? C'est comme cela que ça marche?
Bonjour tu as oublié de signer.
SupprimerJe comprends en tous cas pourquoi je suis à moitié sourd d'une oreille.
Mais le "y a quoi derrière", sans doute pas grand chose. Mais si, y a des drames humains avec ce virus. Et d'autres l'ont eu sans s'en rendre compte.