mercredi 13 septembre 2006

Mon rêve, une maison, une famille, un chien...

Je loue la première, et construit la seconde... Me manque que la troisième. Heureusement, chien-velu vient nous voir des fois...

Et si les Verts changaient ?

Est ce que les Verts ont changé ? En voyant, d'abord, Dominique Voynet accepter l'invitation de Corinne Lepage, puis ensuite l'inviter, elle et Nicolas Hulot, aux Universités d'été des Verts, je me suis posé la question. Ce parti à la limite de l'extreme gauche, immigrationiste et societal-libertaire, deviendrait il enfin vraiment écologiste ? Pas écologiste radicalement idiot comme l'a pu être Dominique Voynet ministre de l'environnement. D'un coté foudroyant le nucléaire en fermant idéologiquement un SuperPhénix (qui reste un fleuron de ce que la France peut faire de grand), et faisant preuve d'un absenteisme coupable et suspect devant la marée noire de l'Erika ou devant la tempète de 1999. Pas sociétalement idiot lorsque Dominique Voynet (la meme ) appelle à la régularisation sans réflexion de tous les sans papiers ou quand Noel Mamere célèbre en grand pompe un mariage homosexuel. Mais écologiquement responsable. Débattant, se posant des questions, les bonnes, et proposant des réponses.

Je suis posé la question...

Et puis patatra, la connerie revient au galop aussi vite que le doute s'est installé. Les Verts de Paris (une espèce rare, que je souhaite en voie de disparition), se comporte d'une manière idiote et risible (condamnable ?) lors de l'inauguration par Delanoé de "la Place JeanPaul II", qui restera pour tout le monde, le Parvis de Notre Dame. Et on s'allonge tous dans la rue, et on est ridicule avec les extrémistes calomnieux d'Attac. Pour une pseudo "laicité" ou une lutte contre le Sida... Ces mêmes verts parisiens qui emmerdent Bertrand Delanoé et les parisiens en rendant Paris incirculable. Même M. Girard s'est résolu à quitter ces verts infréquentables. On soutient les actions de la bande de vandales à Bové détruisant des champs privés d'OGM. Je ne parle pas de leur perpétuelle infantilité politique, ie le vote des militants pour une présidentielle où le candidat ne dépassera surement pas les 3 %.

Quelque part, je reste encore certains que l'écologie mérite mieux que ça. J'avais parlé ici de Nicolas Hulot, en qui je place certains espoirs. Mais les Verts... Non, vraiment je ne peux pas. Dommage, y a peut être des gens biens, mais non. Ca ne sera pas pour cette fois encore.

lundi 11 septembre 2006

Son 11 Septembre

On a tous son 11 Septembre. Ses tours effondrées et ses "jours d'aprés". Je me souviens où j'étais il y a 5 ans quand New York s'est effondré. Je me souviens aussi d'il y a deux ans, quand Marseille a soufflé.
La première fois, j'étais dans les rues d'Avignon, acheter des mangas. Le soir, j'avais une réunion de sécurité à la Mairie. Y a deux ans, je tentais de réparer un écran 17 pouces Sony foudroyé par l'orage, alors que plus au Sud, le destin foudroyait mes proches amis.
Je ne t'oublies pas, je ne vous oublies pas. Et ce soir, je boirais une Leffe à la maison. Puisqu'en Belgique, vous n'y connaissez rien en vin (ces belges...). Salut mon ami.

dimanche 10 septembre 2006

Dimanche + - C'est du trés bon

J'aime la politique. Et je ne déteste pas Laurence Ferrari. Non seulement elle est jolie (trés jolie), mais en plus elle est trés pertinente dans sa manière d'interroger les hommes politiques. Aussi, ça fait plaisir de voir une aussi bonne émission politique que celle vue ce dimanche à midi, sur Canal +. Emission didactique, emission rythmée, emission agréable à regarder, à écouter. On apprend, on s'informe. C'est sérieux, mais c'est pas chiant. Et c'est bien le ton du Canal + nouveau, dans le ton de "+ Clair" (qui repose sur la même machinerie), ou même de l'excellent "Grand Journal".

Ca change des leçons données par Karl Zero par exemple. Je ne le déteste pas (au contraire). Mais subsiste ce coté anti-front national pseudo "citoyen" (terme galvaudé et utilisé à tout bout de champ par Karl) voulant "défendre la démocratie" et exhibant ses amitiés idéologiques avec José Bové ou Olivier Besancenot que j'abhorre... Dommage, l'homme avait (a) du talent, de l'humour, de l'esprit. Mais son émission, je ne pouvais plus.

Ca sera dur le dimanche midi : quand je serai à la maison, ferais un "Arrêt sur Image" ou un "Dimanche +", qui est en fait un Arrêt sur Image trés politique, et un peu plus moderne... Je verrai.

Ce soir, y a Paris SG- Marseille, et moi j'ai un peu pris froid...

vendredi 8 septembre 2006

J'ai perdu 1,5 kg !

En euros (et en un mois), c'est déjà pas mal... Mais en francs, ça fait presque 10 kg de perdus...
Je suis content, l'été prochain je serai beau.

jeudi 7 septembre 2006

La Sagrada Familia, pour se changer...

... les idées. Et aussi pour une de mes meilleures amies qui m'a reproché de préférer le Nou Camp à la Sagrada Familia, à Barcelone... En plus, je trouve cette photo plutôt réussie... Je ne loupe pas tout.

Allez, on part regarder les derniers épisodes de "Solty Rei"...

On ne choisit pas non plus les trottoirs de Manilles...

J'écoute "Je fais semblant", tiré du dernier album (trés bon) de Patrick Bruel. Est ce que parce que ce chanteur me rappelle mon premier amour ? Est ce parce que je trouve cette chanson trés bonne et qu'elle me touche beaucoup ? En tous cas, je suis vraiment pas en forme là, en commençant mon article, qui sera un peu pleurnichard. Peut être que le temps, gris et maussade, automnal et lourd, n'arrange rien... En tous cas, aujourd'hui, et pour un fois, ce n'est pas le travail qui me mine. Pas de nouvelles qui m'ont fait de la peine. Pas de lectures de blogs qui m'ont atteint. Rien.


Si, peut être une douleur que je pensais un peu plus lointaine depuis que j'ai quitté le domicile familial il y a presqu'un an jour pour jour. Mais non, elle est toujours là. Ne pas se sentir ou se savoir aimé de gens qu'on aime, c'est jamais agréable. Quand ceux sont des ancien(ne)s ami(e)s, ça me fait mal. Quand ceux sont des connaissances que j'aime bien, ça me fait mal. J'en dors pas bien la nuit. Quand ceux sont des gens que je n'aime pas ou qui me sont indifférents, je m'en fout (sans doute un point où j'ai progressé). Quand c'est la famille proche, trés proche, trés trés proche, là déjà, ça me fait plus mal.


Il y a une partie de ma famille que je ne vois plus. Elle m'a reproché mes choix politiques. Soucis avec mes parents, disputes, je ne sais pas quoi. Bon, OK, on passe à autre chose, ca me laisse indifférent. Sauf que quand ça devient plus proche, et que les reproches sont tout simplement calomnieuses, teintées d'une sorte de haine sourde et lointaine, c'est pas pareil. Quand sous des yeux qui se veulent larmoyant sortent les couteaux, ça ne peut plus glisser comme la pluie sur les plumes d'un canard. Ces mots ne sont pas des gouttes de pluie. Et mon pauvre coeur bien ridicule n'est pas fait de plumes de canard.


Là, il est touché. Et surtout, il en a marre, il en a ras le bol. Ne sentir (ou me savoir) exclus professionnellement, exclus de certains anciens groupes d'amis, de promotion, ou d'enfance. Me savoir exclus du coeur d'une personne que j'aime beaucoup. Savoir que je génère plus d'indifférence que d'affection de la part de gens que j'aime, ça ne me fait pas plaisir. Et non, j'en dors mal la nuit. Mais là, quand c'est le domicile familial le plus proche qui cherche à, encore une fois, vous accuser de la rage... Alors que ça bien longtemps que je ne bave plus. C'est dur, c'est dur à accepter, ça fait mal.


Je ne sais pas si je vais laisser le Cairanne blanc mis au frais pour ce soir. Je ne sais pas. En tous cas, ce que je sais, c'est que c'est pas cette aprésmidi que mon travail aura été efficace. Là, d'ailleurs, je vais partir, car je n'arrive pas. Je n'arrive plus. J'ai trop mal au ventre pour aller plus loin.


Putain, il a bon dos le Faucon... Mais il en a un peu marre. Il votera pas Le Pen en 2007 pour ça, mais... Mais il en un peu plein le cul ! Y en a qui ont voté FN pour moins que ça ^____^ (petite touche humoristique de fin de mail.. Allez, on se marre avec moi de mon humour décapant, soupir...)

dimanche 3 septembre 2006

Je soutiens la grève des enseignants...

Dans la bande de Gazza et les territoires palestiniens. J'ai entendu l'info à BFM TV tout à l'heure (pendant l'apéritif... y a pas foot). Et là, j'ai un peu de compassion quand même (voire beaucoup). Par contre, la grève des enseignants "de chez nous" prévue le 28 Septembre (alors même que la rentrée c'est demain), je la trouve déjà plus caricaturale et déjà, j'ai moins d'affection...

Pour autant, je souhaite une bonne rentrée à mes amis profs que j'ai. Je sais qu'à Vierzon ou à Ales, les élèves seront bien traités. Je sais qu'en Bourgogne, à la Réunion, ou dans la proche banlieue lyonnaise, ils seront bien traités. C'est rien de le dire, mais je pense un peu à vous. (mais bon... on travaille le 28 Septembre, hein Lolo !!!)

Un fond d'écran plutot que du Sarkozy

Pour le plaisir, mon fond d'écran actuel depuis que j'ai mon nouveau PC (ie depuis 3 semaines). Joli, non ? c'est du FullMetal Panic, et la petite Tessa Testarossa (à gauche), je la trouve mimi au possible. Dire que Sosuke Sagara, le héros militaire un peu con (si, des fois il est un peu con) ne voit pas que sa supérieure (oui, elle est capitaine d'un navire de guerre... chercher pas, un animé japonais c'est toujours bizarre, mais celui là est génial) est amoureuse d'elle. L'idiot...

Où ais je pris ce fond d'écran ? je crois (mais pas sur) sur animewallpapers .

Sinon, Sarkozy quand même. A midi, discours de cloture des universités à Marseille. Au premier rang, Dominique Villepin, Devedjian, Gaudin, Johnny Halliday, François Fillon, Philippe Douste Blazy, Doc Gynéco, Barnier. Cherchez les erreurs. Je vous aide, il y en a deux.

Mais le discours, je l'ai trouvé trés bon. Pourquoi à chaque fois que quelqu'un (droite ou gauche) parle de la France avec des accents gaulliens, ça me touche ? Sarkozy a parlé de la France. Aprés le discours de Nimes, c'est la deuxieme fois que je l'ai trouvé brillant. Aprés, que je suive l'homme l'an prochain, c'est autre chose. Les actes ne sont malheureusement pas toujours en adéquations avec ce discours. Mais il m'a fait quelque chose. Quelque chose de pas mal...

Même si c'est la fin de l'été... Rien à voir, mais quand je vois ce beau temps revenir, pour surement disparaitre demain par les nuages de Septembre, je me dis toujours que c'est beau, la fin de l'été, mais triste. Surement pour ça que j'aime ça.

samedi 2 septembre 2006

Université d'été ? Non, plage

J'étais aujourd'hui à la Grande Motte. Non, pas à l'Université d'été de l'UDF, mais au Grand Travers, la grande plage qui court jusqu'à Carnon. Pas un grand soleil, mais une plage de fin d'été. Calme, mais agréable. J'ai terminé de lire l'excellent "Cercle de Sang" de Jérome Delafosse.

J'aurais pu rester chez moi. A 15 minutes en voiture, y avait en Avignon l'Université d'été du FN. Mais bon, c'est pas trop ma tasse de thé... Je préfererai tant qu'à faire, tirer jusqu'à ma bonne ville de Marseille. J'aurais, avec Johnny et Doc Gynéco (!) fait la fête à Nicolas Sarkozy et à l'UMP...

Et puis je suis à 1 heure de la Méditérannée. Pour voir des Université d'été de Gauche, il aller à la Rochelle ou dans le Cotentin... Et pour voir des patrons, aller en Région Parisienne...

Mais non. J'ai passé la journée à la plage. Je n'ai pas vu d'UDF, pas d'UMP... Rien qu'une plage de fin d'été. Un peu triste et nostalgique, mais sympathique. C'est la fin de l'été, j'aurais le temps de penser politique plus tard... Quand les jours seront courts.

PS : merci Ludovic pour ton lien. C'est gratuit et gentil de ta part. Et... Ca touche et ça fait plaisir. Trés plaisir. Merci

vendredi 1 septembre 2006

Bayrou en deux phrases

Toulouse, première réunion publique de l'UEM, le 19 Fevrier 2002. lu dans le Parisien sur un quai de Gare à Lyon en attendant une amie,

" Si tout le monde pense la même chose, alors plus personne ne pense plus rien "

Palavas les Flots, Université d'été de l'UDF, le 31 Aout 2006. Vu sur ITélévision
"Tout le monde pense que parce qu'on est de familles différentes, on ne doit pas
se parler. Alors qu'on a le devoir, même si on est différent, de travailler
ensemble".

Je ne suis pas devenu UDF en cinq minutes. Mais ces deux phrases résument ma philosophie et ma pensée politique... Humaine aussi peut être.

mercredi 30 août 2006

Rien à dire

Non, rien à dire... Je pourrais fermer ma gueule, mais j'avais envie d'écrire. Ecrire que j'ai rien à dire. Rien à poster. Deux jours que j'ai repris le boulot, et déjà cette lancinante lassitude qui fatigue moralement et physiquement est présente. Elle est revenue, j'ai l'impression qu'elle n'est jamais vraiment partie. Ma Direction semble au courant qu'apparement mon avenir se situe peut être ailleurs, et que j'ai fais des démarches dans ce sens. Mais bon, quel intéret ?

Parrallèlement à ça, toujours les mêmes questions, toujours les mêmes petits trucs qui font mal au ventre. Toujours le passé qui ne guérit. Il suffit d'une chanson, d'une photo, d'un souvenir qui revient pendant que je répond au téléphone, pendant que je conduis, pendant que je cours, pour que le dos se remette à frémir. Et la gorge de se nouer. Pourquoi est ce que je ne parviens pas à passer outres ? Pourquoi est ce que je continue à me faire du mal ? Puisque au final, ça ne me fait pas un bien fou... Peut être que j'aime être triste.

Allez, une photo de la plage de Barcelone. Comme ça, pour le plaisir. Ce soir, je ne serai pas seul à la maison. Et demain sera un autre jour. Dernier d'Aout.


mardi 29 août 2006

Renaud : Voter Sarko, c'est...

J'adore Renaud. J'adore ses chansons, et l'homme me touche beaucoup. Politiquement je ne suis pas de son bord ? Et alors ? Cela ne m'empeche pas de l'apprécier grandement.

Par contre, lorsque, dans une nouvelle chanson, il traite tous les électeurs de Sarkozy de fascistes et lance dans un rime en "O" : "voter Sarko, c'est voter facho"... Là, j'aime l'homme, j'aime son talent... Et c'est parce que je l'aime que je me dis que des coups de pied au cul (ou des baffles, s'il était plus jeune que moi) se perdent...

Je suis toujours amusé lorsque des sympatisants de José Bové (cf la chanson de Renaud "je vis caché", où il avance des sympathies pour ce leader d'extreme gauche) voient des fascistes de partout. Ceux sont des gens pour qui tout ce qui est plus à droite qu'eux est automatique "facho". Pour eux, le gouvernement Jospin était libéral. DSK et Fabius sont des affreux libéraux. Et par voix de conséquence rapide, Sarkozy, Villepin, et tout ce qui possede le sigle "UMP" ou à la rigueur "UDF" est l'émanation du nazisme et du fascisme...

Je ne vais pas m'amuser à débattre de ce qu'est vraiment le fascisme avec des gens qui se comportent véritablement en fasciste. Prétendre combattre l'intolérance en étant soit même intolérant et arrogant, c'est fatiguant et inutile.

C'est pourquoi lorsque je lis ou j'entends de pareilles conneries, j'ai envie simplement de mettre, comme Bayrou à celui qui lui faisait les poches, une claque. La claque du pere à son fils quand il fait une bétise. Car c'est une bétise, une grosse bétise. Car pendant qu'on joue à ce genre de raccourci, les véritables fascistes, euh, proliférent. Les véritables dangers pour la démocratie gradissent, grossissent...

Mais malgré toute l'affection que j'ai pour Renaud, je me demande si justement ceux ne sont pas ces José Bové et autres tenants de cette extreme gauche transpirant d'intolérance qui ne sont pas les véritables dangers pour la démocratie... Certainement pas Nicolas Sarkozy (pour qui les environ 50 % de français qui annoncent voter pour lui ne sont pas des fascistes, et n'ont pas envie de se laisser insulter, qui puisse être par Renaud).

Je me demande ce qu'en pensent Jonnhy Halliday et Jean Réno...

lundi 28 août 2006

Fin des vacances

Ce soir c'est vraiment fini.

272eme message juste pour acter cet état de fait. Je parlerais de ce que je pense de la prestation de Dominique de Villepin ce soir (si mon entreprise actuelle nous "offre" le chèque transport, j'achète l'écharpe du Paris Saint Germain) un autre jour. Là, je vais me coucher.

J'ai pas envie d'y aller..........................................................

dimanche 27 août 2006

Fin des vacances, il faut avancer maintenant...

Finalement, le soleil qui disparait à même pas 20 heures passées, autant le dire de suite, les vacances sont terminées. La journée de demain ne sera qu'un répit, un sursis, qui sera pas évident à gérer. Mais bon, un vélo, du café, un livre... Je verrai.

C'est bizarre ce soir. Marseille a fait un bon match contre Le Mans et se retrouve premier. Je finis trois semaines d'excellentes vacances, les photos de Barcelone en témoignent. Hier soir, j'étais à un mariage d'amis de mon école. Et, malgré certaines choses qu'il faut accepter, c'était plutot agréable. Avec des gens que, malgré tout, j'aime beaucoup. Et dont je sais que la plupart ne me détestent pas.

Et puis cette année 2006-2007 promet d'être passionnante et enrichissante. Si mon changement se précise, ça devrait être excitant. Au moins autant que la primaire socialiste de Novembre, et que les élections par la suite. Une saison de foot qui promet d'être super, où Lyon n'est peut être pas encore champion. Et puis même si des choses me rendent triste, voire plus, même si le regard lointain de certaines personnes m'est insupportables, ben j'avance, je progresse. Même si des gens que j'aime sont loin, trés loin, voire à l'autre bout du monde, ben j'avance. Même si professionnellement, je dois composer avec des gens qui m'ont détruit, même si des fois il fait du vent et il pleut, j'avance. Je progresse. On progresse tous. De toutes manières, y a pas le choix.

En fait, j'ai pas grand chose à dire dans ce message. Sinon essayer d'exprimer un peu de vague à l'ame que j'ai ce soir. Sans talent, malheureusement. de manière laborieuse. Je me contenterai simplement de mettre trois photos prises le 18 Aout à Barcelone. La premiere est une petite place à coté de la Rambla, les tapas y sont excellentes. Aprés, une photo de la Sagrada Familia, dans son environnement. Et puis la derniere, c'est Barcelone depuis le Parc Guel. Des souvenirs de vacances. Il ne reste plus que ça, des souvenirs.

Aprés, des gens me disent "Couillon, tu es toujours tourné vers le passée... Regarde devant un peu...". Ils ont raison. Je vais regarder devant, je vais "avancer"... Et puis je vous parlerai de Lionel Jospin. Voilà un truc moderne, coco. Ca si c'est pas de l'avenir et du progres, le retour de Jospin... (soupir)