dimanche 4 août 2024

Ne t'enfuis plus

Avant de suivre un haletant France Hongrie au JO en handball, je terminai sur ma piscine un Harlan Coben qui s'appelle "ne t'enfuis plus".

Je ne vais pas devenir critique littéraire du dimanche. Mais Harlan Coben, ça commence, puis on lit, puis à la fin on se dit qu'on n'avait pas vu venir le truc. En tous cas moi, ça marche toujours.
Il y a des personnages récurrents, et des clins d'oeil à Myron Bolitar et son ami Win. 

Ce livre m'a mis mal à l'aise à la fin. Même, il m'a rendu triste. Mais un malaise et une tristesse saine, qui font du bien. C'est le genre de livre formidable à lire. Sur la confiance, sur un père et ses enfants, sur nos passés. Et de bien savoir au début qui sont les véritables héros.

Je ne m'enfuirai pas pour ma dernière semaine avant la pause estivale. Côté boulot, ce n'est même pas calme. Ce soir, nous recevons des amis et nous boirons du whisky. Et je m'enfuirai pas devant le rosé.

Vraiment un super bouquin d'été. 

2 commentaires:

  1. J’ai lu quelques un de ses livres, il est champion pour coller le blues et tordre le ventre 🙂
    J’aime aussi Patricia Cornwell, j’aime l’univers réaliste dans lequel se passent des affaires qui ne le sont pas, à moins que toute une partie d’un monde souterrain ne soit pas du fantasme.
    Hélène

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    Réponses
    1. A la fin de mes études (y a plus de 20 ans), j'ai passé du temps avec le Docteur Scarpetta.

      Non, c'est vrai que ce livre, à la fin, m'a mis le ventre dans un état de tristesse forte. J'en ai rêvé cette nuit...

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