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dimanche 25 octobre 2020

Conflans-Saint-Honorine : une islamo-tolérance qui date...

J'ai écrit le 15 Janvier 2015 (quelques jours après les attentats de Charlie) ce billet sur cette islamo tolérance d'état : "ils ont reçu l'ordre de fermer les yeux sur le port de la burka". Des préfets qui donnent ordre aux maires de fermer les yeux sur les lois contre la burka, et sur tout ce qui pourrait heurter les musulmans.

Ce billet a presque 6 ans. Je le remet tel quel. 

On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. Et qu'on ne dise que l'ennemi est à nos portes...


Après la très pertinente interview du socialiste Malek Boutih, très instructif de lire l’interview du sénateur ex-PS Philippe Esnol. L’ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine le dit clairement : « on a reçu l’ordre de fermer les yeux sur le port de la burka ».

Son témoignage est terrifiant : « Il y a huit mois, alors que j'étais encore maire de Conflans-Sainte-Honorine, j'ai reçu la visite du procureur de la République qui m'a confié que des ordres avaient été donnés pour qu'on ferme les yeux sur le port de la burka afin de ne pas reproduire les émeutes qui, à la suite d'un contrôle de police, avaient mis le feu à Trappes à l'été 2013 ».
Je pourrais témoigner auprès de Philippe Esnol en disant qu’il n’y a pas qu’à Conflans-Sainte-Honorine que des « ordres » ont été donnée pour fermer les yeux devant une pratique hors-la-loi de l’islam, et pour ne pas faire appliquer la justice auprès de certains communautés…

La technique de la terreur installée par les délinquants et les musulmans radicaux est donc une réussite. Ils avaient déjà gagné, la République avait déjà plié. 

J’avais relayé sur mon blog cette histoire de délinquance à Marseille. Mon billet s’appelait « mettre un voile intégral sur ces histoires de délinquance ». Je relaie simplement la dépèche de BFMTV, qui relayait ce contrôle d’identité d’une dame en voile intégral à Marseille qui avait mal tourné. Et la volonté du parquet de mettre un mouchoir (ou un voile) sur cette affaire, laissant les violences sur les forces de l’ordre impunies. 
Dans la nuit de mardi à mercredi (22 au 23/07) à Marseille, trois policiers ont été tabassés après un contrôle d’identité qui a mal tourné. Vers 00h45 à proximité de la mosquée Es-Sunna, trois agents de police se sont approchés d’une jeune femme de 18 ans qui portait un voile intégral, le niqab. Conformément à la loi de 2010 sur le voile intégral, des policiers ont décidé de faire un contrôle d'identité. Mais cette dernière a refusé de se soumettre à l’autorité policière.
« Je n'obéis pas aux lois de la République », a-t-elle expliqué. Elle s'est alors mise à crier et a dénoncé une agression de la police. Elle a même donné des coups de poing au visage d'un policier. C'est là que le compagnon de la jeune femme s'est interposé, de manière à empêcher définitivement le contrôle d'identité. L'homme a ensuite appelé à la rescousse. Une cinquantaine de personnes ont rejoint la bagarre et roué de coups les policiers de la tête aux pieds. L'arrivée de renforts a permis l'interpellation de quatre personnes dont la femme voilée. Mais
tous ont été remis en liberté dans la nuit par le parquet de Marseille dans un souci d'apaisement en période de ramadan.
J’avais conclu mon billet par un laconique « Je suis écœuré. Aussi parce que j'ai l'impression vraiment que tout ça ne peut que très très mal finir... ». Faut-il rajouter quelque chose… ?

Il est très sain que des personnalités politiques témoignent de l’impunité dont ont longtemps bénéficié certaines personnes. Il faut rappeler les faibles sanctions contre les délinquants de Barbes et Sarcelle des manifestations pro-palestinienne de cet été…


L’élément de langages « padamalgam » que l’on sort toutes les cinq minutes pour ne pas citer certains problèmes ne pourra pas tenir bien longtemps…

mercredi 24 août 2016

Carte postale de Clermont-Ferrand jardin Lecoq & habits religieux

Donc c'était Lecoq le nom du jardin. Comme Yves.

Carte postale d'un parc que j'ai trouvé sympa. Important pour Falconette, il etait a côté de son école, et il y a des souvenirs pour elle dedans. 

Là encore le ciel est gris. Mais il n'avait pas fait beau à Clermont ce jour là. 


Sinon je suis assez consterné de la position de certains beaux (et libre paraît il) penseurs sur le burkini. Nous sommes en face d'une provocation, et au nom de je ne sais quelle tolérance il faudrait tolérer ce genre de chose ? Le ministre de l'intérieur nous refait l'invitation d'une association religieuse pour nous ressortir qu’il ne faut padamalgam ?
Aujourd'hui beaucoup ne supportent plus de se voir imposer une religion qui veut se la jouer provocante. On parle de burkini : j'ai chez moi des burkas malgré la loi de l'époque (mais le préfet a demandé qu'on "ne provoque pas", donc on ne dit rien). Et en ce qui me concerne, je prends comme une provocation de voir de plus en plus de jeunes hommes se promener dans mon village en djellaba avec une longue barbe. 

La république est provoquée. Par des gens qui ont un pouvoir électoral important (je l'ai subi y a deux ans). Je ne sais pas comment cela va se finir. Mais je pense que cela va se tendre...

Et qu'il faut être ferme. Faire respecter des lois que l'on refuse de faire appliquer. Les arrêtés ne sont peu de choses : je proposerai une interdiction de tout accoutrement ou habillement religieusement revendicatif ou ostentatoire.
Sachant aussi qu'on ne parle que de l'islam : c'est cette religion qui pose problème. Pas la mienne en tous cas (les églises sont vandalisées dans une indifférence totale).


Billet double. Mais j'ai des photos à partager. Aussi une opinion à donner... La mienne

vendredi 16 janvier 2015

Ils ont reçu l'ordre de fermer les yeux sur le port de la burka...

Après la très pertinente interview du socialiste Malek Boutih, très instructif de lire l’interview du sénateur ex-PS Philippe Esnol. L’ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine le dit clairement : « on a reçu l’ordre de fermer les yeux sur le port de la burka ».

Son témoignage est terrifiant : « Il y a huit mois, alors que j'étais encore maire de Conflans-Sainte-Honorine, j'ai reçu la visite du procureur de la République qui m'a confié que des ordres avaient été donnés pour qu'on ferme les yeux sur le port de la burka afin de ne pas reproduire les émeutes qui, à la suite d'un contrôle de police, avaient mis le feu à Trappes à l'été 2013 ».
Je pourrais témoigner auprès de Philippe Esnol en disant qu’il n’y a pas qu’à Conflans-Sainte-Honorine que des « ordres » ont été donnée pour fermer les yeux devant une pratique hors-la-loi de l’islam, et pour ne pas faire appliquer la justice auprès de certains communautés…

La technique de la terreur installée par les délinquants et les musulmans radicaux est donc une réussite. Ils avaient déjà gagné, la République avait déjà plié. 

J’avais relayé sur mon blog cette histoire de délinquance à Marseille. Mon billet s’appelait « mettre un voile intégral sur ces histoires de délinquance ». Je relaie simplement la dépèche de BFMTV, qui relayait ce contrôle d’identité d’une dame en voile intégral à Marseille qui avait mal tourné. Et la volonté du parquet de mettre un mouchoir (ou un voile) sur cette affaire, laissant les violences sur les forces de l’ordre impunies. 
Dans la nuit de mardi à mercredi (22 au 23/07) à Marseille, trois policiers ont été tabassés après un contrôle d’identité qui a mal tourné. Vers 00h45 à proximité de la mosquée Es-Sunna, trois agents de police se sont approchés d’une jeune femme de 18 ans qui portait un voile intégral, le niqab. Conformément à la loi de 2010 sur le voile intégral, des policiers ont décidé de faire un contrôle d'identité. Mais cette dernière a refusé de se soumettre à l’autorité policière.
« Je n'obéis pas aux lois de la République », a-t-elle expliqué. Elle s'est alors mise à crier et a dénoncé une agression de la police. Elle a même donné des coups de poing au visage d'un policier. C'est là que le compagnon de la jeune femme s'est interposé, de manière à empêcher définitivement le contrôle d'identité. L'homme a ensuite appelé à la rescousse. Une cinquantaine de personnes ont rejoint la bagarre et roué de coups les policiers de la tête aux pieds. L'arrivée de renforts a permis l'interpellation de quatre personnes dont la femme voilée. Mais
tous ont été remis en liberté dans la nuit par le parquet de Marseille dans un souci d'apaisement en période de ramadan.
J’avais conclu mon billet par un laconique « Je suis écœuré. Aussi parce que j'ai l'impression vraiment que tout ça ne peut que très très mal finir... ». Faut-il rajouter quelque chose… ?

Il est très sain que des personnalités politiques témoignent de l’impunité dont ont longtemps bénéficié certaines personnes. Il faut rappeler les faibles sanctions contre les délinquants de Barbes et Sarcelle des manifestations pro-palestinienne de cet été…


L’élément de langages « padamalgam » que l’on sort toutes les cinq minutes pour ne pas citer certains problèmes ne pourra pas tenir bien longtemps…