Si vous venez à Bagnols/Cèze, venez y du Nord.
Ne vous attendez pas à trouver un personnel politique qualifié. Aujourd'hui, entre son député En Marche "je montre ma trombine de partout et je suis stagiaire à l'assemblée nationale où j'encense mon Président" et son opposante choisie par le Midi-Libre (une insoumise qui ferait faire des cauchemars à Marianne...), il n'y a plus rien dans ce territoire. Qui sera offert au Front national, mais tant pis, il fallait réfléchir avant et faire preuve de davantage d'humilité et de décence. Les petits arrangements entre amis, surtout quand c'est gros, ça se voit.
Si finalement cette dangereuse de la France Insoumise ou le FN prend Bagnols, tant pis. Peut être que cela plus difficile pour les référents d'En Marche de cumuler des postes par des jeux de taquins, mais ils l'auront cherché.
Non, venez y plutôt par le Nord et arrêtez vous voir cette fresque superbe, qui fait chaud au coeur. Les Chevalier du Zodiaque, c'est toujours un bonheur de les voir.
Il y a un grapheur fantastique à Bagnols/Cèze, qui fait des fresques urbaines merveilleuses. Autres choses que ces merdes de tags que le parti socialiste et Jack Lang appelait "de l'art" pour se mettre dans la poche une jeunesse qui le leur aura bien rendu.
S'il fait une fresque "Dragon Ball", je lui dirai merci.
Mais sinon c'est dramatiquement politiquement ce qui se passe chez moi. Je sais qu'ailleurs c'est ce même vide qui est en train de grandir et grossir. En Marche aura vraiment été la pire imposture de la Veme République, et j'ai vraiment peur qu'il ait raison François Hollande. La prochaine fois sera le pire...
vendredi 12 avril 2019
mercredi 10 avril 2019
Je fais semblant
Décidément deux billets très Bruel... "Je fais semblant" n'est pas une de ses chansons les plus connues. Mais c'est une de celle qui me touche le plus.
Il a chanté cette chanson au concert de Marseille. J'ai été trés ému.
Ce matin, un directeur m'a demandé comment j'allais, parce que clairement les gens voient que ça ne va pas bien. J'essaie justement de "faire semblant", mais je n'y arrive pas quand "le masque tombe" (Johnny cette chanson).
Je disais "mais à la dernière réunion j'ai été brillant non ?" (je ne suis pas humble), mais je suis vu répondre que la scène, c'était pas pareil que les coulisses. Et que dans les coulisses, je ne fais plus semblant.
"Je fais semblant", j'ai l'impression que c'est une chanson que j'aurais aimé écrire. J'aurais été moins dans le brillant sur le final, mais avoir une femme qui m'aime et deux enfants formidables, je n'aurais jamais imaginé ou espéré ça au début.
C'est une belle chanson.
La photo de classe
Le sourire rose d'une fille qui me dépasse
Le petit air malin qui suit mes grimaces
La vie qui trace
Les souvenirs qui n'ont plus assez de place
Et les grands airs qui me font boire la tasse
Le temps qui passe
Je Fais Semblant
Je joue au grand, je m'invente des papas
Des grands, des forts, à qui j'ressemble pas
Mais qui me donnent la force de croire en moi
Je Fais Semblant
Je suis tremblant à l'idée qu'on ne m'aime pas
Je serre maman qui me prend dans ses bras
Je Fais Semblant que rien ne m'arrivera
Ne m'arrivera
Premiers frissons
On apprend la guitare sous l'édredon
Sa mère n'veut pas de moi, c'est un peu con
Les nuits s'en vont
Et ma première histoire monte dans l'avion
Mes larmes se mêlent au Brésil de Milton
Première chanson
Je Fais Semblant
Je joue au mec à qui on ne la fait pas
Je suis absent, elle ne reviendra pas
J'embrasse des lèvres que je connais pas
Je Fais Semblant
Je prends ma voix sans vie à bout de bras
J'enfonce les portes où l'on veut bien de moi
Ca fait sourire, on dit qu'on m'rappellera
On m'rappelle pas
Et puis un jour
Des mains se tendent pour m'offrir de l'amour
Des voix s'unissent pour guider mes détours
Le monde autour
Ceux qui m'aiment, les autres qui comptent les jours
Ceux qui me font espérer en "toujours"
Trop d'monde autour
Je Fais Semblant
Je joue à croire que je mérite tout ça
Je suis tremblant, ces gens sont là pour moi
Je leur raconte ma vie et ils me voient
Je fais plus semblant
Je rends sa vie à ma voix, à bout de bras
Celle que j'attends doit se cacher par là
Elle doit bien se cacher, je n'la vois pas
Je n'la vois pas
Le premier jour
Je me relève si on m'pousse dans la cour
Je suis Thierry la Fronde, je gagne toujours
Et le temps court...
Ce matin, un directeur m'a demandé comment j'allais, parce que clairement les gens voient que ça ne va pas bien. J'essaie justement de "faire semblant", mais je n'y arrive pas quand "le masque tombe" (Johnny cette chanson).
Je disais "mais à la dernière réunion j'ai été brillant non ?" (je ne suis pas humble), mais je suis vu répondre que la scène, c'était pas pareil que les coulisses. Et que dans les coulisses, je ne fais plus semblant.
"Je fais semblant", j'ai l'impression que c'est une chanson que j'aurais aimé écrire. J'aurais été moins dans le brillant sur le final, mais avoir une femme qui m'aime et deux enfants formidables, je n'aurais jamais imaginé ou espéré ça au début.
C'est une belle chanson.
La photo de classe
Le sourire rose d'une fille qui me dépasse
Le petit air malin qui suit mes grimaces
La vie qui trace
Les souvenirs qui n'ont plus assez de place
Et les grands airs qui me font boire la tasse
Le temps qui passe
Je Fais Semblant
Je joue au grand, je m'invente des papas
Des grands, des forts, à qui j'ressemble pas
Mais qui me donnent la force de croire en moi
Je Fais Semblant
Je suis tremblant à l'idée qu'on ne m'aime pas
Je serre maman qui me prend dans ses bras
Je Fais Semblant que rien ne m'arrivera
Ne m'arrivera
Premiers frissons
On apprend la guitare sous l'édredon
Sa mère n'veut pas de moi, c'est un peu con
Les nuits s'en vont
Et ma première histoire monte dans l'avion
Mes larmes se mêlent au Brésil de Milton
Première chanson
Je Fais Semblant
Je joue au mec à qui on ne la fait pas
Je suis absent, elle ne reviendra pas
J'embrasse des lèvres que je connais pas
Je Fais Semblant
Je prends ma voix sans vie à bout de bras
J'enfonce les portes où l'on veut bien de moi
Ca fait sourire, on dit qu'on m'rappellera
On m'rappelle pas
Et puis un jour
Des mains se tendent pour m'offrir de l'amour
Des voix s'unissent pour guider mes détours
Le monde autour
Ceux qui m'aiment, les autres qui comptent les jours
Ceux qui me font espérer en "toujours"
Trop d'monde autour
Je Fais Semblant
Je joue à croire que je mérite tout ça
Je suis tremblant, ces gens sont là pour moi
Je leur raconte ma vie et ils me voient
Je fais plus semblant
Je rends sa vie à ma voix, à bout de bras
Celle que j'attends doit se cacher par là
Elle doit bien se cacher, je n'la vois pas
Je n'la vois pas
Le premier jour
Je me relève si on m'pousse dans la cour
Je suis Thierry la Fronde, je gagne toujours
Et le temps court...
dimanche 7 avril 2019
Arrête de sourire
Nous sommes allés voir le concert de Patrick Bruel au Dôme de Marseille mercredi dernier. Un des plus beaux concerts qu'on ait vu, et qui m'a mis des tessons enflammés dans le coeur. Mais ce n'est pas l'objet du billet.
Un jour je parlerai de mes voyages scolaires en 3eme où "Alors Regarde" et "Dors" étaient à fond à l'arrière du bus. C'était y a longtemps.
Je n'ai pas écouté le dernier album avant ce concert. J'ai donc découvert des chansons. Dont une que j'ai en tête, et qui me donnerait envie de pleurer à chaque fois que je suis tout seul. Ce qui est assez fréquent car je suis dans une période d'évitement.
"Arrête de sourire", c'est le titre de la chanson. J'ai trouvé une vidéo sur Youtube. Mais je mettrai les paroles plus bas.
En ce moment, je passe une période qu'on pourrait qualifier de "difficile". Pudiquement, on pourrait que "je passe une mauvaise passe", ce qui est laid.
Quand j'ai entendu cette chanson, tout s'est arrêté pour moi. Et les larmes ont coulé.
J'ai pensé à une personne, qui habite pas loin de ce dôme de Marseille. Y a plus de 20 ans, elle a été ma première petite amie. Patrick Bruel sortait son troisième album.
Aujourd'hui, c'est ma meilleure amie. C'est une fille extraordinaire, que j'aimerai tellement connaitre mieux.
Elle a une gueule fantastique, mais la vie lui a envoyé des merdes qui font qu'elle pourrait gueuler. Mais non, elle continue à rigoler, et elle me tient... Oui, je l'écris, elle me tient en vie, en tous cas elle me pousse à essayer d'avancer, même si aujourd'hui le 4x4 est totalement embourbé.
Et en plus Falconette adore cette fille, cette "Captain Marvel" qui a déjà sauvé mon monde.
Elle est belle cette chanson. Mais l'entendre me fait mal. Parce que moi j'arrête de sourire, et c'est dur de refaire partir la machine...
Arrête de sourire
Quand tu souris on voit à quel point t'es con
À quel point tu crois que l'humain est bon
Et que tu oublies qu'la vie parfois c'est long
Arrête de sourire
On a tous des secrets cachés en nous
Des rêves inassouvis qui nous rendent fous
Des regrets qui reviennent nous salir les joues
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Tu dis qu'tu aimes la vie, tu lui dis même merci
Quand elle t'envoie ses merdes, tu dis que c'est pour le mieux
Tu crois qu'on est ici sur cette belle terre jolie
Parce qu'on se doit d'apprendre à être heureux
Arrête de sourire
Quand j'te vois tu m'donnes presque envie d'y croire
Presque envie d'essayer de voir dans le noir
Moi qui m'nourris rarement d'amour et d'espoir
Arrête de sourire
Moi j'suis celui qui doute de tout malgré lui
Qui s'nettoie de ses péchés le soir sous la pluie
Celui qui s'noie seul dans une mer de déni
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Tu dis qu'tu aimes la vie, tu lui dis même merci
Quand elle t'envoie ses merdes, tu dis que c'est pour le mieux
Tu crois qu'on est ici sur cette belle terre jolie
Parce qu'on se doit d'apprendre à être heureux
Arrête de sourire
Parce que j'crois qu'tu fais de moi un homme jaloux
J'sais pas comment tu fais pour rester debout
Alors que moi ce soir je marche à genoux
Arrête de sourire
Avec tes grands yeux qui mordent dans la vie
Moi aussi j'veux regarder dans l'infini
Sans avoir l'impression de vivre à crédit
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Tu dis qu'tu aimes la vie, tu lui dis même merci
Quand elle t'envoie ses merdes, tu dis que c'est pour le mieux
Tu crois qu'on est ici sur cette belle terre jolie
Parce qu'on se doit d'apprendre à être heureux
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Oui, continue à rigoler
Oui, continue à rigoler!
Un jour je parlerai de mes voyages scolaires en 3eme où "Alors Regarde" et "Dors" étaient à fond à l'arrière du bus. C'était y a longtemps.
Je n'ai pas écouté le dernier album avant ce concert. J'ai donc découvert des chansons. Dont une que j'ai en tête, et qui me donnerait envie de pleurer à chaque fois que je suis tout seul. Ce qui est assez fréquent car je suis dans une période d'évitement.
"Arrête de sourire", c'est le titre de la chanson. J'ai trouvé une vidéo sur Youtube. Mais je mettrai les paroles plus bas.
En ce moment, je passe une période qu'on pourrait qualifier de "difficile". Pudiquement, on pourrait que "je passe une mauvaise passe", ce qui est laid.
Quand j'ai entendu cette chanson, tout s'est arrêté pour moi. Et les larmes ont coulé.
J'ai pensé à une personne, qui habite pas loin de ce dôme de Marseille. Y a plus de 20 ans, elle a été ma première petite amie. Patrick Bruel sortait son troisième album.
Aujourd'hui, c'est ma meilleure amie. C'est une fille extraordinaire, que j'aimerai tellement connaitre mieux.
Elle a une gueule fantastique, mais la vie lui a envoyé des merdes qui font qu'elle pourrait gueuler. Mais non, elle continue à rigoler, et elle me tient... Oui, je l'écris, elle me tient en vie, en tous cas elle me pousse à essayer d'avancer, même si aujourd'hui le 4x4 est totalement embourbé.
Et en plus Falconette adore cette fille, cette "Captain Marvel" qui a déjà sauvé mon monde.
Elle est belle cette chanson. Mais l'entendre me fait mal. Parce que moi j'arrête de sourire, et c'est dur de refaire partir la machine...
Arrête de sourire
Quand tu souris on voit à quel point t'es con
À quel point tu crois que l'humain est bon
Et que tu oublies qu'la vie parfois c'est long
Arrête de sourire
On a tous des secrets cachés en nous
Des rêves inassouvis qui nous rendent fous
Des regrets qui reviennent nous salir les joues
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Tu dis qu'tu aimes la vie, tu lui dis même merci
Quand elle t'envoie ses merdes, tu dis que c'est pour le mieux
Tu crois qu'on est ici sur cette belle terre jolie
Parce qu'on se doit d'apprendre à être heureux
Arrête de sourire
Quand j'te vois tu m'donnes presque envie d'y croire
Presque envie d'essayer de voir dans le noir
Moi qui m'nourris rarement d'amour et d'espoir
Arrête de sourire
Moi j'suis celui qui doute de tout malgré lui
Qui s'nettoie de ses péchés le soir sous la pluie
Celui qui s'noie seul dans une mer de déni
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Tu dis qu'tu aimes la vie, tu lui dis même merci
Quand elle t'envoie ses merdes, tu dis que c'est pour le mieux
Tu crois qu'on est ici sur cette belle terre jolie
Parce qu'on se doit d'apprendre à être heureux
Arrête de sourire
Parce que j'crois qu'tu fais de moi un homme jaloux
J'sais pas comment tu fais pour rester debout
Alors que moi ce soir je marche à genoux
Arrête de sourire
Avec tes grands yeux qui mordent dans la vie
Moi aussi j'veux regarder dans l'infini
Sans avoir l'impression de vivre à crédit
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Tu dis qu'tu aimes la vie, tu lui dis même merci
Quand elle t'envoie ses merdes, tu dis que c'est pour le mieux
Tu crois qu'on est ici sur cette belle terre jolie
Parce qu'on se doit d'apprendre à être heureux
T'as pas choisi ta mère, t'as pas choisi ton père
T'as même pas pu choisir la gueule qu'on t'a donné
T'as pas choisi ton nom et même si tu tournes en rond
Tu continues à rigoler
Oui, continue à rigoler
Oui, continue à rigoler!
dimanche 31 mars 2019
La meuf est ministre
LaREM n’a honte de rien. LREM est bien le pire de notre république.
La nomination comme ministre et porte parole de Sylbeth N’Diaye (« la meuf is dead » en parlant de la mort de l’immense Simone Veil), c’est une insulte.
Et la preuve que Macron s’en fout. Ils ont le pouvoir, ils font ce qu’ils veulent. Et s’en foutent de tout ce qui est moral.
D’ailleurs tiens ? Il paraît que la bande a Macron qui lutte contre les fake news crée des fake news quand ça leur chante, par exemple sur l’affaire Benalla. Macron Poutine Trump ou milice d’extrême droite, même combat ?
Jamais la politique n’est tombée aussi bas. Ce mandat Macron ne pourra pas finir. Sinon peut être Hollande aura eu raison et les prochains au pouvoir seront le FN.
jeudi 28 mars 2019
1% et un peu de politique
Je ne parle pas du score que devrait faire une gauche de la gauche style France Insoumise pour le bien de notre République. Mais de la batterie de mon iPhone 7 hier soir à la fin du (merveilleux) concert de Patrick Bruel à Marseille. C’était magnifique.
Sinon champion ces opportunistes d’En Marche. Je vois avec effarement le barouf sur Grivzux qui lance sa campagne. De bobo parisien parvenu. Je me souviens de son insulte vis à vis de Wauquiez et de l’électeur de droite, des ploucs qui fument et roulent en diesel.
Après une première journée à Disneyland, j’étais aussi à 1%. C’était marrant.
Sinon champion ces opportunistes d’En Marche. Je vois avec effarement le barouf sur Grivzux qui lance sa campagne. De bobo parisien parvenu. Je me souviens de son insulte vis à vis de Wauquiez et de l’électeur de droite, des ploucs qui fument et roulent en diesel.
J’aimerais que cette belle ville de Paris aient mieux que ces tristes Hidalgo (qui grâce à la médiocrité LREM a toutes ses chances, ce qui est fascinant), ou cette prétention orgueilleuse incarnée par Grivaux ou le mathématicien Villani.
J’aimerais bien que la droite républicaine se retrouve un Jacques Chirac...
mardi 26 mars 2019
Ces stagiaires qui ont pris le pouvoir
J’aime beaucoup la une du Point, qui met en avant ce que je pense de ce pouvoir depuis cette élection de 2017 que je considère moyennement juste. Des stagiaires. Des parvenus, des opportunistes qui ont profité d’un concours de circonstance terrifiant. Des stagiaires qui nous gouvernent...
Des stagiaires. Qui ont piqué le pouvoir, où plutôt l'ont ramassé suite à un concours de circonstances mortifère.
Hollande a été plombé par une bande de frondeurs qui aujourd’hui ne représentent plus rien (quelle déchéance Hamon & co...). La droite a mis en place une primaire en élisant le plus « à droite », qui était moins vertueux que ce qu’il prétendait. Dommage que Pénélope et les costumes soient sorties après les primaires. Quand au FN, forcément c’est le diable.
Donc une bande d’opportunistes et d’arrivistes se sont mis derrière Dieu Macron. Et aujourd’hui, nous voyons l’incompétence et l’indigence de ces gens.
Autheuil a écrit un billet qui met en avant la médiocrité à l’Assemblée Nationale. Mon député, sous influence CFDT et sans aucune compétence ni courage, est un joli exemple de ce vide qui est maintenant « député ». A la télé, on voit des Claire Opetit insulter ceux qui critiquent Dieu Macron, et des Aurore Berger ou autres députés anonymes et interchangeables dont on oublie le nom déblatérer les éléments de langages.
Et on voit des jeunes aux dents longues qui donnent des leçons. Castaner est un bel exemple d’incompétence grave. Griveaux ou Majhoubi, qui vont réussir l’exploit d’offrir une nouvelle victoire à Hidalgo à Paris, sont d’autres exemples.
Je pense que ce pouvoir ne finira pas. Je suis légaliste. Mais je pense que 2017 était une blague.
Le problème est que la bande a Macron offre deux opposants principaux. le Pen, ou pire Melenchon et la France Insoumise (Le deuxième est pire que le premier). Et malheureusement ce pouvoir offrira le pouvoir à un de ces deux. Ça fait peur.
Au secours...
vendredi 22 mars 2019
Mes deux chapelles à Montfaucon
Un billet de rien mais qui m’est cher. Il y a quelques années, à l’époque où ce blog est né (en réponse à celui de mon ancienne merveilleuse amie Elaurys, ou Eurydice), il s’appelait « le Mont du Faucon ». Un écho à mon village, celui où je suis né.
Un village qui a changé. Qui n’a plus de médecin. Qui a une municipalité qui, comme chez moi, a ruiné le village en peu d’année. Mais qui reste mon village.
Il y a deux chapelles dans mon village. Dans des endroits secrets. Pas sûr des chemins de balades. La première, celle de Saint Martin, est à côté de mon école d’enfance. Elle était en ruine. Elle s’est vue reconstruite. C’est une superbe chapelle.
La deuxième c’est un de mes coins préférés. Saint Maur. Au dessus du Rhône. C’est ici que mon papy m’amenait marcher. C’est ici que j’ai pris des photos de mon mariage avec Falconette.
C’est ici aussi que j’ai amené souvent ma première petite amie, qui est aujourd’hui ma meilleure amie.
C’est le coin de la chanson « Somewhere only we know »
C’est mon village, malgré tout. Sans doute ici où je serai enterré quand arrivera la fin de ma vie.
C’est mon village, malgré tout. Sans doute ici où je serai enterré quand arrivera la fin de ma vie.
jeudi 21 mars 2019
mercredi 20 mars 2019
dimanche 17 mars 2019
Réflexions sous un cerisier
Tous les ans mon cerisier centenaire se colore. C’est beau. Aujourd’hui c’était carnaval à Roquemaure (ce village garde des côtes sympas...). Grand bébé Faucon a voulu se déguiser comme l’aurait rêvé son papa.
Pleins de choses le gonflent. Dans ma vie mais c’est personnel. Et de toutes manières plus personnes ni ne lit ni ne commente.
Pleins de choses le gonflent. Dans ma vie mais c’est personnel. Et de toutes manières plus personnes ni ne lit ni ne commente.
J’ai eu un accrochage sur Twitter avec des membres de la secte LAREM, qui ne supportent pas l’humour quand on touche à Dieu Macron. LAREM c’est terrifiant : cette confiscation de la République par cette bande d’opportuniste est effrayante. Et voir que la France Insoumise de tarés qui ressortirait volontiers la guillotine si tu émets une réserve sur leurs positions et leurs idées (parfois insupportable) est une autre frayeur.
J’aimais bien l’alternance PS - UMP. Des raisonnables, pas toujours efficaces. Mais au moins...
vendredi 15 mars 2019
jeudi 14 mars 2019
L’homme blanc en a un peu marre d’être une cible
Ce tweet a été commis par le maire de Grenoble, un progressiste (du camp du bien, la gauche)
Imaginons un maire de droite (donc forcément nauséabond) s’exprimer que sa ville accélère la transition pour passer de la cité de l’homme noir paresseux en métro à une ville faite pour tous.
Imaginons un maire de droite (donc forcément nauséabond) s’exprimer que sa ville accélère la transition pour passer de la cité de l’homme noir paresseux en métro à une ville faite pour tous.
Je suis un mâle blanc de 41 ans. J’ai une voiture, obligatoire pour moi pour aller travailler et m’occuper de mes gosses. Et je paie une part énorme d’impôt.
Et j’en ai marre de ce racisme et ce sexisme contre l’homme blanc. Et d’être visé parce que j’ai une voiture.
J’espère que ce type d’élu racialiste, qui drague des électorats qui se considèrent plus comme une minorité que comme appartenant à une république, sera dégagé aux prochaines élections. Grenoble mérite mieux que ça.
dimanche 10 mars 2019
Plante des arbres
Weekend d’élagage d’oliviers et d’arbres hauts (j’ai plus peur de monter sur mon échelle de trois mètres). Et après avoir arraché des arbres morts à la force de mes bras, j’en plante d’autres.
A part ça rien. On a un nouvel arbre dans le jardin. Et je n’arrive plus à bloguer. Pas le temps. Pas le cœur non plus.
Mais j’aime m’occuper du jardin...
A part ça rien. On a un nouvel arbre dans le jardin. Et je n’arrive plus à bloguer. Pas le temps. Pas le cœur non plus.
Mais j’aime m’occuper du jardin...
samedi 2 mars 2019
Se perdre dans l'écrit et dans les chemins
J'ai beaucoup aimé le billet "côtoyer les étoiles et toucher la lune" de la très délicateuse blogueuse Pêche églantine. Nous sommes très loin du blog politique, bistrot ou collègue que je fréquente régulièrement. Mais plus une blogueuse "santé fitness", mais surtout quelque part une blogueuse assez intime et personnelle, qui écrit des billets qui arrivent à me toucher mon petit cœur entouré d'une barrière de pierre de Tavel.
Le billet que j'ai mis en lien commence par ces mots : "J’écris cet article sur un coup de tête, prise par l’amour des mots, le besoin de garder une trace de ce moment magique et l’envie folle de partager les sensations étranges que je ressens. Il est 5 heure du matin et je suis actuellement en état de surexcitation intense, sans explication..."
Chacun ressentira ce qu'il voudra, ce qu'il pourra aussi. Mais ce truc "je commence à écrire quelque chose dont j'ignore où il m'amènera", j'aime vraiment. Cela m'a toujours touché. Cela me rappelle des billets de blog que j'ai écrit lors des belles périodes de la blogosphère, où j'alternais photos et écriture. Sans forcément savoir où j'irais. Sans autre but juste d'écrire, écrire, écrire.
C'est ce que je fais ce matin à 7 heures, avec le café et quelques briochettes à coté de ma souris.
Partir sans savoir où on arrive.
Quand je pars marcher, c'est un peu ce que je recherche. J'ai pris ma fin de semaine pour aller marcher (et accessoirement faire mes oliviers et couper mes arbres, c'est des douleurs dans les omoplates c'est terrible).
Ces photos ont été prises hier matin. Je suis parti marcher à 8h30, pour 20 km de marche entre les villages gardois de Saint Laurent des Arbres, Saint Victor la Coste, le célèbre Lirac. Tavel est un peu plus loin. En plus des pierres, il y a des galets à Tavel...
Cet endroit de marche est parfait pour "se perdre". Dans des endroits où le réseau téléphonique ne marche pas. En 2014, je me suis fait une entorse de la cheville au milieu de rien, dans un endroit qui s'appelle joliment "l'homme mort". C'est à la fois flippant, douloureux, mais quelque part jouissif.
Hier, quand je savais que pour retrouver ma voiture, il me faudrait parcourir encore au minimum 10 km, et que je sais être au milieu de rien, c'est génial.
Hier, j'ai marché plus de 20 km. Petit froid au matin. Mais après 11 heures, transpiration, chaleur. Et odeur d'une nature qui se réveille...
Ecrire sans savoir où l'on va s'arrêter. C'est difficile à explique cette adrénaline qui prend quand on commence à écrire un texte. J'ai essayé de l'expliquer chez moi, aussi pour me défendre d'écrits qui sont tombés dans des yeux pour lesquels ils n'étaient pas destinés. Difficile d'expliquer et de décrire l'endorphine qui émane de l'écriture. Difficile à contrôle aussi, malheureusement.
Là, j'écris un billet. Qui sera lu, ou pas. Des fois on écrit pas pour être lu, mais juste pour écrire. Parce que ça fait du bien. Parce que c'est chouette.
Je parle souvent de "l'ancienne blogosphère". C'était avant, avant le tweet de 240 caractères où le seul but est de clasher, parfois de faire mal. On écrivait des billets pas forcément "de fond" (soyons modestes nous n'avons rien révolutionné et nous n'étions pas Voltaire et Diderot), mais des billets où on se laissait le temps d'écrire. Où on prenait le temps d'écrire.
Ces derniers étaient écrits avec un clavier. Parfois avec un Word avant. Cela permet de se poser davantage qu'avec une tablette ou un iPhone, où forcément la capture d'écran accompagnée d'un message lapidaire.
Aujourd'hui, on écrit moins.
Ecrire pour soi, sans forcément rechercher à être lu. C'est surprenant mais c'est vrai. Avant, nous avions le "journal intime". En MathSup et Mathspé, je passais une heure le soir à écrire avec le stylo plume. J'ai, caché dans mon tiroir du bas à côté de mon bureau, plusieurs cahiers A4 rempli de textes. Pas forcément bien écrit.
J'ai montré un de ces cahiers y a quelques temps à ma première petite amie, qui aujourd'hui est une de mes meilleures amies. Car elle a été une des "stars" de ces cahiers. Qui ne seront jamais lu. Ni relu par moi. Mais je les garderai.
Un jour peut être quelqu'un les trouvera. Un de mes enfants y tombera dessus. Peut être qu'ils voudront les lire. Peut être qu'ils tomberont sur mon blog, où j'ai des billets écrits en 2014. Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin étaient à la tête du pays. Eurydice (ou Eulaurys) était encore présente dans mon cœur, puisqu'elle a été à l'origine de la création de mon blog.
Que j'avais ouvert chez Falconette quand elle habitait en Picardie. Je m'en souviens comme si c'était hier. Mais c'était y a 15 ans...
Depuis de l'eau a coulé sous le pont de Montfaucon. Et deux enfants sont arrivés. J'ignore où est Eurydice Eulauris. Elle ne doit plus me lire. Si elle me lit, elle saura que je vais bien et que ça me ferait un jour d'y reparler, même de manière épistolaire.
Ecrire... J'ai retrouvé cet été l'envie d'écrire. Beaucoup de mails. Avec le danger que ça comporte. Ecrire un mail sans savoir où on va aller. Ecrire un mail sans s'arrêter. Ecrire un mail non plus avec ses doigts mais avec ses tripes...
J'ai beaucoup écrit. Trop. Mais j'ai pu écrire des mots qui m'étaient important. Ils ont failli me coûter cher ces mails. Très cher.
Surtout ces mails qui sont longs, qu'on ne relit pas, et qu'on envoie quand même. Avec le risque qu'ils soient mal interprétés, mal compris. Sans compter que les écrits restent. C'est ça qui est beau avec l'écrit. Mais c'est ça qui est aussi dangereux.
Ecrire et marcher. Ecrire sans savoir où on va s'arrêter. Comme cette marche qui nous amène on ne sait où.
Ca fait longtemps que je n'ai pas écrit un billet comme ça. Qui n'a même pas vocation à être lu. Mais qui fait du bien à écrire.
Le billet que j'ai mis en lien commence par ces mots : "J’écris cet article sur un coup de tête, prise par l’amour des mots, le besoin de garder une trace de ce moment magique et l’envie folle de partager les sensations étranges que je ressens. Il est 5 heure du matin et je suis actuellement en état de surexcitation intense, sans explication..."
Chacun ressentira ce qu'il voudra, ce qu'il pourra aussi. Mais ce truc "je commence à écrire quelque chose dont j'ignore où il m'amènera", j'aime vraiment. Cela m'a toujours touché. Cela me rappelle des billets de blog que j'ai écrit lors des belles périodes de la blogosphère, où j'alternais photos et écriture. Sans forcément savoir où j'irais. Sans autre but juste d'écrire, écrire, écrire.
C'est ce que je fais ce matin à 7 heures, avec le café et quelques briochettes à coté de ma souris.
Partir sans savoir où on arrive.
Quand je pars marcher, c'est un peu ce que je recherche. J'ai pris ma fin de semaine pour aller marcher (et accessoirement faire mes oliviers et couper mes arbres, c'est des douleurs dans les omoplates c'est terrible).
Ces photos ont été prises hier matin. Je suis parti marcher à 8h30, pour 20 km de marche entre les villages gardois de Saint Laurent des Arbres, Saint Victor la Coste, le célèbre Lirac. Tavel est un peu plus loin. En plus des pierres, il y a des galets à Tavel...
Cet endroit de marche est parfait pour "se perdre". Dans des endroits où le réseau téléphonique ne marche pas. En 2014, je me suis fait une entorse de la cheville au milieu de rien, dans un endroit qui s'appelle joliment "l'homme mort". C'est à la fois flippant, douloureux, mais quelque part jouissif.
Hier, quand je savais que pour retrouver ma voiture, il me faudrait parcourir encore au minimum 10 km, et que je sais être au milieu de rien, c'est génial.
Hier, j'ai marché plus de 20 km. Petit froid au matin. Mais après 11 heures, transpiration, chaleur. Et odeur d'une nature qui se réveille...
Ecrire sans savoir où l'on va s'arrêter. C'est difficile à explique cette adrénaline qui prend quand on commence à écrire un texte. J'ai essayé de l'expliquer chez moi, aussi pour me défendre d'écrits qui sont tombés dans des yeux pour lesquels ils n'étaient pas destinés. Difficile d'expliquer et de décrire l'endorphine qui émane de l'écriture. Difficile à contrôle aussi, malheureusement.
Là, j'écris un billet. Qui sera lu, ou pas. Des fois on écrit pas pour être lu, mais juste pour écrire. Parce que ça fait du bien. Parce que c'est chouette.
Je parle souvent de "l'ancienne blogosphère". C'était avant, avant le tweet de 240 caractères où le seul but est de clasher, parfois de faire mal. On écrivait des billets pas forcément "de fond" (soyons modestes nous n'avons rien révolutionné et nous n'étions pas Voltaire et Diderot), mais des billets où on se laissait le temps d'écrire. Où on prenait le temps d'écrire.
Ces derniers étaient écrits avec un clavier. Parfois avec un Word avant. Cela permet de se poser davantage qu'avec une tablette ou un iPhone, où forcément la capture d'écran accompagnée d'un message lapidaire.
Aujourd'hui, on écrit moins.
Ecrire pour soi, sans forcément rechercher à être lu. C'est surprenant mais c'est vrai. Avant, nous avions le "journal intime". En MathSup et Mathspé, je passais une heure le soir à écrire avec le stylo plume. J'ai, caché dans mon tiroir du bas à côté de mon bureau, plusieurs cahiers A4 rempli de textes. Pas forcément bien écrit.
J'ai montré un de ces cahiers y a quelques temps à ma première petite amie, qui aujourd'hui est une de mes meilleures amies. Car elle a été une des "stars" de ces cahiers. Qui ne seront jamais lu. Ni relu par moi. Mais je les garderai.
Un jour peut être quelqu'un les trouvera. Un de mes enfants y tombera dessus. Peut être qu'ils voudront les lire. Peut être qu'ils tomberont sur mon blog, où j'ai des billets écrits en 2014. Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin étaient à la tête du pays. Eurydice (ou Eulaurys) était encore présente dans mon cœur, puisqu'elle a été à l'origine de la création de mon blog.
Que j'avais ouvert chez Falconette quand elle habitait en Picardie. Je m'en souviens comme si c'était hier. Mais c'était y a 15 ans...
Depuis de l'eau a coulé sous le pont de Montfaucon. Et deux enfants sont arrivés. J'ignore où est Eurydice Eulauris. Elle ne doit plus me lire. Si elle me lit, elle saura que je vais bien et que ça me ferait un jour d'y reparler, même de manière épistolaire.
Ecrire... J'ai retrouvé cet été l'envie d'écrire. Beaucoup de mails. Avec le danger que ça comporte. Ecrire un mail sans savoir où on va aller. Ecrire un mail sans s'arrêter. Ecrire un mail non plus avec ses doigts mais avec ses tripes...
J'ai beaucoup écrit. Trop. Mais j'ai pu écrire des mots qui m'étaient important. Ils ont failli me coûter cher ces mails. Très cher.
Surtout ces mails qui sont longs, qu'on ne relit pas, et qu'on envoie quand même. Avec le risque qu'ils soient mal interprétés, mal compris. Sans compter que les écrits restent. C'est ça qui est beau avec l'écrit. Mais c'est ça qui est aussi dangereux.
Ecrire et marcher. Ecrire sans savoir où on va s'arrêter. Comme cette marche qui nous amène on ne sait où.
Ca fait longtemps que je n'ai pas écrit un billet comme ça. Qui n'a même pas vocation à être lu. Mais qui fait du bien à écrire.
vendredi 1 mars 2019
J'ai grandi (photo de moi)
Une photo de moi prise ce matin lors d'une très jolie marche au milieu de rien, entre Saint Laurent des Arbres, Saint Victor la Coste et Tavel.
Oui ça affine ma silhouette la marche. Mais j'ai maigri, je suis passé dessous les 84 kg. En IMC je suis dans le vert.
Il fait beau. J'ai pris deux jours pour finir la semaine avec de la marche (beaucoup) et de la taille d'arbres et d'olivier. C'est agréable.
Oui ça affine ma silhouette la marche. Mais j'ai maigri, je suis passé dessous les 84 kg. En IMC je suis dans le vert.
Il fait beau. J'ai pris deux jours pour finir la semaine avec de la marche (beaucoup) et de la taille d'arbres et d'olivier. C'est agréable.
mercredi 27 février 2019
lundi 25 février 2019
Buvons du vin et merde aux hygiénistes et progressistes
On calcule un volume de vin par rapport au nombres de personne, pour une fête, afin d’estimer le nombre de bouteilles de Brice Beaumont (buvez en avec ou sans modération) ou de BIB.
Et le push arrive la. Et on doute. A acheter plutôt du lait fermenté bio ou de l’eau infusée dans du thé Souchong.
On achètera plutôt du vin...
Oui on mourra, sans doute. On aura bu du vin de mes vignerons dont je suis le parrain de la fille d’un, et dont un autre fut mon témoin de mariage. Je n’ai pas vu des envies de me tuer.
J’en ai marre de cet hygiénisme progressisme qui tue notre société.
samedi 23 février 2019
Grand débat à Lirac (enfin presque) et whisky #Gard
Notre grand président Emmanuel Macron l'a décidé. Nous devons débattre. Autour bien sur de sa statue, de ces ministres, de son mouvement En Marche qui est le seul vrai et grand parti politique qui va sauver la République. Alors débattons.
En plus, ça permet d'avoir pleins de temps de parole pour notre Président et sa majorité. La nouvelle politique rappelle un peu l'URSS et le parti unique avec le guide suprême qui passe en boucle à la télé (encore aujourd'hui au salon de l'agriculture). Mais comme c'est pour sauver la République et que le progrès et le camp du bien, ça passe. Et même c'est normal. Le critiquer nous place dans les extrêmes, chez les fachos.
Donc nous avons débattu. Nous avons dit du bien de notre député en Marche. Un jeune dont les actions font du mal à notre territoire et à son industrie, mais il sourie tellement bien dans le journal. Et il est jeune. Il est Macron, il est en Marche. Et c'est le seul rempart contre la croquemitaine de la France Insoumise que le Midi Libre nous désigne comme la seule opposition locale (c'est vrai qu'elle fait peur).
Alors notre député qui sourit bien sur les photo est forcément le meilleur. Et il est En Marche, donc c'est le bien.
Hier soir nous avons donc décidé d'organiser un grand débat à la gloire de notre Président et de sa Majorité.
Bon, j'avoue on a finalement assez peu parlé fiscalité, citoyenneté, transition écologique et progressisme permettant un vivre-ensemble en respectant les minorités et les différences.
C'est vrai qu'un écossais est arrivé avec ses whiskys. On s'est régalé...
On a fait des découvertes dans mon temple du Lirac et du Tavel. Antépénultième bouteille au nom imprononçable, que j'appelle le BounaSarr, est tourbé mais pas trop. J'adore la Sophia Arran en deuxième, très printanière.
D'ailleurs le printemps est arrivé. Il sera républicain. Pas forcément Macron (car je trouve qu'il fait et qu'ils font vraiment à notre République), mais le terrible est que sa liste risque d'arriver en tête aux élections européennes.
Il n'empêche. La manière dont il a mis les médias dans sa poche, l'habileté avec laquelle il a étouffé tout débat et toute opposition en se mettant en seul rempart contre les ennemis de la république, c'est fascinant. Un peu effrayant aussi, mais c'est fort.
Par contre jamais le panier de course n'a été aussi cher. Merci les lois anti-consomamteurs de nos amis d'En Marche (c'est pour notre bien).
Bah, buvons un peu de whisky écossais. C'est un beau peuple les écossais... (et en plus ils ont permis au rugby français d'avoir une victoire)...
jeudi 21 février 2019
LREM et le pouvoir Macron ne va pas suffisamment loin
Je suis surpris des prises de positions du pouvoir exécutif devant cet excellent rapport d’enquête du Sénat sur l’affaire Benalla. Très beau et digne travail du Sénat qui rend encore plus ridicule l’assemblée nationale qui s’est comportée en véritable carpette devant leur tout puissant Macron, et risibles ces députés En Marche (dont le mien).
Par contre c’est gênant. Gênant pour la morale, la république, et l’idée qu’on se fait des institutions.
Je pense que LREM ne va pas assez loin. Macron ne va pas assez loin.
Ils devraient interdire et supprimer toute critique, toute opposition. Éventuellement qu’ils demandent conseil à leurs amis de la France Insoumise, qui leur expliquera comment font Chavez Maduro & co.
Le gaulliste que je suis se félicite qu’il y ait un Sénat. Avec des vrais responsables et élus politiques, autres que ces opportunistes qui à part sourire en selfie ne font pas grand chose. Sinon faire du mal à notre République et à la France.
2017 aura été une sale année pour la Republique...
mercredi 20 février 2019
Élan de tendresse
dimanche 17 février 2019
Saint Valentin dans mon village (et gilets jaunes) #Gard
Un jour de février dans mon village. Dont l'église accueille une relique de Saint Valentin. Tous les deux ans, mon village de Roquemaure fête Saint Valentin.
Avant c'était une fois par an. Mais une telle manifestation coûte cher, financièrement et en énergie. Il est arrivé que le froid hivernal et glacial, ou la neige et le vent de la Reine des Neiges, viennent à faire annuler la manifestation.
Aujourd'hui, c'était un début de printemps.
Avant c'était une fois par an. Mais une telle manifestation coûte cher, financièrement et en énergie. Il est arrivé que le froid hivernal et glacial, ou la neige et le vent de la Reine des Neiges, viennent à faire annuler la manifestation.
Aujourd'hui, c'était un début de printemps.
J'étais avec des amis. Le parrain de bébé Faucon. Mon témoin de mariage, tellement important pour moi à la fin de l'année dernière.
J'ai rencontré pleins de gens de mon village, de mes villages. Certains m'ont rappelé que quelque part qui j'étais, ou j'ai pu être. Mais aujourd'hui, bizarrement, je me suis senti bien. En tous cas chez moi.
Elle est belle cette manifestation. Mon village qui a vu fermer ses commerces pour les voir remplacer par une boucherie hallal et des épiceries où il n'y pas de saucissons (désolé mais c'est la vérité) s'offre une belle image provençale ce jour là. Il rappelle que Roquemaure est le berceau des Côtes du Rhône, et de la chanson de Noel "Minuit Chrétien".
C'est important. Vital.
Mes enfants et ceux de mes amis ont été heureux. Ils ont mangé. Beaucoup.
Après le soir mes dernières bouteilles de Goudale de Noel ont été englouties, avec un peu de Tavel de mon ami Brice qui était avec moi.
Et après que soit arrivée la garde républicaine et le drapeau français est arrivé...
... le pape Clément. Qui nous a béni. Comme à chaque fois. Dans un moment sympathique, convivial, fraternel.
C'est une belle cérémonie la Saint Valentin de Roquemaure.
Après j'ai écouté Pierre Perret sur BFM TV. Un autre moment de bonheur et de paix intérieure. Puis Alain Finkelkraut est venu témoigner sur cette même chaîne.
J'aime beaucoup l'homme et apprécie son intelligence acérée. Mais ce qui m'a dérangé, c'est qu'il m'a rappelé (ce n'est pas sa faute) que mon pays aujourd'hui était rongée par une haine intérieure mortelle. Dont la France Insoumise (davantage que l'ex FN) est une représentation politique qui s'est insérée dans les mouvements citoyens, qui le 17 Novembre étaient sympathiques et républicains.
Il m'a rappelé aujourd'hui que les messages de paix, de tolérance, d'appel à la réflexion et au débat qui m'ont toujours été inculqué dans mon éducation étaient aujourd'hui ravagé par cette peste verte rouge qui vire au brun.
Je conclue ce billet tristement. Mais je me considère tellement plus fort, plus haut et plus légitime que ce salopard barbu qui a insulté Finkelkraut. Tellement plus humain et républicain que ceux qui hier huaient Valls quand il a quitté l'Assemblée Nationale, et aujourd'hui tagguent l'image de Simone Weil et légitiment l'antisémitisme sous des faux prétextes.
Surtout en utilisant une colère lancée le 17 Novembre par des gens sincères, que j'ai retrouvé aujourd'hui dans les rues. Et qui sont bien loins des messages de violences et de haines proférées hier et aujourd'hui par ces gilets au jaune bien élimé...
samedi 16 février 2019
Parent 1, parent 2 3 4...
J’adore ce tweet de l’immense Bernard Pivot sur le progressisme en Marche de la semaine.
Et arrêtons nos délires. Cela n’est pas un stigmate insupportable de nos côtés chrétiens réactionnaires que de trouver que ces propositions sont une régression pour notre société. Cela ne résous rien, surtout pas les souffrances d’enfants de familles monoparentales ou homosexuelles que d’effacer père et mère symboliquement de formulaire. La novlangue et cette bêtise qui amène à supprimer la fête des pères ou des mères pour « ne pas stigmatiser » fait reculer notre société.
En tous une nouvelle fois ces pseudos progressistes ont contribué à la division. Mais je pense que c’est leur but en fait... (on tombe dans leur piège, mais comment résister ?)
jeudi 14 février 2019
Progressisme et éducation nationale
J'avais parlé il y a quelques années de la crèche de mon village qui avait inventé la fête du parent au lieux de la fête des mères ou des pères. Mon bébé 2 a attendu la maternelle pour offrir un cadeau à son papa et sa maman. Merveilleux progressisme.
Aujourd'hui on progresse. Les mentions "père et mère" sont remplacées par "parent 1" et "parent 2" dans les formulaires scolaires. C'est du délire total. Mais soit. C'est progressiste. Et comme aller comme ce progressiste c'est être réactionnaire.
Je n'avais aucune sympathie pour la manif pour tous, et n'était pas opposé à un principe de mariage homosexuel. Mais j'en ai marre qu'on cache notre sexe et le fait qu'il faut un monsieur et une madame pour avoir un gosse.
Enfin je suis rassuré que la "nouvelle politique", c'est d'En Marche, s'occupe des "vrais problèmes". Mais j'avoue être dérangé par la société qui nous est proposée...
J'aime bien le twitt d'Eugénie Bastie que j'apprécie beaucoup.
Ce progressisme est délirant voire inquiétant.
mardi 12 février 2019
Lutter contre l'antisémitisme et la christianophobie
J'ai toujours été clair : l'antisémitisme est une chose qui par nature me débecte. J'ai souvent écrit sur cette vraie gauche abjecte qui n'est pas claire avec l'antisémitisme.
Cela me permet de rappeler cette magnifique tribune publiée en Avril contre ce nouvel antisémitisme. Qui rappelle que l'islam radical et la gauche de la gauche qui a quitté les rangs républicains ont rejoint l'extrême droite dans cette antisémitisme, et un racisme finalement totalement assumé et décomplexé.
Il ne faut pas oublier non plus que les actes anti-chrétiens se multiplient en France. Dans l'indifférence générale. La semaine dernière, une église a été profanée à Nîmes, chez moi dans le Gard. La semaine dernière, cinq édifices religieux chrétiens ont été profanés en France. C'est grave et insupportable.
Il faut lutter contre le racisme et l'antisémitisme. Et aussi contre les actes et violences contre la religion chrétienne. Il faut être intransigeant, contre tous les racismes.
dimanche 10 février 2019
Carte postale souvenir de Disney avec la reine des neiges
La reine des neiges en fait, c’est Hyoga le chevalier du cygne. Il a suffit qu’elle passe avec la parade pour que tombe la neige.
En tous cas donne des photos de Disneyland sous la neige en fin de journée qui sont magnifiques.
Je pourrais continuer à pondre des billets de photos. Il y en d’autres. Je pense que dans mon grenier j’ai quelques semaines de billets du soir,
Je pourrais mettre les photos qu’on a pris avec les personnages. Mais non. Des proches qui m’ont vu avec Dingo et Tigrou m’ont dit que ça m’a mis une banane d’enfer. C’est vrai, ça m’a fait du bien.
Même si l’atterrissage fut dur. Le retour sur terre après cette parenthèse enchantée a été dur. Le choc sur le sol fait mal.
Je reparlerai politique ou autre chose plus tard. Pour l’instant je partage des instants de bonheur, demain on verra.
Je reparlerai politique ou autre chose plus tard. Pour l’instant je partage des instants de bonheur, demain on verra.
Sinon le Nîmes Olympique c’est fabuleux.
Inscription à :
Articles (Atom)