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jeudi 21 septembre 2017

Défilé de vaches

Souvenir d'une rencontre cet été dans mon Forez. Elles voulaient me faire un bisou.
Après, je ne sais pas si symboliquement c'est une idée saine de poster ce billet un jour de défilé de la gauche de la gauche et d'un syndicat aussi peu républicain que la CGT (avant les "défilés" de ce front national de la France Insoumise).

Mais la photo est jolie.

(J'avais aussi rencontré cette sympathique personne...
)


dimanche 27 août 2017

Morceaux de vie et vélo dans le village

Billet de rien, avec quelques morceaux politiques quand même. Même si les vacances sont encore présentes pendant une semaine, deux trois choses me donnent envie de parler.


Si j'avais envie de parler de politique, j'aurais pu revenir sur les propos haineux de la France Insoumise du guide Mélenchon à Marseille. 

Des propos outranciers, faciles, où il était appelé à ne pas attendre les élections et d'aller renverser l'etat avec son 10%. Appeler à "dégager les médias", comme ils ont fait au Venezuela. 
A 600000 voix près, nous avons échappé à la catastrophe. J'ai toujours considéré que cette gauche de la gauche était le risque vrai pour la Republique. Est il pire que le FN ou non n'est pas la question, même si je pense que Mélenchon et ses amis ont dépassé Le Pen père et fille. Ce n'est pas intéressant de savoir si c'est mieux de manger du cyanure ou de l'anthrax. Mais aujourd'hui Mélenchon et Le Pen sont à l'assemblée nationale. Et ça fait froid dans le dos.

En tous cas Melenchon et ses fanatiques ont fait froid dans le dos tout à l'heure.

La droite ensuite. Faudra que j'écrive un billet pour dire tout le mal que je pense de ces militants de droite qui ont trouvé leurs cibles sur les réseaux sociaux : insulter Juppé, Bertrand, Pecresse, et toute une partie de la droite qui veut être intelligente et qui pense que exclure c'est con. 
Fillon et sa bande ont réussi à faire fuir une partie de l'électorat. Je comprends qu'ils soient énervés et en colère : je le suis aussi. Mais je le suis après eux. Eux ils le sont contre le corps électoral. Qui ne leur a pas fait confiance, et ne leur fera pas confiance s'ils continuent à être dans cet état d'esprit de merde.

Les gens qui sont très à droite, ils voteront FN. Les autres, qui représente 95% de l'électorat de droite, n'a pas envie d'être représenté par des gens extrêmes et qui insultent les électeurs. La bande à Fillon a réussi à pousser au pouvoir Macron : ils devraient se faire tout petit, et s'obliger une période de silence. 
Le silence, c'est parfois très constructif, et ça permet d'apprendre, de grandir. Ça permet beaucoup de choses. 

Et à moi ca me ferait du bien. J'ai voté Fillon au premier tour, et je suis extrêmement en colère de cette bande qui après avoir poussé Sarkozy à faire fuir l'électorat centriste, a carrément réussi à faire perdre une élection imperdable. Ces gens peuvent en vouloir aux électeurs. La réciproque est vraie. 
Alors chut. Rassemblons. Et pour rassembler il faut dégager cette droite qui se prétend "vraie droite", mais qui est juste en train de préparer une droite républicaine très "Parti socialiste". Quand on sera à 6% d'électeur, et qu'on aura des 2eme tour FN - FI on aura tout gagné...


Mais à part ça c'est génial de voir mes bébés faire du vélo dans le village d'enfance de la maman. Au milieu du Forez. Une église magnifique. Un ciel forezien délicieux.

Et pas de moustiques...

Un billet un peu politique. Un peu personnel. Un billet de demi-rien. Mais qui au final ne fera pas grand chose d'autre que de me permettre d'écrire. Et c'est déjà pas mal




jeudi 24 août 2017

En marche dans le Forez et un peu en colère

Rassurons nous : l'opportunisme ne m'a pas gagné en début d'année. Toujours pas en cette bientôt fin d'été. En Marche je l'ai toujours été, mais pour aller marcher, de longs kilomètres. Pas pour prétendre à des postes pour ne rien faire, mais pour marcher, simplement. Voir des paysages, faire bosser le cœur et le mollets. Et ne surtout pas prétendre à "faire de la politique autrement", en se montrant pire que ceux qui nous ont précédé. 

Ce billet présente quelques photos de mon premier jour de marche dans le Forez. Il faisait beau. Un nuage menaçait sur la première photo, mais il n'a pas fait grand mal. 

Du village de Falconette je suis parti dans le Nord vers Estivareille. Ce village a été un haut lieu de la résistance dans le guerre 39-45. La vraie de résistance, celle où des grands ont risqué leurs vies pour nos valeurs. 

Pas la résistance de ces quelques clowns qui reviendront dimanche derrière leur grand Ducé Mélenchon, qui souhaitait nous faire entrer dans une alliance bolivarienne avec les enfants de Chavez s'il avait été élu. Pas la résistance de ceux qui vers 2010 avaient décrété un intelligent "No Sarkozy Day" sur le net : il m'avait marqué cette épisode de bêtise collective... La résistance d'aujourd'hui.


Ces beaux paysages me rappellent que ce matin le premier ministre a parlé chez Jean-Jacques Bourdin. C'était moyen. Je ne comprends, par exemple, toujours pas où est une justice qui fait qu'un impôt est injuste, mais pas pour les 20% qui continueront à la payer. Cette histoire de taxe d'habitation est une pure honte, mais qui passe. 80% seront exonérés, et ceux les mêmes 20% de cons qui paient et supportent ce truc qui s'appelle "solidarité nationale" qui continueront à trinquer. Mais ils bosses et ceux sont des nantis : continuons à les essorer.

Reprendre une phrase présidentielle d'aujourd'hui : "les français ne supportent pas les réformes". Ce n'est pas tout à fait vrai. J'aurais dit, si j'avais été président (mais je pourrais l'être dans 5 ans : je suis autant connu aujourd'hui que Macron l'était y a 5 ans), que "les français ne supportent pas les sacrifices inéquitables". 
Je la met en gras cette phrase, et je prends ma casquette syndicale et catégorielle. Quand l’impôt sur le revenu n'est payé que par 40% des foyer fiscaux, c'est que cet impôt est injuste. Quand l'effort national repose sur une petite partie de gens trop riche pour prétendre aux aides, et trop pauvres pour être des nababs pouvant défiscaliser à outrance et partir à l'étranger, c'est que système est injuste et inéquitable. 

On va fermenter la haine des "petites gens" (le peuple de Melenchon), et augmenter le ras le bol de ceux qui se lèvent le matin pour que le branleur qui zone dans sa cage d'escalier puisse aller à la MJC faire de la musique. Je caricature mais globalement je ne suis pas loin. 


Et devant ce vert paysage je prends l'exemple de l'ingénieur de base, au hasard. Après ses études et ses stages rémunérés au lance-pierre (si rémunérés), il va commencer un boulot. 35 h/semaine, mais les RTT c'est mal vu de les prendre. C'est pas du travail physique et à la chaine, mais mentalement c'est éreintant, c'est long, on y passe ses weekends et ses vacances. Si on calcule au taux horaire, le petit con qui zone dans la cage d'escalier à rien foutre (qui profite du boulot du jeune con qui paie ses impôts et va se faire piquer sa plage arrière de Clio) devrait le battre. 

Et à cet ingénieur de base (qui peut être jeune, mais dans sa carrière il continuera à être cette personne qui paie pour les autres), on lui dira "il faut continuer à faire des sacrifices". Il a profité un peu (quand même) des RTT, bien on va lui dire que non, il faudra qu'il bosse plus, pour rien. Mais que son sacrifice profitera à des "petites gens", ceux à qui il permet de ne pas payer la crèche, la cantine ou le centre aéré de leurs enfants, 

Et cet ingénieur de base qui voit un haut fonctionnaire qui n'a jamais eu peur pour son boulot lui dire qu'il faudra qu'il continue à trimer pour "la solidarité nationale", il en a marre. 

J'ai été cet ingénieur de base. Je ne vais mentir à personne, je gagne plus d'argent, et peut être suis je un peu moins de base. Mais en passant devant cette croix, je reste cette même personne. Et j'attends avec dédain mon premier courrier d'impôts locaux. Que je réglerai : je suis solvable. Je ne compte pas mes heures, même en bloguant, même en marchant, beaucoup.

Je me dis que cet ingénieur de base peut en vouloir à la droite républicaine. Fillon on a fini avec lui, même si cela aurait eu été bien que le Canard Enchainé eu sorti son scoop sur Pénélope avant les primaires de la droite. Je continue à penser que cette élection a été volée, et je crains pour la suite des événements.

Ce n'était pas un billet de rien ce soir. Un billet un peu de colère. Avec des photos vertes de promenade. Mais j'avais ça sur le cœur ce soir. Faut jamais garder ce qu'on a sur le coeur.

Les blogs permettent de laisser passer ses coups d'humeur. Je suppose que ce soir c'était un bon moment. Demain, je me remettrai en marche, mais ne mode vacances...



mercredi 23 août 2017

Plier mais ne pas rompre

J'ai trouvé cet arbre très symbolique... sur les hauteurs de mon village forezien de St Hilaire Cusson la Valmitte, ce dernier semblait me transmettre un drôle de message.

Plier oui, sous bien des coups de boutoir, des saloperies, parfois même pire. Mais ne pas rompre. Car ça vaut le coup de tenir. Mes bébés, qui terminent les vacances à fond les ballons, me le démontrent toujours. 

Image simple d'un arbre. Billet de rien qui peut se lire de plusieurs manières. 

dimanche 20 août 2017

Un dimanche soir sur la terre

J'ai adoré cette photo de Galia autour de l'aire de jeu de mon village forezien. Une des premières réalisation du papy de mes bébés en début de ce mandat. Une belle réalisation...
Sinon bien rentrés dans le Gard. Le vent souffle violemment. Le niveau de jeu de l'OM est lamentable et inquiétant, mais j'imagine (ou espère ?) une préparation physique difficile qui laisse des traces. 

Pas d'aurees commentaires de ma part sur Barcelone ou la Finlande. Les avis péremptoires de la vraie droite (qui a décidé sur Twitter de s'en prendre à Juppé, Pecresse et cette partie là) ou de la vraie gauche (qui voient du racisme et de l'islamphobie à chaque respiration) se suffisent à eux mêmes. Et m'offrent de nouvelles occasions de penser que la France a atteint un point d'intolérance et de ras le bol qui va rendre cette rentrée irrespirable. Le pire est à venir.

Alors je reste avec mes souvenirs d'une semaine dans le Forez. C'était bien

vendredi 18 août 2017

Coucher de soleil dans le Forez, et tristesse

L'actualité est sombre. Les polémiques politiciennes, ou bêtement militantes, se rependent dans ces réseaux sociaux qui peuvent être pire que le plus sale des caniveaux.
Prononcer ou éviter de manière consciente les mots "islamistes", ca mérite de se déchirer ? Ça fait l'essentiel des discussions sur Twitter. "Il n'ose pas dire le mot de l'ennemi qui est l'islamisme" contre le très présent "arrêter de faire des amalgames et le jeu de l'extrême droite"

Pendant qu'on se touche la piche de ce combat rhétorique qui rendra en comparaison la rentrée de Hanouna bien pauvre, des gens en vacances se font abattre par des fous de l'islam. Et loin de nous, des chretiens sont genocidés car ils sont chretiens : dans certains endroits, l'amalgame n'est pas la priorité qui pilote l'action...

Alors je profite de mon fin Aout dans le Forez. De mes enfants qui grandissent trop vite, dans un laid. J'essaie modestement de leur apporter certaines choses qui me semblent importantes. A leur âge, c'est plus des symboles, des images, qu'on leur montre. Mais ils grandissent, ils comprennent, et ils aiment leur papa, leur maman, les gens autour de nous, c'est le plus important.

Billet de rien lourd ce soir. Alors je poste des couchers de soleil apaisants. Ça n'éradiquera pas le mal. Mais ca m'apaisera moi. Triste, et en colère aussi. 


jeudi 17 août 2017

Windows XP retrouvé et réflexions rapides

Ou du moins le fond d'ecran. Il est du côté du hameau de Cusson dans le Forez.

Sinon soleil de plomb et ciel délicieux. Le Forez et l'Auvergne sont délicieux.

Et encore sinon je suis évidemment Barcelone. Les catalans sont mes cousins proches, et nos valeurs occidentales touchées par ces salopards c'est toujours une souffrance. Mais j'en marre d'être juste, et de subir. Je pense qu'il faut maintenant contre-attaquer, et affirmer fort nos valeurs, et à les imposer. Elles sont justes. Faut arrêter de louvoyer, de discuter, de chercher à savoir si cela plaira à certaines hautes autorités intelligentes qui regardent mourir des Cabu, des chrétiens et des jeunes en concert en soupirant un "c'est pas bien".

Y a deux jours le débat sur Twitter c'était de savoir entre les USA et ce qu'on a vit depuis trois ans, lequel des racismes et de l'intolérance est le pire. Il y a des matchs qu'il ne faut pas jouer.

Il faut éradiquer ceux qui veulent, par la violence, nous diviser et imposer leurs vues. Les éradiquer. En ce qui me concernent, je suis sensible à ceux qui égorgent mes frères sur les plages de Libye... Et qui à Nice Paris ou ailleurs ont fait saigner au nom de leur dieu. Le mien ne tue pas et appelle à ce que les hommes s'aiment.

A part ça j'aime mon Forez. Je me sens loin de toute cette laideur. 

mercredi 16 août 2017

Billet de chez les beaux parents

Un billet de rien. De vacances. L'arrivée vendredi de mes bébés chez les beaux parents dans le Forez. Ils étaient ravis.

Les apéritifs là haut, à Saint Hilaire, sont souvent au whisky. Même s'il fait plutôt beau et chaud dans le Forez. Les beaux parents m'achètent toujours du Chivas et c'est gentil car j'aime bien.
Et Galia vient essayer de récupérer les restes à table. Mignon petit chien.

Sinon c'est vraiment un billet de rien. J'ai pleins de billets "cartes postales" qui viendront plus tard. Promenades en Bourgogne. Des villes et villages comme je les aime. 

On parlera politique plus tard. Ce débat que j'ai vu pour savoir si c'est plus grave la montée du racisme blanc ou du niveau déjà insupportablement haut d'un islamiste qui tue est délirant. Mais les concours de savoir quel est celui qui pue le plus n'est jamais vraiment pertinent. La société n'en sort jamais grandie.

Alors je poste des photos d'églises que l'on voit de la salle à manger, et c'est mieux et bien.

samedi 12 août 2017

Carte postale de mon village forézien

La maison d'enfance de Falconette, dans le village de Saint Hilaire Cusson la Valmitte. Quelques jours de vacances dans le Forez. 

Il fait plus frais que dans le Gard. Mais même si la pluie nous a accueilli hier, il fait beau. Pour marcher, c'est fantastique.

La nature reste belle. Et les vaches sont toujours la. 

Sinon en parlant de marche, je suis très fier de mes 28 km ce matin. Ma montre Fitbit m'a dit que j'avais explosé mon nombre de pas quotidien. 38000 à 19 heures, au moment où j'écris le billet.

Et le nombre de calories dépensés m'offre le luxe d'un bon apéritif ce soir ! C'est bien les vacances.



jeudi 19 mai 2016

Forez Instagram, quelques photos 42

Quelques photos du Forez de début avril en Instagram. Parce que j'aime bien. Et parce que j'y retourne quelques jours en cette fin de semaine. Et que ça m'évite de parler de l'actualité, et de cet état d'urgence qui est reconduit (à une époque où on brûle une voiture de flic sans difficulté apparente... heureusement que nous sommes en état d'urgence, sinon...).

Deux couleurs principales : du vert et du bleu. Et un peu de couleur pierre en arrivant dans les villages.
Et des paysages différents à ceux que j'ai rencontré en Haute Provence. Mais tellement apaisants. 


J'imagine qu'en cette fin de semaine, je retrouverai des vaches.



Un billet qui ne sert à rien (un autre). Mais j'aime les produire ceux là de billets. Les autres et les "profonds", je n'y arrive plus...




dimanche 17 avril 2016

Croix des portes d'Auvergne en Instagram

J'ai toujours été fasciné par les croix. Qui symbolisent tant de choses. 

J'ai souvent écrit sur ce que je ressentais quand je croisais, au milieu de rien, une chapelle, une croix, un témoignage de ceux qui étaient ici avant nous, et nous ont laissé cette terre, et cet héritage chrétien que je revendique (et que j'aime).


J'avais envie d'un billet simple de fin de dimanche. Avec les quelques croix rencontrée en début de printemps dans le Forez, aux portes de l'Auvergne. 
Sur des chemins, dans des hameaux. 

Témoignages de notre histoire commune, comme autant de petits cailloux qui nous ramènent vers nos racines. Les miennes en tous cas. 

jeudi 31 mars 2016

dimanche 22 novembre 2015

Croix & calvaires d'automne

Il paraît que la neige est arrivée dans le Forez. Une semaine après l'horreur, le blanc et le froid arrivent...

Il y a 10 jours, je profitais d'un été indien dans le Forez. Et découvrait ou redécouvrait les croix qui jalonnent la campagne forézienne. Témoignages de l'histoire des hommes qui ont peuplé ces terres. Témoignages de notre histoire, de nos racines humaines et chrétiennes, qu'aucun terroriste ou islamiste radical ne pourra effacer.



Sinon il fait vraiment froid aujourd'hui...





lundi 9 novembre 2015

Panoramique bovin

J'aurais tant de choses à dire sur la politique, et sur cette focalisation de la classe politique (essentiellement le PS) sur le FN

Mais je passe un week-end prolongé délicieux dans un Forez où l'été indien se prolonge. Et mes copines les vaches continuent à profiter du beau temps
Je me suis bien amusé avec le panoramique de l'iPhone. 

Sinon les vaches sont très présentes en ce milieu de Novembre. Heureusement que la COP21 va sauver le monde et remette un peu de l'ordre dans le climat...




dimanche 12 juillet 2015

Milles vaches (et une bière pour la dent)

J'avais découvert un pré des milles vaches, dans le Forez. Plein. Elles sont belles les vaches. Belles, et nombreuses.

A part ça, j'ignore si la bière est conseillée le lendemain d'une opération de sagesse, mais si par hasard je dois passer la nuit aux Urgences, merci d'accuser la maison Grimbergen ce soir. Je mangerai sans doute liquide encore ce soir, mais j'aurais bu une bonne bière fraîche et apaisante. 

Mais bon, la plaie ne saigne plus. Et à part un visage vilainement asymétrique, c'est supportable... 

Pour en revenir aux vaches, j'adore ces bêtes quand même...

samedi 4 juillet 2015

Saint Bonnet le Château plein soleil #42 #Forez

Chef-lieu du canton forézien que je fréquente, Saint Bonnet le Châteaux pourrait faire parti de mes villages préférés. Hier, il était 10 heures quand je suis arrivé au pied de ce village. J'ai préféré le voir d'en bas, même si les pierres à l'intérieur sont toujours aussi jolies.


Il y a un plan d'eau en bas du village. Plein de caravanes autour. C'est la fête du village. Ici, ils appellent ça "la vogue". Chez moi, on appelle ça "la fête votive". 
En fait, c'est une fête foraine. Mais on aime bien discuter sur les mots, sur nos mots. Mes enfants s'amuseront entre le vocabulaire de leur maman stéphanoise et leur papa provençal...
D'ailleurs, on parle de mots. Bébé Faucon s'est fait remarquer par sa maîtresse. Un jour, il y avait activité peinture sur des pignes de pin. Dans le Forez, on appelle des "babets". Je trouve le mot plus joli que "pigne de pin". 
Mais des babets, à l'école maternelle de Roquemaure, personne ne sait ce que c'est. Pourtant, les barbecues allumés avec les babets sont pour moi les meilleurs...

Enfin, tout ça pour dire que Saint Bonnet le Château est un village magnifique. En ce moment en fête. Et qu'il fait déjà bien chaud...