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vendredi 10 mai 2013

L'histoire ne s'effacera jamais...


Pour une fois, j’approuverai François Hollande. Même si c’est pour un truc facile et une lapalissade effrayante de banalité, il a prononcé aujourd’hui une phrase qui m’a marqué.

 « L’histoire ne s’effacera jamais ». Evidemment qu’il a raison. Et oui, la phrase est belle…

Ma réaction, face à cette phrase, n’est même pas de réagir à ces bêtes du CRAN. Bête oui parce qu’ils sont bêtes. Par leur bêtise, ils démultiplient le racisme dans notre pays. Mais je me demande, des fois, si ce n’est pas le but de ses associations prétendument « antiraciste », qui n’aurait plus de raison d’exister (de peser ?) si le racisme n’était pas fort là où elles agissent. Et je me demande si leur provocation (parce que cette plainte du CRAN est une provocation) n’a pas pour but d’assoir leur fond de commerce…
De même que je me demanderai toujours si SOS Racisme et Harlem Désir n’avait pas pour but de faire monter un FN, ce qui affaiblit toujours une droite républicaine, et ce qui est bien pour d’autres… Nicolas a écrit un billet qui peut donner des éléments de réflexion sur mon sentiment...

J’ai une vision plus personnelle de sa phrase « l’histoire ne s’effacera jamais ». Elle n'a rien de politique. Et l'évènement à laquelle elle se raccroche, je m'en contrefous ce soir.
Il y a l’histoire de l’Humanité et de la Patrie, dont je suis très attaché. Il y a la mienne, et celle des gens dont je suis proches. Et j’y suis davantage attaché, à cette histoire là.

Mon histoire qui m’a fait grandir et être un homme sur les hauteurs de Lyon, avec à l’époque des gamins qui aujourd’hui sont devenus mes proches amis, elle ne s’effacera jamais. L’amour que j’ai pour certains d’entre eux (ainsi, j’ose l’espérer la réciproque), ne s’effacera jamais.

La douleur que j’ai eu quand j’ai perdu mon ami le Maire de Roquemaure ne s’effacera jamais. Un jalon fondateur dans mon histoire. Comme la mort de mon papy quelque temps après, je revois souvent les petits lapins derrières lesquels on courrait. Comme mon mariage, avec celle que j’aime (et il faut le rappeler aux gens quand on les aime…). Et la naissance de ce bébé, que j’aime.
Et d’autres évènements, plus tristes, fondateurs aussi. Je n’étais pas descendu aux enfers pour rencontrer Eurydice, parce que les bords du Lac Leman sont merveilleux, et parce que ce moment était sympa. Mais la suite de l’histoire, la douleur aussi, m’a formé, m’a fait avancer. Cette histoire du 26 Avril ne s’effacera jamais, j’y pense souvent. D’autant plus quand je suis heureux.

Notre histoire ne s’effacera jamais. L’heureuse surtout. La mauvaise et la douloureuse aussi. Quand j’ai entendu François Hollande prononcer cette phrase, mes pensées sont allées une nouvelles fois traverser le Vercors pour s’écraser au pied de la Chartreuse.
Parce que l’histoire que l’on a dans notre cœur ne s’efface pas, ne s’effacera jamais. Ce n’est qu’une part de l’histoire de l’Humanité, mais c’est notre part à nous. Et elle nous est importante, cette histoire que l’on effacera jamais.

Difficile de conclure un billet qui part d’une phrase éminemment politique, qui sera commentée en tant que telle. Que j’ai simplement souhaité faire coller à mes sentiments actuels.
Notre histoire, simplement… Pour mon Goéland préféré, son histoire. Leur histoire. Qui ne s’effacera jamais.
Et le peu d’amour qu’on peut leur apporter avec…qui est ineffaçable lui... Pas la peine d'un président pour en faire un long discours.

vendredi 9 décembre 2011

Les doux parfums de Jean-Luc Melenchon

François Bayrou est un réactionnaire parfumé.
Je ne sais pas ce que ça veut dire. Probablement rien. Mais je trouve la phrase drôle. Juste drôle. C'est du Jean-Luc Mélenchon. Qui en réactionnisme en connait un bout. En parfum aussi je suppose (je n'en sais rien).
Bah, il doit au moins connaitre le parfum "Coco" (oui je sais c'est con mais ça me faire rire ^_^).

Un réactionnaire parfumé... Faudra que je pense à la sortir à l'apéro celle là pour me moquer d'un collègue. C'est drôle.

D'ailleurs en parlant de parfum, à (re)lire le billet de Guy Birenbaum : "Le Pen, Mélenchon, Montebourg, l'étrange parfum des années 30". Il est toujours à l'avant garde notre ami Guy Birenbaum : il parlait déjà de parfum il y a deux mois (notre maitre à tous Guy ^^).

dimanche 4 avril 2010

Les blablas politiques du weekend de Pâques...

Les donneurs de leçon politique ont été brillants ce dimanche... Deux phrases qui ont attiré mon attention endormie...

L'ineffable Christian Estrosi, s'il n'en reste qu'un de sarkozyste ça sera lui, a eu sur ITélé cette phrase incroyable : "Tout le monde était contre la Taxe Carbone !". On lui rappelle que Nicolas Sarkozy himself, ou c'est pas la peine ?

Sinon l'insupportable le donneur de leçon parachuté Vincent Peillon nous a fait de belles leçons de morale également... Passons outre son concours de zizi le plus long avec Arlette Chabot ("c'est à elle de m'appeler c'est pas à moi", ils sont mignons..), mais j'ai trouvé cette phrase là marquante quand il parle d'une "France nauséabonde".

Il a raison Vincent Peillon, le climat n'est pas bon. Et quand ce climat est entretenu par des personnalités aux pratiques politiques contestables, élus un jour dans la Somme et le lendemain dans le Var, ça n'arrange pas les choses. Et combattre le nauséabond par le nauséabond...
Vincent Peillon a son immense part de responsabilité dans le fétide de l'ambiance actuelle... Plutôt que de le critiquer, il pourrait essayer déjà de changer sa manière d'être...

Difficile d'avoir de l'espoir quand droite et gauche sont toujours habités par la mauvaise foi et la crasse hypocrisie...

mardi 19 janvier 2010

Phrase du soir...

Réflexion de Falconette, ce soir en regardant la divine télé...
On est tous le con de quelqu'un...
Mais certains sont le con de beaucoup de monde...

L'art du crachat dans la soupe...

La petite phrase de l'indispensable Soan, dernier gagnant de la Nouvelle Star
"Autant l'émission que la tournée, c'est de la merde ce qu'on fait sur scène. Au lieu de payer des décors pourris, ils auraient mieux fait de payer trois intermittents, ils auraient au moins fait bouffer des gens et en plus on aurait fait un vrai spectacle quoi. C'était de la merde".

J'aime quand les gens parlent de ce qu'ils connaissent... Et avec cette mentalité extraordinaire, cet "artiste" sait de quoi il parle quand il parle de merde...
Vive l'humilité et la gratitude...