En premier lieu, petite information. J’ai toujours eu (et c’est encore le cas) beaucoup de respect pour le Modem, ses militants sincères (pas les opportunistes qui pensaient que 18% à la présidentielle équivalait à une place douillet pour les municipales de l’année d’après), et son président, François Bayrou.
J’avais écrit un billet il y a un an sur François Bayrou. Son parcours entre 2002 et 2007 m’a profondément séduit. L’UDF a toujours mes votes de premier tour, aussi en réaction à une UMP que je ne voulais cautionner. Et en 2007, mon premier tour a suivi sa logique des 5 ans.
C'est pourquoi le très faible score du Modem me peine sincèrement. Aussi pour certains militants qui ont mon respect et mon affection. Mais il ne me surprend pas.
J’ai toujours considéré deux points faibles rédhibitoires chez le Modem. Je les avais exprimé dans ce billet du 10 Mars 2009.
D’abord, François Bayrou a reçu en 2007 beaucoup de voix et de soutiens provenant de la droite. L’UDF est un parti de droite. Et quoiqu’on veuille dire, François Bayrou est un homme de droite. Centre droit certes, mais plus proche d’Alain Juppé que de Robert Hue. L’afflux de beaucoup de militants en provenance d’une gauche parfois très à gauche (persuadés à l’époque que le PS était mort et que leur intérêt était plus d’être dans un truc « bobo – in ») a forcément posé un problème de cohérence au Modem de Bayrou. Aujourd’hui, avec une droite bien à droite et une gauche qui va bien, merci pour elle, il y a forcément soucis et hiatus...
Ensuite, l’opportunisme de certains. Non. Je ne mets pas de liens.
Ne parlons pas uniquement de Corine Lepage. Ministre sous Juppé, candidate sous Santini, élue européenne sous Bayrou, là voilà qui pense que maintenant suivre Cohn-Bendit est plus porteur pour elle. Soit. Mais ça commence à se voir, son ambition folle personnelle qui l’eut amené à l’époque à écrire un livre masquée, avant l’élection présidentielle. Cette incarnation d’un opportunisme indécent sublimé au sommet est malheureusement présent bien à la base.
Pour une Mirabelle ou une Oréade Centriste, pour un Hérétique ou Claudio, combien d’opportunistes qui espéraient, en 2007, que suivre Bayrou leur ouvrirait la porte de postes sympathiques dans les mairies et conseils municipaux en 2008 ? On voit bien Cavada ou les droopies de Poitou Charente qui ont vu que finalement Sarkozy ou Royal leur offrirait plus assurément une place au soleil que François Bayrou. Mais combien d’autres lâchages, plus anonyme ?
Je ne mets pas tout le monde dans le même sac. J'ai aussi quitté à l'époque un parti politique car je ne me sentais plus en phase avec ce qu'il me proposait (manque de bol, il n'en existait aucun autre capable de m'accueillir...). Mais parmi tous les lâcheurs de Bayrou et du Modem, combien d’opportunistes ? Qui, une fois 2008 ou les européennes passés, n’ont eu aucun état d’âme pour claquer la porte manger ailleurs une herbe plus verte ?
Je n’ai pour ma part aucune leçon à ne donner à personne. Je ne suis pas Modem, et ne le serait pas demain. Parce que j’ai avec le Modem des divergences de fond important, notamment au niveau européen. Mais quand même, en tant que modeste observateur, peut être puis je donner une opinion…
Le Modem, à mon avis, doit assumer ce qu’il est. Ce rodomontade avec le parti socialiste étaient ridicule, car purement polititichienne. Un seul point commun : la détestation de Sarkozy. Et avec un calcul basé sur un pari difficile : la mort du PS. On le voit, il est vivant, et bien là.
Non, que le Modem s’assure comme il est. De centre droit et social libéral. Ce n’est pas honteux. En plus, cette partie politique est inexistante. Hervé Morin me dirait vous ? Il est super pour envoyer femmes et enfants à une élection législative, mais c’est bon, il est ministre, il a réussi son opération personnelle. A part ça, le Nouveau Centre n’est rien.
François Bayrou, s’il clarifie son discours, peut redevenir ce qu’il était. Et le Modem être son bras armé. Car aujourd'hui, il n'existe plus cette famille politique du Centre Droit, qui ne veut pas être affidée à une homme ou un parti représenté par cette politique berlusconobushiste (ou sarkziste, employons le terme français).
Alors passons l'effet de mode, ce coté bobo chic qui voulait que François Bayrou, c'était tendance. Que le Modem, ou la Nouvelle UDF, ou les deux, reviennent à leur fondamentaux. S'afficher de Centre Droit, ça ne veut pas forcément dire être Sarkozyste. Et on peut très bien être de centre droit et refuser de choisir un camp plutôt que l'autre au deuxième tour de 2007. Sans pour autant appeler "à faire barrage à...", parce que la haine personnelle l'emporte.
J'ai confiance en le Modem, en François Bayrou, et en ses militants fidèles. Je leur souhaite bon courage.
Et accessoirement, même si l'Europe et la manière de construire ce bel ensemble est un point de désaccord, j'espère que je pourrais faire un bout de chemin avec certains d'entre eux...
J’avais écrit un billet il y a un an sur François Bayrou. Son parcours entre 2002 et 2007 m’a profondément séduit. L’UDF a toujours mes votes de premier tour, aussi en réaction à une UMP que je ne voulais cautionner. Et en 2007, mon premier tour a suivi sa logique des 5 ans.
C'est pourquoi le très faible score du Modem me peine sincèrement. Aussi pour certains militants qui ont mon respect et mon affection. Mais il ne me surprend pas.
J’ai toujours considéré deux points faibles rédhibitoires chez le Modem. Je les avais exprimé dans ce billet du 10 Mars 2009.
D’abord, François Bayrou a reçu en 2007 beaucoup de voix et de soutiens provenant de la droite. L’UDF est un parti de droite. Et quoiqu’on veuille dire, François Bayrou est un homme de droite. Centre droit certes, mais plus proche d’Alain Juppé que de Robert Hue. L’afflux de beaucoup de militants en provenance d’une gauche parfois très à gauche (persuadés à l’époque que le PS était mort et que leur intérêt était plus d’être dans un truc « bobo – in ») a forcément posé un problème de cohérence au Modem de Bayrou. Aujourd’hui, avec une droite bien à droite et une gauche qui va bien, merci pour elle, il y a forcément soucis et hiatus...
Ensuite, l’opportunisme de certains. Non. Je ne mets pas de liens.
Ne parlons pas uniquement de Corine Lepage. Ministre sous Juppé, candidate sous Santini, élue européenne sous Bayrou, là voilà qui pense que maintenant suivre Cohn-Bendit est plus porteur pour elle. Soit. Mais ça commence à se voir, son ambition folle personnelle qui l’eut amené à l’époque à écrire un livre masquée, avant l’élection présidentielle. Cette incarnation d’un opportunisme indécent sublimé au sommet est malheureusement présent bien à la base.
Pour une Mirabelle ou une Oréade Centriste, pour un Hérétique ou Claudio, combien d’opportunistes qui espéraient, en 2007, que suivre Bayrou leur ouvrirait la porte de postes sympathiques dans les mairies et conseils municipaux en 2008 ? On voit bien Cavada ou les droopies de Poitou Charente qui ont vu que finalement Sarkozy ou Royal leur offrirait plus assurément une place au soleil que François Bayrou. Mais combien d’autres lâchages, plus anonyme ?
Je ne mets pas tout le monde dans le même sac. J'ai aussi quitté à l'époque un parti politique car je ne me sentais plus en phase avec ce qu'il me proposait (manque de bol, il n'en existait aucun autre capable de m'accueillir...). Mais parmi tous les lâcheurs de Bayrou et du Modem, combien d’opportunistes ? Qui, une fois 2008 ou les européennes passés, n’ont eu aucun état d’âme pour claquer la porte manger ailleurs une herbe plus verte ?
Je n’ai pour ma part aucune leçon à ne donner à personne. Je ne suis pas Modem, et ne le serait pas demain. Parce que j’ai avec le Modem des divergences de fond important, notamment au niveau européen. Mais quand même, en tant que modeste observateur, peut être puis je donner une opinion…
Le Modem, à mon avis, doit assumer ce qu’il est. Ce rodomontade avec le parti socialiste étaient ridicule, car purement polititichienne. Un seul point commun : la détestation de Sarkozy. Et avec un calcul basé sur un pari difficile : la mort du PS. On le voit, il est vivant, et bien là.
Non, que le Modem s’assure comme il est. De centre droit et social libéral. Ce n’est pas honteux. En plus, cette partie politique est inexistante. Hervé Morin me dirait vous ? Il est super pour envoyer femmes et enfants à une élection législative, mais c’est bon, il est ministre, il a réussi son opération personnelle. A part ça, le Nouveau Centre n’est rien.
François Bayrou, s’il clarifie son discours, peut redevenir ce qu’il était. Et le Modem être son bras armé. Car aujourd'hui, il n'existe plus cette famille politique du Centre Droit, qui ne veut pas être affidée à une homme ou un parti représenté par cette politique berlusconobushiste (ou sarkziste, employons le terme français).
Alors passons l'effet de mode, ce coté bobo chic qui voulait que François Bayrou, c'était tendance. Que le Modem, ou la Nouvelle UDF, ou les deux, reviennent à leur fondamentaux. S'afficher de Centre Droit, ça ne veut pas forcément dire être Sarkozyste. Et on peut très bien être de centre droit et refuser de choisir un camp plutôt que l'autre au deuxième tour de 2007. Sans pour autant appeler "à faire barrage à...", parce que la haine personnelle l'emporte.
J'ai confiance en le Modem, en François Bayrou, et en ses militants fidèles. Je leur souhaite bon courage.
Et accessoirement, même si l'Europe et la manière de construire ce bel ensemble est un point de désaccord, j'espère que je pourrais faire un bout de chemin avec certains d'entre eux...
Faut être réaliste; un parti centriste, même tendancieux, est indispensable. Je n e crois pas à la fin du Modem, juste à un faux pas logique car on ne se construit pas en si peu de temps. La médiatisation pour les régionales a été quasi inexistante. Les tabloïds ne voyaient qu'une opposition PS-UMP.
RépondreSupprimercoucou ! heureusement que j'ai lu ton commentaire chez Claudio hier, car tel que tu as rédigé ton billet, on croirait que tu nous mets dans les opportunistes !!!!
RépondreSupprimersur le fond, je pense que le modem peut simplement se situer au centre tout court et devenir un grand parti, à condition de s'en donner les moyens ...
bref du boulot sur la planche :) !
Bon article, j'y adhère complètement.*le Modem est en effet entrain de disparaître mais il y a tout un bataillon d'électeurs centristes un peu orphelins qu'il faudra adopter... aspi
RépondreSupprimerArg ! Je n'ai aucune confiance en François Bayrou. J'ai beaucoup d'estime pour les militants que je connais essentiellement par les blogs, mais un parti politique ne doit pas être fait pour la seule gloire de son chef. Et c'est ça qui fait que les rats quittent le navire. Vive Corinne Le Page qui, elle, assure.
RépondreSupprimerMme Lepage va finir par dépasser le Kador en en matière de retournement de veste qu'est Jean-Pierre Soisson.Mais il est vrai que tourner une jupe est plus rapide que retourner sa veste...;) aspi
RépondreSupprimerHomer, oui. C'est vrai. Chez moi, c'était carrément duel Frêche - PS...
RépondreSupprimerMirabelle, dans ce cas la partie où je vous rends hommage est très mal rédigée. Je vais la reprendre de ce pas.
Oui, il y a de la place au Centre. Certains ont considéré le Modem comme un moyen de propulser leur propre carrière...
Aspi : oui, des électeurs. Mais aussi des militants qui sont chouettes. J'en connais un peu chez moi aussi, et ceux ne sont pas des opportunistes !
Nicolas : confiance c'est une chose. Je parlerai plutôt de respect. La confiance que j'ai en Bayrou, c'est de rebondir.
Je crois qu'il y a autre chose que le culte du chef qui fait que les rats quittent le navire. Lepage a envie d'un destin national, et elle va là où elle pourra assouvir sa soif d'ambition. Si ce n'est pas Juppé ou Santini, ca sera Bayrou ou CohnBendit. On la retrouvera ailleurs, t'inquiète.
Non, j'aime pas trop ce personnage. Mais je suis d'accord avec toi, Bayrou en a trop fait avec son culte du chef : il le paie...
Je crois surtout que nombreux sont ceux qui n ont toujours pas compris le positionnement du Modem, sa stratégie, son programme, sa vision
RépondreSupprimerCorto,
RépondreSupprimerPar ton commentaire, tu mets la responsabilité de l'échec du Modem sur le compte des citoyens.
C'est assez cocasse. Ce n'est pas à nous de faire l'effort de comprendre mais au Modem de se faire comprendre. Il n'a pas réussi, probablement parce qu'il n'a pas sa place dans le paysage politique Français mais aussi parce qu'il a mal fonctionné, François Bayrou en faisant une machine pour lui seul.
Nicolas, je ne crois pas que Corto voulait dire que c'est la faute aux citoyens.
RépondreSupprimerEn politique, quand une réforme ou une position n'est pas comprise, le reproche n'est pas fait au peuple, mais au politique lui même qui n'a pas su expliquer le positionnement, la réforme. Certains, au soir du 30 Mai 2005, critiquaient ces cons de français qui n'avaient pas compris le traité européen. Non, c'était les tenants du oui qui n'avaient été capables de l'expliquer et d'y faire adhérer, pas l'inverse.
Non, je ne vois pas en le commentaire de Corto une critique du peuple français. Mais plutôt une critique d'un François Bayrou dont le positionnement était, il est vrai, difficile à comprendre...
(le comprend il lui même ?)
Je ne vois pas pourquoi tu veux envoyer le MoDem au centre droit, comme Mirabelle, je trouve qu'il est très bien au centre. A force de vouloir toujours l'envoyer qui à droite, qui à gauche, comme vient de le proposer Benhamias, on en fait un machin non identifié. Marquons bien nos différences que ce soit avec la gauche comme avec la droite. Nous ne sommes pas des démocrates sociaux, nous ne sommes pas des libéraux totalitaires. Mais plutôt des libéraux-sociaux. Alors ni à droite, ni a gauche.
RépondreSupprimerAndré, je ne veux rien du tout personnellement. Je pense juste que le modem, s'il est l'émanence de l'UDF, est de fait de Centre droit. Ce qui n'a rien de scandaleux d'ailleurs.
RépondreSupprimerOu alors peut être que vos différences avec les uns et les autres ne sont pas assez marquées, en effet.
Enfin, bon courage quand même (sincérement)
coin coin
RépondreSupprimerc'est vrai qu'on est sympa au MoDem sauf les poujamodémistes, on peut parler avec tout le monde.
C'est un billet très juste que l'héré a pu écrire et que j'aurais pu écrire.
LCDM, je vous l'offre volontier :) (je vous le dédie)
RépondreSupprimerMerci Falcon toi au moins tu me comprends, c'est pas comme Nicolas ! Pfff! Lirait-il un peu trop vite les com'
RépondreSupprimer:)
Biz
Nico a beaucoup de blogs et de commentaires à lire ;-) Mais c'est un chouette gars (même s'il m'emmerde à sabrer le champagne une semaine où Frêche gagne et l'OM se fait éliminer, grrr ^_^)
RépondreSupprimerBonne soirée Corto
Intéressant comme point de vue mais je ne le partage pas le moins du monde quant au positionnement du MoDem.
RépondreSupprimerCe qui a attiré de nombreux électeurs est justement la fin de ce positionnement imbécile de "centre droit" qui n'est finalement que de la politique de droit allégée, un positionnement mou comme il a été maintes fois reproché au centre.
En outre, centre droit implique de se définir par positionnement en fonction de la droite. Or, le projet démocrate est différent de cela, il n'est pas conditionné ni par la gauche ni par la droite.
Nous avons vertus à rassembler idéologiquement les socio-démocrates, les écolo-démocrates jusqu'aux socio-libéraux et démocrates-chrétiens de droite.
Il faudra un jour faire l'effort de réfléchir sur ce qui peut bien encore séparer idéologiquement l'Alliance Centriste de Jean Arthuis du PRG par exemple...je ne parle pas d'histoire, ni d'héritage encore une fois mais bien de positionnement actuel.
Je suis tout ouïe.
Quand je pense que la plupart ne s'étonne pas le moins du monde que le Front de Gauche puisse s'entendre avec le centre-gauche...
Et pourtant le fait qu'il y ait le mot "gauche" à chaque fois n'est que poudre aux yeux...
Némo, oui c'est vrai. Je ne suis pas d'accord avec tout par contre.
RépondreSupprimerEn 2007, je persiste à penser que Bayrou a récupéré aussi des gens de droite ne voulant pas voter pour Sarkozy au premier tour. Aussi parce qu'il apportait une alternative à droite.
La position au Centre est séduisante. Mais aujourd'hui, je la trouve un peu trop théorique, je ne vois pas trop ce qu'elle est réellement. Je vois un discours de Bayrou qui me parait très centre droit (ce qui n'a rien de scandaleux), et qui n'est en tous cas porté par personne d'autre que lui il me semble.
Je crois que c'est peut être un des problèmes de Bayrou et du Modem. Un affichage et un positionnement qui est assez fluctuant (un coup on vote avec l'un, l'autre coup avec l'autre...), qui n'a comme seule cohérence un anti sarkozysme assumé et affiché.
Et finalement une question qui demeure toujours d'actualité 3 ans après : c'est quoi le modem ?
Enfin, il y a de quoi faire. Si ça marche, ça pourrait le faire. Mais les gens cherchent les places, et tant que le modem ne sera pas à même de les donner, vous aurez des Lepage. Et c'est bien dommage...
Mon Faucon,
RépondreSupprimerL'incohérence n'a jamais été dans le vote du MoDem ni dans son positionnement mais bien dans la fluctuation de ceux qui se prétendent représenter la droite et la gauche en France !
Forcément, on en arrive à voter en commun avec l'un ou l'autre sur certains sujets, d'autant plus qu'en face, on a tendance à voter systématiquement contre même lorsque Sarkozy fait dans le gauchisme !
Némo, j'adore que tu m'appelles "Mon Faucon" ^^
RépondreSupprimerJe ne sais pas si tu as raison. Quand les choses sont instables, pas 36 solutions. Soit c'est nous même qui est instable et qui bougeons. Soit le monde qui nous entoure.
Soit un peu des deux.
Tu sembles penser que le Modem est stable, et le monde autour ne l'est pas. Je n'en suis pas convaincu pour ma part.
J'ai eu une discussion interressante hier soir avec un Modem du Gard, un gars que j'apprécie beaucoup, élu local très bien (comme on devrait en avoir plus...).
En tous cas, les choses vont se clarifier d'elle même au Modem, et ça peut être un bien pour tout le monde, surtout pour les militants du Modem.