mercredi 25 avril 2018

Carte postale de Villefranche-de-Rouergue

Ce mardi 24 avril était un jour d’été. Un soleil chaud, qui se reflétait joliment sur les pierres de ce grand village occitan.




Cette perle des bords de l’Aveyron est un délice. La encore on est au milieu de rien mais on y est bien.



Aujourd’hui il a fait bien plus froid. Nous sommes restés dans la piscine chauffée à jouer avec les enfants. On est bien







Et malgré le froid il y a de la bière du wifi au centre de vacances. Tout va pour le mieux !

mardi 24 avril 2018

Lutter contre l'antisémitisme


Très belle tribune publiée ce dimanche par 300 personnalités dans le Parisien contre l’antisémitisme. Je suis fasciné et effrayé de voir comme ce fléau qui a tué y a peu se repend tel un cancer dans notre société. Y compris dans nos entourages.

Deux points m’ont marqué dans cette tribune très bien écrite, et très forte.

D’abord cette charge contre cet islam radical qui est le bras armé d’une épuration ethnique silencieuse. En effet, l’islam doit se regarder en face. Et il faut cesser d’être complaisant vis-à-vis de ceux qui prônent dans les quartiers, dans les médias, dans le rap ou le football, une position ambigue vis-à-vis de Charlie ou de l’antisémitisme.
Je reprends ce paragraphe très fort : « nous demandons que les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés d’obsolescence par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémite catholique aboli par Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime. »

Ensuite contre cette gauche de la gauche qui a quitté les sentiers des valeurs de la république pour se complaire justement dans une complaisance coupable vis-à-vis notamment d’un islam radical. Comme il est dit la tribune, « la bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif ». C’est très vrai.
Jean-Luc Mélenchon, ses amis insoumis, hamonistes ou d’extrême gauche, peuvent twitter à tour de bras contre l’extrême droite qui entarte ses députés ou effraient les fachos qui bloquent les facultés. Il ne fait plus rire personne. Sa complaisance vis-à-vis de l’islam radical (et sur un autre plan son soutien affiché pour les délinquants zadistes ou qui préparent des cocktails molotov à Tolbiac) est coupable. Et pas du tout rigolote.
Ce fascisme à la gauche de la gauche, dont les représentations politiques sont des Mélenchon et ses insoumis, des Besancenot, hier Gérard Filoche et aujourd’hui Benoit Hamon, est effrayant. Il ne peut plus faire rire quand dans les urnes il dépasse les 25%.

Je recopie l’intégralité de cette courte mais chouette tribune. L’antisémitisme n’est pas l’affaire des Juifs, c’est l’affaire de tous, et c’est vrai.

« L’antisémitisme n’est pas l’affaire des Juifs, c’est l’affaire de tous. Les Français, dont on a mesuré la maturité démocratique après chaque attentat islamiste, vivent un paradoxe tragique. Leur pays est devenu le théâtre d’un antisémitisme meurtrier. Cette terreur se répand, provoquant à la fois la condamnation populaire et un silence médiatique que la récente marche blanche a contribué à rompre.


Lorsqu’un Premier ministre à la tribune de l’Assemblée nationale déclare, sous les applaudissements de tout le pays, que la France sans les Juifs, ce n’est plus la France, il ne s’agit pas d’une belle phrase consolatrice mais d’un avertissement solennel : notre histoire européenne, et singulièrement française, pour des raisons géographiques, religieuses, philosophiques, juridiques, est profondément liée à des cultures diverses parmi lesquelles la pensée juive est déterminante. Dans notre histoire récente, onze Juifs viennent d’être assassinés - et certains torturés - parce que Juifs, par des islamistes radicaux.


Pourtant, la dénonciation de l’islamophobie - qui n’est pas le racisme anti-Arabe à combattre - dissimule les chiffres du ministère de l’Intérieur : les Français juifs ont 25 fois plus de risques d’être agressés que leurs concitoyens musulmans. 10 % des citoyens juifs d’Ile-de-France - c’est-à-dire environ 50 000 personnes - ont récemment été contraints de déménager parce qu’ils n’étaient plus en sécurité dans certaines cités et parce que leurs enfants ne pouvaient plus fréquenter l’école de la République. Il s’agit d’une épuration ethnique à bas bruit au pays d’Émile Zola et de Clemenceau.

Pourquoi ce silence ? Parce que la radicalisation islamiste - et l’antisémitisme qu’il véhicule - est considérée exclusivement par une partie des élites françaises comme l’expression d’une révolte sociale, alors que le même phénomène s’observe dans des sociétés aussi différentes que le Danemark, l’Afghanistan, le Mali ou l’Allemagne… Parce qu’au vieil antisémitisme de l’extrême droite, s’ajoute l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des Juifs en victimes de la société. Parce que la bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif.
Or à la marche blanche pour Mireille Knoll, il y avait des imams conscients que l’antisémitisme musulman est la plus grande menace qui pèse sur l’islam du XXIème siècle et sur le monde de paix et de liberté dans lequel ils ont choisi de vivre. Ils sont, pour la plupart, sous protection policière, ce qui en dit long sur la terreur que font régner les islamistes sur les musulmans de France.

En conséquence, nous demandons que les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés d’obsolescence par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémite catholique aboli par Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime.


Nous attendons de l’islam de France qu’il ouvre la voie. Nous demandons que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France. »

Château dans les nuages



lundi 23 avril 2018

Carte postale d’en haut de Najac

Carte postale de vacances. Au milieu de rien, dans un club où le bar est sympa, la piscine chauffée, la 4G et le Wifi a fond les ballons.

Au milieu de rien, mais dans un bel endroit. 






Et joyeux anniversaire Nicolas !




samedi 21 avril 2018

Carte postale du Viaduc de Millau

Sur la route des vacances, rencontre avec un géant formidable. 8€30 c’est pas donné, mais que c’est beau...







Quelques jours de vacances dans le triangle des bermudas, vers Albi, Gaillard, Cahors. Je vais faire le plein de valeurs !





vendredi 20 avril 2018

Carte postale de Camargue : Tour Carbonière

Avant d’arriver à Aigues-Morte, on tombe sur une tour qui servait avant à protéger la ville de Saint Louis : la Tour Carbonière.


J’adore cet endroit. Les marais de Camargue s’étendent à perte de vue. Au loin, on imagine la mer.



Par contre ça y est, les moustiques sont déjà arrivés ! 
Même les serpents. Ce matin, au bord du Rhône en allant courir, je suis tombé devant ma première couleuvre. J’ai la phobie phobique des serpents et c’est la première que j’en tombe sur un en courant. Mais je suis content : malgré la chaleur je n’en ai pas fait une crise cardiaque.



Et à part ça le thermomètre a dépassé les 30° aujourd’hui. Le printemps n’aura pas duré longtemps : impression de l’été déjà.



 C’est les vacances et c’est bien. En plus Tolbiac est enfin libéré. On croirait presque que pendant la nuit des couilles ont poussé au gouvernement. Mais j’en doute quand même...



A part ça pour la Tour Carbonière je n’en dit guère plus. Mais Wikipedia est bien documenté. 

jeudi 19 avril 2018

En vacances !

Enfin !


Et profitons de l’horizon pendant que le PLU en cours n’est pas passé... (avouons que des HLM plutôt que des pins des oliviers et des moutons, ça serait moins top)

A part ça rien. Il fait une chaleur fantastique dans le sud, un air de vacances. Ça tombe bien...

mardi 17 avril 2018

Continuer à entretenir les parasites ?

Une suite à mon billet d’hier. Est ce possible de continuer à parler de solidarité nationale quand on la fait porter par une minorité d’honnêtes travailleurs (en leur augmentant impôts et taxes et en les menaçant d’une autre « journée de solidarité » non payées) quand on voit que cela permet aux bloqueurs masqués de Tolbiac ou à cette zadiste de vivre ?

Le terme « parasite » est humainement peut être difficilement supportable. Mais on y est proche.



Demain je me lèverai encore pour travailler et financer cette solidarité nationale... (et permettre à cette dame de se soigner quand elle sera malade par exemple...)

lundi 16 avril 2018

Non à une deuxième journée de solidarité !

Et stop à ce matraquage insupportable. 


Je n’ai vu qu’un instant hier soir du show Macron, c’était suffisant… je n’ai retenu que cette proposition purement scandaleuse de Macron, qui trouve « intéressante l’idée d’une deuxième journée de solidarité ». C’est scandaleux. Une nouvelle journée où les salariés travailleront sans être payés, à l’œil. Bref, un impôt supplémentaire sur des salariés qui se font déjà massacrer.
Scandaleux, je n’ai pas d’autres mots.

A titre personnel, j’en ai marre de ce mandat. Le salarié que je suis a vu sa CSG augmenter, et malgré les promesses d’un Gérald Darmanin, mon salaire net a baissé sensiblement.
A côté de ça, j’aurais subi une scandaleuse hausse du diesel. Mes impôts locaux continuent d’augmenter. Et je suis un des rares français à payer l’impôt sur le revenu, qui s’est vu violement augmenter au mandat précédent, au gré des volontés de Hollande de faire mal au salarié de la classe moyenne père de deux enfants que je suis. Le ras le bol fiscal est une réalité, et une souffrance. 

La solidarité, je la finance. Je la supporte. Et je n’ai pas envie d’un impôt supplémentaire, à fortiori de travailler un jour de plus. J’en ai marre d’être solidaire aujourd’hui. Et de recevoir des leçons de la part de gens qui profitent justement de tout ce que j’apporte à cette solidarité, sans retour de leur part.
Trop d’effort demandé, ça devient délirant.

Cette idée n’est pas intéressante, elle est scandaleuse. J’espère qu’elle va vite tomber dans les limbes avec d’autres idées à la con. Et que les efforts qui me sont demandés deviendront plus supportables, car là ces agressions permanentes à ceux qui bossent honnêtement sont en train de faire extrêmement mal à la belle idée de « solidarité nationale ».
Chez nous, nous nous sommes toujours occupés de nos ainés. Ma grand-mère est toujours là, et mon grand-père nous nous en sommes toujours occupés. Idem coté de ma femme. Nous avons été éduqués dans ce respect d'aider ce qui nous avant nous ont aidé. Alors merde, que chacun fasse pareil ! 

Solidarité nationale non, je n'ai pas envie de payer pour ceux qui ne s'occupent pas de leurs aînés, de leur famille, de leurs proches. Et au final ce harcèlement fiscal fait que j'en ai marre de "payer pour les autres". Je m'occupe de mes enfants, je m'occupe de leur éducation. Pourquoi devrais je payer car des parents sont défaillants sur ce point là ? Je travaille longuement, pourquoi devrais je payer pour ceux qui ne veulent pas travailler ? 
Pourquoi vais je contribuer pour permettre aux zadistes de NDDL ou aux étudiants gauchistes qui bloquent les facs d'avoir des bourses "d'étude", des APL, des aides sociales ? 

L'idée de solidarité nationale est en train d'agoniser. Et créer une deuxième journée de corvée nationale serait la rendre encore plus douloureuse cette agonie.

Stop à ce matraquage. Redevenons sérieux !

mercredi 11 avril 2018

Attendre le printemps

Pendant ce temps il pleut et on attend le printemps


Ça valait le coup de voter Macron pour avoir un printemps de merde... (Bon j’ai pas voté Macron au premier tour mais bon le résultat est le même on a un printemps de merde).

A part ça ça serait dommage d’avoir des immeubles dans l’horizon. Et le cerisier verdit bien, merci pour lui... je remarque que je n’ai pas posté cette année de photos de fleurs de cerisier. Je le ferai l’an prochain

mardi 10 avril 2018

Ce faux procès en laïcité

Excellent article de Sophie Coignard sur le Point, intitulé "Macron et l'Eglise le mauvais procès". Comme elle le dit, et malgré les cris de Mélenchon, il n'y a rien d'illogique à "la présence inédite du président à la Conférence des évêques, qui ne met en cause ni la laïcité ni les grands principes républicains".
Les tweets et réactions de Melenchon sont d'ailleurs en elle même extrêmement choquante, eu égard à sa complaisance vis à vis d'autres religions (le "s" est de trop), et d'autres comportements bien peu laïques et républicain.

Je reprends la fin de l'édito de Sophie Coignard, qui relève l'absurdité des positions et de l'émoi de Mélenchon.

On peut faire remarquer à Jean-Luc Mélenchon que, si Emmanuel Macron a accepté le titre de « chanoine de Latran », il a, comme ses prédécesseurs, honoré une tradition qui remonte à Henri IV. On peut aussi préciser que le président a assisté, en juin 2017, au dîner annuel de la rupture du jeûne organisé pendant le ramadan par le Conseil français du culte musulman (CFCM), ce que n'avaient pas fait ses prédécesseurs depuis dix ans, sans que sa présence déclenche des foudres. Qu'il a également prononcé un discours à la mairie de Paris, en septembre 2017, pour les 500 ans de la Réforme, discours au cours duquel il a déclaré : « Ma conviction profonde est que je ne rendrais nullement service à la laïcité si je m'adressais à vous comme à une association philosophique. Votre identité de protestants ne se construit pas dans la sécheresse d'une sociologie, mais dans un dialogue intense avec Dieu, et c'est cela que la République respecte. » Là encore, aucun cri d'orfraie. Qu'il s'est rendu au dîner du Crif, le 7 mars 2018, toujours sans susciter de réactions scandalisées. 
On peut enfin souligner qu'aucun président avant lui ne s'était rendu à une telle manifestation pour la simple et bonne raison que c'est la première fois que la Conférence des évêques de France (CEF) organise une soirée de ce type, avec 400 invités, parmi lesquels des chefs d'entreprise, de hauts fonctionnaires, des intellectuels… Emmanuel Macron aurait-il dû faire une exception pour les représentants de l'Église catholique en refusant de répondre à l'invitation qui lui avait été lancée ? Une question si absurde que la poser, c'est déjà y répondre.
En tous cas, en tant que républicain, il me semble sain que le présent de la République ait honoré de sa présence à la conférence des évêques. Son absence aurait été choquante. 

Après sur le fond, oui il y a un lien abîmé entre la France et les chrétiens. J'ai souvent écrit ici sur une christianophobie qui était très forte au mandat précédent. Personne ne revient sur les principes de la laïcité qui me sont chers, et qui ne sont pas une négation des religions et des croyances (ou non croyance) intimes de chacun. Et il n'est pas choquant de respecter les chrétiens et l'église, les autres religions, et ceux qui ne croient pas. 

dimanche 8 avril 2018

Carte postale de la Grande Motte

Hier soir nous sommes allés voir Serge Lama en concert. Je l’aime toujours autant lui. Nous en avons profité pour rester dormir sur place, après une journée de marche entre Grande Motte et Port Camargue, en passant par le Grau du roi et des etangs.

Cette carte postale est une série de photos prises hier soir, alors que le vent soufflait fort, et que le soleil s’endormait.




Après la Grande Motte c’est vraiment Beaubourg à l’échelle d’une ville. L’architecture est particulière. Mais c’est joli.





Et hier soir nous avons passé une belle soirée, un beau weekend.





A part ça j’ai vu que les photos s’affichaient mal sur iPad. C’est dommage aujourd’hui mon blog propose plus de photos que de contenu. 
Peut être que pour la première fois depuis 14 ans je changerai mon modèle. Mais si Nicolas l’a fait, même le conservateur que je suis pourra y arriver.

vendredi 6 avril 2018

Actualité politique du jour



Bon maintenant qu’on a bien rigolé, quand est ce que l’Etat va faire gagner l’état de droit, et dégager ces clowns cagoulés qui bloquent des facultés ?
Je veux bien que ça soit plus simple de taxer le gazole et d’emmerder les automobilistes en baissant la vitesse ou de matraquer fiscalement salariés et retraités, mais ces délinquants on les matte quand ? 

Ce pouvoir est quand même d’une faiblesse affligeante. Notre-Dame-des-Landes en est un symbole. Si ces trous du cul continuent à bloquer les facs, nous en auront un de plus de symbole. 

Et pendant que Jupiter et ses sbires se caguent devant quelques « étudiants » masqués, nous avons Jean-Vincent Placé qui continue à faire parler de lui. Que cet homme eu été un jour dans un gouvernement est un autre délire de ces dernières années, mais bon...

Peut être qu’il a raison de se foutre de nous le roi du Bhoutan. 

J’attends maintenant de voir si Macron va céder à ses trois dèbes et au clebard. 

jeudi 5 avril 2018

Nous perdons Duflot, mais nous retrouvons Placé

C'était avec une grande tristesse que j'apprenais ce matin le retrait de la vie politique de Cécile Duflot.
Mais avec Mélenchon, Obono, Corbière & co, nous en avions déjà suffisamment des gens qui font mal à la politique et à la république, donc bon...

Et puis j'ai eu le bonheur de retrouver des nouvelles de ce bon Jean-Vincent Placé. Qui est, comme son nom l'indique, toujours bien placé dans les bons coups...


Selon franceinfo, qui cite une source judiciaire, la garde à vue a été retenue pour "outrage sur personne dépositaire de l'autorité publique, insulte à caractère racial et violence sans incapacité commise sous l'empire de l'ivresse". 
Le portier du bar situé rue Princesse, interrogé par BFMTV, affirme que l'ancien sénateur était "fortement alcoolisé et avec un équilibre précaire". Son taux d'alcoolémie a été mesuré à 1,16 gramme/litre de sang. L'ancien numéro 2 du parti écologiste a insulté une cliente du bar qui a refusé de danser contre de l'argent, indique RTL. Citée par BFMTV, la jeune femme impliquée a raconté que Jean-Vincent Placé l'a saisie par le bras pour lui demander de danser.
Après son refus, il l'aurait traité de "sale pute qui ne mérite que ça".
Le portier du bar a alors prévenu la police, avant d'être lui aussi la cible d'insultes, selon ses dires: il affirme que Jean-Vincent Placé lui a lancé, alors qu'il était emmené hors du bar: "On n'est pas au Maghreb ici. Je vais te renvoyer en Afrique moi. Tu vas voir!"
Je sais que c'est mal de se moquer. Mais il l'a tellement cherché la gloire ce grand homme qui ne payait pas ses PV de voitures que bon... Sexisme, racisme, la totale. 

Enfin, c'était la politique d'avant. Depuis le renouveau en Marche  ça va mieux