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dimanche 2 février 2025

Nous nous reverrons un jour au l'autre à Roquemaure (2024)

Parmis mes chansons préférées, il y a celle là. "Nous nous reverrons un jour ou l'autre" de Thierry  Le Luron. Elle me met des larmes aux yeux. Il y a son duo avec Aznavour (dispensable). Mais Charles Aznavour, son grand ami, l'a repris dans un album quelques temps plus tard, changeant quelques paroles.
Deux immenses artistes, que je ne verrais pas en concert aux Arènes de Nîmes malheureusement...

Une année à Roquemaure en 2024. Chaque saison est une saison d'aimer disait Aznavour, et Roquemaure et ses environs, c'est joli quelque soit le mois, la saison. Une année qui a été difficile, j'ai parlé du calice d'amertume que j'ai bu totalement en fin d'année. Moi qui ne suis pas du tout Suze... Revoir l'année qui passe m'a rappelé des moments pas bien rigolos. 
A part ça pas grand chose. C'est bien de couper du bois mais je sens la petite pique dans le coude. J'espère ne pas m'être fait une tendinite car je risque d'en souffrir (la dernière fois, ça a duré 4 mois)

Politique Bayrou, grand strratège, dégaine le 49-3. On va s'amuser. Et le petit président Macron pense à son copain Ferrand, battu aux législatives, et qui ne se prive pas de faveurs que peut lui offrir son poste si ça aide à sa famille, à la tête du conseil constitutionnel. Rien que ça.
Ca pourrit par la tête...

mercredi 1 janvier 2025

Mon village Roquemaure l'année 2023 (musique My Answer, Blood +)

J'avais un jour trouvé une jolie image pour une amie en proie à des doutes. Les mêmes que j'ai comme doutes et comme défaut. Trop être dans l'anticipation de ce qui pourrait potentiellement et éventuellement arrivr (le syndrome du joueur d'échec, le mot est de moi mais les  psys connaissent ce syndrome). Et le fait d'être toujours tourné vers un passé qui ne reviendra jamais et que l'on idéalise. Bref, ne pas être dans le "temps présent".
Prends l'image du joggueur. Il court. S'il regarde trop loin devant, il se prendra le trou ou la racine et adieu la cheville. S'il regarde toujours derrière, il se prendra l'arbre en pleine gueule. Conclusion : pense à ta course, au temps présent.

Là, je mets vraiment le temps passé mais de loin. Il est de coutume de faire une rétrospective sur l'année écoulée. La vidéo que j'ai faite est mon village en 2023, qui a radicalement changé sous l'impulsion de la municipalité dirigée par mon amie Nathalie Nury. Je trouve qu'on voit bien, sous cette chanson tiré d'un dessin animé début des années 2000 Blood+, le village qui change. 


Je reprends le travail demain. J'ai donc un blues du dimanche soir un mercredi. Donc je ponds un billet très "dimanche soir" ce mercredi.

Je pourrais dire "à part ça". Mais à part ça, rien.

Sinon que je souhaite à ceux qui me suivent (il n'y a pas eu grand chose à suivre cette année : 82 billets. Plus faible total depuis la création de mon blog en 2004, avec 1 seul article) une excellente année. Pour eux et ceux qu'ils aiment. Et la santé aussi : les hopitaux servent des repas qui font peur (je ne pense à personne en particulier :) )

vendredi 22 mars 2019

Mes deux chapelles à Montfaucon

Un billet de rien mais qui m’est cher. Il y a quelques années, à l’époque où ce blog est né (en réponse à celui de mon ancienne merveilleuse amie Elaurys, ou Eurydice), il s’appelait « le Mont du Faucon ». Un écho à mon village, celui où je suis né.

Un village qui a changé. Qui n’a plus de médecin. Qui a une municipalité qui, comme chez moi, a ruiné le village en peu d’année. Mais qui reste mon village.

Il y a deux chapelles dans mon village. Dans des endroits secrets. Pas sûr des chemins de balades. La première, celle de Saint Martin, est à côté de mon école d’enfance. Elle était en ruine. Elle s’est vue reconstruite. C’est une superbe chapelle.



La deuxième c’est un de mes coins préférés. Saint Maur. Au dessus du Rhône. C’est ici que mon papy m’amenait marcher. C’est ici que j’ai pris des photos de mon mariage avec Falconette. 
C’est ici aussi que j’ai amené souvent ma première petite amie, qui est aujourd’hui ma meilleure amie. 

C’est le coin de la chanson « Somewhere only we know »





C’est mon village, malgré tout. Sans doute ici où je serai enterré quand arrivera la fin de ma vie.