lundi 29 février 2016

Instagram du mois de Février

Un mois résumé en quelques photos

Un mois de février qui commence par,la chandeleur et des crêpes

Puis l'anniversaire de ma maman le lendemain. Nous aurons mangé des gâteaux...

Un mois de Février avec des jolies couleurs le matin.

Et une température printanière. Des amandiers en fleurs, et un bébé content de marcher dans le village de son papa.

Un village qui se pare de jolies couleurs en Février quand le ciel est bleu

La tondeuse sortie pour préparer le jardin au printemps...

Un mois de Février qui fut long, et au final épuisant... (pour ne pas dire déprimant)

La suite aux prochains épisodes... Un billet de rien, mais décidément incapable de mieux en ce moment...





dimanche 28 février 2016

Un dimanche pluvieux et beau à la fois

Deux photos de ce dimanche. 

La première de l'église de mon village sous une froide pluie d'hiver. J'allais acheter le pain, faire mes paris sportifs, avant d'aller au village d'à coté pour acheter le journal... (plus de marchands de journaux dans mon village... Merci ceux qui font que la presse écrite ne se vend plus et que les marchands de journaux ferment... Je pense entre autre aux syndicats du livre)

Puis l'aprés-midi dans le jardin. Des bébés qui jouent. Le soleil est froid, mais il fait beau.

Un drôle de dimanche. Un peu triste quand même. A l'image d'une semaine. Et, je le crains, de celle qui arrive.

(non, pas le moral. Mais ça reviendra...)


Condamner le syndicalisme délinquant (même paysan)

J’avais écrit il y a quelques temps un billet où je condamnais fortement les paysans bretons, après le bordel qu’ils avaient mis pendant une de leurs manifestations.
De la même manière que je condamne le syndicalisme délinquant de syndicats extrémistes (style CGT) à Air France ou dans d’autres entreprises, je condamne fortement ces « représentants de paysans » qui ont saccagé les stands de Bigard ou Charal.

Je le condamne d’autant plus que les doléances du monde paysan sont justes. Et que ces violences sont dramatiques en termes d’image : comment soutenir les paysans après ça ?
Je leur reconnais le droit de siffler le président de la République (lui ou un autre) ou les responsables politiques. Et d’exprimer leur mécontentement. Mais je leur conseille de faire le ménage dans leur corporation, surtout parmi les gens qui prétendent les représenter.

Je pense que ce syndicalisme-là est voué à l’échec, et à être désapprouvé et rejeté par l’opinion. Encore plus aujourd’hui, je crois que l’opinion est hermétique à ces images de violence et de saccage. Et ça serait un drame que les paysans se mettent l'opinion à dos (et pas l'inverse andouille), à cause de quelques imbéciles qui pensent que saccager un supermarché, une préfecture ou un stand d’industriel, c’est fun et utile.


Je suis cohérent dans mes indignations : je m’oppose à toutes les violences syndicales, et je les combats. Ce syndicalisme-là est voué à l’échec.

vendredi 26 février 2016

Mieux comprendre les histoires Aurier et Benzema (entre autre)

J’ai écrit beaucoup de billets sur les maux du football français. Qui ressemblent aux douleurs de notre société. J’ai écrit ces billets en étant convaincu de ce que j’écrivais. Sans aucune modestie. Je connais des gens qui gravitent autour du sport professionnel en France (rugby, hand, et aussi football). Et certains qui sont dans et autour des centres de formation de clubs professionnels (et dont je suis proche).
En les écoutant, je ne regarde pas les histoires Knysna, Anelka, M’Vila, Nasri & co d’un œil distrait. Je comprends.

Si je voulais expliquer les dernières histoires Benzema ou Aurier à des amis (ou à des gens qui veulent écouter, sans juger ni condamner, simplement écouter et se faire un avis), je leur conseillerai simplement la lecture de ces deux livres.

Le footballeur masqué. On ne sait pas qui l’a écrit, ni même s’il était vraiment un footballeur professionnel de Ligue 1. Mais tous les gens qui gravitent autour du football qui en parlent disent que c’est vrai.
Et quand ce footballeur masqué parle d’un monde du football français gangréné (ou influencé) par le monde du rap, de l’argent facile et des codes issues de la cité, ces gens qui connaissent ce milieu disent qu’il dit vrai. Quand il parle de footballeurs plus influencé par Booba et le Tony Montana de Al Pacino que par Brel et James Bond, il dit vrai. Et c’est triste.

Racaille Football Club, de Daniel Riolo. Il présente le football français tel qu’il est aujourd’hui. Avec des témoignages, des explications, une réelle pédagogie.
« Racaille », pour bien des footballeurs issus du football français, ce n’est pas une insulte : c’est une signature qu’ils assument et dont ils se réclament. Avec ses codes, sa manière d’être, de penser. Quand il explique que Gabriel Heinze a quitté l’OM car il n’était plus en phase avec un vestiaire de rap et de wesh-wesh, il ne juge pas. Il décrit, il explique. Et il dit pourquoi le grand PSG d’aujourd’hui s’est construit autour de Léonardo, de Thiago Silva, de Motta, de Verrati, et d’un football italien et brésilien plutôt que français.

Et il explique surtout que le responsable n’est pas le footballeur français. Ce n’est pas Aurier, Nasri ou M’Vila. Mais c’est la direction de ce football, qui a toléré l’intolérable. Qui a fermé les yeux. C'est la formation française, qui a omis la formation de l'être humain, de l'homme. Parce qu'elle a considéré que le talent du footballeur excuserait forcément les manquements de l'humain. Qu'un but efface forcément une quenelle. 
Le maux le plus visible est la présidence de Noel Le Graet, qui a fermé les yeux quand Patrice Evra a insulté tout le monde à plusieurs reprises, et qui s’est délibérément mis au soutien de Benzema contre Valbuena.

L’histoire Valbuena – Benzema est d’ailleurs typique du mal qui touche notre football français.
Alors que tout le football enterrait Benzema sous des fleurs et des soutiens touchés et amicaux, Valbuena était enterré sous une chape d’indifférence. Et la victime était tel le Glassmann de l’époque, le traitre, la taupe, celui qu’il faut crucifié car il a brisé « la loi du silence ». Cette loi du milieu qui fait que le football français est justement un « milieu », avec des codes bien codifiés. La balance sera toujours pire que le délinquant. Et Anelka ou Ribery davantage glorifiés qu’un Gourcuff qui a vu sa carrière brisée après Knysna.

Après nous sommes libres. Libres de croire ou pas à ces témoignages, et cette explication de ce qu’est le football français. Le sport français même, puisque qu’une « icone » comme Yannick Noah s’est déclaré en soutien total d’un Aurier par exemple.
Et nous sommes libres aussi de ne pas être solidaire de ce sport-là. De cette France là. Il va de soi que si Didier Deschamps devait rappeler Karim Benzema en Equipe de France, je considérerai que cette équipe n’est pas celle qui représente ma France, mes valeurs, ma République, celle qui est Charlie plutôt que Booba, Dieudonné ou Anelka.

Nous sommes libres. Mais c’est bien de savoir de quoi on parle, et d’avoir quelques références pour mieux comprendre ce que l’on vit. Et comprendre les histoires Aurier et Benzema aujourd’hui, Knysna Anelka M’Vila ou Nasri hier.

Et se dire que finalement, ceux ne sont pas ces joueurs les plus à blâmer, mais plutôt un système qui a permis à leurs valeurs et leurs codes de prendre le pouvoir…

Bonne nouvelle pour le football

Nous l'avons échappé belle. L'élection du cheik Salman aurait été une catastrophe pour ce sport
Apres cela reste un beau bordel...

mardi 23 février 2016

Lemaire en deuxième choix

Les secrets de Polichinelle tombent comme les certitudes et l'espoir en une République irréprochable. Dernière information : Bruno Lemaire est officiellement candidat aux primaires de la droite.

Pas de mauvais esprit de ma part. Bruno Lemaire serait mon deuxième choix quand j'irai voter aux primaires
Pour l'instant, mon vote va toujours chez Alain Juppé. Mais Bruno Lemaire est quelqu'un à qui je souhaite un destin national : je pense qu'il serait un bon premier ministre. En tous cas un homme très digne, qui ferait du bien à la France, et à la République.

Après, rien de plus à dire dans ce billet. Un billet pour rien. Mais j'avais envie d'écrire un truc sympa pour Bruno Lemaire, qui fait du bien à la France, et à la droite. 

Mais au delà des égos et des personnes, j'espère que les primaires de la droite feront émerger la personne qui permettra de mettre fin à cette parenthèse socialiste. Une parenthèse que l'histoire jugera plus tard (pour moi elle aura été dramatique et lamentable, mais je suis moins pertinent que ne le sera l'histoire...).
En tous cas, je voterai sans hésitation ni état d'ame pour le candidat qui sortira des primaires de la droite. Tel qu'il soit. Même si cela doit être Sarkozy, ou un dans le genre.

Mais ça fera l'objet d'un prochain billet... Pour l'instant c'est Bruno Lemaire la "star" de la soirée... (Arsenal - Barcelone et Juventus - Bayern le dépasseront vite quand même)

lundi 22 février 2016

Pluie de merde

Ce soir, en finissant ma journée, je suis tombé sur cette pluie de merde. Qui a niqué ma voiture. Fuck.

Après l'apéritif chez mon ami, j'ai vraiment vu l'état de lieux. Voiture noire sous une nuit de pleine lune. Enculé de pluie de sable.


Je voulais parler football. Evoquer l'article de Daniel Riolo qui explique les affaires Benzema et Aurier. En rappelant cette impossibilité de discuter du fond sans se prendre l'insulte suprème "tu es raciste". Celle qui empêche toute discussion, toute réflexion. Les censeurs du net sont là, et ils sont là pour faire taire et empêcher de parler. "Je suis Charlie", mais pas tout à fait quand même.

Je voulais parler, mais je me retrouve avec une voiture souillée et dégueulasse. Et l'enculé de droite que je suis ne pense forcément qu'à lui (je suis de droite, et je dis "enculé" deux fois dans un billet. Et en plus j'écris un italique). 

Mais je vais parler de ma voiture vilaine. De cette pluie de merde. Et on parlera demain de la loi El Komery (peut être) et du reste.
Si ma voiture est propre. 

dimanche 21 février 2016

Un dimanche de fin février

Bébé 2 court en une pelouse fraîchement tondue par son papa a qui il ne veut pas faire de bisous (il est comme moi, pas câlin)

J'ai sorti ma tondeuse pour préparer ma pelouse au traitement de fin d'hiver que j'y prodigue tous les tous ans avec amour.

Cela n'empêche pas de m'inquiéter pour un cerisier malade, et des cyprès morts. Une saloperie est venu en tuer quelques uns dans mon jardin, voir si j'arriverai à endiguer la maladie...

Décidément les centres de mes billets changent. Ils ne génèrent plus de discussion ou de commentaires, mais en ai je vraiment envie ?

J'aurais pu parler d'un vert (de Rugy) qui souhaite que la Grande Bretagne sorte de l'Europe (ce qui historiquement et symboliquement serait un drame pour nos valeurs), non sans appeler au maintien de la jungle. Les verts qui sont revenus au gouvernement , qui ont sur le cœur et l'âme le sang de Notre-Dame-des-Landes et de Sievens, ne changent pas. Ils sont juste revenus ministres.
Par contre les anglais, quelque soit leurs choix, il ne faudra jamais oublier l'hommage que la Grande Bretagne a rendu à la France, à nos universelles valeurs communes, le week-end les attentats islamistes de Paris. Jamais l'oublier, même si les verts préfèrent honorer d'autres personnes. 

J'aurais pu parler de la loi El Khormy. Mon ami Nicolas en a parlé en utilisant pas les mêmes arguments ou les mêmes mots. Mais avec une sincérité que je n'aurais pas eu. 

J'aurais pu parler d'Aurier, de Benzema, et de ce soutien terrifiant d'un foot Français qui a préféré se coucher devant Benzema, en ignorant Valbuena (quand ce n'est pas en le méprisant). Mais j'écrirai quand même un billet sur le football français. J'en ai commis pas mal, mais c'est bien de rappeler que ce dernier est davantage Anelka et Dieudonné que Charlie, et que ces codes ne sont pas ceux de la République, 
Jusqu'au plus haut de ses dirigeants. Voir Aulas et Le Graet soutenir Benzema , sans mot (sinon des moqueries) pour Valbuena, montre ce qu'est le football français. Le foot rock de l'époque Cruyff Platini a été remplacé par le foot Booba des vestiaires des clubs de Ligue 1. On ne peut que le constater...

J'aurais pu en parler mais j'en parlerai un autre soir. Il a fait beau ce dimanche. Et c'est le plus important.

samedi 20 février 2016

Regarder Mulung avec un casque de chantier jaune

Piwi+ est une chaîne formidable... bébé2 adore. 

Photo de vie avec un casque jaune sur la tête. Devant ce chef d'œuvre qu'est Mulung...

vendredi 19 février 2016

Ciel de feu

Photos prises un jour cette semaine avant la gare de Valence, vers 8h du matin

Ce Avignon Lyon est peu rempli à 7h du matin. J'aime bien cette ambiance...

Depuis, des météorites ont traversé le ciel de l'Isere (je l'ai vu mercredi soir...). Et certains parlent et souhaitent le retour de Benzema en équipe de France (ce qui serait un symbole insupportable).

La Terre continue de tourner et c'est très bien... (Mais je suis épuisé)

mercredi 17 février 2016

Printemps gardois

Temps printanier ce dimanche. J'en ai profité pour montrer à bébé Faucon des coins jolis vers chez moi. Partir à l'aventure...

Dont ce point de vue magnifique de Roquemaure.

Il a fait beau ce week-end. Les amandiers sont en fleur. C'est joli.

À part ca je n'ai plus le temps de rien en ce moment. Absorbé par le boulot. À fond. Départ quand mes bébés dorment encore. Et retour quand ils sont déjà douché et en pyjama. Oh, rien d'exceptionnel, je suis un ingénieur moyen, comme beaucoup.
Mais un peu fatigué. Simplement fatigué.

Ca m'évite d'écrire des billets sur ces footballeurs très "Racaille Football Club", sur Mélenchon qui appelle à la discrimination selon le métier que l'on exerce, ou sur cette classe politique qui m'écœure... 

samedi 13 février 2016

Trifon Ivanov, ou un souvenir de mon football d'enfance

C'était le,football que je suivais entre mes 10 et 20 ans. J'avais 14 ou 15 ans quand Kostadinov et la Bulgarie étaient venus nous assassiner au parc des princes. J'avais vu le match jusqu'à la fin, j'avais le droit. Nous n'avions jamais vu les USA, mais j'avais adoré cette coupe du monde 94...
Nous avions Thierry Rolland et Jean-Michel Larqué au commentaire. 

Et en défense chez les bulgares il y avait un monstre : Trifon Ivanov. J'ai appris en me promenant sur Twitter qu'il était mort aujourd'hui, il avait 50 ans...
C'était le football de mon enfance. Et cela me fait remarquer que j'ai vieilli. Tous les jours un peu plus j'en prends conscience.

Le loup Bulgare est mort. Il nous avait fait mal. C'était y a déjà plus de 20 ans... C'était un autre football. Une autre époque. 
Elle nous reste en souvenir, sur des vignettes Panini...

jeudi 11 février 2016

Ce président qui aura massacré la République

Simplement deux réactions à ce remaniement. 
  • Notre-Dame-des-Landes
L'extrême gauche, les délinquants, les squatteurs, tous ces vandales qui ont détruit Nantes et Rennes ont gagné. Notre Président leur aura offert un référendum, pour dire si oui ou non ils ont eu raison de saccager des villes importantes, et de préempter des territoires de notre pays.

Le symbole est terrifiant. Détruisez la République, on vous offrira ce que vous désirez. 

Pas la peine de sortir de grandes déclarations en Janvier ou en Novembre quand on se couche en Février pour essayer de sauver une élection quelques mois plus tard.

  • Jean-Vincent Placé. 
On pourra éventuellement dire que pour Jérôme Cahuzac, notre Président ne savait pas. Mais comme aucune enquête n'aura été faite, on n'aura (pour l'instant) jamais le fin mot de l'histoire. 
Pour Placé, on sait que cet opportuniste qui est l'exemple parfait de l'apparatchik politicard, personne ne pourra dire que nous ne savions pas. Sans le Canard Enchainé, ce sénateur aurait continué à ne pas payer ses PV, et aurait continué à se foutre des lois de la République.

Cet homme, qui aura tout fait pour être ministre, est dans le gouvernement.

Qu'on ne vienne plus jamais pleurer devant les scores du Front National et de l'abstention. Plus jamais.



J'ai trop écrit sur ces deux cas, Notre-Dame-des-Landes et Jean-Vincent Placé, pour ne rien dire ce soir. J'ai mal au ventre, de voir qu'un Président de la République peut accorder aussi peu de considération à la parole du Président de la République.

Qu'on en termine vite avec ce quinquennat qui a fait mal à la République et à la parole politique. C'est mon souhait personnel. Nous verrons si l'opinion a la même vision que moi.

Je n'écrirai sans doute plus grand chose sur ces sujets, tant la politique m’écœure et me dégoutte. Mais ce soir, la nausée était trop forte.

La nausée est forte ce soir. Jamais je n'aurais imaginé ça de ce président, d'une républicain. 

dimanche 7 février 2016

C'était un "paradis blanc"

Souvenir d'il y a un. Nous étions bloqué en plein Forez. Le vent atteignait des vitesses records dans le Gard. Mais en limite de l'Auvergne, nous étions bloqué.




C'était il y a un. Aujourd'hui, j'ai couru presque en T-Shirt. Les choses changent...






jeudi 4 février 2016

Aigues-Morte jusqu'à la place Saint Louis. #30

Mon ami Pierrot a rappelé que la joli ville d'Aigues-Morte est très liée à Saint-Louis.
Cela nous rappelle le bon mot en cette semaine de grâce présidentielle de certains qui ont rappelé que si Saint Louis rendait la justice sous un chêne, le président Hollande la rend comme un gland... (pour mémoire, je crois que la vanne initiale était du Canard Enchainé concernant Toubon, mais ça m'amuse toujours).


Saint-Louis et Aigues-Morte donc... J'avais donc appris lors de cette promenade dominicale qu'Aigues-Morte était une des places fortes construites (ou souhaitées) sous le règne de Louis IX (Saint Louis, c'est le même), pendant les croisades. 

Et oui... Au XIVeme siècle, le christianisme voulait s'étendre dans le monde par la force. 7 siècles plus tard, d'autres religions prétendre faire de même. Mais à l'époque de Saint Louis, des âmes pures clamaient qu'il ne fallait pas faire d'amalgame : n'en faisons pas aujourd'hui. 

Sinon je termine ces billets d'une semaine calme coté blog par ces photos de l'an passé. Promenade qui se termine au centre d'Aigues-Mortes, une place dont la luminosité du dimanche soir rendait les photos difficiles. 

Mais une place qui appelle l'été au rosé en terrasse. Je pense qu'en Juin, un soir, je laisserai les bébés à papy mamy pour une soirée à manger du poisson au centre des remparts. 

Un billet de rien. Mais comme me le rappelaient mes collègues Amy et Tambour, ce sont ceux que je préfère écrire... 

Ce qui n'empêche pas d'avoir des positions. Je pourrais dire de manière plus prétentieuse des "opinions". Mais à la différence de certains qui prétendent être des leaders d'opinion, ou des "guides" (ce mot eu des connotations assez spéciales lors de certaines "heures sombres de notre histoire"...), je préfère rester humble. 
Et respectueux de ceux qui n'ont pas la même opinion que moi. 


Circonflexion : la grande réforme.

La grande information du jour n'est pas de savoir s'il est normal que la République honore la dictature cubaine et invite des Mélenchon et autres sectaires dangereux à festoyer à l'Elysée. 
Elle n'est pas non plus de savoir si la politique menée par le gouvernement est de droite, de gauche, de rien de tout (la question devait être de savoir si une politique est efficace, digne et équitable, plutôt qu’étiquetée)

Même la nomination possible de Nicolas Hulot en numéro 2 du gouvernement n'est pas l'information qui m'a touché ce matin. Ou le refus des huiles de gauche de débattre avec Nicolas Sarkozy. 
Pas plus que le train d'enfer que mène de PSG (qui en plus est vraiment agréable à voir jouer). 

Non, l'information qui m'a marqué est celle là :

2400 mots qui vont être "liftés" et modifiés pour la rentrée prochaine. On ne l'aura plus dans l'oignon mais dans l'ognon.  Ca changera tout. 
Et dans mon boulot, je ne parlerais plus de coût, mais de cout, puisque l'accent circonflexe va disparaitre (et plus disparaître). 

Il s'en passe des choses en France quand même...

(mais je me demande quand même si elle m'intéresse vraiment cette information en fait...)

mercredi 3 février 2016

Carte postale d'Aigues-Morte #30

Billet que j'aurais dû écrire il y a un an. Tous les premiers dimanche d'hiver, la ville d'Aigues-Morte ouvrait gratuitement ses remparts au public. Je ne sais si c'est aussi le cas cette année, mais si ca l'est, allez y dimanche les amis. Cette ville est délicieuse.

Bébé 2 commençait juste à marcher en janvier dernier. Mais bébé Faucon était déjà bien en jambe, et heureux comme tout de gambader le long des remparts.

Ces photos datent du 4 Janvier 2015. Le bébé avait fini une varicelle que le fane n'avait pas encore commencé. Et la France était belle et heureuse. 
Et nous, tranquillement, profitions de ces photos de toits d'une ville. Je ne sais pas si j'ai déjà décrit ma fascination que j'ai pour les toits de villes et de villages : j'aime cette vue de haut.
 C'était le 4 janvier 2015. Le soir, nous apprenions la mort du Musclé Framboisier. Je le dis sans rigoler, elle m'avait touché, car c'était la mort d'une personnalité de mon enfançe.

Et puis trois jours plus tard, c'était Cabu qui tombait sous les balles de salopards de l'islam radical... 
Bizarrement, cette journée a Aigues-Mortes me rappelle ce moment. Ce mois de Janvier où, normalement, nous aurions du "ouvrir les yeux". Ou simplement etre plus dignes, plus adultes, plus matures.

Penses tu... Le combat reste politique, cf les atermoiements sur cette délirante histoire de modification constitutionnelle.
Et pendant ce temps, notre République se met à genoux en invitant à manger à l'Élysée le frère Castro, Mélenchon et le chef du parti communiste français. Du pas bien républicain...

Je repense avec émotion à ce dimanche de janvier. Un dimanche où je marchais, mais l'esprit léger. Depuis, je me demande si nous avons vraiment évolué. Je n'en suis pas convaincu.

Mais Aigues-Morte reste une ville magnifique. Un écrin gardois hors du temps. Et c'est bien...



mardi 2 février 2016

Billet cochon



Et juste rire comme un cochon devant la nouvelle connerie que j'ai reçu ce matin par mail. C'est vieux, il parait... Je ne connaissais pas.
Pas envie d'être sérieux aujourd'hui... Et envie d'aller me coucher...