lundi 22 août 2016

Carte postale de Clermont-Ferrand (avant 2017)

Clermont-Ferrand est une ville inphotographiable. Ce mot n’existe peut être pas, mais tant pis. Clermont-Ferrand est une ville très jolie, agréable, mais impossible à prendre en photo. Surtout quand le temps est gris, comme ce jour où nous avions visité cette capitale auvergnate.

Je suis un peu triste. J’ai essayé avec le mode HDR de l’iPhone, avec pleins d’expositions différentes. J’ai tenté le Sony qu’on a, un joli appareil avec des objectifs en veux tu en voilà, mais pas réussi non plus. J’aime bien cette première photo qui illustre mon billet, mais je suis frustré, je reste frustré de ma visite.

Le reste, impossible à prendre non plus. La place Jaude inphotographiable elle non plus quand le temps est gris. Et c’est dommage, elle est jolie. Je l’imagine un soir de finale avec Clermont en rugby ça doit être sympa (en début de match, parce que Clermont perd toujours…).


Après, une fois ma frustration passée, j’aime bien cette ville. Falconette a fait sa dernière d’année d’études ici, et aime y revenir. Les pierres noires de Volvic de la cathédrale sont chouettes. Elle est unique, cette cathédrale.
Je me dis qu’une soirée là-bas doit être sympathique aussi. Les petites rues autour de la cathédrale paraissent agréables. Je me verrais bien passer une soirée là-bas.

Puis y a des endroits sympas. Les petites arcades (voir la photo plus bas). Le jardin dont je retrouverai le nom plus tard.

Et puis la rue des gras. J’adore le nom de cette rue. Pourtant, j’ai maigri beaucoup…

A part ça, j’écrirai plus tard un billet plus sérieux. L’actualité politique est chargée, entre les candidatures multiples (et pas toujours sérieuses) pour 2017. J’ai vu que Sarkozy s’est déclaré aujourd’hui (quelle surprise…).

Mais je suis encore en vacances toute la semaine. Alors j’en profite encore. J’aurais le temps de supporter les « débats » politiques un peu plus tard. J’irai voter Juppé en Novembre, puis je voterai en 2017 pour le candidat issue des primaires de droites (Juppé, Sarkozy, Fillon ou un autre…). Mais ça sera plus tard.

Pour l’instant, je suis encore en vacances. Alors j’envoie des cartes postales...

dimanche 21 août 2016

Carte postale de Mont Dore

Continuons mes cartes postales du Massif Central et du Sancy. Après la délicieuse découverte de la Bourboule, qui est un village décidément merveilleux, nous avions passé la nuit à Mont Dore. Dans un superbe hôtel (Gran Carlina) dont j’ai trouvé une chambre sur Weekenddesk.

D’ailleurs, je commence ce billet par un coup de cœur. Je ne connaissais pas Weekenddesk, ce site est très bien. Et j’ai trouvé l’hôtel Gran Carlina vraiment chouette. Pas énormément de personnel, mais serviable, bosseur, agréable… Mention au serveur du restaurant, qui était remarquable…
D’ailleurs c’était aussi très bon le restaurant du Gran Carlina. C’est là que j’avais bu le Saint Pourçain qui avait fait l’objet d’un billet ici.
L'hôtel a une joli vue vers le Puy de Sancy. Et est situé à côté d'un funiculaire (des Capucins) que nous n'avons pas pris. J'ai bien aimé aussi cette petite chapelle à l'entrée du parking.  


Mais je m’égare. Le village de Mont Dore est agréable, entre la Dordogne qui débute et les montagnes. Une grande rue commerçante, avec des vendeurs de fromage et de charcuterie, des bars (pleins). Et bien sur quelques thermes : nous sommes là encore dans une ville thermale.

Je n’ai pas eu le coup de cœur que j’avais eu pour la Bourboule voisine, mais j’ai trouvé ce village (1300 habitants, c’est pas beaucoup) sympathique. Vivant. Agréable et accueillant.

Un gros point négatif néanmoins : cette route qui traverse le village, pleine de voiture. L’après-midi à 17 heures, c’est irrespirable. Par contre, le matin vers 8h30 – 9 h, ou en début de soirée, c’est agréable, très agréable.
Quelques mots aussi sur l'église Saint-Pardoux. Moins bien mise en valeurs que sa copine de la Bourboule, dommage cette route citée plus haut qui empêche d'en profiter. Et les thermes, eux aussi gâchés par cette route...
En fait pour ceux qui suivent, cette route départementale je ne sais pas combien, elle m'a gonflé. 


Si certains lisent vraiment avec intérêt mes cartes postales, ils me demanderont « et le Puy de Sancy ». Je répondrai que non. Lorsque nous voulions le faire le jeudi matin, il était dans les nuages. Inintéressant donc. En plus il faisait froid, et nos bébés nous attendaient l’après-midi.
Bah, la veille nous en avions pris plein la vue au Puy de Dôme. Moins haut, mais magnifique quand même.

Avec quand même cette réflexion personnelle. Le point le plus haut du Massif Central est moins haut que mon Mont Ventoux à moi. On me répondra que le but du jeu de faire un concours de piche sous la douche en se mesure ses monts. Et on me dira que si on voit la Provence du haut du Ventoux, question volcans c’est pas forcément ça. C’est vrai…

Sur ce, j’ai bien aimé aussi Mont Dore. Tout. Le village, la bouffe, l’ambiance, les commerces, l’accueil, et l’hôtel dans lequel on a logé.

Seul point négatif personnel. C’était le soir de l’incendie à Vitrolles et aux Pennes-Mirabeau que nous étions à Mont Dore. Et force est de constater que le soir après le repas (bien arrosé), cela nous a vite fait dessaouler et redescendre sur terre.


Pourtant, nous étions la tête dans les volcans du Sancy. Et c’était bien.

vendredi 19 août 2016

Carte postale de la Bourboule côté jardin

J'ai dit combien je suis tombé amoureux de la ville (ou village) de Fanny Agostini. Le parc Fenestre, que nous avons découvert totalement par hasard, en est en parti,responsable. Quel paradis ce jardin...
Un éden pour enfants et parents. Un des plus grand toboggan d'Europe (qui a amusé Falconette), des manges en veux tu en voilà. Un train qui traverse le parc. 
Des bassins. Et tout autour, le Massif Central qui nous entoure, nous enserre, nous câline. Le Sancy dans toute sa splendeur.


La Bourboule a été une merveilleuse découverte. Nous avions dormi le soir à Mont Dore (qui aura sa carte postale), mais c'est vraiment la Bourboule qui m'a plu. Et ce parc Fenestre qui est un ravissement.

Sinon la rentrée politique a commencé. Macron n'est donc pas socialiste (ce qui n'est pas une obligation), l'indispensable Hamon est candidat aux primaires de gauche, et Sarkozy le sera à celle de droite. 
Quant à moi j'attends de recevoir les premiers impôts locaux, qui ont augmenté dans mon village de 6%. Le maire de mon village à bien compris les leçons de 2012 : s'assoir sur ses engagements électoraux. Sur la fiscalité locale, il aura fait fort... 
Comme quoi la dignité politique n'a pas vraiment de couleurs... (Le maire de mon village se considère de la vraie droite... La "vraie")

Donc je disais que la rentrée politique a commencé. Je ne suis pas encore trop nauséeux, parce que je la suis de loin. Mais elle m'encourage à rester encore un peu plus dans mes photos, mes paysages, mes montagnes. 

Il n'y avait ni burkini ni habits religieux provocants dans ces coins là. C'est très bien...



jeudi 18 août 2016

Carte postale de la Bourboule

La Bourboule, coup de cœur de ce périple en Auvergne. Ce village thermale, découverte une après-midi d’été ensoleillé, a été une surprise. Une belle surprise.

J’avais envie de m’arrêter à la Bourboule. « Juste pour voir », comme on dit quand on ne s’attend pas à des merveilles. Et sur ce coup là, je ne m’attendais à rien. Tout juste à une ville thermale vieillotte, à la décoration rococo. Des vieux un peu de partout. Une sorte de Lourdes du Massif Central, ce genre de ville à l’atmosphère naphtaline.

C’était une erreur, une grande erreur. La Bourboule a été un passage rapide, mais magnifique. Une ville vraiment belle. Colorée, aérée, fleurie, et jeune surtout. J’ai été frappé de la jeunesse et de la vitalité dans les rues. Et du nombre de familles et d’enfants. Le Parc en haut de la ville, qui est le paradis des enfants, y est aussi pour beaucoup. J’y consacrerai un billet…

Un tour sur Wikipedia m’apprend que la Bourboule, c’est en tant normal à peine 1800 habitants. Guère plus que mon Montfaucon d’enfance, et trois fois moins que mon village actuel. Ca me surprend toujours ces nombres d’habitants, bien que j’imagine que l’été, la population doit exploser.

Il parait que durant les années 60, la Bourboule était la plus grande station thermale française. Pourtant, j’ai trouvé que le coté ville d’eaux n’est pas mis grossièrement en avant, comme ça peut être le cas dans d’autres villes thermales. Il y a évidemment une architecture particulière, mais autour de la Dordogne essentiellement, au centre de la ville.

L’église Saint Joseph m’a quant à elle beaucoup touché. Elle est magnifiquement mise en valeur par un parc délicieusement fleurie, avec une jolie statue de la mère et l’enfant devant. Comme dans bien de mes billets, l’église en mise en avant.

Et sur le reste, la Bourboule est la ville de la délicieuse Fanny Agostini, qui est conseillère municipale. D’un conseil municipal qui compte 15 membres, comme le mien lors de mon premier mandat d’élu, dans ma ville d’enfance et de naissance. C’est d’ailleurs fabuleux d’être élu dans sa ville où on est né.

J’ai lu que Fanny Agostini avait 28 ans, c’était mon age aussi lors de mon mandat municipal à Montfaucon. C’est con, ça ne concerne que moi, ça ne porte même pas de symbole, mais j’ai trouvé ça mignon d’y penser.
Sauf que je ne présente pas météo. Et qu’aujourd’hui il pleut là où je suis en ce moment…

A part ça c’est sympa les Jeux Olympiques. Ils ont en tous cas l’intérêt pour moi d’être moins sévère avec Canal + : la couverture sportive sur France Télévision m’exaspère. A part Matthieu Lartot que je trouve brillant et pertinent, les vieillots qui couvre le sport sur France Télévision me rend heureux de payer un abonnement sur Canal +, même si la perte de la Premier League et de très bons consultants me chagrine. Mais je préfère ça à payer cette redevance télévisuelle que je trouve injustifiée, surtout quand je vois qu’elle sert à payer la création d’une nouvelle chaine d’info en continue (alors que je trouve le BFM TV de la petite Fanny Agostini et LCI très biens et largement suffisant).

Pour autant, j’apprécie vraiment des émissions comme des Racines et des Ailes, 100 lieux qu’il faut voir, Secrets d’Histoire… Donc je rechigne moins à payer une redevance. Même si je pense qu’un service public de l’audiovisuel est aujourd’hui inutile, et que ces émissions que j’ai cité serait produite par des chaînes privées, car elles génèrent audience et attente. De même que des compétitions comme Rolland Garros ou Tour de France, qui seraient récupérées par des chaînes privées de la TNT gratuite…

Enfin bon, je diverge… Restons à la Bourboule. Le village vaut le coup. En tous cas j’y retournerai… 

(mais pas contre je n'aime vraiment pas la mentalité et le personnage de Mekhissi, qui est pour moi un laid médaillé à l'esprit bien peu olympique... Mais certains le mettent dans l'histoire : pas celle du sport que j'aime en tous cas)

mercredi 17 août 2016

Carte postale de Chambon-sur-Lac

Quelques kilomètres plus loin que le lac Chambon, voici Chambon-sur-Lac. Nous sommes dans les Monts Dore, entre Saint Nectaire et la Bourboule.

Ce village est tout petit. Wikipedia m’apprend qu’il compte à peine 360 habitants. Alors que dans les années 1840, il en comptait presque 1200… (pourquoi ? Wikipedia ne donne pas d’explications, et là tout de suite j’ai la flemme d’en chercher…)

Ce village n’était pour nous qu’un passage. Mais j’ai aimé l’ambiance calme et paisible qui s’en dégageait. On sent les touristes plus loin, les campings et les chalets locatifs autour du lac, les commerces au loin... Mais pas ici.  

Par contre, il y a cette église que j’aime toujours autant. Une jolie église dont le clocher se voit de loin, et dont l’histoire parait chargée. Une église qui rappelle que dans tous ces villages français, les racines et l’histoire chrétiennes de la France sont une réalité, et une chance aussi. Ça donne un joli pays, avec une histoire et une culture riches.

Sinon les volcans tout autour sont bien plus vieux que les fondements du christianisme. Et ils contribuent à cette atmosphère fascinante…



mardi 16 août 2016

Carte postale du Lac Chambon

Ma carte postale du jour suit la route du Puy de Sancy. Nous avons quitté Saint-Nectaire en passant par le joli village de Murol, et nous voilà en face d’un lac. Le lac Chambon.
Ce qui est amusant, c’est que j’avais vu en début de semaine dernière un reportage de la jolie Fany Agostini sur BFM TV qui vantait le pavillon bleu de ce lac Chambon. Et bien nous y voilà.

La jolie Fanny Agostini (qui est née et élue dans la très belle ville de la Bourboule, qui fera l’objet d’une prochaine carte postale…) avait expliqué que ce lac était d’origine volcanique. Tu m’étonnes, y a du volcan mort de partout tout autour. Elle expliquait aussi que c’était le seul lac du Massif Central avec une plage de sable. Les canards aiment beaucoup aussi.

Nous avons vu le Lac sous une pluie et un brouillard britannique. J’avais peur à un moment qu’un monstre en forme de gros serpent sorte de dedans pour nous parler de Marie Stuart…
Et puis deux jours après, avec un soleil qui lui donnait un aspect plus accueillant.

Du souvenir de ma main, l’eau était froide. Mais ce lac nous aura juste donné l’occasion d’une pause, un café dans un hôtel situé dans les commerces qui le longeait.

Et puis pas plus. C’est un joli lac, dans une jolie région. Une jolie étape de vacances, qui vaut bien une carte postale…

lundi 15 août 2016

Carte postale de Murol

Juste à côté de Saint-Nectaire en allant dans le Sancy, on découvre le village de Murol.

Ce qui fascine c'est ce château qui surplombe le village. J'ignore ce qu'il est, son époque, son histoire. Mais je l'ai trouvé magnifique à voir lorsqu'on le découvre sur la route en arrivant depuis Clermont-Ferrand.

Nous nous sommes arrêtés quelques instants sur la place principale du village. Mais c'était le jour de pluie. Temps de Novembre en Août. Forcément, cela fait des photos moyennes.

Dommage car la photo église château maison presbytérienne à côté, ca doit faire un joli tableau.
De l'autre côté, la place du village. Le rose du parapluie de Falconette va aussi bien qu'un serre-tête a un cochon. Mais il  l'intérêt de protéger de la pluie, ce parapluie...

Cette maison est à côté de l'église. Je l'avais trouvé jolie.

Je conclue cette carte postale encore par l'église du village. J'aime les églises. Celle la était charmante.
Dommage qu'il n'avait pas fait beau

dimanche 14 août 2016

Carte postale de Saint Nectaire

Quelques photos prises dans le village de Saint-Nectaire, où j'ai passé une nuit pendant mes vacances. Saint-Nectaire est un petit village, mais le centre historique est joli, quoique un peu haut. 

L'église de Saint-Nectaire est en tous cas magnifique...

Le bas du village est par contre très "ville thermale" un peu viellote. Avec son look très rococo. Sympathique certes, mais il ne faudrait pas y rester trop longtemps.

Certaines décorations sont surprenantes. En bas du casino (il y a un casino par ville d'eau c'est fou), il y avait ce moulin bizarre et cette vache spéciale.

Nous y étions mardi, un jour de pluie. Temps de novembre. Falconette voulait aller voir la fontaine pétrifiante. Nous sommes donc allé visiter cette endroit où le calcaire présent dans l'eau très calcaire sert à former des jolies sculptures. J'en ai récupéré cette photo sympa de la grotte.

Je n'ai pas pris de photos du spa de l’hôtel où on a été. Il était sympa, et délicieux quand dehors il pleuvait. Pas pris non plus des photos du repas, bien sympa lui aussi. 
D'ailleurs, c'est la première que je prenais une nuit via Weekenddesk. J'ai trouvé que c'était très bien.

Mais de Saint-Nectaire, outre le fromage (qui est un des rares que je mange), je garde cette image de l'église. C'était le mercredi matin, le soleil était lumineux, ce qui était parfait pour nous accompagner au sommet du Puy de Dôme. 
Sinon le Sancy est un coin que je ne connaissais pas. Chouette coin. 

Et à part ça, une victoire en football de Lyon est pour moi toujours une mauvaise nouvelle pour le football. Donc aujourd'hui est un mauvais jour pour le foot.
Mais quand la Ligue 1 commence avec un Bastia qui met en avant la simulation d'un joueur pour dédouaner des "supporters" qui pourrissent les matchs de foot en balançant des merdes sur la pelouse, ou mon club de l'OM qui donne le brassard à un type comme Diarra qui a une mentalité détestable et qui a craché sur le club...

Enfin, je ne vais pas réécrire ce que je pense de ces mentalités détestables qui entoure le football. Starifier des joueurs moyens sous prétexte qu'ils ont une crête blonde et qu'ils peuvent faire vendre du produit dérivé et faire capitaines des Aurier ou Diarra qui crachent sur leur club, c'est le football d'aujourd'hui. Il se tuera tout seul ce football, tant pis.