vendredi 26 février 2021

Carte postale du Mont Aiguille et soupirs préconfinés #Gard

Fin de semaine à profiter de la campagne gardoise. Et de ce début de printemps. 
Hier soir, les lamentables Castex et Veran sont venus nous dire rien. Qu'ils viendront nous revoir dans une semaine pour voir si on se reverra, ou pas, dans une semaine... 

J'ai eu l'impression que les appels à faire attention et à respecter le couvre feu n'a trop été pris en compte dans des "jeunes" qui ont mitraillé un commissariat hier à 19h30 à Sarcelle... Pensée aux Dunkerquois et à la Côte d'Azur qui ne vivront que pour travailler, et rester chez soit le soir et le weekend... Nous aurons supporté l'insupportable. 


Ce coin est au dessus de Beaucaire. L'abbaye de Saint Roman est fermée au public, mais en face le Mont Aiguille offre un panorama superbe. Quand le ciel est plus pur, on voit du Ventoux jusqu'au Pic Saint Loup en passant par la mer. 


Cette fin de semaine m'aura offert une respiration. Problème de boulot, avec une surfacturation de 75€ sur la ligne téléphonique (merci le télétravail). A côté, la FNAC m'arnaque de 150 € et vient avec un modeste bon de 10 €. Puis un autre site se révèle visiblement avoir été une arnaque... 

Rien de grave, mais au final ce sentiment d'avoir du mal à faire face à des soucis du quotidien. Rien de grave, mais tout prends des proportions...
Quand j'écris sur ce sentiment de fatigue permanente, je sais que beaucoup ressentent la même chose. Impossibilité de se concentrer, fatigue, chaque truc bête est épuisant ou énervant ou déprimant. 

Et au final sentiment qu'on n'arrivera à rien. Et que même ces quelques paysages n'arrivent à nous satisfaire... 

Les deux andouilles (trois avec Mr Vaccin qui nous dit de prendre du Doliprane avant de se faire vacciner) sont aussi des gens qui font que nous ne sommes pas bien. Le sémillant Gabriel Attal peut faire le malin à fracasser le premier adjoint de Paris. Il n'empêche : en face de ce gouvernement qui n'a aucune paires de couilles, se couche devant "l'économie", et n'a comme seule solution de priver ceux qui bossent de liberté, il n'y a que désespoir et ras le bol. 

Je ne sais pas si d'autres auraient fait mieux. Ils auraient été plus dignes que la bande d'opportuniste au pouvoir qui a volé l'élection de 2017. Merci les frondeurs et le Canard Enchainé... 



mardi 23 février 2021

Lyon c’est de la viande et Notre Dame de Fourviere

Pauvre Lyon... pauvres enfants de Lyon. Le gendre de boucher charcutier stéphanois rappelle au maire de Lyon que sa ville, c’est ça. 

Qu’on réouvre les restaurants. Et qu’on mange de la viande. 

C’est aussi ça. Le maire de Lyon n’a pas voulu aller à la basilique de Fourviere. C’est dommage cet obscurantisme...






lundi 22 février 2021

Speedy

Vous connaissais Galia (le chien renard pour ceux qui suivent). Vous aviez connu Flèche, le cochon d’Inde mort deux ans après sa naissance, qui repose au fond du jardin et qui avait été un instant de tristesse forte... voir ses enfants pleurer est horrible.

Voici Speedy. Normalement, Speedy devrait nous survivre. 

Pas rapide mais rigolo une tortue.





dimanche 21 février 2021

Vivre pour toujours, avec Osiris @OsirisCovBande

 j'adore ce qu'est devenu l'immense Eric Di Méco


 
Une chanson que j'adore... Depuis mon enfance.

Merci à vous

samedi 20 février 2021

Rio grande, ou l'envie du grand large...

 Deux chansons en tête ce soir. "Restez vivant" de Johnny, qui démontre que non j'ai eu été mieux. Et une autre, que j'adore, de son ami Eddy. Rio Grande. L'appel du grand large.

Si un jour je vais au USA, New York m'intéresse moins que la Floride, la Nouvelle Louisiane ou la Californie. Je verrai Le Mississipi avec plaisir. Mais le Rio Grande, avec la voir d'Eddy, le copain de Johnny.

Gardons des horizons et des objectifs..

Ça commence comme dans un film noir :

Un jeune couple embarqué dans une sale histoire.
P'tit voleurs fichés et recherchés,
La vie les a changés en marginaux blessés.

En cavale, changeant chaque soir,
D'hôtel, d'identité, Evitant les bars.
Bêtes traqués, une seule lueur d'espoir :
Ça s'ra la fin du blues
Dans l'port de Vera Cruz.

(Refrain:)
Rio, Rio Grande. Dès la frontière passée,
Nous s'rons blanchis, sauvés
Rio, Rio Grande. Le temps va s'arrêter
Pour mieux nous oublier.
On s'promet une vie, sans blues
Tout commence à Vera Cruz

Vrais mensonges, rêveurs éveillés,
Le Mexique est bien loin du supermarché.
Les vigiles nous ont vite repérés :
Ça s'ra toujours le blues
Dans la banlieue d'Mulhouse.

vendredi 19 février 2021

Le silence

Francis Cabrel chantait "c'est le silence qui se remarque le plus". Me concernant je n'ai pas cette prétention. Je m'inquiète du silence de certains, mais après est ce que je lis ? Ou ne suis je pas dans cette grotte ?

J'avais envie de poster des photos d'un aprésmidi dans le Gard avec Falconette et mes enfants. Hier, j'étais chez le médecin du travail pour dire que j'arrivais au bout de je ne sais pas quoi. Un nouveau cliquet, mais quel objectif ?

Des fois il vaut mieux se taire. Le silence. Mes photos du Gard vu d'en haut, je les partagerai plus tard.

Aujourd'hui, j'admets pas l'écrit (libérateur) que la dépression saisonnière est présente. Plusieurs Février durs. 

J'ai deux bébés et une épouse formidable. Mes amis le sont aussi. Dans la vraie vie et dans les blogs. Merci à vous. 

lundi 15 février 2021

Saint Valentin et Bruce Springsteen

Hier soir très bien. Composition de fleurs pour moi, et falconette avait envie de découvrir Bruce Springsteen. Une soirée à écouter un CD c’est super.


 L’intégrale de l’Arme Fatale en Blu-ray est aussi un super cadeau

samedi 13 février 2021

Quelques cris

 La Chromecast est un des objets qui aura changé nos vies. Il y a les tablettes, qui fait que ma grand mère, mes parents, nous et mes enfants utilisons le même objet récent. Qui a changé nos vies. Le smartphone : quand en 2010 j'étais aux urgences de Bagnols avec un téléphone à la con, la cheville dans la boite à gants et tout le programme de TF1 qui défilait sous mes yeux, j'ai pris la décision d'acheter l'iPhone. Je ne le regrette pas.


La Chromecast, c'est l'ane Trotro ou le générique de Bioman qui passe à la télé facilement. C'est aussi pour moi mettre mes clips, mes chansons.

Le samedi soir, avant qu'arrive the Voice (y a pas longtemps c'était Ninja Warrior mais je ne me bats pas le samedi soir... Le Lyon Montpellier je m'en fous, et j'adore voir mes enfants adorer une émission qu'on regarde en famille), j'ai des chansons qui me viennent en tête.

Ce soir, c'est la chanson (encore) de Johnny "quelques cris". Elle n'avait pas de clip. "Partie de cartes", du même album, j'ai déjà posté. Ce clip Jean Réno Johnny, il est superbe. Mais la chanson "quelques cris", la troisième de l'album de 1999, est superbe. C'est son fils David et Françoise Sagan qui l'ont écrite (David je savais, Sagan j'ai mis Wikipédia pour être sur). 

Johnny nous manque. J'aimerais qu'il vienne manger à la maison (mais ça risque d'être difficile)


Le premier cri que j'ai poussé
C'était un cri de nouveau-né
Le jour où ma mère me mit bas
Nu, sanglant, entre des draps
L'éclat du soleil me fit peur
Oh, me ft peur
La deuxième fois que j'ai crié
Ce fut un cri de volupté
Lorsqu'une femme m'attira
Nu, tremblant, entre ses bras
L'éclat du plaisir me fit peur
Oui, me fit peur
J'avais le regard affamé
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Le troisième cri que j'ai lancé
Fut celui de l'homme comblé
Lorsque la foule me rappela
En scène, pour la dixième fois
L'éclat du succès me fit peur
Oh, me fit peur
Si aujourd'hui, je ne crie plus
C'est qu'une autre a pris le dessus
Elle parle peu, elle parle bas
La solitude brise ma voix
L'écho de ma vie me fait peur
Me fait peur
J'avais le regard affamé
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
La dernière fois
Dernière fois
J'avais le regard affamé
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
J'avais le regard affamé
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient

vendredi 12 février 2021

Pizzas du vendredi soir

Cela fait longtemps que je n'ai rien écrit. Télétravail qui rime parfois avec désespoir. Et cette semaine, une angine et une bronchite qui m'a fait perdre la voix, et vraiment avoir eu peur de faire augmenter les courbes dans le Gard. 

Mais non, un test dans le nez de plus, trois jours de travail (où j'ai vraiment coupé), une semaine de toux et de voix éraillée. 

Puis à côté de ça une carte de voeux d'un ami député qui m'a profondément touché. Des marques de sympathies, qui rendent les saloperies professionnelles supportables. Un ami vigneron qui t'attend à la maison pour dire bonjour. Son parrain qui appelle. Des moments sympas. 



Et ce soir des pizzas de notre pizzérias. Geste politique, militant. Oh, je suis arrivé à la maison à 18h05. Mais je le soutiens, à mon restaurant à moi. Bleu carotte, le nom est joli, très Moscato.

Semaine qui finit sous une presque neige. Et la douceur de pizzas, d'une cheminé, et de gentils petits bébés. 



samedi 6 février 2021

Seul Des gens vous aiment, vous entourent On se retrouve quand même et toujours Seul

J'adore cette chanson de Johnny. 

Pascal Obispo l'a écrite... Le symbole est particulier. Je prends. 


On a beau parader et sourire
Parler de tout pour ne rien dire
Ce n'est que se livrer en pâture
À des gens qui croient vous séduire
Bien sûr, on attire
Les regards
On a pour vous
Tous les égards
On vous invente
Des aventures
Mais on s'étonne de vous savoir
Seul
On est partout et toujours
Seul
Des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul
Avec un trop plein d'amour
Que l'on donne à une personne
Une seule
Mais qui au petit jour, au petit jour
Vous abandonne, oh
Vous abandonne
On vous croit solide
Comme un roc
A l'abri des coups
Et des chocs
Parce qu'on ne vous voit
Qu'en vitrine
Blindé aux envies
Qu'on provoque
Mais épuisé
On rentre le soir
On démaquille
Son désespoir
Dans un miroir
Sans complaisance
A qui on ne raconte pas d'histoires
Seul
On est partout et toujours
Seul
Des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul
Avec un trop plein d'amour
Que l'on donne à une personne
Une seule
Mais qui au petit jour, au petit jour
Vous abandonne, oh
Vous abandonne
Seul
On est partout et toujours
Seul
Des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul
Avec un trop plein d'amour
Que l'on donne à une personne
Une seule
Mais qui au petit jour, au petit jour
Vous abandonne
Oui, vous abandonne
Seul
Oui, vous abandonne

samedi 30 janvier 2021

Monsieur Castex est venu nous dire... rien euh du tout

Bel hommage de notre pouvoir en Marche à Monsieur Patel hier soir.

 

Nuls, inhumains, pilotage à vue, incompétents, arrivés de nulle part en volant une élection présidentielle en 2017, tellement de choses à leur reprocher à cette bande d'opportuniste.

Mais là... Hier soir, notre Père Castex devait nous parler... Nous nous sommes tous arrêtés. Et il a dit... Rien.

Qu'ils soient nuls, bon, je n'aimerais pas être au pouvoir. Mais qu'au moins ils nous respectent et arrêtent de nous prendre pour cons. Avec leur pub anti covid avec la vieille qui tousse dans son coude et leurs messages qui tous les matins nous font passer du chaud au froid à rien.

Au moins respectez les français, ces 66 millions de procureurs, ces gaulois réfractaires que vous prenez pour des cons.
Allez, je suis en pyjama. 18 heures. C'est bon ? J'ai droit à un bon point ? 


jeudi 21 janvier 2021

66 millions de procureurs ? Non 66 millions de citoyens (dont certains qui en ont plein de cul)

Emmanuel, faut que je te parle à toi aussi...

Ce pouvoir est en totale déliquescence. Il n'accepte plus une chose toute simple : le débat, la contradiction. Emmanuel Macron confond République et Empire. Jean Castex et Olivier Veran prennent toutes critiques comme attaques politiques, donc interdites. Etat d'urgence, il est urgent de fermer sa gueule et de ne rien dire. .

Encore heureux qu'ils ne nous demandent qu'en plus on leur lustre les roues comme des bons éléphants bleus...

"66 millions de procureurs", non Monsieur le monarque. Notre majesté Jupiter Macron, ce n'est pas 66 millions de procureurs qu'il y a dans notre pays (qui n'est pas le votre, nous être locataire de l'Elysée, c'est tout...). C'est 66 millions de citoyens. Avec un avis, que l'on peut partager ou pas. Avec un coeur qui bat, avec des colères.
Dans les 66 millions, certains ont voté pour la République en Marche. Ce n'était pas la meilleure idée, mais c'est leur choix et ils avaient le droit. Ces "procureurs" sont en droit de demander des comptes, et d'estimer que la gestion de cette crise est inhumaine et calamiteuse.

Emmanuel, Jean, Olivier, y a un truc que vous n'avez pas compris. Vous n'être propriétaires ni de votre poste ni de la France. Vous êtes les personnes les plus dispensables et les plus remplaçables de la République. Nous avons enterré il y a peu deux anciens présidents, et nous avons célébré la mémoire d'un troisième en début d'année. 
Vous êtes là déjà par accident (merci le Canard Enchainé et les frondeurs socialistes). Mais vous êtes surtout là de passage, en interim. La France ne vous appartient pas.

Donc Emmanuel, Jean, Olivier, vos coups de colères contre les français et les oppositions, ça commence à nous casser les couilles méga graves. Vous n'êtes que de passage. Il est souhaitable que 2022 arrive au plus vite et que vous et votre bande d'opportunistes parvenus, vous laissiez la France dans un état pas plus désespérante qu'elle n'était avant que vous n'arriviez.

Votre gestion inhumaine de cette crise est contestable. J'ai le droit de la contester. Je ne suis pas un procureur, ce qui dans votre bouche est visiblement une insulte. Je ne fais pas de politiques politiciennes. Par contre, je ne vous fais plus confiance. 
Et j'en ai marre que vous m'insultiez. Alors vous revenez sur terre : vous n'êtes ni divins ni formidables ni rien du tout. Le matin ou le soir, parfois même la journée, vous faites caca comme tout le monde. 

PS : j'ai appris aujourd'hui que dans les écoles les masques en tissus seraient interdits. J'espère une Fake News...

mercredi 20 janvier 2021

inhumanité et horizon bouché

Je regarde ce qui se passe aux USA, un verre de whisky à la main. Ce matin, j’ai reçu message que la tournée de Serge Lama est annulée (« le verre de whisky à la main » est une phrase d’une de ses plus belles chansons...). 
Entre temps nous apprenons, cartes postales balancées à la gueule, que les restaurants n’ouvriront pas avant le 6 avril. Que les stations de ski c’est mort. 

Demain soir c’est le Castex Comedy Club. Nous aurons quoi ?

Ce supplice chinois est insupportable. Il n’y a rien d’humain dans cette gouvernance. Sinon de l’humiliation. Éviter « l’effet apéro ». Pauvre type, pour qui tu nous prends ?



Le verre de whisky à la main avant de m’en servir un autre, je me désespère de cette situation. Effet apéro le brave Stanislas je lui enverrai ma prochaine prise de sang. 
De cet horizon bouché. Un avenir à la semaine. Tous les jeudis soirs. Aucun projet. Est ce une vie ? « En Marche » tu parles, on est à l’arrêt. Je me retiens sur les insultes...

Dans l’Ehpad de mon village cette semaine 6 sont morts du Covid. Ma grande tante est une des rares négatives. Ma grand mère va bien et j’ai été de la voir ce week-end. Mes parents et beaux parents aussi. 
Moi, j’ai juste le moral dans les chaussettes. 

Aujourd’hui c’était ma fête (une seule personne me l’a souhaité mais je suis un prénom derrière un autre saint...). Le cse dont je suis élu a été traîné au tribunal par ma direction. Parce que nous avons dénoncé une décision abjecte et avons demandé des comptes. 
Le monde d’après est horrible. Inhumain. 

Je regarde Joe Biden. Sans réaction. Nous avons besoin d’humanité. 

vendredi 15 janvier 2021

Jean, viens, il faut qu'on se parle à nous !

Jean, attends Jean, ne pars pas Jean. Remets ton masque à la con et tes lunettes sur des grandes oreilles, et viens, faut qu'on parle Jean. 

Jean, d'abord ne t'énerve pas. Non, ne commence pas à dodeliner de la tête et à dire que si tu avais fait l'inverse on t'aurais critiqué, j'ai pas commencé à te dire. 
Et... jean, je m'en fous des allemands et des britanniques. 
Et... Polémiques stériles qui ne sauvent aucune vie ? Mais qu'est ce que...

OH JEAN TU CASSES LES COUILLES. Tu te tais et me laisse en placer une bordel ? Je m'en fous des anglais, des zimbabweens et des Fidji. Si j'avais voulu parler rugby j'aurais parlé avec Bernard (en mauvaise foi en plus t'es pas invité Jean). 

Non Jean, je voulais te dire, sans majuscules, qu'en effet tu nous casses les couilles. C'est fait, c'est dit. 

Sur le fond, tu nous casses les couilles Jean. Tous les jours tu rajoutes 1° dans la casserole. Un couvre feu, puis avancé dans certains endroits, puis de partout... Oh, Jean, t'as des nougats dans le slip ? 
Reconfine tout. Ecole, magasin, tout. Les gens gueuleront ? Ben là ils gueulent encore plus de savoir que tu leurs laisse pour seule liberté le fait d'aller bosser, et tu rentres.
Profites en pour mettre une claque à ta tête à baffes de Stanislas Guérini : vous en avez des cons à LREM, mais le chef de cette bande de bobo déconnecté est fantastique. "L'effet Apéro" Jean, il se passe seul chez nous à la maison. Les gens ne se voient plus. Dans les entreprises, les directions suppriment les points "machines à café". Grace à vous et votre logique : bossez sans convivialité, et rentrez chez vous

Le quoiqu'il en coûte coutera cher humainement, quand les benzo pour ne pas souffrir, les Prozacs pour se donner la force le matin et le somnifère le soir vont exploser. Je ne parle pas de la consommation d'alcool. 
Et puisque vous offrez des arrêts maladies à ceux qui ne peuvent pas télétravailler (nous on bosse même malade d'accord) via un click, remboursez aussi les séances chez le psychologue. Ca fera du bien à tout le monde. Et ça soulagera, puisque à part mettre du stress et des irritants... 

Tu nous emmerdes Jean. Qu'est ce que tu fais chier les gosses ? T'as pas les couilles de fermer les écoles ? Ben y a aura des contaminés chez les enfants et les profs. Qui ramènerons leur merde à la maison. Pas de soucis Jean. Ils ne mangerons qu'avec les enfants de leurs classes ? Plus le droit de faire du sport en dehors de l'école ? Et leur vie sociale Jean ? Ce moment où tu te construits des amis pour la vie ? Même ça tu vas le tuer ? 
Je ne te parles pas des étudiants. Que fais tu de leur vingt ans à ces gens là ? On n'a pas plusieurs fois vingt ans. Avec tes doigts pleins de reproche et culpabilisateur, tu leurs tue leurs vingt ans. 

Tu nous emmerdes Jean. Toujours satisfait alors que depuis le début vous êtes à l'arrache. Toujours à nous reprocher de nous plaindre alors que nous ne savons pas de quoi la semaine prochaine sera faite, et la prochaine étape liberticide ou con que tu vas pondre. Les stations de ski sans les remontées, tu as été champion. Tu auras tué un secteur. 
Les aides ? Mais le pharmacien ou le boulanger de Merlette ou Tignes il n'est pas concerné par ces aides. Il va crever, c'est tout. Comme nombre de restaurant et de commerces. 

Jean, enfin, si t'es pas content qu'on te parle et qu'on commente ou critique ton action, personne ne te retiens. A vrai dire, j'en viens à être féministe en te parlant. On a dit beaucoup sur Edith Cresson car c'était une femme. Mais toi, bel homme blanc, en fait tu fais encore plus mauvais... Puisque ta mauvaise humeur et ton agacement quand on pointe tes nombreuses incohérence et le côté inhumain de bien de tes décisions, ça te fait t'énerver tout rouge. 

Jean, tu nous conduis vers un avenir sombre. Confine clairement. Ou alors rends nous nos jeudis soir et  ce qui nous reste de liberté. Et nous casse pas les couilles, nous sommes en démocratie, on peut parler, on peut dire des conneries, tu n'es pas au dessus de nous tous. 
Si ça t’ennuies et que tu ne te sens pas à la hauteur, laisse ta place. Jean-Pierre Raffarin ne fera pas pire. 

Salut Jean. Embrasse la à ta famille. Et rejoins là.