jeudi 18 novembre 2021

En attendant le résultat du test antigénique

Semaine dure. Mais couleurs jolies. Limite de harcèlement au boulot. Aujourd’hui fièvre et toux pénible. Ma pharmacienne m’a dit « viens on va faire un test ». Double vacciné et avec symptôme c’est gratuit. 
Les 15 minuta j’ai pris des photos.


C’est joli Roquemaure. 

Mon 5ème test reste négatif. Demain je donne un cours en fac, j’ai pas de voix. Plus de peps.




mercredi 17 novembre 2021

Couleurs de l’automne


Photo prise ce soir. Sortie du boulot. 

Cette semaine au boulot est délirante. Je pense que tout finira mal. Mais je tiens le coup. D’autres collègues moins.

Je suis choqué de l’atisatisfaction du gouvernement sur le pouvoir d’achat (tiens ? Je paie encore la taxe d’habitation qui devait être supprimée…). Et sur la gestion du Covid. Nous avons enterré hier la maman d’un ami proche. 

Profitons de l’automne. Ce soir j’ai fait un cadeau à mes enfants : les skins Naruto sur Fortnite. Ça leur fera plaisir. Ils sont ma priorité. J’ai de la chance de les avoir.

dimanche 14 novembre 2021

Je n'aime pas les dimanches soirs (et les mails envoyés avant les ponts)

Nicolas a tort de dire que les blogs sont morts. J'aurais produit deux textes ce dimanche. Dont celui là que j'ai sur le cœur.
Je n'aime pas les dimanches soirs. J'écris ce mail en regardant le Grand Prix (à 18 heures, heures de l'apéritif). D'habitude, je zappe entre les matchs de football et les chaînes informations. Là, Falconette, fan de Formule 1, a confisqué la télécommande.

Je n'aime pas les dimanches soirs. Je commence à avoir un vrai problème avec le travail. J'en discuterai demain avec un médecin car il est anormal de ne pas être bien à partir du dimanche 15 heures...

Cette fois c'est particulier. Nous avions le pont du 11 novembre. Mercredi 10 Novembre, j'étais au téléphone pour des raisons syndicales jusqu'à 19 heures passées, après une journée bien remplie. Etant en télétravail, j'avais l'ordinateur ouvert. 
J'étais chez mes beaux parents, j'ai servi l'apéritif. Et vers 20 heures, je vois un mail envoyé par mon adjointe de département, qui me met directement en cause et me demande une réponse quasi dans l'urgence sur ma manière de gérer les priorités de mon groupe. Mon N+1 étant à l'hôpital, à moi de produire la réponse. 

Je suis des formations managers. J'écoute beaucoup les conseils des gens plus agés. Mon N+1, qui a de l'expérience, m'a dit "n'envoie jamais ni une mauvaise nouvelle, ni un mail qui peut être mal interprété un vendredi aprés-midi". Avant un pont de 4 jours, à fortiori.
Un vendredi avant mes vacances, j'ai su qu'une de mes collaboratrice ne serait pas avancé. J'ai pris sur moi de lui dire le lundi matin, pendant mes vacances. Elle était triste, mais m'a remercié d'avoir pris sur mes vacances pour annoncer une mauvaise nouvelle. 
Un chef n'est pas là que nous dire que tout va bien.

J'ai pris ce mail comme une agression. J'ai préparé mille réponses. J'en enverrai une demain matin, à 8 heure pile. Bien préparée.


Il y a quelques temps, un lundi soir de Pâques, je suis allé sur mes mails pro. Et à un mail envoyée par ma chef de département (N+2), j'ai répondu au lance flamme. J'avoue : j'avais commencé l'apéritif. Cela m'a valu convocation et explication. Mais le lendemain, sa première question "est ce que ça va", car ce genre de mail est un appel de détresse aussi. 
J'y suis allé, disant que je serai accompagnée. Elle avait peur que ça soit par un syndicat, je lui ai dit que non, je suis délégué syndical donc le syndicat c'est moi, mais que mon N+1 serait présent. Que j'étais désolé de la forme, mais que j'assumais le fond.

J'ai eu depuis consigne de ne pas envoyer de mail hors horaire de travail. Bah, j'ai préparé l'envoi du mail demain matin à 8 heures. Avec une copie à mon syndicat.



J'ai mis dans ce mail deux photos prises hier soir. Le Forez est beau. Je suis en télétravail demain. Je vois un médecin le soir. On verra. Peut être je serai en arrêt quelques temps. 
Car en fait, j'en ai vraiment, vraiment marre...

Idées scandaleuses et inhumaines #covid19

Je suis affligé par la proposition autrichienne de confiner chez eux les non-vaccinés. De la même manière, je trouvais scandaleux la volonté du gouvernement français de criminaliser les malades du Covid en renforçant les contrôles et les interdictions. 

Je trouve que nous devenons fou. Sans allez jusqu'aux outrances d'un Zemmour ou autre, est il normal d'avoir autant d'idées de privation de liberté sur le Covid, et de laisser les délinquants ou les terroristes potentiels tranquilles, au non de la liberté ? 
Nous avons passé des vagues de terrorisme. Jamais des idées aussi liberticides n'ont été acceptés ou énoncés.

Cela me rappelle, quand j'étais petit, les idées de salopards qui voulaient regrouper dans des hopitaux spécialisés (des prisons) les malades du Sida. 

Pendant ce temps, je n'ai entendu aucune fois le mot "télétravail" qui fait peur à des patrons et feraient gagner du temps et du pouvoir d'achat aux salariés dans la bouche du candidat Macron. Qui se fout de notre gueule.
Gabriel Attal disait hier que rien n'était exclu ? Et bien qu'ils reconfinent tout le pays ! Ca nous fera des vacances, et demain je n'aurais pas à aller à mon bureau voir des directions qui m'ont pourri mon pont du 11 novembre. 

(je suis content que le conseil constitutionnel ait censuré le fait que les directeurs d'établissement puissent connaitre la situation vaccinale des élèves. Un de mes rares billets. Il reste des garde fous...)

mercredi 10 novembre 2021

Vierge de nuit

J’aime cette photo. Prise à l’instant. Dans le Forez. 

« Éclaire le chemin, et prends moi par là lin, avé Maria… » chantait Aznavour

-1° dans le Forez 


mardi 9 novembre 2021

Plaidoyer pour le télétravail

Si j’étais Emmanuel Macron ce soir, une des premières positions que je prendrai serait de faire un plaidoyer pour le télétravail. Encourager (voire plus) les entreprises, sur les métiers qui le peuvent,  à privilégier le télétravail. Qui a fait ses preuves.

A titre personnel, j’ai été choqué de la position du ministre du travail qui, le 30 aout, a mis fin à l’incitation au télétravail. Mettant en avant qu’il y avait deux Covid. Celui inacceptable des plaisirs et loisirs, restaurants cinéma et boites de nuit. Celui assumé et accepté du travail, de l’open-space, du métro.

 

Aujourd’hui, des entreprises dont le métier est totalement télétravaillable (ingénierie, service intellectuel, etc…) ont, du jour au lendemain, supprimer le télétravail. Par « principe ». Après un an et demi d’une nouvelle manière de travailler, qui a des inconvénients pour le salarié, mais aussi beaucoup d’avantage, on revient en arrière. Par « principe ».

J’ai suivi une formation de « management à distance ». Je suis loin d’être parfait, mais je n’ai pas eu de problème de gérer des équipes à distance. Cela fonctionne sur la confiance et la responsabilisation. Si par « principe » certains directeurs ou managers refusent le télétravail, sont-ils des bons directeurs ou managers ?

Je n’ai pas à les juger, et je pense à deux entreprises dont le propriétaire refuse « par principe » le télétravail, au grand dam de ses collaborateurs. Bah, il paye, il choisit…

 

Mais le Ministre Mme Borne a finalement lâché face à des patrons qui, par « principe », sont opposés au télétravail. C’est dommage.

 

A titre personnel (répétition), j’ai apprécié le télétravail. Nous avons négocié, dans le cadre des accord Qualité Vie au Travail, un jour de TT par semaine en 2019. Nous espérons monter à minimum à deux par semaines, j’apprécierai 3 par semaines.

Je suis au bureau aujourd’hui et je fais une visio avec deux sites. Je pourrais le faire de chez moi. Je préfère. Même si à un moment j’ai eu un « mélange ». Quand entre le bureau et la chambre à coucher il n’y a que les chiottes et la salle de bain, ça fait qu’on échange des mails à 22 heures… Et après l’apéritif et la fatigue, on peut envoyer des mails regrettables…

 

Ensuite, puisque c’est dans l’air du temps, parlons écologie… Les images du périphériques parisiens vide, ça fait du bien à la nature. Prendre sa voiture pour aller faire une visio à son bureau alors qu’on peut la faire des chez soi, c’est pas très Cop 21 ou 26…

Et puis le pouvoir d’achat… Vu le prix des carburants, et vu que les salaires n’augmentent pas, il serait de bon ton d’inciter fortement au télétravail.

 

Je n’ai pas de rêve idiot, et je n’attends rien de positif de l’allocution d’Emmanuel Macron.

 

J’espère que LR (le candidat ou la candidate) mettra l’accent sur ce mode de travail. Je parlerai de LR un peu plus tard, j’ai bien des choses à dire. Mais c’est un autre sujet.

dimanche 31 octobre 2021

Fin d'octobre

4 billets en septembre, celui là sera mon 8eme d'octobre... Un adage dit que quand on n'a rien à dire (et à écrire), il vaut mieux fermer sa gueule. Et son clavier. Ca évite d'écrire des conneries (style un mail un dimanche soir à 21h30 à sa N+2 après n'avoir pas bu que de la Vittel).

Non, là j'ai quatre enfants à la maison. Une copine de bébé 2 et le meilleur pote de grand bébé. Ils regardent un film là haut (enfin j'espère...). Moi je vais me mettre entre Tokyo Revelation, un très bon animé, et Clermont - Marseille. 

On a fait les cons pour Haloween. J'étais joli en boucher masqué. J'aurais aimé me déguiser en pourriture communiste. Hier soir on a regardé avec les enfants "la cité de la peur". Ils étaient contents :) 
(mais avoir la Carioca dans la tête c'est difficile).

Rien de plus à dire. Sinon souhaiter le meilleur à Nicolas. Et à tout le monde. J'ai des proches malades et je m'attends toutes les cinq minutes à une mauvaise nouvelle.

Ah si ! J'ai découvert vendredi que ce lundi était férié. J'en étais ravi. Un jour de moins avec ce boulot, c'est un jour de gagné.
Et y a 5 ans, on se préparait à une victoire d'Alain Juppé. Et on voyait Hollande éliminé au premier tour. Le scénario a été un peu différent...

mercredi 27 octobre 2021

Billet d'une journée presque comme les autres...

 Un billet que j'ai commencé à écrire hier, que je publie aujourd'hui. 


Je parlais d'une journée presque comme les autres. Horrible. Présentiel. Un mal de ventre qui ne passe dans la journée. Une fatigue totale. Un besoin d’aller à la salle de sport mais aucune volonté. Les beaux parents sont à la maison. Ma première petite amie, et meilleure amie, vient normalement ce weekend me présenter son nouveau chérie (enfin, ce qui est prévu avec ma femme… j’ai de la chance que les deux personnes que j’aime le plus d’apprécient beaucoup).

Des réunions qui s’enchainent avec une ambiance de merde et ce masque qu’on garde. Presqu’un souhait que le taux d’incidence dépasse bien les 50 et qu’un nouveau variant vienne foutre le bordel en cette fin d’année. Beaucoup m’ont confié avoir cette mauvaise pensée. Je ne suis pas meilleur que les autres.

 

Je rajouterai que le soir, mon docteur est venu manger. Bébé 2 fièvre et vomissement de partout. Nous avons profité pour boire un Côte Roti, donc ça ne va pas si mal que ça. D'ailleurs, quand je pense à mon ami Nicolas, je m'en veux de me sentir pas top. 


Des informations qui me laissent sans voix. Par exemple, les participants aux meetings politiques seront exemptés de pass sanitaire. N’allez pas voir Bigard mais Mélenchon si vous n’êtes pas vacciné. Et allez-vous prosterner à la gloire de Macron et de ses apôtres. Le pouvoir a des explications, mais je les trouve tellement connes…

Je me demande si le pass sanitaire est exigé quand Eric Zemour se produit, puisqu’il n’est pas candidat…

 

A côté de ça, un syndicat se réjouit du licenciement d’une personne. Le syndicaliste que je suis en a mal au ventre. Mais je suis un républicain, comme Georges Kuzmanovic qui a toute ma sympathie. Et certainement pas un ennemi de la république. Il serait adversaire politique, mais pas ennemi. Solidaire est par contre un syndicat qui défend des valeurs humaines que je combats viscéralement. Se réjouir du licenciement d’un homme à cause de ses opinions… Décidément, la boite du député à la botte de Macron fait mal au cœur et à la république.

 

Sur le reste, j'ai eu le bonheur hier de voir que lundi était jour férié (je ne comprenais pas pourquoi mon chef ne me validait pas ma demande de télétravail). J'apprends à l'instant que finalement ma première petite amie viendrait que la semaine prochaine. Ce qui m'arrange sans m'arranger : avec bébé malade et moi pas trop en forme, et un mariage le lendemain (alors que je n'ai envie de voir personne...), je ne suis pas sur que...


Un billet d'une journée comme les autres. Mais que j'ai envoyé le lendemain

samedi 23 octobre 2021

Désuniversaliser les aides et les contraintes

Je suis comme tous les français. Je subis les hausses du prix des carburants et de l'énergie. Mais voilà, l'universalisation a pris un coup lorsque les allocations familiales ont été sabrés pour une partie de la population.
Je gagne plus de 2000 €, je subis les contraintes. Et le chèque de 100 €, c'est les impôts que je paie (sur le revenus, je suis un de ces minorités qui le paie), c'est moi qui le financerait.

Simplement le symbole. Aujourd'hui, la fiscalité devient insupportable. 2000 € c'est pas un salaire fantastique. Mais voilà, la limite. Tu travailles ? Tu paieras la cantine des enfants plein pot, tes allocations familiales seront réduites, les taxes locales ne te seront pas supprimés. Et tu travailleras, toujours.

Le retour sur site est pour moi un enfer. J'ai eu une semaine horrible au boulot. Une N+2 qui compare l'anniversaire de mon fils et de ma femme à "c'est comme si tu avais piscine". Des managers qui te regardent de haut, et qui gagnent bien plus que 2000 € par mois.

Mais toi, à part te rendre malade au travail, pour un salaire qui n'est pas scandaleux mais pas délirant non plus, tu n'as droit à rien. Si, à te taire. Tu fais partie de cette minorité pas assez riche pour finir les mois tranquilles, mais trop riche pour être aider. Et électoralement finalement tu pèses peu. 
Et comme tu bosses, tu n'as pas le temps d'aller bruler des voitures. 

Je passe une rentrée horrible. Et j'ai fais mon plein ce matin. Rude....

jeudi 21 octobre 2021

Ils vont trop loin #covid19

J'ai été choqué par cette nouvelle : "Vaccin contre le Covid-19 : les députés votent la levée du secret médical dans les écoles". Les limites sont en train d'être explosés. Pendant la période terroriste nous n'étions pas allés aussi loin.

J'ai un couple d'amis qui sont vaccinés, leurs enfants aussi. Mais ils ne veulent pas, et leur grande fille non plus, que leur directeur d'établissement sache si elle ou non vacciné. Elle est sanitairement OK, point barre. 
Cette fille m'avait fait une allusion qui m'avait rougir et que je n'écrirai pas là, mais elle me disait qu'elle me disait qu'elle ne voulait pas que son directeur ou ses professeurs soient au courant de certaines choses. 

Dans mon travail, je n'ai pas le droit de savoir si les gens de mon équipe sont vaccinés. Et je n'ai pas envie de le savoir. Quand nous sommes en arrêt de travail, l'employeur n'a pas à savoir de quoi nous sommes malade (gastro, dépression, grippe...).
Pourquoi ce régime d'exception ?

Ils vont trop loin. Sur couvert de Covid nous avons accepté des choses difficilement acceptables.

Et c'est quelqu'un qui a été un des premiers vaccinés quand j'ai pu le faire, qui n'a pas d'avis sur le pass sanitaire, qui le dit. 
C'est quoi le prochain truc ? 

dimanche 17 octobre 2021

A t'elle aussi dégueulasse... ?

Je parle de ma piscine. Je l'ai laissé mourir depuis début Septembre. Mais cette année, mon Flipr qui me donne Chlore et pH en direct est resté à l'ombre. Eté de merde. Les enfants ont profité, moi pas.



Tout à l'heure, je leur ai conseillé de ne pas aller se baigner. Une blennorragie ou entendre "maman, ça me pique le zizi quand je fais pipi et c'est tout en couleur", c'est pas conseillé.

Là elle est quasiment vide. Dans la semaine je passerai un coup de serpillère, enlèverai les feuilles. Balancerai une bonne dose de Javel. Remplir, hivernage, bâche, et hop.

Prochaine histoire scarification de la pelouse.



Et aussi vote pour mon candidat aux Républicains... Mon mouvement Oser la France donnera sa position en Novembre. J'hésite entre deux votes, mais je veux vraiment que la personne investie gagne. Que Macron et sa bande soit dégagée. 

Je pense que ça sera plus facile d'avoir une piscine propre et un gazon qui se préparera tranquillement cet hiver... (la scarification d'automne est super importante pour un beau gazon)

dimanche 10 octobre 2021

Point d'étape du dimanche soir, d'une semaine d'anniversaire

Je déteste le jour de mon anniversaire. J'en ai déjà parlé, ici et ailleurs. L'estime et l'acception de ce qu'on est un travail de tous les jours. Un jour, j'ai eu un ami qui est devenu mon chef, qui m'a dit que je devais totalement changé. Alors que je travaillais juste à être celui que je suis. 
Ce chef n'est plus mon chef. Il n'est plus mon ami. Si je veux que ma femme change, je change de femme. Je lui ai dit de changer de personnes.

A un certain âge (44 maintenant, j'ai passé la Loire et la Haute-Loire), on commence à se dire qu'on a moins d'avenir que de passé. J'ai une chance immense, d'être entouré d'une famille aimante.
Ce 4 Octobre il pleuvait (alerte rouge). Il faisait froid. Et pourtant, même si je me sentais triste, terriblement seul, je recevais des messages sympas. Merci Facebook, merci aussi ceux qui s'en souviennent.

Mais surtout, je savais que mes enfants étaient ravis de me faire mon anniversaire.


Je comprends le beau livre de Belmondo, que ma femme avait commandé avant sa mort (joli). Elle était allé m'acheter les derniers cadeaux et j'étais sur qu'elle me prendrait le livre de Franz Olivier Giesbert sur Bernard Tapie. Elle m'a acheté un Monkey Shoulder qui est un de mes whisky préféré.
Les enfants ont choisi le jeu PS4 Sword Art Online car ils savent que papa adore (pas encore essayé).

Et je n'ai pas compris, mais le CD de Soprano... Bon, reprise de Gold ? Mes enfants ont connu Gold grâce aux Sopronos (voir la vidéo, c'est génial "laissez nous Kanté, le seul joueur qu'il nous reste..."), et à la très bonne reprise de Soprano d'"un peu plus près des étoiles", qu'on écoute en boucle.
Gold sont passés deux fois à Roquemaure. J'adore. 

La mort de Tapie reste un moment dur. L'entrée du cercueil dans le Vélodrome sur Jump, la sortie de l'église avec le cercueil porté par JPP Borloo et Boli, la ferveur dans Marseille et la sortie de l'église sur We Are the Champions... J'aurais presque autant pleuré que pour Johnny.

A part ça je souhaite à mon ami Nicolas d'aller bien. Moi ça va. Pour l'instant moins mal que j'imaginais... (mais ma N+2 me prépare une semaine...)

mercredi 6 octobre 2021

Point d'étape. Bernard Tapie me manque...

J'étais en télétravail aujourd'hui. Un matin à travailler dans mon mandat syndical. Les PDG d'Orano, d'EDF et l'AG du CEA vienne chez moi à l'invitation de mon député. Les syndicats sont invités.
Mon ami député d'à coté ne viendra pas. Je n'ai pas forcément envie de servir la soupe au député En Marche du coin. Mais nous passerons nos idées, nos propositions. On fera le boulot. 

J'étais en télétravail. Donc le déjeuner dans mon canapé devant les chaines informations. J'ai dit ma peine de la mort de Bernard Tapie, que j'aime. Et j'ai dit une autre de mes cinq idoles, Jean-Pierre Papin.

La sortie du cercueil de Bernard Tapie avec pour le soutenir Borloo, Papin, Boli, ça m'a fini. J'avais une visio, je l'ai reporté. J'étais en larmes. Et je l'assume.
Mes amis de Moscato et de l'IKF me diraient 'tu pleures tu es de gauche'. Ecoutez le témoignage d'Eric Di Méco, qui est une personne avec une sensibilité et une humanité fantastique. 

Mon anniversaire s'est bien passé. Mais c'est dur. 

Eric sera à sa cérémonie à Marseille. J'ai envie d'y aller. Ecoutez Eric Di Meco, c'est une personne gentille, intelligente, bienveillante. Ses larmes m'ont touché. 

dimanche 3 octobre 2021

Octobre commence mal... (adieu Bernard Tapie)


Quand j'étais plus jeune, j'avais dit que mon rêve serait de manger avec cinq personnes. Des idoles. Des gens avec qui j'aurais envie de parler, de discuter.
Ces gens étaient Charles Pasqua, Jacques Chirac, Jean-Pierre Papin, Johnny Hallyday et Bernard Tapie. J'ai eu l'occasion de manger à de nombreuses reprises, et à titre privé, avec le premier. Le troisième, j'aimerais.

J'ai appris pendant que je courrais, en attendant la pluie et mes 44 ans, la mort de Bernard Tapie. 

Je m'y attendais. Mais les larmes ont commencé à couler. Là, je n'ai plus de jambes.

Johnny est mort la veille de l'anniversaire de Falconette. Bernard la veille du mien. Johnny, dans sa grande gentillesse, est mort par contre le jour de l'anniversaire de Bébé 2. Bernard le jour de la fête d'un cousin qui me manque. 

Je suis très triste. Dommage que Marseille joue à l'extérieur. Le Stade Vélodrome lui rendra un hommage immense.

Il restera évidemment des traces d'ombre du personnage. Mais qui n'en n'a pas ? Moi je l'aimais. Il m'a donné, comme à plein, de la fierté et du courage. 

Je t'aime Bernard...

(hier j'ai enterré le parrain de mon meilleur ami... La période est difficile...)

jeudi 30 septembre 2021

Toujours vivant

Je ne blogue plus. Pourtant j’écris beaucoup mais pour d’autres raisons. 

J’aurais pu mettre un coucher de soleil. Je met un verre de whisky chez les beaux parents. Ce soir je suis au Ballantines. 

J’ai eu deux jours de congrès syndical et de relations professionnelles. Une réalité : les relations humaines et l’affection, la bienveillance, ont disparu. 

A titre personnel je tiens le coup mais je vois combien nous sommes inégaux. Autour de moi le nombre de séparations, de burn out, de maladie, c’est fou. 
Et je n’écris pas un billet tranquille. 

Je vais bien, les enfants aussi. Madame aussi. J’ai pleins de choses à dire mais bon… je n’arrive plus à écrire. Sur le moment.