vendredi 17 juin 2016

Billet avec un petit chien

Billet qui n'appelle pas de commentaires. Sinon que c'est un joli petit toutou Galia.

Billet vraiment de rien. Mais admettons que la semaine fut dure...

mercredi 15 juin 2016

Sujet de philosophie

Une copine m'a envoyé cet excellent dessin trouvé sur le net. Je trouve que c'est une excellente question...

Des sous-merdes...

Sinon ce matin je suis quand même resté affligé de voir la défense de certains, qui défendaient ces casseurs et ces personnes par un très caricatural "la vraie violence, c'est la baisse de tant de sous pour les hopitaux, et la baisse des effectifs". Lamentables. 

mardi 14 juin 2016

Journée abjecte

Journée de merde. A vomir diront certains. Journée de merde...

Ça commence par un enfant qui voit ses parents assassinés par un connard fou de l'islam. Un animal. Le summum de l'insupportable. C'est chez nous, en France, que l'on égorge une maman devant son enfant. 
J'ai appris ça comme beaucoup ce matin. Avec un dégoût dans la bouche. Une haine aussi forte que la peine que j'avais pour cet enfant. Haine, c'est bien le mot...

Un couple de policier abattu par une merde qui suit ses ordres de fous de l'islam. J'ai pensé brièvement aux salopards qui ont hurlé dans des manifestations des slogans "tout le monde déteste la police". J'ai pensé à la CGT et à ses tracts abjects et infâmes contre les forces de l'ordre. 
Et ce matin, un couple de policiers abattu.

Si certains ont fait ces derniers jours un parallèle rapide entre la Manif pour Tous (pour qui je n'ai vraiment aucune sympathie...) et ce salopard d'Orlando, est ce que d'autres ont le droit de faire le parallèle entre l'extrême gauche qui hurle son dégoût pour la police et le drame de ce matin ? Une question comme ça, juste pour savoir. 
Je sais que certains à gauche refusent de dire que ceux sont des islamistes qui tuent (islamiste avec islam dans le mot), mais on peut nommer ceux qui menacent notre société ? 

Après, la journée a continué à déverser son lot d'abjection et de merde. L'extrême gauche toujours qui vient casser l’hôpital Necker, qui s'occupe d'enfants. Aucun respect, juste de la haine ces gens là. Et après, un fou de Dieu qui fout le bordel à Rennes pour offrir un sacrifice humain pour le ramadan
Pas d'amalgame, surtout pas, mais merde...

Les gens de voyage qui viennent annexer à Marguerittes une aire de jeu pour enfants devient anecdotique, même si hier elle m'avait choqué. Je connais des parents qui sont privés de terrains pour leurs gosses à cause de certaines personnes égoistes qui ne pensent qu'à eux (mais qui ont les pouvoirs publics avec eux... Certains sont plus solvables que les délinquants qui mettent vraiment à mal notre société, mieux vaut faire des contrôles de vitesse à la sortie du travail...)

Notre société est en train d'exploser. Plus de pilotes. Et nous sommes, parait il, en Etat d'Urgence.

Journée abjecte. Mais tout va bien parait il... Par contre, on a le droit d'être écœuré ?

lundi 13 juin 2016

Juste envie de silence, dont le mien

Seul devant Belgique - Italie. Envie de dormir, deux jours que je n'ai pas dormi... Et pourtant...
Parfois, envie du silence, simple silence. Chez soit, avec madame, ses enfants, même bruyants, même énervants. De ne rien dire, ne pas polémiquer. Ne pas échanger.

Je le vois, hier j'étais élu. Aujourd'hui je fuis les festivites. Bodega dans mon village d'enfance ? Je fuis. Fête des écoles ? Une fois le spectacle fini, je prend bébé et me réfugie sur ma terrasse. Ce soir un truc au boulot ? J'ai préféré allez courrir seul sur un tapis de course après une séance de musculation pour mon dos. 
Et ce soir, devant Belgique - Italie, j'ai envie de dormir. Je ne tarderai pas.

Bien sûr Orlando m'a horrifié. Je n'arborerai pas un #jesuisgay qui ne serait pas sincère, et qui devient un peu commercial. Mais là encore, ce que je ressens, j'ai pas envie de l'arborer sur Facebook. J'ai du respect pour certains de mes proches qui ont trouvé l'amour avec des gens du même sexe. Respect est faible : j'ai de l'affection parce que je les aime en tant que gens que j'aime. Je ne le considère pas gay, lesbienne, en tous cas pas différents de moi qui aime une douce paire de seins et un regard féminin. 
Je suis pas gay friendly, je suis ce que tous devraient être : indifférent. 

Orlando m'a choqué car une nouvelle fois un musulman illuminé a décidé de tuer ce qu'il considère être le mal. D'abord, j'ai vu des jeunes qui étaient abattus par un salaud qui trouve que le message d'Allah est cool quand il s'accompagne de sang impur. J'ai su après que ces jeunes étaient gays : cel n'a pas donné pour moi plus de douleur, plus de violence à cet acte Innaceptable. Avant d'être chrétien, juif, blanc, noir, jeune, vieux, pédé ou gros con, on est avant tout des êtres humains. Et c'est ca que ces salopards abattent. C'est insupportable.

Là encore, j'ai envie pourtant de rester dans le silence. Les mots, nos mots, nos indignations, ça ne sert à rien. Alors je vais coucher mes bébés. Je les aime. Demain soir j'irai voir mes parents. 

Et peut être faudrait il garder ces mots pour moi. Ce blog est ma deniere fenêtre avec le dehors, je l'ouvre peu. 
J'essaierai de comprendre pourquoi ces sentiments en ce moment. Mais demain. La je vis coucher les bébés et dormir.

Et quel but de l'Italie... (Même si Di Meco me manque sur Beinsport : c'est les meilleurs consultant football)

vendredi 10 juin 2016

La coupe du Monde de l'Europe commence

J'ai adoré la question de mon grand bébé Faucon ce matin : "elle commence ce soir la Coupe du Monde de l'Europe papa ?". Et il avait des jolies étoiles dans les yeux.

Mon bébé avait adoré l'ambiance de la Coupe du Monde. Cette année, il a rempli son album Panini. Il chante la Marseillaise et me fait des dessins bleu-blanc-rouge, en me disant "allez l'OM" ou "allez les verts".
C'est mignon. J'aime ca. On va remplir tous les deux son livre en mettant les scores. Il apprend les pays. L'Italie de Rome et Venise, le Portugal de Lisbonne et de tonton Gil... Des symboles tous bêtes mais qui font des enfants.

Et en plus il sait que ca se passe ici, à Paris, a Marseille, à Saint Étienne chez papy et mamy. Il est heureux.

Ces salopards d'extrémistes qui se prétendent syndicalistes font aussi ça,polluer les images des enfants. En plus de tuer notre pays (mais comme ils ne l'aiment pas et que c'est leur but...). Je suis favorable à la mise en place au plus tôt de mesures de substitution et de réquisitions pour faire le travail. Les outils de transport n'appartiennent pas à SUD et aux salariés, mais au public. Et mettre en place des entreprises privés pour ramasser les poubelles, en plus d'une réquisition des exutoires.
Et au prochain mandat, revoir ce droit de grève, qui là n'en est pas un. L'opinion publique sera favorable à une révision du statut du syndicaliste.

Mais pour l'instant, profitions de l'Euro. Et que la République mette hors d'état de nuire ces extrémistes qui ne sont pas des syndicalistes, mais des délinquants. "guérilla syndicale" est un joli mot employé par un ministre hier.

Et nous supporterons cette Equipe de France de Deschamps, de Giroud, de Gignac. Cette équipe de France qui est plus Charly que Booba, plus fraternelle que quenelle. J'ai souvent utilisé ces phrases, mais je les aime bien, et elles reflètent mon état d'esprit. 
Je pense que Benzema et sa team ont fait beaucoup de bien à l'équipe de France en la salissant. Que les siffleurs de Giroud et les taggueurs de la maison de Deschamps ont réussi leur coup : ils ont rendu l'équipe de France populaire. Ce qu'elle n'aurait pas été avec des Benzema ou Ribery en son sein. 

Que mon bébé soit heureux pendant cette Coupe du Monde de l'Europe. Le reste, la politique et ce syndicalisme délinquant, on le verra plus tard...

mardi 7 juin 2016

Première histoire de gens du voyage

Première histoire insupportable dans le Gard de Gens du voyage qui annexent des terrains et molestent le maire et les élus qui s'opposent à ces actes. Cela se passe dans la ville des Angles, à coté d'Avignon. Je répète le mot mais je n'en ai pas d'autre, c'est insupportable.


Résumé rapide. Des gens du voyage cassent la barrière d'un stade pour s'installer. Le maire est prévenu et il vient avec sa police municipale : il se fait insulter et violenter. 


Mais le pire est que la police nationale arrive peu après, et annonce que "le Préfet du Gard les autorise à entrer dans les lieux". Non sans demander au maire des Angles ses papiers, le traitant en quasi délinquant.

C'est une demande que j'ai depuis longtemps : il faudra que la prochaine majorité s'engage à abroger les lois Besson qui donnent des droits exorbitants aux gens du voyage. Droit dont ils se foutent, car lorsque des communes dépensent une fortune pour aménager des aires, ces dernières sont snobés par les gens du voyage. 
Et il faudrait que l'état Républicain se fasse respecter. Mais visiblement ce dernier préfère être faible face à des minorités qui peuvent être violentes. L'attitude du Préfet est scandaleuse, mais Grenoble ou l'A1 fait peur.

L'été promet d'être insupportable vue la faiblesse de notre état de droit, qui a apparemment décidé de jeter l'éponge face à ceux qui ont décidé de le braver et de faire mal à notre société... 

dimanche 5 juin 2016

vendredi 3 juin 2016

Soutien à Deschamps (et mépris devant ces racistes)

Affligé par cette information. Scandalisé aussi. Ecoeuré enfin.


Cela se passe de commentaires. Ce type de personne doit être méprisé, ignoré, évacué. 

Benzema, sa team et ses soutiens qui insultent Giroud (racisme anti savoyard ?), et tous ceux qui racialisent sont coupables. Ils tuent notre société. 
Quelque part Mourad Boudjellal n'a pas tort dans ses déclarations extrêmes et provocantes. Benzema et ses fanatiques jouent avec le feu, et ils le font en toute conscience. 

Il y a une France Charly, et une France Booba, Benzema et ses amis ont choisi la deuxième. Les républicains défendent la première. Et combattent le véritable racisme.

En tous cas, grâce à Benzema et à sa team, l'équipe de France aura un véritable et sincère soutien populaire. De gens qui veulent combattre ces pensées nauséabondes et haineuses de ces racistes de quartier, qui jouent aux anti-racistes. C'est très bien.

Didier Deschamps ne méritait pas ça. Par contre, Benzema mérite de finir au même rang que des Anelka qui ont souillé le maillot bleu. C'est à très bas, très bas. Très très bas...

jeudi 2 juin 2016

Carte postale Esparron-de-Verdon et billet décousu

Carte postale qui date de la fin du mois d'Avril, lors de mes vacances au bord du Verdon. La découverte, un matin frais mais lumineux, du délicieux village d'Esparron-sur-Verdon. 

Je connaissais ce village grâce à son lac. Plus petit que celui de Sainte Croix, mais paisible et agréable. Je ne connaissais pas le village perché, en embouchure du Verdon, qui domine la vallée. 

Il n'y avait personne ce matin là. Le village n'était que pour nous, le lac aussi. J'imagine que la saison estivale arrivante, cela va davantage grouiller de monde...


Après le billet sur Karim Benzema et ce racisme ordinaire de la part de ceux qui racialisent tout, j'avais envie de quelques images paisibles. Je profite de cette semaine de repos pour aller marcher entre deux averses. J'ai envie de paysages...

J'aurais pu écrire sur la CGT et ses syndicats aux comportements de quasi-délinquant qui ont bloqué la Gare de Lyon à Paris, ou qui ont coupé l'électricité à Saint Nazaire. Mais j'espère que la justice de mon pays s'occupera d'eux. Mais des billets sur mon sentiment devant ces syndicats qui ne défendent ni les salariés, ni l'emploi, j'en ai écrit déjà beaucoup. Cette manière de faire du syndicalisme en agressant, moralement ou physiquement, les gens qui sont en désaccord avec eux. La chemise du DRH d'Air France est un symbole de ces méthodes. D'autres cadres ont eu à subir des harcèlements moraux ou physiques de la part de personnes se prétendant syndicalistes. C'est grave, et ça m'est insupportable. 
Aussi parce que je suis un peu syndicaliste moi aussi maintenant. Mais un syndicalisme responsable et humain. Pas celui qui va couper le courant à des familles ou qui va immobiliser des trains alors que des centre-villes à proximité sont sous les eaux. Pas celui là de syndicalisme. 

Malgré ce que l'on pense de cette "loi travail", l'opinion publique jugera ces comportements de la CGT et de certains autres syndicats extrémistes. Là encore des masques tombent, et les postures se voient, se comprennent. Chacun jugera. 

Si on peut encore juger, et penser ce que l'on veut de ce type de syndicalisme. J'espère que c'est le cas. 

Un billet un peu décousu, mais qui est bien conforme à mon état d'esprit de cette fin de semaine. Un début de mois de Juin pluvieux, froid. Quoique dans le sud, nous sommes épargnés, cf ces images en Seine et Marne ou à Paris. Qui rendent d'autant plus abjecte les actes de délinquance syndicale actuelle.

Un billet de photo et de château. Celui d'Esparron-sur-Verdon. Et son église à coté. Le château ne se visite pas, il parait qu'il appartient à la famille de Castellane. Castellane, c'est aussi un village des Alpes de Haute-Provence que j'avais adoré. Je crois la plus petite sous préfecture de France. Mais c'est un autre village, ne rendons pas ce billet encore plus décousu qu'il n'est.


Un billet de photo de fin de semaine. Qui se termine par un ciel bleu. J'espère que pour les 5 ans de Bébé Faucon ce weekend, il sera bleu aussi, le ciel.

Avec une immense pensée pour la ville de Romorantin, que je connais bien. J'ai vu son premier magistrat à la télévision tout à l'heure, je le connais bien et je l'aime beaucoup. J'ai vu ces images de sa ville (que j'aime profondément) sous les eaux. Je me suis souvenu de ma première année d'élu local, à l'époque dans mon village d'enfance. 2002 m'a fait faire mon village en barque pour aider des gens que j'aime (dont beaucoup ne sont plus là, déjà 14 ans...). Ça marque. 

Pensées amicales aux gens de Romorantin, de Montargis, de Nemours, et de toutes ces villes qui ont subi les inondations ces derniers jours...
(j'étais à Aramon ce matin : là aussi il y a eu lourd...)

mercredi 1 juin 2016

Racisme ordinaire de l'anti-racisme (notre football est foutu)

Comme Nasri hier, Benzema a l’excuse toute trouvé : « le racisme ». Cantona et Debbouze avaient ouvert les vannes du nauséabond, l’attaquant du Real s’y est engouffré sans crainte. La racialisation du débat, des débats, des hommes.
C’est pour moi abject, insupportable, mais c’est l’angle de réflexion de certains.  Plutôt que de ne voir que des joueurs français, avec des qualités et des défauts, et des actes ou de prises de position qui méritent louanges ou critiques, ces gens-là ne voient que des couleurs, que des « races », ce mot que certains voudraient éliminer de la constitution.
Ces gens-là traitent les autres de racisme, alors qu’ils sont le racisme, alors qu’ils font le racisme. Dans le procès d’intention, tout le monde est présumé raciste. Préférer Giroud, Gignac ou Gameiro à Benzema c’est raciste. Forcément. Je ne sais pas si préférer Coman à Ben Arfa est raciste, mais pour certains...

Dans ma liste, j’avais préféré Ben Arfa à Coman. Etais-je raciste « anti renoi » ? Ou avais-je juste une lecture sportive des choses, des hommes ? Et pouvons-nous avoir une lecture humaine du sport, plutôt qu’une lecture raciale et communautariste ?

Je reprends les mots d’un billet de début de semaine de Daniel Riolo, avant ces déclarations abjectes de Karim Benzema. Il parlait notamment des sifflets et de l’attitude de certains vis-à-vis de Giroud. Qui pour moi sont aussi une forme de racisme.

Enfin, il y a Giroud. Encore buteur. Ce qui se passe autour de lui est délirant. Oui les réseaux sociaux indiquaient bien une tendance, mais il faut toujours se méfier du caniveau, du tribunal citoyen. L’épisode de l’hôtel, puis l’accueil au stade, ont toutefois confirmé la tendance, Giroud est bel et bien hué. Par qui ? Pourquoi ? Par les supporters de Benzema et parce qu’il joue à « sa » place. Comme si les casseroles de l’attaquant du Real étaient de sa faute ! C’est complètement fou, mais dans notre pays fracturé, est-ce bien étonnant ?

Que vont dire nos brillants intellectuels, nos pyromanes Cantona-Debbouze ? Ceux qui prônent le communautarisme. Quand Canto dit que toute la France devait être représentée et que l’humoriste ajoute qu’il manque en Bleu des « représentants », ils tiennent bel et bien une comptabilité. Ils veulent sans le dire sans le comprendre, une discrimination positive. Est-on autorisé à penser que les sifflets à l’égard de Giroud sont quelque part le fruit de ceux qui pensent comme Canto-Debbouze ? Une question Monsieur Debbouze : Giroud paye-t-il la situation sociale en France ?
 
Avec ses propos, Debbouze valide l’idée de Cantona selon laquelle Deschamps serait raciste. Il faut être sacrément bigleux pour penser ça en regardant les Bleus. A moins que seule une communauté intéresse Debbouze. J’en ai bien peur. Et Adil Rami au fait ? Non, quand même pas. Pardon, j’ai mal entendu : « Il ne fait pas assez… » Mais on va pousser jusqu’où la connerie ? Malheureusement, certains poussent chaque jour plus !

 
En 1998, des ahuris ont ouvert la voie du communautarisme dans le foot avec le slogan « black, blanc, beur ». Un vaste pipo. On a commencé à regarder d’où venaient les gens. Avant d’être français, ils avaient une origine, une couleur. Ont-ils seulement vraiment regardé de près ces Bleus de 98 ? Assurément non, sinon ils auraient relevé la supercherie. Et je ne m’abaisserai pas à jouer au comptable ici. Les inventeurs du « black, blanc, beur », comme aujourd’hui Canto-Debbouze, fracturent le pays et filent un sacré coup de main au FN.
 
Ces mêmes « penseurs » vont peut-être encore défendre Serge Aurier. Certes, toute la lumière n’est pas encore faite sur l’événement. Mais à l’épisode Périscope s’ajoute au minimum une nouvelle affaire « louche ». Et puisqu’il aurait déjà dû se faire virer en février, je peux sans mal à nouveau attendre du PSG une sanction de ce type. Faudra-t-il à nouveau entendre qu’Aurier est jeune ? Qu’il a juste eu un comportement en phase avec ses codes, « ses » codes ? Les suiveurs de la pensée Canto-Debbouze vont continuer à le juger en fonction de ce qu’il est, d’où il vient ? C’est possible.

Aujourd’hui, tous les sujets basculent immédiatement en rubrique société, racisme. Les procès en « fascisme » sont menés tambours battant sur les réseaux sociaux et dans les médias. On n’oppose pas seulement en fonction de sa couleur, mais aussi et de plus en plus en fonction de son groupe social. Une exception culturelle française.

Je pense que grâce à ces « anti-racistes » qui racialisent tout débat, et donc grâce à Karim Benzema et ses soutiens actifs et nauséabonds, l’Euro est foutu. Je pensais qu’une certaine fraîcheur dans cette liste, avec des Kanté, Gignac, Coman, Payet, aurait pu apporter un petit truc. Un soutien populaire. Mais il ne peut pas y en avoir dans cette France fracturée. Où il faut se positionner, où il faut être d’un camp et pas d’un autre.
Ceux qui ne voient dans l’autre que couleur, origine ou religion nous imposent cette vision. Ceux sont eux les racistes, ceux sont eux qui divisent la France, mais ils préfèrent accuser le « beauf blanc qui préfère Giroud à Benzema ».

Quand le président de l’Assemblée Nationale reste quelqu’un qui avait fait une campagne électorale ordurière sur « la candidate de la race blanche », on peut en effet se dire que notre pays est foutu. Qu’on a beau se considérer davantage République et Charly que Booba et Anelka, plus fraternel que quenelle, et préférer voir en les hommes des hommes que des couleurs ou des religions, on a perdu. Notre pays est foutu. Les vrais racistes sont en train de gagner. C’est dommage.


Mais quelque part ça clarifie les choses. Même si ça fracture un peu plus, sans doute définitivement, notre société et notre République qui n’a jamais été aussi peu apaisée qu’aujourd’hui.  

dimanche 29 mai 2016

Bébé 2 n'aura pas fêté sa maman ce matin...

Je vais reprendre presque mot pour mot le billet que j'avais écrit l'an passé. Bébé Faucon était radieux quand ce matin il a fait son cadeau à sa maman sa fête. Cadeau qu'il avait fait à l'école. Il était fier…

Par contre, Bébé2 ne lui a pas fait de cadeaux. Car la crèche de mon village a décidé l'an passé d'abolir la fête des pères et la fête des mères pour la remplacer par "une fête des parents", qui "colle mieux avec le projet pédagogique" de la structure.
L'an dernier, j'avais écrit ça. Je n'enlève rien de ce que j'avais écrit. C’était pour la fête des pères, que mon deuxième bébé ne m’aura pas souhaité…

Bébé Faucon, jeune enfant de première année de maternelle, m'a fait son cadeau ce matin. Deux jours après sa première fête des écoles, où il était un magnifique petit loup qui a ému son papa.
 
Bébé2 n'a pas pu me faire un cadeau par contre. A la crèche de mon village, les parents ont reçu un courrier que je trouve assez délirant, avant la fête des mères. Globalement, il nous était expliqué, sous couvert d'explications fumeuses pédagopsychologiques, que ne serait fêté qu'une seule fête de parents à présent. Plus de fête des papas ou des mamans, mais une seule fête "des parents".
Je voulais savoir ce qu'il y avait derrière ce galimatia de pédagogie infantile. Je me suis occupé pendant 6 ans de petite enfance, et je sais que des fois derrière la novlangue qui prétend définir un "projet pédagogique pour le bébé" se cache des choses plus terre à terre.
Comme par exemple la volonté dans certains établissements de "ne pas vexer les familles homoparentales". Ah...
 
Je n'ai jamais été opposé au principe du mariage homosexuel (même si j'aurais préféré un autre terme). Ma position n'a pas évolué, malgré la campagne que j'ai trouvé assez détestable de pro-mariages, qui insultaient tous ceux qui ne pensaient pas comme eux. De même que ma position sur l'adoption des enfants par des couples homosexuels n'a pas évolué. J'étais réticent, je le suis toujours... (ma position est celle qu'avait Alain Juppé à l'époque, elle me semblait équilibrée. Il a changé, pas moi).
Par contre, je me souviens d'un des arguments des pro-mariages homosexuels. "On ouvre des droits supplémentaires à certains, sans rien enlever aux autres". Sur le fond ce n'était pas faux. Aujourd'hui, je constate que pour quelques familles où il y a deux papas ou deux mamans, certains établissements veulent supprimer la fête des pères ou la fête des mères. Cela me dérange, aussi parce que je suis attaché aux traditions. Qui n'enlèvent et n'agressent personne, sauf si on veut se sentir choqué toute les cinq minutes.
En tous cas, je n'aime pas du tout cette société égalitaire qui gomme toutes les différences, où on ne veut plus parler de boudin à Roubaix pour ne pas choquer une religion, ou de papa ou de maman pour ne pas choquer des associations intégristes.
 
Il n'empêche. Je suis triste pour mon bébé 2 qui n'a pas pu fêter son papa, comme moi je le fais toujours depuis que je suis né (j'espère le faire longtemps). Comme son grand frère qui était heureux de me faire son cadeau ce matin.
Et j'aime vraiment ces deux petits pieds qui sont le premier cadeau de crèche de bébé Faucon, mon premier cadeau de fête des pères. C'était avant que cette tradition soit supprimée à la crèche. La société ne progresse pas...

Je reviens à cette année. J’étais triste pour Bébé2, qui voyait son grand frère heureux comme tout, et qui me regardait avec mon bouquet de fleurs, ne comprenant pas pourquoi lui il n’avait pas de cadeau à offrir à sa maman. Il avait presque la larme à l’œil.
Je lui avais tendu un petit paquet avec un cadeau dedans pour qu’il le donne à sa maman. Mais j’avais de la peine pour lui.

Et une colère réelle pour la crèche de mon village, qui au final rend triste les enfants. L’an passé, le papa que j’étais était triste, parce que traditions et tout ça. Cette année, je suis triste pour mon bébé, qui loupe un joli moment. A « cause » d’un pseudo projet pédagogique. Ou d’autre chose.


Je suis surpris et choqué que les élus de mon village acceptent ce genre de choses. Mais après c’est un autre débat, plus personnel. 
Qui n’atténue pas la tristesse que j’ai pour mon bébé, et c’est le point important de ce billet… 

vendredi 27 mai 2016

Doudou Pizza

J'avais adoré ce camion pizza à Gréoux-les-Bains
Billet de rien. 
J'aurais eu envie d'écrire un billet sur les commentaires abjects d'Eric Cantona, et sur ce racisme ordinaire sous couvert d'un pseudo anti-racisme. Mais j'écrirai sur ce sujet une autre fois. J'ai trop souvent écrit sur ces pseudos anti-racistes qui racialisent tout, et sont pour moi plus nocifs que ceux qu'ils prétendent combattre. 

J'aurais eu envie d'écrire mais je n'écris pas. Je n'écris plus.

Par contre j'ai commandé des pizzas en bas de chez moi. Il faut que j'aille les chercher.

Et sinon j'avais adoré Éric Cantona. Mais ca c'était avant.

mardi 24 mai 2016

75% de remise en liberté...

Sa justice en est un, de problème...
Même sous contrôle judiciaire, choquant que 3 des 4 salopards (ou présumés salopards, précaution de langage tout ça) soit remis en liberté. 

Et il paraît que certains hurlaient contre l'état d'urgence et une "police violente" tout ça..:

Moi ce qui me choque c'est qu'on brule une voiture de notre police républicaine devant les caméras. Et qu'on "soit remis en liberté".

Je crois que tout est en train d'être foutu... Même si ça va mieux il paraît...

En tous cas pour l'extrême gauche tout va bien. Mettre le feu à une voiture de policiers, c'est encore "toléré". Ils ont déjà mis Nantes ou Rennes à feu et à sang sans être inquiétés, donc...

Prochaine étape c'est quoi ? 

lundi 23 mai 2016

C'est vraiment bien des écologistes qui gagnent les élections ?

Une simple question ce soir, devant mes chaines d'informations qui relatent les élections autrichiennes où les écologistes ont gagné d'un cheveux l'élection présidentielle devant l'extrême droite. C'est vraiment mieux, des écologistes qui gagnent les élections ? Vraiment mieux que l'extrême droite ?
Ce soir, je me pose la question. Sans avoir forcément une réponse.

Si je translate vers la France, je me demande ce que je ferais si j'avais un choix à faire entre Cécile Duflot et Marine Le Pen. La première n'a pas chômé en terme d'outrance et de positions détestables durant ces 5 ans. 
Aujourd'hui un soutien affiché à ceux qui bloquent les raffineries. Hier une sympathie vis à vis de cette extrême gauche qui passait des "nuits debout" en piétinant un endroit symbolique de mémoire pour les victimes du terrorisme islamiste. Et avant hier, une instrumentalisation sans scrupule de la mort d'un de ces militants. 

Je suis cohérent dans ma question. Je pense qu'aujourd'hui les écologistes sont les alliés objectifs des activistes de Notre-Dame-des-Landes, et des voyous qui cassent tout à Nantes, Rennes, Toulouse ou Paris. Et je pense qu'aujourd'hui, les dangers principaux pour la République sont ces islam radical et cette extrême gauche violente.

Si demain j'avais un choix à faire entre Le Pen ou Duflot ? Pour moi ceux sont les mêmes. Je ne voterai pas. Soit blanc, soit j'irai faire autre chose : j'ai des enfants qui m'offrent du bon temps. Mais je penserai que pour le républicain que je suis, ça serait une défaite, et quelque chose qui me ferait mal.

Comme cela m'aurait fait mal ce soir si symboliquement mon iPhone m'avait annoncé que l'extrême droite avait triomphé en Autriche. J'aurais eu mal.
Mais je ne me sens pas si mieux que ça en me disant que ceux sont les alliés objectifs de l'extrême gauche qui ont gagné...

dimanche 22 mai 2016

Forez estival et pensées républicaines à un gendarme mort en service

Soleil estival dans le Forez. Hier j'ai pris des coups de soleil.
Billet de pas grand chose. Avec une pensée pour le gendarme d'Orange qui est mort hier en service. Je connais cette gendarmerie, pour avoir des proches qui y travaillent ou y ont travaillé. Je partage leur peine.

Et j'ai d'autant plus de degout pour ces personnes minables et misérables qui inusultent nos forces de l'ordre républicaine. Je pense à la CGT, qui est maintenant un syndicat abject. Ces affiches contre la police ont été indignes. Je pense à ces associations qui se sont montées contre la police, et à l'extrême gauche qui est avec l'islam extrémiste notre autre grand danger pour notre République à mon avis...


Sinon le Forez va bien. Et les vaches sont de sorties 
Et le fait de moins bloguer me rend mauvais dans les titres. Mais tant pis, j'écris ce que je ressens, comme je le ressens... Même si ça fait un titre laid.